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  • Articles et rapports : 81-004-X201000111152
    Description :

    Un groupe de chercheurs ont récemment décidé d'unir leurs efforts pour essayer de comprendre non seulement les facteurs influençant l'accès aux études postsecondaires, mais également les facteurs influençant la persévérance des étudiants au niveau postsecondaire et d'autres questions connexes, à l'aide des données de l'Enquête auprès des jeunes en transition. Cet article présente un résumé de leurs conclusions. Leur recherche indique la nécessité d'adopter un point de vue plus vaste en ce qui a trait aux écarts observés et de tenir compte de l'influence de facteurs tels les aspirations, la motivation, l'engagement académique, les méthodes de travail et les résultats obtenus au niveau secondaire, ainsi que les aptitudes connexes mesurées. En fait, ces facteurs jouent un rôle clé. De plus, la recherche montre que de telles caractéristiques sont plus étroitement liées au niveau d'instruction des parents qu'au revenu familial et que l'acquisition est étalée sur un certain nombre d'années.

    Date de diffusion : 2010-04-29

  • Articles et rapports : 81-595-M2009072
    Géographie : Région géographique du Canada
    Description :

    Le présent rapport fournit de nouvelles données empiriques uniques sur les parcours au niveau postsecondaire dans la région de l'Atlantique qui sont fondées sur celles du Système d'information sur les étudiants postsecondaires (SIEP). L'étude porte sur les étudiants des établissements publics postsecondaires de tous les niveaux - collégial, baccalauréat, maîtrise, doctorat et premier grade professionnel - en mettant l'accent sur ceux inscrits au collégial et au baccalauréat. L'analyse, axée sur les étudiants qui ont commencé de nouveaux programmes au cours de la période allant de 2001 à 2004, a pour objectif de déterminer lesquels, pour chaque année d'études, obtiennent leur diplôme, poursuivent le même programme, changent de programme ou abandonnent leurs études postsecondaires sans obtenir de diplôme. Sont également déterminés le nombre d'étudiants qui interrompent, puis reprennent des études postsecondaires et le nombre d'étudiants qui obtiennent le diplôme d'un programme, puis poursuivent leurs études. Les étudiants visés par l'étude peuvent être suivis longitudinalement tout au long de leur parcours au sein de tout établissement d'enseignement de la région de l'Atlantique, ainsi que d'un établissement à l'autre.

    Le fichier de recherche utilisé pour l'étude a été créé par Statistique Canada en utilisant les données du SIEP provenant de la région de l'Atlantique. L'un des principaux objectifs du SIEP est de fournir des renseignements qui permettent aux chercheurs d'étudier la mobilité et le parcours des étudiants, ainsi que les liens entre ces facteurs et les résultats des étudiants dans le domaine scolaire et sur le marché du travail. Le SIEP est conçu pour contenir l'inventaire complet de tous les établissements d'enseignement postsecondaire canadiens et des programmes et cours qu'ils offrent, ainsi que des renseignements sur les caractéristiques démographiques, les programmes et les cours pour chaque étudiant inscrit dans ces établissements. La région de l'Atlantique participe au SIEP depuis le lancement de ce dernier et, par conséquent, est bien placée pour profiter d'une étude longitudinale fondée sur les données de ce système.

    Le fichier de recherche contient un enregistrement longitudinal pour chaque étudiant de niveau postsecondaire qui a étudié au Canada atlantique à un moment donné entre 2001 et 2004 inclusivement. Le terme « longitudinal » signifie qu'à mesure que l'étudiant progresse dans le système d'enseignement postsecondaire, l'enregistrement du SIEP donne un historique cumulatif de ses activités au niveau postsecondaire. La nature longitudinale de la base de données est l'élément qui permet de procéder à des études statistiques de la mobilité et du parcours des étudiants, ainsi que des liens entre ces facteurs et les résultats des étudiants dans le domaine scolaire et sur le marché du travail. Le fichier contient 337 000 enregistrements d'étudiant.

    Date de diffusion : 2009-02-12

  • Articles et rapports : 11F0019M2008311
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document a pour but d'examiner la variabilité des gains des travailleurs au Canada de 1982 à 2000 selon une approche descriptive graphique à l'aide du fichier de la banque de Données administratives longitudinales. À l'exemple de Gottschalk et Moffitt (1994), nous décomposons la variance totale des gains des travailleurs en une composante « permanente » ou de long terme d'inégalité entre les travailleurs et une composante « transitoire » ou d'instabilité des gains d'une année à l'autre au cours du temps pour des travailleurs particuliers. Nous appliquons la décomposition à une période d'observation mobile de cinq ans. Plusieurs résultats se dégagent de l'analyse. Premièrement, l'accroissement général de la variance totale des gains au cours de la période de référence reflète des profils assez différents d'évolution des composantes individuelles. L'inégalité de long terme des gains a généralement augmenté au cours de la période, tandis que l'instabilité des gains d'une année à l'autre a diminué assez régulièrement. Les variations de la variabilité totale des gains ont été dictées principalement par des variations de l'inégalité de long terme des gains. Deuxièmement, les profils d'évolution des deux composantes de la variance révèlent des différences importantes entre les hommes et les femmes. Depuis le début des années 1990, l'inégalité de long terme des gains n'a cessé de s'accentuer chez les hommes, mais s'est réduite considérablement chez les femmes. Depuis la fin des années 1980, l'instabilité des gains a diminué assez régulièrement chez les femmes, mais a suivi une évolution plus cyclique chez les hommes. Troisièmement, les profils des deux composantes de la variance en fonction de l'âge sont presque opposés. L'inégalité de long terme des gains augmente généralement avec l'âge, si bien qu'elle est beaucoup plus prononcée chez les travailleurs d'âge avancé. Par contre, l'instabilité des gains diminue généralement avec l'âge, de sorte qu'elle est nettement plus grande chez les travailleurs débutants.

    Date de diffusion : 2008-12-18

  • Articles et rapports : 75-001-X200710313184
    Géographie : Canada
    Description :

    Les effets des compétences en littératie et en numératie sur l'employabilité et les revenus des décrocheurs du secondaire sont comparés à ceux qui se rapportent aux diplômés. Une analyse de régression fondée sur les caractéristiques démographiques et les antécédents familiaux de ceux qui abandonnent prématurément les études indique que des compétences accrues en littératie et en numératie accroissent de façon significative la probabilité d'être occupé, le nombre d'heures travaillées et le revenu.

    Date de diffusion : 2007-06-19

  • Articles et rapports : 11F0019M2007292
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document modélise les revenus des hommes et des femmes titulaires d'un baccalauréat au Canada, cinq ans après l'obtention de leur diplôme. Au moyen d'une approche d'effet constant au niveau de l'université, les chercheurs ont observé des variations importantes (constantes) au chapitre des revenus des finissants de différentes universités. La variation des caractéristiques des universités au fil du temps sont mises en corrélation avec la variation des revenus des finissants. L'augmentation du taux d'inscription aux programmes universitaires de premier cycle est liée à une réduction des revenus subséquents des finissants, ce qui laisse supposer une saturation du marché. Chez les hommes, mais pas chez les femmes, les augmentations du rapport professeur-étudiant sont associées à une augmentation appréciable des revenus subséquents des étudiants. Les modèles qui ne tiennent pas compte de la majeure des étudiants affichent une incidence accrue de la variation des caractéristiques des universités, les effets atteignant près du double de leur valeur initiale. Chez les femmes en particulier, la variation de plusieurs caractéristiques des universités est étroitement liée à la variation du choix de majeure. La variation des caractéristiques des universités n'est pas étroitement liée à la probabilité d'avoir un emploi cinq ans après l'obtention du diplôme.

    Date de diffusion : 2007-02-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2007289
    Géographie : Canada
    Description :

    La mesure dans laquelle les travailleurs quittent le pays a suscité un grand débat au Canada - et ailleurs - vers la fin des années 1990, bien que des données empiriques récentes révèlent que, après tout, ce phénomène n'était pas si généralisé et que, ces dernières années, les taux de sortie ont nettement diminué. Il y a cependant un aspect de la dynamique de la mobilité internationale qui n'a pas encore été abordé : celui de l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels. Si les données empiriques manquent à ce sujet, c'est surtout qu'on ne dispose pas du genre de données longitudinales nécessaire à une telle analyse. Notre propos sera de livrer des indications sur l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels grâce à une analyse effectuée avec la Banque de données administratives longitudinales. Les modèles estimés se reportent aux profils prédépart (relatifs) des migrants comme point de comparaison pour l'analyse des tendances des gains (relatifs) postretour afin de tenir compte de toute différence préexistante de profil de gains entre les migrants et les non-migrants (tout en tenant compte d'autres facteurs qui ont une incidence sur les gains individuels en tout temps).

    On constate de façon générale que, à leur retour, les migrants ont des gains supérieurs à ceux des non-migrants; précisons toutefois que la plus grande partie de l'écart existait déjà avant la migration. Au chapitre de la croissance des gains nets, ce sont les gens qui ont séjourné à l'étranger de deux à cinq ans qui obtiennent les meilleurs résultats, leurs gains progressant de 12 % au cours des cinq années suivant leur retour par rapport à la période précédant la migration (une fois pris en compte certains facteurs); les personnes qui partent pour une année seulement connaissent une hausse moins marquée de leurs gains, tandis que les personnes ayant séjourné plus longtemps à l'étranger ont des gains (relatifs) moindres qu'avant leur départ (en raison peut'être d'autres évènements associés à leurs profils de mobilité). Fait à noter, ce sont principalement les personnes qui avaient le niveau de gains le plus bas avant de migrer (moins de 60 000 $) qui semblent profiter de la hausse de gains la plus marquée; dans le cas des personnes dont les gains étaient supérieurs à ce montant, la hausse a été plus faible et plus variable.

    Date de diffusion : 2007-01-18

  • Articles et rapports : 11F0019M2006288
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le présent document, l'auteur tire parti des propriétés uniques de la Banque de données administratives longitudinales construite à partir des dossiers fiscaux pour mesurer les départs des Canadiens vers d'autres pays et examiner leurs profils de retour au cours de la période allant de 1982 à 2003. Dans l'ensemble, environ 0,1 % (c.-à-d. un dixième de 1 %) de la population adulte quitte le pays une année donnée. Les taux de départ ont généralement suivi l'évolution de l'économie canadienne, mais les tendances ont manifestement été attribuables également à d'autres facteurs, diminuant au cours des années 1980 lorsque l'économie était vigoureuse, amorçant une remontée vers la fin de la décennie avant que l'économie ne ralentisse en 1989, connaissant une hausse pendant la première partie des années 1990 lorsque l'économie était engluée dans une profonde récession, puis continuant d'augmenter jusqu'à la fin de 1997, année où une forte reprise était en cours, pour baisser ensuite fortement depuis 2000, endiguant ce que de nombreuses personnes croyaient être une inexorable tendance à la hausse, alors que les facteurs économiques étaient relativement stables. Les taux de départ diminuent avec l'âge (sauf dans le groupe le plus jeune), sont moins élevés pour les couples sans enfants que pour les autres types de familles, sont élevés chez les habitants de la Colombie-Britannique, assez faibles chez les Québécois francophones et très élevés chez les anglophones dans cette province, sont légèrement plus faibles pour les personnes touchant des prestations d'assurance-emploi (auparavant assurance-chômage) et sensiblement plus élevés pour celles aux niveaux de revenu élevés, et sont beaucoup plus élevés dans le cas des nouveaux immigrants. Les taux de départ des personnes aux niveaux de revenu plus élevés ont augmenté durant les années 1990, mais sont revenus à leurs niveaux d'avant les années 1990 ces dernières années dans le cas des hommes mais non dans celui des femmes. Seulement une minorité des personnes qui quittent le pays reviennent un jour, soit environ 15 %, et ce, dans les cinq ans de leur départ. Toutefois, les taux de retour ont considérablement augmenté depuis 2000, reflétant dans une large mesure la tendance affichée par les taux de départ.

    Date de diffusion : 2006-11-17

  • Articles et rapports : 11F0019M2006275
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude vise à évaluer les effets des compétences en littératie et en numératie sur les résultats sur le marché du travail des décrocheurs du secondaire au Canada. Nous avons déterminé que ces compétences ont des répercussions significatives sur la probabilité d'être occupé, ainsi que sur le nombre d'heures et de semaines de travail pour les hommes et pour les femmes, ainsi qu'une forte influence (directe) sur les revenus des hommes, mais pas sur ceux des femmes. Selon ces résultats, le programme d'études secondaires qui permet le développement de compétences en littératie et en numératie pourrait avoir des retombées significatives, même pour ceux qui ne le terminent pas et qui se retrouvent au bas de l'échelle sur le marché du travail. Nos conclusions laissent aussi supposer que les programmes de formation destinés aux décrocheurs pourraient améliorer substantiellement les résultats de ces personnes sur le marché du travail en leur permettant de développer ces compétences de base. Elles ont aussi des répercussions du point de vue de la théorie de la dualité du marché du travail, étant donné qu'on part souvent du principe que le marché secondaire se caractérise par des rendements minimes du capital humain, ce qui va à l'encontre des résultats présentés ici.

    Date de diffusion : 2006-03-27

  • Articles et rapports : 11F0019M2006268
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document porte sur la variabilité des gains des travailleurs au Canada de 1982 à 1997 et sur l'évolution de cette variabilité en fonction du taux de chômage et de la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel durant cette période. En utilisant un grand panel de données fiscales, nous décomposons la variation totale des gains entre les travailleurs et au cours du temps en une composante d'inégalité à long terme entre les travailleurs et une composante d'instabilité des gains moyens de l'ensemble des travailleurs au cours du temps. Nous effectuons l'analyse séparément pour les hommes et pour les femmes, ainsi que pour les participants à long terme au marché du travail et un groupe plus général de travailleurs. Premièrement, nous observons, entre la période allant de 1982 à 1989 et celle allant de 1990 à 1997, une augmentation de la variabilité des gains qui est limitée, en grande partie, aux hommes et sous tendue principalement par l'accroissement de l'inégalité à long terme des gains. Deuxièmement, nous constatons que le profil des effets du taux de chômage et du taux de croissance du PIB sur ces composantes de la variance ne confirment pas les explications classiques des effets du cycle économique sur l'inégalité des gains et évoque un autre paradigme de l'accroissement de l'inégalité des gains à long terme sous l'effet de la croissance économique au cours de cette période. Troisièmement, si nous tenons compte simultanément des effets du taux de chômage et du taux de croissance du PIB, nous constatons que l'amélioration macroéconomique réduit la variabilité globale des gains, car la réduction de leur instabilité supplante l'accroissement général de leur inégalité à long terme.

    Date de diffusion : 2006-02-07

  • Articles et rapports : 11F0019M2006269
    Géographie : Canada
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée : L'effet des conditions macroéconomiques sur l'instabilité et l'inégalité à long terme des gains des travailleurs au Canada.

    Le présent document porte sur la variabilité des gains des travailleurs au Canada de 1982 à 1997 et sur l'évolution de cette variabilité en fonction du taux de chômage et de la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel durant cette période. En utilisant un grand panel de données fiscales, nous décomposons la variation totale des gains entre les travailleurs et au cours du temps en une composante d'inégalité à long terme entre les travailleurs et une composante d'instabilité des gains moyens de l'ensemble des travailleurs au cours du temps. Nous effectuons l'analyse séparément pour les hommes et pour les femmes, ainsi que pour les participants à long terme au marché du travail et un groupe plus général de travailleurs. Premièrement, nous observons, entre la période allant de 1982 à 1989 et celle allant de 1990 à 1997, une augmentation de la variabilité des gains qui est limitée, en grande partie, aux hommes et sous tendue principalement par l'accroissement de l'inégalité à long terme des gains. Deuxièmement, nous constatons que le profil des effets du taux de chômage et du taux de croissance du PIB sur ces composantes de la variance ne confirment pas les explications classiques des effets du cycle économique sur l'inégalité des gains et évoque un autre paradigme de l'accroissement de l'inégalité des gains à long terme sous l'effet de la croissance économique au cours de cette période. Troisièmement, si nous tenons compte simultanément des effets du taux de chômage et du taux de croissance du PIB, nous constatons que l'amélioration macroéconomique réduit la variabilité globale des gains, car la réduction de leur instabilité supplante l'accroissement général de leur inégalité à long terme.

    Date de diffusion : 2006-02-07
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  • Articles et rapports : 81-004-X201000111152
    Description :

    Un groupe de chercheurs ont récemment décidé d'unir leurs efforts pour essayer de comprendre non seulement les facteurs influençant l'accès aux études postsecondaires, mais également les facteurs influençant la persévérance des étudiants au niveau postsecondaire et d'autres questions connexes, à l'aide des données de l'Enquête auprès des jeunes en transition. Cet article présente un résumé de leurs conclusions. Leur recherche indique la nécessité d'adopter un point de vue plus vaste en ce qui a trait aux écarts observés et de tenir compte de l'influence de facteurs tels les aspirations, la motivation, l'engagement académique, les méthodes de travail et les résultats obtenus au niveau secondaire, ainsi que les aptitudes connexes mesurées. En fait, ces facteurs jouent un rôle clé. De plus, la recherche montre que de telles caractéristiques sont plus étroitement liées au niveau d'instruction des parents qu'au revenu familial et que l'acquisition est étalée sur un certain nombre d'années.

    Date de diffusion : 2010-04-29

  • Articles et rapports : 81-595-M2009072
    Géographie : Région géographique du Canada
    Description :

    Le présent rapport fournit de nouvelles données empiriques uniques sur les parcours au niveau postsecondaire dans la région de l'Atlantique qui sont fondées sur celles du Système d'information sur les étudiants postsecondaires (SIEP). L'étude porte sur les étudiants des établissements publics postsecondaires de tous les niveaux - collégial, baccalauréat, maîtrise, doctorat et premier grade professionnel - en mettant l'accent sur ceux inscrits au collégial et au baccalauréat. L'analyse, axée sur les étudiants qui ont commencé de nouveaux programmes au cours de la période allant de 2001 à 2004, a pour objectif de déterminer lesquels, pour chaque année d'études, obtiennent leur diplôme, poursuivent le même programme, changent de programme ou abandonnent leurs études postsecondaires sans obtenir de diplôme. Sont également déterminés le nombre d'étudiants qui interrompent, puis reprennent des études postsecondaires et le nombre d'étudiants qui obtiennent le diplôme d'un programme, puis poursuivent leurs études. Les étudiants visés par l'étude peuvent être suivis longitudinalement tout au long de leur parcours au sein de tout établissement d'enseignement de la région de l'Atlantique, ainsi que d'un établissement à l'autre.

    Le fichier de recherche utilisé pour l'étude a été créé par Statistique Canada en utilisant les données du SIEP provenant de la région de l'Atlantique. L'un des principaux objectifs du SIEP est de fournir des renseignements qui permettent aux chercheurs d'étudier la mobilité et le parcours des étudiants, ainsi que les liens entre ces facteurs et les résultats des étudiants dans le domaine scolaire et sur le marché du travail. Le SIEP est conçu pour contenir l'inventaire complet de tous les établissements d'enseignement postsecondaire canadiens et des programmes et cours qu'ils offrent, ainsi que des renseignements sur les caractéristiques démographiques, les programmes et les cours pour chaque étudiant inscrit dans ces établissements. La région de l'Atlantique participe au SIEP depuis le lancement de ce dernier et, par conséquent, est bien placée pour profiter d'une étude longitudinale fondée sur les données de ce système.

    Le fichier de recherche contient un enregistrement longitudinal pour chaque étudiant de niveau postsecondaire qui a étudié au Canada atlantique à un moment donné entre 2001 et 2004 inclusivement. Le terme « longitudinal » signifie qu'à mesure que l'étudiant progresse dans le système d'enseignement postsecondaire, l'enregistrement du SIEP donne un historique cumulatif de ses activités au niveau postsecondaire. La nature longitudinale de la base de données est l'élément qui permet de procéder à des études statistiques de la mobilité et du parcours des étudiants, ainsi que des liens entre ces facteurs et les résultats des étudiants dans le domaine scolaire et sur le marché du travail. Le fichier contient 337 000 enregistrements d'étudiant.

    Date de diffusion : 2009-02-12

  • Articles et rapports : 11F0019M2008311
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document a pour but d'examiner la variabilité des gains des travailleurs au Canada de 1982 à 2000 selon une approche descriptive graphique à l'aide du fichier de la banque de Données administratives longitudinales. À l'exemple de Gottschalk et Moffitt (1994), nous décomposons la variance totale des gains des travailleurs en une composante « permanente » ou de long terme d'inégalité entre les travailleurs et une composante « transitoire » ou d'instabilité des gains d'une année à l'autre au cours du temps pour des travailleurs particuliers. Nous appliquons la décomposition à une période d'observation mobile de cinq ans. Plusieurs résultats se dégagent de l'analyse. Premièrement, l'accroissement général de la variance totale des gains au cours de la période de référence reflète des profils assez différents d'évolution des composantes individuelles. L'inégalité de long terme des gains a généralement augmenté au cours de la période, tandis que l'instabilité des gains d'une année à l'autre a diminué assez régulièrement. Les variations de la variabilité totale des gains ont été dictées principalement par des variations de l'inégalité de long terme des gains. Deuxièmement, les profils d'évolution des deux composantes de la variance révèlent des différences importantes entre les hommes et les femmes. Depuis le début des années 1990, l'inégalité de long terme des gains n'a cessé de s'accentuer chez les hommes, mais s'est réduite considérablement chez les femmes. Depuis la fin des années 1980, l'instabilité des gains a diminué assez régulièrement chez les femmes, mais a suivi une évolution plus cyclique chez les hommes. Troisièmement, les profils des deux composantes de la variance en fonction de l'âge sont presque opposés. L'inégalité de long terme des gains augmente généralement avec l'âge, si bien qu'elle est beaucoup plus prononcée chez les travailleurs d'âge avancé. Par contre, l'instabilité des gains diminue généralement avec l'âge, de sorte qu'elle est nettement plus grande chez les travailleurs débutants.

    Date de diffusion : 2008-12-18

  • Articles et rapports : 75-001-X200710313184
    Géographie : Canada
    Description :

    Les effets des compétences en littératie et en numératie sur l'employabilité et les revenus des décrocheurs du secondaire sont comparés à ceux qui se rapportent aux diplômés. Une analyse de régression fondée sur les caractéristiques démographiques et les antécédents familiaux de ceux qui abandonnent prématurément les études indique que des compétences accrues en littératie et en numératie accroissent de façon significative la probabilité d'être occupé, le nombre d'heures travaillées et le revenu.

    Date de diffusion : 2007-06-19

  • Articles et rapports : 11F0019M2007292
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document modélise les revenus des hommes et des femmes titulaires d'un baccalauréat au Canada, cinq ans après l'obtention de leur diplôme. Au moyen d'une approche d'effet constant au niveau de l'université, les chercheurs ont observé des variations importantes (constantes) au chapitre des revenus des finissants de différentes universités. La variation des caractéristiques des universités au fil du temps sont mises en corrélation avec la variation des revenus des finissants. L'augmentation du taux d'inscription aux programmes universitaires de premier cycle est liée à une réduction des revenus subséquents des finissants, ce qui laisse supposer une saturation du marché. Chez les hommes, mais pas chez les femmes, les augmentations du rapport professeur-étudiant sont associées à une augmentation appréciable des revenus subséquents des étudiants. Les modèles qui ne tiennent pas compte de la majeure des étudiants affichent une incidence accrue de la variation des caractéristiques des universités, les effets atteignant près du double de leur valeur initiale. Chez les femmes en particulier, la variation de plusieurs caractéristiques des universités est étroitement liée à la variation du choix de majeure. La variation des caractéristiques des universités n'est pas étroitement liée à la probabilité d'avoir un emploi cinq ans après l'obtention du diplôme.

    Date de diffusion : 2007-02-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2007289
    Géographie : Canada
    Description :

    La mesure dans laquelle les travailleurs quittent le pays a suscité un grand débat au Canada - et ailleurs - vers la fin des années 1990, bien que des données empiriques récentes révèlent que, après tout, ce phénomène n'était pas si généralisé et que, ces dernières années, les taux de sortie ont nettement diminué. Il y a cependant un aspect de la dynamique de la mobilité internationale qui n'a pas encore été abordé : celui de l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels. Si les données empiriques manquent à ce sujet, c'est surtout qu'on ne dispose pas du genre de données longitudinales nécessaire à une telle analyse. Notre propos sera de livrer des indications sur l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels grâce à une analyse effectuée avec la Banque de données administratives longitudinales. Les modèles estimés se reportent aux profils prédépart (relatifs) des migrants comme point de comparaison pour l'analyse des tendances des gains (relatifs) postretour afin de tenir compte de toute différence préexistante de profil de gains entre les migrants et les non-migrants (tout en tenant compte d'autres facteurs qui ont une incidence sur les gains individuels en tout temps).

    On constate de façon générale que, à leur retour, les migrants ont des gains supérieurs à ceux des non-migrants; précisons toutefois que la plus grande partie de l'écart existait déjà avant la migration. Au chapitre de la croissance des gains nets, ce sont les gens qui ont séjourné à l'étranger de deux à cinq ans qui obtiennent les meilleurs résultats, leurs gains progressant de 12 % au cours des cinq années suivant leur retour par rapport à la période précédant la migration (une fois pris en compte certains facteurs); les personnes qui partent pour une année seulement connaissent une hausse moins marquée de leurs gains, tandis que les personnes ayant séjourné plus longtemps à l'étranger ont des gains (relatifs) moindres qu'avant leur départ (en raison peut'être d'autres évènements associés à leurs profils de mobilité). Fait à noter, ce sont principalement les personnes qui avaient le niveau de gains le plus bas avant de migrer (moins de 60 000 $) qui semblent profiter de la hausse de gains la plus marquée; dans le cas des personnes dont les gains étaient supérieurs à ce montant, la hausse a été plus faible et plus variable.

    Date de diffusion : 2007-01-18

  • Articles et rapports : 11F0019M2006288
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le présent document, l'auteur tire parti des propriétés uniques de la Banque de données administratives longitudinales construite à partir des dossiers fiscaux pour mesurer les départs des Canadiens vers d'autres pays et examiner leurs profils de retour au cours de la période allant de 1982 à 2003. Dans l'ensemble, environ 0,1 % (c.-à-d. un dixième de 1 %) de la population adulte quitte le pays une année donnée. Les taux de départ ont généralement suivi l'évolution de l'économie canadienne, mais les tendances ont manifestement été attribuables également à d'autres facteurs, diminuant au cours des années 1980 lorsque l'économie était vigoureuse, amorçant une remontée vers la fin de la décennie avant que l'économie ne ralentisse en 1989, connaissant une hausse pendant la première partie des années 1990 lorsque l'économie était engluée dans une profonde récession, puis continuant d'augmenter jusqu'à la fin de 1997, année où une forte reprise était en cours, pour baisser ensuite fortement depuis 2000, endiguant ce que de nombreuses personnes croyaient être une inexorable tendance à la hausse, alors que les facteurs économiques étaient relativement stables. Les taux de départ diminuent avec l'âge (sauf dans le groupe le plus jeune), sont moins élevés pour les couples sans enfants que pour les autres types de familles, sont élevés chez les habitants de la Colombie-Britannique, assez faibles chez les Québécois francophones et très élevés chez les anglophones dans cette province, sont légèrement plus faibles pour les personnes touchant des prestations d'assurance-emploi (auparavant assurance-chômage) et sensiblement plus élevés pour celles aux niveaux de revenu élevés, et sont beaucoup plus élevés dans le cas des nouveaux immigrants. Les taux de départ des personnes aux niveaux de revenu plus élevés ont augmenté durant les années 1990, mais sont revenus à leurs niveaux d'avant les années 1990 ces dernières années dans le cas des hommes mais non dans celui des femmes. Seulement une minorité des personnes qui quittent le pays reviennent un jour, soit environ 15 %, et ce, dans les cinq ans de leur départ. Toutefois, les taux de retour ont considérablement augmenté depuis 2000, reflétant dans une large mesure la tendance affichée par les taux de départ.

    Date de diffusion : 2006-11-17

  • Articles et rapports : 11F0019M2006275
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude vise à évaluer les effets des compétences en littératie et en numératie sur les résultats sur le marché du travail des décrocheurs du secondaire au Canada. Nous avons déterminé que ces compétences ont des répercussions significatives sur la probabilité d'être occupé, ainsi que sur le nombre d'heures et de semaines de travail pour les hommes et pour les femmes, ainsi qu'une forte influence (directe) sur les revenus des hommes, mais pas sur ceux des femmes. Selon ces résultats, le programme d'études secondaires qui permet le développement de compétences en littératie et en numératie pourrait avoir des retombées significatives, même pour ceux qui ne le terminent pas et qui se retrouvent au bas de l'échelle sur le marché du travail. Nos conclusions laissent aussi supposer que les programmes de formation destinés aux décrocheurs pourraient améliorer substantiellement les résultats de ces personnes sur le marché du travail en leur permettant de développer ces compétences de base. Elles ont aussi des répercussions du point de vue de la théorie de la dualité du marché du travail, étant donné qu'on part souvent du principe que le marché secondaire se caractérise par des rendements minimes du capital humain, ce qui va à l'encontre des résultats présentés ici.

    Date de diffusion : 2006-03-27

  • Articles et rapports : 11F0019M2006268
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document porte sur la variabilité des gains des travailleurs au Canada de 1982 à 1997 et sur l'évolution de cette variabilité en fonction du taux de chômage et de la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel durant cette période. En utilisant un grand panel de données fiscales, nous décomposons la variation totale des gains entre les travailleurs et au cours du temps en une composante d'inégalité à long terme entre les travailleurs et une composante d'instabilité des gains moyens de l'ensemble des travailleurs au cours du temps. Nous effectuons l'analyse séparément pour les hommes et pour les femmes, ainsi que pour les participants à long terme au marché du travail et un groupe plus général de travailleurs. Premièrement, nous observons, entre la période allant de 1982 à 1989 et celle allant de 1990 à 1997, une augmentation de la variabilité des gains qui est limitée, en grande partie, aux hommes et sous tendue principalement par l'accroissement de l'inégalité à long terme des gains. Deuxièmement, nous constatons que le profil des effets du taux de chômage et du taux de croissance du PIB sur ces composantes de la variance ne confirment pas les explications classiques des effets du cycle économique sur l'inégalité des gains et évoque un autre paradigme de l'accroissement de l'inégalité des gains à long terme sous l'effet de la croissance économique au cours de cette période. Troisièmement, si nous tenons compte simultanément des effets du taux de chômage et du taux de croissance du PIB, nous constatons que l'amélioration macroéconomique réduit la variabilité globale des gains, car la réduction de leur instabilité supplante l'accroissement général de leur inégalité à long terme.

    Date de diffusion : 2006-02-07

  • Articles et rapports : 11F0019M2006269
    Géographie : Canada
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée : L'effet des conditions macroéconomiques sur l'instabilité et l'inégalité à long terme des gains des travailleurs au Canada.

    Le présent document porte sur la variabilité des gains des travailleurs au Canada de 1982 à 1997 et sur l'évolution de cette variabilité en fonction du taux de chômage et de la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel durant cette période. En utilisant un grand panel de données fiscales, nous décomposons la variation totale des gains entre les travailleurs et au cours du temps en une composante d'inégalité à long terme entre les travailleurs et une composante d'instabilité des gains moyens de l'ensemble des travailleurs au cours du temps. Nous effectuons l'analyse séparément pour les hommes et pour les femmes, ainsi que pour les participants à long terme au marché du travail et un groupe plus général de travailleurs. Premièrement, nous observons, entre la période allant de 1982 à 1989 et celle allant de 1990 à 1997, une augmentation de la variabilité des gains qui est limitée, en grande partie, aux hommes et sous tendue principalement par l'accroissement de l'inégalité à long terme des gains. Deuxièmement, nous constatons que le profil des effets du taux de chômage et du taux de croissance du PIB sur ces composantes de la variance ne confirment pas les explications classiques des effets du cycle économique sur l'inégalité des gains et évoque un autre paradigme de l'accroissement de l'inégalité des gains à long terme sous l'effet de la croissance économique au cours de cette période. Troisièmement, si nous tenons compte simultanément des effets du taux de chômage et du taux de croissance du PIB, nous constatons que l'amélioration macroéconomique réduit la variabilité globale des gains, car la réduction de leur instabilité supplante l'accroissement général de leur inégalité à long terme.

    Date de diffusion : 2006-02-07
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