Rapports sur la santé

Warning Consulter la version la plus récente.

Information archivée dans le Web

L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

Une revue à comité de lecture canadienne consacrée à la recherche sur la santé des populations et les services de santé

Décembre 2018

Comparaison de l’activité physique autodéclarée et mesurée par accéléromètre chez les adultes au Canada

par Rachel C. Colley, Gregory Butler, Didier Garriguet, Stephanie A. Prince et Karen C. Roberts

Les Directives canadiennes en matière d’activité physique (les Directives) pour les adultes (⋝ 150 minutes par semaine d’activité physique modérée à vigoureuse [APMV] par tranches de ⋝ 10 minutes) reposent sur de nombreuses données probantes, lesquelles montrent que l’activité physique est associée à un risque moins élevé de maladies chroniques et de mortalité toutes causes confondues. L’utilisation d’appareils permettant de mesurer de manière objective l’activité physique dans le cadre des enquêtes nationales sur la santé de la population au Canada a élargi la portée des solutions envisageables pour la surveillance de l’activité physique. Cependant, le manque de concordance entre l’estimation mesurée et celle autodéclarée en ce qui a trait à l’activité physique pose un défi en matière de surveillance. Les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) de 2016 montrent que près de la moitié des adultes au Canada se considèrent comme au moins modérément actifs durant leurs loisirs, tandis que les données mesurées par accéléromètre de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS) de 2014 à 2015 montrent que seulement 17 % d’entre eux respectent les Directives actuelles. En ce qui a trait à la santé, les écarts entre l’activité physique autodéclarée et celle mesurée par accéléromètre et leur degré d’association posent un autre défi pour ce qui est de concilier les différences entre les méthodes.

Résumé Texte intégral de l'article en HTML Version PDF Communiqué dans Le Quotidien

Autres articles

Comparaison de l’activité physique autodéclarée et mesurée par accéléromètre chez les adultes au Canada

Prévalence de l’insomnie chez les Canadiens âgés de 6 à 79 ans

par Jean-Philippe Chaput, Jessica Yau, Deepa P. Rao et Charles M. Morin

L’insomnie est le trouble du sommeil le plus fréquent et touche une grande partie de la population de manière situationnelle, récurrente ou chronique. L’insomnie se caractérise principalement par une insatisfaction relativement au sommeil et des difficultés à s’endormir ou à demeurer endormi ainsi que par une profonde détresse et une altération du fonctionnement pendant la journée. Une insomnie persistante a été associée à des problèmes de santé, notamment à une réduction de la qualité de vie ainsi qu’à une morbidité physique et psychologique. Au Canada, le fardeau économique individuel associé à l’insomnie est estimé à 5 010 $ par personne par an, près de 90 % de ce montant étant attribué à des coûts indirects, comme l’absentéisme au travail et la réduction de la productivité. Malgré cette prévalence et ce fardeau élevés, l’insomnie n’est souvent pas reconnue ni traitée, du fait des obstacles à son évaluation et à sa gestion. Le besoin de créer des thérapies plus rentables, efficaces et accessibles pour traiter l’insomnie est évident.

Résumé Texte intégral de l'article en HTML Version PDF Communiqué dans Le Quotidien

Autres articles

Prévalence de l’insomnie chez les Canadiens âgés de 6 à 79 ans

Le cancer au Canada : stade au moment du diagnostic

par Shirley Bryan, Huda Masoud, Hannah K. Weir, Ryan Woods, Gina Lockwood, Leah Smith, James Brierley, Mary Gospodarowicz et Nadine Badets

Le stade du cancer est un indicateur important de la progression de la maladie, et il est utilisé pour planifier les programmes de traitement. Des statistiques agrégées sur l’incidence du cancer par stade peuvent être utilisées par les fournisseurs de soins de santé, les chercheurs et les analystes de politiques pour déterminer les tendances en matière de diagnostic par siège de cancer et pour évaluer l’efficacité des programmes de dépistage précoce.

Résumé Texte intégral de l'article en HTML Version PDF Communiqué dans Le Quotidien

Autres articles

Le cancer au Canada : stade au moment du diagnostic

Date de modification :