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- Articles et rapports : 62F0014M2023001Description : Une nouvelle approche pour estimer l’indice des ordinateurs, logiciels et fournitures informatiques et l’indice des dispositifs numériques multifonctionnels, qui sont des sous-composantes de l’indice d’équipement informatique et dispositifs numériques sera apportée au calcul de l’Indice des prix à la consommation. La nouvelle approche inclura une méthodologie améliorée et de nouvelles sources de données.Date de diffusion : 2023-02-21
- Articles et rapports : 62F0014M2022001Description :
L'idée de prévoir l'inflation des prix à la consommation en examinant l'effet de répercussion des prix des étapes antérieures de la production intrigue depuis longtemps. Selon la théorie, les prix des articles de consommation, en particulier les biens, réagissent aux pressions sur les coûts des intrants à la production. Le présent document examine en particulier une partie limitée de la chaîne de valeur, à savoir le pouvoir de prédiction des prix à la consommation des produits tels que mesurés par l'Indice des prix des produits industriels (IPPI) sur les prix à la consommation, tel que mesurés par l'Indice des prix à la consommation (IPC).
Date de diffusion : 2022-02-11 - Articles et rapports : 62F0014M2021017Description :
Les décisions que prennent les agents économiques, comme les entreprises et les consommateurs, sont fondées sur leur perception de l’inflation. L’inflation perçue par les consommateurs est systématiquement plus élevée que l’inflation mesurée par l’Indice des prix à la consommation (IPC), et ce, de manière plus marquée pour certains groupes démographiques. Les facteurs de mesure peuvent expliquer une partie de ces écarts, mais les facteurs comportementaux semblent jouer un rôle plus important. Cet article examine ces facteurs en d’expliquer les écarts entre l’inflation mesurée par l’IPC et les perceptions d’inflation au Canada.
Date de diffusion : 2022-01-19 - 4. Nouvelle approche pour l'estimation de la composante du loyer de l'Indice des prix à la consommation ArchivéArticles et rapports : 62F0014M2019002Description :
Ce document décrit une nouvelle méthodologie que Statistique Canada a adopté pour mesurer l'indice des prix du loyer.
Date de diffusion : 2019-02-27 - Articles et rapports : 11-621-M2007054Géographie : Canada, Province ou territoireDescription :
Dans cette étude, on examine les ventes de véhicules automobiles neufs en 2006. On y rapporte l'évolution des ventes au cours des 15 dernières années selon l'origine du véhicule (construction Nord-Américaine ou à l'étranger). On y offre aussi les résultats d'une analyse des ventes de 2006 de voitures et de camions selon la province de même qu'un survol du nombre de concessionnaires.
Date de diffusion : 2007-04-23 - Articles et rapports : 62F0014M2001015Géographie : CanadaDescription :
L'indice des prix à la consommation (IPC) canadien utilise une version de l'approche du coût d'utilisation afin de mesurer le coût de la propriété d'un logement. Parce que cette approche comporte une estimation spécifique des coûts d'utilisation du logement en propriété et pas de celui qu'assument les locataires, la mesure comprend une composante « coût de remplacement » (ou « dépréciation »). La dépréciation est la seule composante de l'IPC qui ne représente pas un débours. Par conséquent, la mesure de la dépréciation présente aux économistes un ensemble bien particulier de défis méthodologiques.
Entre 1949 et 1997, le taux annuel de dépréciation des logements utilisé dans l'IPC était de 2 %. Statistique Canada a retenu le taux d'une étude renfermant une analyse des données d'évaluation de 1939 de la Federal Housing Administration des États-Unis. La présente étude avance qu'il peut être démontré que le taux de dépréciation de 2 % est trop élevé pour être encore utilisé à l'avenir, parce que : 1) d'autres études canadiennes révèlent une limite supérieure de 1,7 %, avec une médiane de 1,5 %; 2) d'autres organismes statistiques utilisent des taux moindres; 3) toutes les études théoriques des quarante dernières années ont conclu à un taux moindre. Par suite de la présente étude et des justifications à l'appui, le taux de dépréciation dans l'IPC canadien a été ramené à 1,5 % à compter de janvier 1998.
Date de diffusion : 2001-11-28 - 7. Parités de pouvoir d'achat et dépenses réelles, États-Unis et Canada : mise à jour jusqu'à 1998 ArchivéStats en bref : 13-604-M1999036Description :
Les récentes tendances économiques, dont l'accroissement de la mondialisation des échanges (comme le démontrent les nouveaux accords commerciaux), la volatilité des taux de change du marché ainsi qu'un intérêt accru pour les comparaisons internationales du revenu réel et de la productivité suscitent de plus en plus d'intérêt pour les comparaisons entre les pays. Ces comparaisons sont effectuées en termes réels découlant des parités des pouvoirs d'achat (PPA). La relation particulièrement étroite que le Canada entretient avec les États-Unis fait en sorte que l'on s'intéresse aux mesures de prix comparés et de volume entre les deux nations. Cette publication comprend des indices de volume bilatéraux annuels mis à jour du produit intérieur brut (PIB) réel par habitant et ses composantes pour les États-Unis, comparativement au Canada, de même que les PPA qui s'y rattachent.
Date de diffusion : 1999-11-30 - Articles et rapports : 62F0014M1997005Géographie : CanadaDescription :
Depuis 1961, la composante des services de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux de croissance supérieur à la composante des biens. De plus, lorsque certaines des composantes les plus volatiles sont exclues, l'écart entre les deux taux s'élargit. Par exemple, sur cette même période l'inflation tendancielle pour les biens (excluant les aliments et l'énergie) a augmenté à un taux de 4,3% comparativement à 6,1% pour les services (excluant le logement). La littérature propose cinq explications pour le phénomène de la hausse rapide des prix des services. Malgré l'importance et l'attrait de ces éléments pour expliquer l'écart inflationniste ce document se penchera que sur deux. Certains croient que l'inflation des services est en fait une abstraction statistique qui découle du fait que les unités de production des services et par conséquent leurs variations de prix sont parfois difficiles à quantifier. Cette question sera examinée en premier. Il semblerait que le problème de mesure, même s'il est en fait plus réel pour les services, ne peut pas expliquer la totalité de l'écart inflationniste. William Baumol a suggéré l'autre explication, soit une croissance sectorielle inégale qui serait la cause principale de la divergence. Cette explication sera traitée dans la deuxième partie du document. Malgré l'attrait du modèle, l'hypothèse ne tient pas empiriquement.
Date de diffusion : 1999-05-13 - 9. L'inflation des services : pourquoi est-elle plus élevée? Une investigation partielle des causes ArchivéArticles et rapports : 61-532-X19970013505Description :
Depuis un certain nombre d'années, la composante service de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux d'augmentation plus élevé que la composante des biens. De 1961 à 1996 le taux annuel de variation au niveau des prix des services a été de 5,7% par opposition à 4,9% pour celui des biens.
Date de diffusion : 1998-02-02 - Articles et rapports : 13-604-M1993025Description :
Cet article présente deux nouveaux tableaux où figurent des indices de volume du produit intérieur brut (PIB) réel par habitant et de ses agrégats pour le Canada et les États-Unis et les parités de pouvoir d'achat (PPA) connexes. Ces comparaisons internationales des dépenses réelles fondées sur les PPA représentent une addition majeure à la gamme des outils d'analyse macroéconomique. Par exemple, la publication récente, par le Fonds monétaire international (FMI), d'un ensemble d'estimations de la production de divers pays calculées au moyen des PPA a donné une toute autre impression de la part de la production mondiale attribuable aux pays industrialisés par rapport aux pays en voie de développement.
L'analyse fondée sur les PPA, par opposition à l'analyse plus conventionnelle faisant appel aux taux de change, a modifié la mesure de la production des pays de façon sensible. Les comparaisons fondées sur les taux de change peuvent difficilement tenir compte des écarts dans le niveau des prix entre pays, c'est-à-dire des biens et services que l'on peut acheter dans la monnaie d'un pays par rapport à celle d'un autre. En outre, les services ne s'échangent pas autant que les biens, de sorte que leurs prix dans les différents pays n'ont pas tendance à être liés aussi étroitement aux taux de change des devises. Si l'on désire procéder à une comparaison valable de la production totale entre pays, le recours aux PPA devient de plus en plus nécessaire au fur et à mesure que s'accroît la part du secteur des services.
La théorie économique donne à entendre que pour des biens et services produits au pays et faisant l'objet d'échanges internationaux, les PPA et les taux de change auront tendance à s'équivaloir à long terme. Les taux de change peuvent fluctuer grandement à brève échéance et sont influencés par des facteurs comme les déficits, les guerres, les pénuries de carburant et les taux d'intérêt. Le calcul des PPA permet de dégager les écarts réels de prix. En outre, ces mesures sont beaucoup plus stables dans le temps.
Date de diffusion : 1993-11-30
Stats en bref (1)
Stats en bref (1) ((1 résultat))
- 1. Parités de pouvoir d'achat et dépenses réelles, États-Unis et Canada : mise à jour jusqu'à 1998 ArchivéStats en bref : 13-604-M1999036Description :
Les récentes tendances économiques, dont l'accroissement de la mondialisation des échanges (comme le démontrent les nouveaux accords commerciaux), la volatilité des taux de change du marché ainsi qu'un intérêt accru pour les comparaisons internationales du revenu réel et de la productivité suscitent de plus en plus d'intérêt pour les comparaisons entre les pays. Ces comparaisons sont effectuées en termes réels découlant des parités des pouvoirs d'achat (PPA). La relation particulièrement étroite que le Canada entretient avec les États-Unis fait en sorte que l'on s'intéresse aux mesures de prix comparés et de volume entre les deux nations. Cette publication comprend des indices de volume bilatéraux annuels mis à jour du produit intérieur brut (PIB) réel par habitant et ses composantes pour les États-Unis, comparativement au Canada, de même que les PPA qui s'y rattachent.
Date de diffusion : 1999-11-30
Articles et rapports (9)
Articles et rapports (9) ((9 résultats))
- Articles et rapports : 62F0014M2023001Description : Une nouvelle approche pour estimer l’indice des ordinateurs, logiciels et fournitures informatiques et l’indice des dispositifs numériques multifonctionnels, qui sont des sous-composantes de l’indice d’équipement informatique et dispositifs numériques sera apportée au calcul de l’Indice des prix à la consommation. La nouvelle approche inclura une méthodologie améliorée et de nouvelles sources de données.Date de diffusion : 2023-02-21
- Articles et rapports : 62F0014M2022001Description :
L'idée de prévoir l'inflation des prix à la consommation en examinant l'effet de répercussion des prix des étapes antérieures de la production intrigue depuis longtemps. Selon la théorie, les prix des articles de consommation, en particulier les biens, réagissent aux pressions sur les coûts des intrants à la production. Le présent document examine en particulier une partie limitée de la chaîne de valeur, à savoir le pouvoir de prédiction des prix à la consommation des produits tels que mesurés par l'Indice des prix des produits industriels (IPPI) sur les prix à la consommation, tel que mesurés par l'Indice des prix à la consommation (IPC).
Date de diffusion : 2022-02-11 - Articles et rapports : 62F0014M2021017Description :
Les décisions que prennent les agents économiques, comme les entreprises et les consommateurs, sont fondées sur leur perception de l’inflation. L’inflation perçue par les consommateurs est systématiquement plus élevée que l’inflation mesurée par l’Indice des prix à la consommation (IPC), et ce, de manière plus marquée pour certains groupes démographiques. Les facteurs de mesure peuvent expliquer une partie de ces écarts, mais les facteurs comportementaux semblent jouer un rôle plus important. Cet article examine ces facteurs en d’expliquer les écarts entre l’inflation mesurée par l’IPC et les perceptions d’inflation au Canada.
Date de diffusion : 2022-01-19 - 4. Nouvelle approche pour l'estimation de la composante du loyer de l'Indice des prix à la consommation ArchivéArticles et rapports : 62F0014M2019002Description :
Ce document décrit une nouvelle méthodologie que Statistique Canada a adopté pour mesurer l'indice des prix du loyer.
Date de diffusion : 2019-02-27 - Articles et rapports : 11-621-M2007054Géographie : Canada, Province ou territoireDescription :
Dans cette étude, on examine les ventes de véhicules automobiles neufs en 2006. On y rapporte l'évolution des ventes au cours des 15 dernières années selon l'origine du véhicule (construction Nord-Américaine ou à l'étranger). On y offre aussi les résultats d'une analyse des ventes de 2006 de voitures et de camions selon la province de même qu'un survol du nombre de concessionnaires.
Date de diffusion : 2007-04-23 - Articles et rapports : 62F0014M2001015Géographie : CanadaDescription :
L'indice des prix à la consommation (IPC) canadien utilise une version de l'approche du coût d'utilisation afin de mesurer le coût de la propriété d'un logement. Parce que cette approche comporte une estimation spécifique des coûts d'utilisation du logement en propriété et pas de celui qu'assument les locataires, la mesure comprend une composante « coût de remplacement » (ou « dépréciation »). La dépréciation est la seule composante de l'IPC qui ne représente pas un débours. Par conséquent, la mesure de la dépréciation présente aux économistes un ensemble bien particulier de défis méthodologiques.
Entre 1949 et 1997, le taux annuel de dépréciation des logements utilisé dans l'IPC était de 2 %. Statistique Canada a retenu le taux d'une étude renfermant une analyse des données d'évaluation de 1939 de la Federal Housing Administration des États-Unis. La présente étude avance qu'il peut être démontré que le taux de dépréciation de 2 % est trop élevé pour être encore utilisé à l'avenir, parce que : 1) d'autres études canadiennes révèlent une limite supérieure de 1,7 %, avec une médiane de 1,5 %; 2) d'autres organismes statistiques utilisent des taux moindres; 3) toutes les études théoriques des quarante dernières années ont conclu à un taux moindre. Par suite de la présente étude et des justifications à l'appui, le taux de dépréciation dans l'IPC canadien a été ramené à 1,5 % à compter de janvier 1998.
Date de diffusion : 2001-11-28 - Articles et rapports : 62F0014M1997005Géographie : CanadaDescription :
Depuis 1961, la composante des services de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux de croissance supérieur à la composante des biens. De plus, lorsque certaines des composantes les plus volatiles sont exclues, l'écart entre les deux taux s'élargit. Par exemple, sur cette même période l'inflation tendancielle pour les biens (excluant les aliments et l'énergie) a augmenté à un taux de 4,3% comparativement à 6,1% pour les services (excluant le logement). La littérature propose cinq explications pour le phénomène de la hausse rapide des prix des services. Malgré l'importance et l'attrait de ces éléments pour expliquer l'écart inflationniste ce document se penchera que sur deux. Certains croient que l'inflation des services est en fait une abstraction statistique qui découle du fait que les unités de production des services et par conséquent leurs variations de prix sont parfois difficiles à quantifier. Cette question sera examinée en premier. Il semblerait que le problème de mesure, même s'il est en fait plus réel pour les services, ne peut pas expliquer la totalité de l'écart inflationniste. William Baumol a suggéré l'autre explication, soit une croissance sectorielle inégale qui serait la cause principale de la divergence. Cette explication sera traitée dans la deuxième partie du document. Malgré l'attrait du modèle, l'hypothèse ne tient pas empiriquement.
Date de diffusion : 1999-05-13 - 8. L'inflation des services : pourquoi est-elle plus élevée? Une investigation partielle des causes ArchivéArticles et rapports : 61-532-X19970013505Description :
Depuis un certain nombre d'années, la composante service de l'Indice des prix à la consommation (IPC) démontre un taux d'augmentation plus élevé que la composante des biens. De 1961 à 1996 le taux annuel de variation au niveau des prix des services a été de 5,7% par opposition à 4,9% pour celui des biens.
Date de diffusion : 1998-02-02 - Articles et rapports : 13-604-M1993025Description :
Cet article présente deux nouveaux tableaux où figurent des indices de volume du produit intérieur brut (PIB) réel par habitant et de ses agrégats pour le Canada et les États-Unis et les parités de pouvoir d'achat (PPA) connexes. Ces comparaisons internationales des dépenses réelles fondées sur les PPA représentent une addition majeure à la gamme des outils d'analyse macroéconomique. Par exemple, la publication récente, par le Fonds monétaire international (FMI), d'un ensemble d'estimations de la production de divers pays calculées au moyen des PPA a donné une toute autre impression de la part de la production mondiale attribuable aux pays industrialisés par rapport aux pays en voie de développement.
L'analyse fondée sur les PPA, par opposition à l'analyse plus conventionnelle faisant appel aux taux de change, a modifié la mesure de la production des pays de façon sensible. Les comparaisons fondées sur les taux de change peuvent difficilement tenir compte des écarts dans le niveau des prix entre pays, c'est-à-dire des biens et services que l'on peut acheter dans la monnaie d'un pays par rapport à celle d'un autre. En outre, les services ne s'échangent pas autant que les biens, de sorte que leurs prix dans les différents pays n'ont pas tendance à être liés aussi étroitement aux taux de change des devises. Si l'on désire procéder à une comparaison valable de la production totale entre pays, le recours aux PPA devient de plus en plus nécessaire au fur et à mesure que s'accroît la part du secteur des services.
La théorie économique donne à entendre que pour des biens et services produits au pays et faisant l'objet d'échanges internationaux, les PPA et les taux de change auront tendance à s'équivaloir à long terme. Les taux de change peuvent fluctuer grandement à brève échéance et sont influencés par des facteurs comme les déficits, les guerres, les pénuries de carburant et les taux d'intérêt. Le calcul des PPA permet de dégager les écarts réels de prix. En outre, ces mesures sont beaucoup plus stables dans le temps.
Date de diffusion : 1993-11-30
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