Réponse et non-réponse

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  • Articles et rapports : 11-522-X200800010984
    Description :

    Le Programme de gestion de portefeuille d'entreprises (PGPE) de Statistique Canada (StatCan) a donné la preuve du bien-fondé d'une approche « holistique » de la gestion des relations que nous entretenons avec les entreprises répondantes les plus grandes et les plus complexes.

    Comprenant que le niveau d'intervention devrait varier selon le type de répondants et ayant pris conscience de la valeur de l'approche « centrée sur l'entreprise » de gestion des relations avec les fournisseurs de données complexes importantes, StatCan a adopté une stratégie de gestion de la réponse consistant à subdiviser la population d'entreprises en quatre niveaux, en fonction de leur taille, de leur complexité et de l'importance des données pour la production des estimations de l'enquête. La population étant ainsi segmentée, diverses approches de gestion de la réponse ont été élaborées en tenant compte de la contribution relative du segment. Cette stratégie permet à StatCan de diriger ses ressources vers les domaines où il est probable que le rendement de l'investissement sera le plus important. Les groupes I et II ont été définis comme essentiels à la production des estimations de l'enquête.

    Le groupe I comprend les entreprises les plus grandes et les plus complexes au Canada et est géré par l'entremise du Programme de gestion de portefeuille d'entreprises.

    Le groupe II comprend des entreprises plus petites et moins complexes que celles du groupe I, mais quand même importantes pour l'élaboration de mesures exactes des activités des industries individuelles.

    Le groupe III comprend des entreprises de taille plus moyenne, qui représentent la majeure partie des échantillons d'enquête.

    Le groupe IV comprend les entreprises les plus petites, qui sont exclues du processus de collecte des données; pour ces entreprises, StatCan s'appuie entièrement sur des données fiscales.

    Le plan de la communication sera le suivant :Ça marche! Résultats et mesures provenant des programmes qui ont mis en oeuvre la stratégie globale de gestion des réponses.Élaboration d'une approche méthodologique moins subjective pour segmenter la population des enquêtes-entreprises en vue de la gestion globale des réponses. Travaux de l'équipe de projet en vue de cerner les facteurs de complexité intrinsèquement utilisés par les employés expérimentés pour classer les répondants.Ce que les répondants « à problèmes » nous ont dit au sujet des problèmes sous-jacents à la non-réponse.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010994
    Description :

    La difficulté grandissante à joindre les répondants affecte, de façon générale, la non-réponse des enquêtes téléphoniques, et particulièrement les enquêtes qui utilisent les techniques de composition aléatoire (CA) comme l'Enquête sociale générale (ESG). L'ESG est une enquête annuelle à sujets multiples effectuée auprès de 25 000 répondants. Ses objectifs sont de surveiller les caractéristiques et les modifications importantes de la structure sociale canadienne. Le cycle 21 (2007) de l'ESG porte sur la famille, le soutien social et la retraite et vise la population âgée de 45 ans et plus vivant dans les 10 provinces canadiennes. Pour cibler plus efficacement cette population, une partie de l'échantillon provient d'un suivi auprès des répondants du cycle 20 (2006) de l'ESG qui portait sur les transitions familiales. Il est complété par un nouvel échantillon obtenu par CA. Dans cet article, nous présentons d'abord le plan de sondage de l'enquête et la méthode de composition aléatoire utilisée. Nous décrivons ensuite les défis reliés au calcul du taux de non-réponse dans une enquête à composition aléatoire qui cible un sous-ensemble d'une population, pour lequel la population dans le champ de l'enquête doit être estimée ou modélisée. Ceci est fait notamment avec l'utilisation de paradonnées. La méthodologie utilisée au cycle 21 de l'ESG est présentée en détail.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010996
    Description :

    Au cours des dernières années, l'utilisation des paradonnées a pris de plus en plus d'importance dans le cadre de la gestion des activités de collecte à Statistique Canada. Une attention particulière a été accordée aux enquêtes sociales menées par téléphone, comme l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR). Lors des dernières activités de collecte de l'EDTR, une limite de 40 tentatives d'appel a été instaurée. Des examens des fichiers de l'historique des transactions Blaise de l'EDTR ont été entrepris afin d'évaluer l'incidence de la limite des tentatives d'appel. Tandis que l'objectif de la première étude était de réunir les renseignements nécessaires à l'établissement de la limite des tentatives d'appel, la seconde étude portait sur la nature de la non-réponse dans le contexte de la limite de 40 tentatives.

    L'utilisation des paradonnées comme information auxiliaire pour étudier et expliquer la non-réponse a aussi été examinée. Des modèles d'ajustement pour la non-réponse utilisant différentes variables de paradonnées recueillies à l'étape de la collecte ont été comparés aux modèles actuels basés sur de l'information auxiliaire tirée de l'Enquête sur la population active.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010999
    Description :

    Dans une enquête téléphonique, le choix du nombre de tentatives d'appel représente une décision importante. Un grand nombre de tentatives rend la collecte des données longue et dispendieuse, tandis qu'un petit nombre réduit l'ensemble de réponses sur lequel sont fondées les conclusions et accroît la variance. La décision peut aussi avoir une incidence sur le biais de non-réponse. Dans le présent article, nous examinons les effets du nombre de tentatives d'appel sur le taux de non-réponse et sur le biais dû à la non-réponse dans deux enquêtes réalisées par Statistics Sweden, à savoir la Labour Force Survey (LFS) et la Household Finances (HF).

    Au moyen de paradonnées, nous calculons le taux de réponse en fonction du nombre de tentatives d'appel. Pour estimer le biais de non-réponse, nous utilisons les estimations de certaines variables de registre, pour lesquelles des observations sont disponibles pour les répondants ainsi que les non-répondants. Nous calculons aussi les estimations de certains paramètres d'enquête réels en fonction d'un nombre variable de tentatives d'appel. Les résultats indiquent qu'il est possible de réduire le nombre courant de tentatives d'appel sans accroître le biais de non-réponse.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800011000
    Description :

    Le présent rapport décrit les résultats d'une expérience d'envoi par la poste qui a eu lieu dans le cadre d'un projet de démonstration à grande échelle. Une carte postale et des autocollants ont été envoyés à un groupe aléatoire de participants au projet durant la période entre un appel de prise de contact et une enquête. Les chercheurs ont émis l'hypothèse qu'à cause de l'envoi par la poste supplémentaire (le traitement), les taux de réponse à l'enquête à venir augmenteraient. Toutefois, aucune différence n'a été observée entre les taux de réponse du groupe de traitement ayant reçu l'envoi par la poste supplémentaire et ceux du groupe témoin. Dans les conditions particulières de l'expérience d'envoi par la poste, expédier une carte postale et des autocollants aux participants au projet pour leur rappeler l'enquête à venir et leur participation au projet pilote n'a pas été un moyen efficace d'accroître les taux de réponse.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200800011001
    Description :

    Présentement en cours, l'Enquête québécoise sur la santé de la population (EQSP), dont la collecte se terminera en février 2009, offre l'opportunité, de par l'envergure de son échantillon, d'évaluer l'impact de l'envoi de lettres d'information aux répondants sur le taux de réponse, et ce, dans un environnement contrôlé. En effet, avec plus de 38 000 répondants attendus, une partie de l'échantillon de cette enquête téléphonique à portée régionale a pu être utilisée pour permettre cette étude, sans toutefois avoir un impact trop important sur le taux de réponse global de l'enquête. Dans les enquêtes à génération aléatoire de numéro de téléphone (GANT), telle que l'EQSP, un des principaux défis de l'envoi d'une lettre d'information est l'atteinte de l'unité enquêtée. Or, cette réussite dépend en grande partie de notre capacité à associer une adresse aux unités échantillonnées et de la qualité de celle-ci.

    Cet article décrit l'étude contrôlée mise de l'avant par l'Institut de la statistique du Québec pour mesurer l'incidence de l'envoi de lettres d'information aux répondants sur le taux de réponse de l'enquête.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-536-X200900110804
    Description :

    Ce document porte sur l'estimation par calage pour les enquêtes ayant des cas de non-réponse. La correction efficace de la pondération pour les cas de non-réponse nécessite de l'information auxiliaire puissante. Les poids de l'estimateur par calage sont déterminés à partir de l'information au sujet d'un vecteur auxiliaire précisé. Même avec le « meilleur » vecteur auxiliaire possible, un certain biais demeure dans l'estimateur. Un indicateur du biais résiduel est présenté et analysé.

    Les nombreuses variables auxiliaires potentielles permettent au statisticien de constituer un large éventail de vecteurs auxiliaires éventuels. On ressent le besoin de comparer ces vecteurs afin d'évaluer leur efficacité en matière de réduction du biais. Pour ce faire, nous examinons un indicateur utile pour classer les vecteurs auxiliaires de rechange en fonction de leur capacité de réduire le biais. L'indicateur est calculé à partir des valeurs du vecteur auxiliaire pour les unités échantillonnées, qu'elles aient répondu ou non. L'un des avantages réside dans l'indépendance des variables de l'étude, qui sont nombreuses dans une grande enquête.

    Les propriétés de l'indicateur sont examinées dans les études empiriques. Une population synthétique est construite, et les vecteurs auxiliaires potentiels sont cotés à l'aide de l'indicateur. Un autre exemple empirique illustre comment l'indicateur est utilisé pour sélectionner des variables auxiliaires dans une grande enquête à Statistique Suède.

    Date de diffusion : 2009-08-11

  • Articles et rapports : 11-536-X200900110805
    Description :

    On considère le cas de l'estimation d'une fonction de distribution pour une population finie en présence de non-réponse. On discute d'une approche d'imputation qui peut aussi être interprétée comme une forme d'estimation par pondération. On suppose qu'il y a une mesure complète sur au moins une variable auxiliaire qui est fortement reliée à la variable d'intérêt. L'article est motivé par une application à l'estimation de la distribution du salaire horaire en utilisant des données de l'enquête sur la population active du Royaume-Uni. Dans ce cas, la principale variable auxiliaire est une mesure approximative de la variable d'intérêt. Parmi les techniques présentées, on retrouve le plus proche voisin de la valeur prédite, l'imputation par plus proche voisin, l'imputation fractionnaire et le plus proche voisin de la probabilité prédite. Enfin, on discute de quelques propriétés théoriques et numériques de procédures alternatives.

    Date de diffusion : 2009-08-11

  • Articles et rapports : 12-001-X200900110887
    Description :

    De nombreux organismes statistiques considèrent le taux de réponse comme étant l'indicateur de la qualité à utiliser en ce qui concerne l'effet du biais de non réponse. Ils prennent donc diverses mesures en vue de réduire la non réponse ou de maintenir la réponse à un niveau jugé acceptable. Cependant, à lui seul, le taux de réponse n'est pas un bon indicateur du biais de non réponse. En général, un taux de réponse élevé n'implique pas que le biais dû à la non réponse est faible. On trouve à cet égard de nombreux exemples dans la littérature (par exemple, Groves et Peytcheva 2006 ; Keeter, Miller, Kohut, Groves et Presser 2000 ; Schouten 2004).

    Nous introduisons un certain nombre de concepts et un nouvel indicateur en vue d'évaluer la similarité entre la réponse à une enquête et l'échantillon de cette enquête. Cet indicateur de la qualité, que nous appelons indicateur R, peut servir de complément aux taux de réponse et est destiné principalement à évaluer le biais de non réponse. Il peut faciliter l'analyse de la réponse aux enquêtes en fonction du temps, ou pour diverses stratégies d'enquête sur le terrain ou divers modes de collecte des données. Nous appliquons l'indicateur R à deux exemples pratiques.

    Date de diffusion : 2009-06-22

  • Articles et rapports : 12-001-X200800210756
    Description :

    Dans les enquêtes longitudinales, la non-réponse survient souvent selon un schéma non monotone. Nous considérons l'estimation des moyennes dépendantes du temps sous l'hypothèse que le mécanisme de non-réponse dépend de la dernière valeur. Puisque cette dernière valeur peut elle-même manquer quand la non-réponse est non monotone, le mécanisme de non-réponse examiné est non ignorable. Nous proposons une méthode d'imputation qui consiste à établir d'abord certains modèles d'imputation par la régression en fonction du mécanisme de non-réponse, puis à appliquer l'imputation par la régression non paramétrique. Nous supposons que les données longitudinales suivent une chaîne de Markov admettant des moments finis de deuxième ordre. Aucune autre contrainte n'est imposée à la distribution conjointe des données longitudinales et à leurs indicateurs de non-réponse. La variance est estimée par une méthode du bootstrap. Nous présentons certains résultats de simulation et un exemple concernant une enquête sur l'emploi.

    Date de diffusion : 2008-12-23
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  • Articles et rapports : 75-005-M2024001
    Description : De 2010 à 2019, le taux de réponse à l’Enquête sur la population active (EPA) – ou la proportion de ménages sélectionnés ayant répondu à une interview de l’EPA – avait suivi une lente tendance à la baisse, en raison d'une série de changements sociaux et technologiques qui ont rendu plus difficiles les efforts visant à contacter les ménages sélectionnés et à les persuader de participer une fois qu’ils sont contactés. Ces facteurs ont été exacerbés par la pandémie de COVID-19, qui a entraîné la suspension des entretiens en personne entre avril 2020 et l'automne 2022. Statistique Canada s'engage à rétablir les taux de réponse de l'EPA dans toute la mesure du possible. Ce document technique traite de deux initiatives en cours pour s’assurer que les estimations de l'EPA continuent à fournir un portrait précis et représentatif du marché du travail canadien.
    Date de diffusion : 2024-02-16

  • Articles et rapports : 12-001-X202300200006
    Description : Les spécialistes de la recherche sur les enquêtes se tournent de plus en plus vers la collecte multimodale de données pour composer avec la baisse des taux de réponse aux enquêtes et l’augmentation des coûts. Une approche efficace propose des modes de collecte moins coûteux (par exemple sur le Web) suivis d’un mode plus coûteux pour un sous-échantillon des unités (par exemple les ménages) dans chaque unité primaire d’échantillonnage (UPE). Nous présentons deux solutions de rechange à cette conception classique. La première consiste à sous-échantillonner les UPE plutôt que les unités pour limiter les coûts. La seconde est un plan hybride qui comprend un échantillon (à deux degrés) par grappes et un échantillon indépendant sans mise en grappes. À l’aide d’une simulation, nous démontrons que le plan hybride comporte des avantages considérables.
    Date de diffusion : 2024-01-03

  • Articles et rapports : 89-648-X2022001
    Description :

    Le présent rapport examine l'ampleur et la nature des problèmes d'attrition touchant l'Étude longitudinale et internationale des adultes (l'ELIA), et explore l'utilisation d'une stratégie d'ajustement et de calage des poids pour la non-réponse qui pourrait atténuer les effets de l'attrition sur les estimations de l'ELIA. L'étude porte sur les données des vagues 1 (2012) à 4 (2018) et utilise des exemples pratiques fondés sur des variables démographiques choisies pour illustrer la façon dont l'attrition doit être évaluée et traitée.

    Date de diffusion : 2022-11-14

  • Stats en bref : 11-001-X202231822683
    Description : Communiqué publié dans Le Quotidien – Bulletin de diffusion officielle de Statistique Canada
    Date de diffusion : 2022-11-14

  • Articles et rapports : 12-001-X202200100001
    Description :

    Dans la présente étude, nous tentons d’établir dans quelle mesure l’âge et le niveau de scolarité des répondants peuvent être systématiquement associés à un comportement de réponse indésirable (CRI) dans un ensemble d’enquêtes. À cette fin, nous avons utilisé les données obtenues auprès d’un panel de répondants ayant participé à 10 enquêtes démographiques générales réalisées par CentERdata et le bureau central de la statistique des Pays-Bas. Nous avons utilisé une nouvelle méthode pour présenter visuellement les CRI ainsi qu’une adaptation ingénieuse d’une mesure non paramétrique de l’ampleur de l’effet. Des répartitions de la densité, que nous appelons des profils des répondants, font état de l’occurrence d’un CRI chez des répondants affichant des caractéristiques particulières. Afin de comparer ces profils du point de vue d’une occurrence potentiellement constante d’un CRI dans les enquêtes, nous avons utilisé une adaptation du delta de Cliff, qui décrit efficacement l’ampleur de l’effet. Dans les enquêtes prises globalement, la mesure d’un CRI varie selon l’âge et le niveau de scolarité. Les résultats ne montrent pas un CRI constant dans les enquêtes considérées individuellement : l’âge et le niveau de scolarité sont associés à une occurrence relativement plus élevée dans certaines enquêtes, mais relativement plus faible dans d’autres. Nous en concluons que l’occurrence d’un CRI peut dépendre davantage de l’enquête et de ses éléments que de la capacité cognitive du répondant.

    Date de diffusion : 2022-06-21

  • Articles et rapports : 12-001-X202200100006
    Description :

    Au cours des deux dernières décennies, les taux de réponse aux enquêtes ont régulièrement diminué. Dans ce contexte, il est devenu de plus en plus important pour les organismes statistiques d’élaborer et d’utiliser des méthodes permettant de réduire les effets négatifs de la non-réponse sur l’exactitude des estimations découlant d’enquêtes. Le suivi des cas de non-réponse peut être un remède efficace, même s’il exige du temps et des ressources, pour pallier le biais de non-réponse. Nous avons mené une étude par simulations à l’aide de données réelles d’enquêtes-entreprises, afin de tenter de répondre à plusieurs questions relatives au suivi de la non-réponse. Par exemple, en supposant un budget fixe de suivi de la non-réponse, quelle est la meilleure façon de sélectionner les unités non répondantes auprès desquelles effectuer un suivi ? Quel effort devons-nous consacrer à un suivi répété des non-répondants jusqu’à la réception d’une réponse ? Les non-répondants devraient-ils tous faire l’objet d’un suivi ou seulement un échantillon d’entre eux ? Dans le cas d’un suivi d’un échantillon seulement, comment sélectionner ce dernier ? Nous avons comparé les biais relatifs Monte Carlo et les racines de l’erreur quadratique moyenne relative Monte Carlo pour différents plans de sondage du suivi, tailles d’échantillon et scénarios de non-réponse. Nous avons également déterminé une expression de la taille de l’échantillon de suivi minimale nécessaire pour dépenser le budget, en moyenne, et montré que cela maximise le taux de réponse espéré. Une principale conclusion de notre expérience de simulation est que cette taille d’échantillon semble également réduire approximativement le biais et l’erreur quadratique moyenne des estimations.

    Date de diffusion : 2022-06-21

  • Articles et rapports : 12-001-X202100200004
    Description :

    L’article présente une étude comparative de trois méthodes de construction d’intervalles de confiance pour la moyenne et les quantiles à partir de données d’enquête en présence de non-réponse. Ces méthodes, à savoir la vraisemblance empirique, la linéarisation et la méthode de Woodruff (1952), ont été appliquées à des données sur le revenu tirées de l’Enquête intercensitaire mexicaine de 2015 et à des données simulées. Un modèle de propension à répondre a servi à ajuster les poids d’échantillonnage, et les performances empiriques des méthodes ont été évaluées en fonction de la couverture des intervalles de confiance au moyen d’études par simulations. Les méthodes de vraisemblance empirique et de linéarisation ont donné de bonnes performances pour la moyenne, sauf quand la variable d’intérêt avait des valeurs extrêmes. Pour les quantiles, la méthode de linéarisation s’est montrée peu performante; les méthodes de vraisemblance empirique et de Woodruff ont donné de meilleurs résultats, mais sans atteindre la couverture nominale quand la variable d’intérêt avait des valeurs à haute fréquence proches du quantile d’intérêt.

    Date de diffusion : 2022-01-06

  • Articles et rapports : 12-001-X201900300002
    Description :

    Souvent, des paradonnées sont recueillies pendant le processus d’enquête afin de surveiller la qualité des réponses. L’une des paradonnées recueillies est le comportement du répondant, qui peut servir dans la construction des modèles de réponse. On peut appliquer le poids du score de propension utilisant les renseignements sur le comportement du répondant à l’analyse finale pour réduire le biais dû à la non-réponse. Toutefois, l’inclusion de la variable de substitution dans la pondération du score de propension ne garantit pas toujours une amélioration de l’efficacité. Nous montrons que la variable de substitution n’est utile que quand elle est corrélée à la variable étudiée. Les résultats d’une étude par simulations limitée confirment cette constatation. L’article présente aussi une application sur données réelles utilisant les données de la Korean Workplace Panel Survey (enquête par panel sur le milieu de travail en Corée).

    Date de diffusion : 2019-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201900300006
    Description :

    Un taux de non-réponse élevé est un problème très courant dans les enquêtes-échantillons de nos jours. Du point de vue statistique, nous entretenons des inquiétudes au sujet du biais et de la variance accrus des estimateurs de chiffres de population comme les totaux ou les moyennes. Diverses méthodes ont été proposées pour compenser ce phénomène. En gros, nous pouvons les diviser en imputation et calage, et c’est sur la dernière méthode que nous nous concentrons ici. La catégorie des estimateurs par calage offre un large éventail de possibilités. Nous examinons le calage linéaire, pour lequel nous suggérons d’utiliser une version de non-réponse de l’estimateur de régression optimal fondé sur le plan. Nous faisons des comparaisons entre cet estimateur et un estimateur de type GREG. Les mesures de la distance jouent un rôle très important dans l’élaboration des estimateurs par calage. Nous démontrons qu’un estimateur de la propension moyenne à répondre (probabilité) peut être inclus dans la mesure de la distance « optimale » dans les cas de non-réponse, ce qui aide à réduire le biais de l’estimateur ainsi obtenu. Une étude en simulation a été réalisée pour illustrer de manière empirique les résultats obtenus de façon théorique pour les estimateurs proposés. La population se nomme KYBOK et se compose de municipalités administratives de la Suède, pour lesquelles les variables comprennent des mesures financières et de la taille. Les résultats sont encourageants pour l’estimateur « optimal » combiné à la propension estimative moyenne à répondre, où le biais a été réduit pour la plupart des cas d’échantillonnage de Poisson faisant partie de l’étude.

    Date de diffusion : 2019-12-17

  • Articles et rapports : 12-001-X201900300008
    Description :

    Les enquêtes à double base de sondage sont utiles là où une seule base n’assure pas une couverture suffisante, mais pour les estimateurs d’un tel plan d’échantillonnage à double base, il faut connaître l’appartenance à une base pour chaque unité échantillonnée. Si cette indication ne peut être tirée de la base de sondage même, elle est souvent à recueillir auprès de l’enquêté. Si l’enquêté donne alors une indication erronée, les estimations résultantes des moyennes ou des totaux pourront s’en trouver biaisées. Nous proposons une méthode de réduction de ce biais grâce à des données exactes d’appartenance venant d’un sous-échantillon d’enquêtés. Nous examinons les propriétés de notre nouvel estimateur et le comparons à d’autres. Nous l’appliquons aux données de l’exemple qui a été à l’origine de notre étude, soit une enquête auprès des pêcheurs à la ligne pêchant à des fins récréatives qui reposait sur une base d’adresses et une base incomplète de permis de pêche.

    Date de diffusion : 2019-12-17
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  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 75-005-M2023001
    Description : Ce document fournit des informations sur l'évolution des taux de réponse de l'Enquête sur la population active (EPA) et une discussion de l'évaluation de deux aspects de la qualité des données qui garantissent que les estimations de l'EPA continuent à fournir un portrait précis du marché du travail canadien.
    Date de diffusion : 2023-10-30
Date de modification :