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  • Articles et rapports : 36-28-0001202201100003
    Description :

    Une mise à pied permanente, c’est-à-dire une perte d’emploi non suivie d’une réembauche dans l’entreprise au cours de la même année ou de la suivante, affecte souvent les finances des travailleurs licenciés durant plusieurs années. S’appuyant sur des données du Fichier de données longitudinales sur la main-d’œuvre, du Système d’information sur les étudiants postsecondaires, du Recensement de la population de 2006 et du Fichier des familles T1, l’étude examine la mesure dans laquelle le fait de s’inscrire à des programmes courts axés sur la carrière ou à des programmes de formation autodidactique — ou d’obtenir un diplôme dans ces programmes — est associé à des tendances plus favorables en matière de perception de revenus après une perte d’emploi par rapport au fait de ne s’inscrire à aucun programme.

    Date de diffusion : 2022-11-23

  • Articles et rapports : 11F0019M2012346
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans la présente étude, on examine les pertes de gains à long terme des travailleurs mis à pied au début des années 1990 et au début des années 2000, à partir de données du Fichier de données longitudinales sur la main d'oeuvre (FDLMO) de Statistique Canada. Contrairement aux études antérieures, dont de nombreuses sont axées sur des échantillons restreints, la présente étude compare les pertes de gains de tous les groupes de travailleurs déplacés ayant une participation stable au marché du travail avant leur mise à pied. L'étude montre qu'en mettant l'accent uniquement sur les travailleurs mis à pied ayant beaucoup d'ancienneté ou les travailleurs mis à pied par suite de fermetures d'entreprises, on exclut au moins les deux tiers des travailleurs canadiens déplacés ayant une participation stable au marché du travail.

    Date de diffusion : 2012-11-29

  • Articles et rapports : 11-622-M2012023
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude porte sur le processus amenant les migrants à réaliser des gains salariaux à la suite de leur migration; l'examen porte plus particulièrement sur l'avantage associé à la migration vers des marchés du travail métropolitains dynamiques et de grande taille, Toronto servant à cet égard de point de référence. On peut observer deux profils de gains distincts associés à la migration. Le premier correspond à une augmentation immédiate du revenu du travailleur à la suite de la migration. Le second consiste en une progression accélérée du revenu après la migration. Le gain immédiat est associé à l'obtention d'un poste au sein d'une entreprise plus productive, ou encore à un meilleur appariement entre les compétences et habiletés du travailleur et les tâches associées à son poste. L'accélération du gain de revenu est pour sa part rattachée à des processus qui exigent un certain temps, par exemple l'apprentissage ou le changement d'emploi au fil de la recherche d'une plus grande compatibilité entre travailleurs et entreprises. Notre évaluation porte ici sur l'hypothèse que les économies reliées aux grandes régions métropolitaines permettent aux travailleurs de profiter au départ d'un avantage découlant d'une hausse ponctuelle de productivité et/ou d'un processus dynamique permettant d'accélérer la progression de leur revenu grâce à l'apprentissage et à un meilleur appariement. Divers ensembles de données et méthodologies, y compris la méthode de l'appariement par scores de propension, servent à évaluer les profils de progression du revenu associés à la migration à Toronto.

    Date de diffusion : 2012-05-03

  • Articles et rapports : 11F0019M2011339
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude porte sur la manière dont le risque de perte d'emploi et les pertes de revenu à court terme des travailleurs mis à pied ont évolué entre la fin des années 1970 et le milieu des années 2000.

    Date de diffusion : 2011-12-15

  • Articles et rapports : 75-001-X200811013218
    Géographie : Canada
    Description :

    La migration interprovinciale est une composante importante du changement démographique au Canada. Elle influe également sur l'offre de services publics et les revenus fiscaux, le rendement et l'efficacité du marché du travail et la productivité. Comme on pourrait s'y attendre, les gens migrent généralement des provinces ayant un marché du travail local stagnant vers les provinces ayant de meilleures perspectives de marché du travail. L'amélioration des conditions et des perspectives du marché du travail réduit les taux d'émigration internes. Les migrants ont également enregistré une meilleure croissance des gains que les non-migrants, tout spécialement chez les jeunes.

    Date de diffusion : 2008-12-18

  • Articles et rapports : 11F0019M2008304
    Géographie : Canada
    Description :

    À l'aide d'un vaste ensemble de données longitudinales canadiennes, nous examinons si, en réaction au licenciement que subissent les maris, les gains des femmes et des adolescents augmentent. Dans le cas des adolescents, nous ne relevons pour ainsi dire aucun indice d'un « effet de travailleur supplémentaire », mais nous constatons que, dans le cas des familles sans enfants en âge de travailler, les gains des épouses compensent au cinquième environ la perte de revenu du travail des époux cinq ans après leur licenciement.

    Nous comparons aussi les pertes correspondantes à long terme des maris et des hommes seuls. Le premier de ces groupes peut être géographiquement moins mobile que le second, mais nous pouvons voir que l'un et l'autre essuient à long terme à peu près les mêmes pertes de revenu du travail. On doit ajouter que les pertes de revenu (avant et après impôt) sont très semblables d'un groupe à l'autre. Toutefois, comme les hommes seuls ont un revenu bien moindre avant leur licenciement, le choc en revenu relatif est bien plus grand pour eux que pour les maris licenciés (et leur famille)

    Date de diffusion : 2008-02-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2007302
    Géographie : Canada
    Description :

    Le secteur de la technologie de pointe a été l'une des principales sources de la reprise économique au Canada à la fin des années 1990. Il est bien connu que le vent a tourné soudainement en 2001, lorsque la tendance ascendante de l'emploi et des gains dans ce secteur s'est brusquement interrompue, même si le reste de l'économie continuait de marquer des gains. Les statistiques sur l'emploi et les gains sont édifiantes, mais elles ne présentent pas de façon exhaustive la gravité de la débâcle du secteur de la technologie de pointe. Le recul de l'emploi peut avoir pour cause la baisse de l'embauchage et l'attrition naturelle plutôt que les mises à pied, tandis qu'une réduction des gains des travailleurs de la haute technologie n'en dit pas long sur le sort des travailleurs mis à pied qui n'ont pas pu trouver un nouvel emploi dans le secteur de la technologie de pointe. Dans la présente étude, nous utilisons une source de données administratives unique en son genre pour combler ces lacunes de notre connaissance de la débâcle du secteur de la technologie de pointe. En particulier, dans cette étude, nous nous penchons sur les mises à pied permanentes du secteur ainsi que sur les pertes de gains des travailleurs mis à pied. D'après nos constatations, la débâcle du secteur de la technologie de pointe a provoqué une augmentation soudaine et spectaculaire de la probabilité de l'incidence d'une mise à pied permanente, qui a plus que quadruplé dans le secteur de la fabrication de 2000 à 2001. En particulier, les travailleurs de l'industrie à Ottawa-Gatineau ont été durement touchés, puisque le taux de mise à pied permanente a grimpé d'un facteur de 11 de 2000 à 2001. En outre, les travailleurs de la fabrication de produits de technologie de pointe qui ont été mis à pied et qui ont trouvé un nouvel emploi ont vu leurs gains chuter de façon marquée. Cette réduction des gains était de beaucoup supérieure à celle qu'a connue tout autre groupe de travailleurs mis à pied, notamment les travailleurs qui avaient été mis à pied pendant la reprise économique dite sans emploi des années 1990. Parmi les travailleurs de la technologie de pointe qui ont trouvé un nouvel emploi, environ quatre sur cinq n'en ont pas décroché dans le secteur de la technologie de pointe et environ un travailleur sur trois a déménagé dans une autre ville. À Ottawa-Gatineau, de nombreux anciens employés du secteur de la technologie de pointe ont décroché des emplois dans l'administration fédérale. Toutefois, environ deux travailleurs de la haute technologie sur cinq qui ont été mis à pied ont quitté la ville.

    Date de diffusion : 2007-07-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2007289
    Géographie : Canada
    Description :

    La mesure dans laquelle les travailleurs quittent le pays a suscité un grand débat au Canada - et ailleurs - vers la fin des années 1990, bien que des données empiriques récentes révèlent que, après tout, ce phénomène n'était pas si généralisé et que, ces dernières années, les taux de sortie ont nettement diminué. Il y a cependant un aspect de la dynamique de la mobilité internationale qui n'a pas encore été abordé : celui de l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels. Si les données empiriques manquent à ce sujet, c'est surtout qu'on ne dispose pas du genre de données longitudinales nécessaire à une telle analyse. Notre propos sera de livrer des indications sur l'incidence de cette sortie et de ce retour migratoires sur les gains individuels grâce à une analyse effectuée avec la Banque de données administratives longitudinales. Les modèles estimés se reportent aux profils prédépart (relatifs) des migrants comme point de comparaison pour l'analyse des tendances des gains (relatifs) postretour afin de tenir compte de toute différence préexistante de profil de gains entre les migrants et les non-migrants (tout en tenant compte d'autres facteurs qui ont une incidence sur les gains individuels en tout temps).

    On constate de façon générale que, à leur retour, les migrants ont des gains supérieurs à ceux des non-migrants; précisons toutefois que la plus grande partie de l'écart existait déjà avant la migration. Au chapitre de la croissance des gains nets, ce sont les gens qui ont séjourné à l'étranger de deux à cinq ans qui obtiennent les meilleurs résultats, leurs gains progressant de 12 % au cours des cinq années suivant leur retour par rapport à la période précédant la migration (une fois pris en compte certains facteurs); les personnes qui partent pour une année seulement connaissent une hausse moins marquée de leurs gains, tandis que les personnes ayant séjourné plus longtemps à l'étranger ont des gains (relatifs) moindres qu'avant leur départ (en raison peut'être d'autres évènements associés à leurs profils de mobilité). Fait à noter, ce sont principalement les personnes qui avaient le niveau de gains le plus bas avant de migrer (moins de 60 000 $) qui semblent profiter de la hausse de gains la plus marquée; dans le cas des personnes dont les gains étaient supérieurs à ce montant, la hausse a été plus faible et plus variable.

    Date de diffusion : 2007-01-18

  • Articles et rapports : 11F0019M2007291
    Géographie : Canada
    Description :

    En utilisant le Fichier de données longitudinales sur la main d'oeuvre de Statistique Canada, nous examinons les pertes de gains à court et à long terme concernant un important échantillon (10 %) de travailleurs canadiens qui ont perdu leur emploi en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif à la fin des années 1980 et dans les années 1990. L'utilisation d'un échantillon représentatif à l'échelon national nous permet d'étudier la façon dont les pertes de gains varient selon le groupe d'âge, le sexe, l'industrie et la taille des entreprises. De plus, nous effectuons des analyses distinctes concernant les travailleurs déplacés uniquement en raison de la fermeture d'une entreprise et concernant un échantillon élargi de travailleurs déplacés en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif. Nous avons surtout constaté que, tandis que les pertes moyennes de gains à long terme subies par les travailleurs déplacés en raison de la fermeture d'une entreprise ou d'un licenciement collectif sont importantes, celles qu'essuient les travailleurs déplacés ayant beaucoup d'ancienneté semblent être encore plus considérables. Comme l'ont constaté aussi Jacobson, Lalonde et Sullivan (1993) aux États-Unis, les travailleurs de sexe masculin possédant beaucoup d'ancienneté subissent des pertes de gains à long terme représentant entre 18 % et 35 % de leurs gains avant déplacement. Dans le cas des femmes, les estimations varient de 24 % à 35 %.

    Date de diffusion : 2007-01-16

  • Articles et rapports : 75-001-X200310313087
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cet article, on traite de l'activité des mères sur le marché du travail, avant et après la modification du Programme d'emploi et d'assurance adoptée en 2000. Cette modification permet aux parents qui travaillent de prendre soin de leur nouveau-né pendant une plus longue période tout en garantissant leur retour sur le marché du travail.

    Date de diffusion : 2003-06-18
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Analyses (17)

Analyses (17) (10 à 20 de 17 résultats)

  • Articles et rapports : 75-001-X20010105960
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude permet d'examiner ce qu'il advient après une mise à pied permanente d'un emploi à temps plein. Combien de temps faut-il mettre pour trouver un nouvel emploi? Quels sont les facteurs qui affectent la durée de la période sans emploi? Parmi ceux qui ont trouvé un nouvel emploi, quel est l'écart salarial entre le nouvel emploi et l'ancien? Quels facteurs influent sur cet écart?

    Date de diffusion : 2001-10-25

  • Articles et rapports : 11F0019M2001163
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document fait état des résultats d'une recherche empirique sur l'incidence de la migration interprovinciale sur les gains des particuliers axée sur la Banque de données administratives longitudinales (BDAL), disponible depuis peu. Les principaux résultats sont fondés sur un modèle des différences qui permet d'estimer l'incidence de la mobilité sur les gains (fonction logarithmique); ce modèle neutralise implicitement les niveaux initiaux de gains et d'autres effets constants de même que d'autres influences intégrées aux variables explicatives des modèles. Les résultats révèlent que la mobilité interprovinciale est associée à une modification statistiquement significative et, dans de nombreux cas, quantitativement importante des gains des particuliers, ces effets variant selon l'âge, le sexe et la province d'origine. Les profils des gains antérieurs et postérieurs au déménagement sont également analysés et tendent à confirmer la validité du modèle des différences dans la mesure où les migrants intègrent rapidement le marché local du travail après un déménagement. Nous discutons les répercussions et proposons des orientations possibles pour des recherches ultérieures.

    Date de diffusion : 2001-10-25

  • Articles et rapports : 11F0019M2001155
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.

    Date de diffusion : 2001-04-04

  • Articles et rapports : 11F0019M2000142
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article aborde le sujet de la migration interprovinciale en fonction de la question fondamentale suivante : « Qui sont les migrants? » Des modèles logits par panel de la probabilité de migrer d'une année à l'autre sont estimés au moyen d'échantillons tirés de la Banque de données administratives longitudinales, couvrant la période 1982-1995. Parmi les variables explicatives, notons les facteurs « environnementaux », les caractéristiques personnelles, les attributs du marché du travail et une série de variables relatives à l'année. Des modèles distincts ont été estimés pour huit groupes d'âge-sexe.

    Les principaux résultats sont les suivants : i) les taux de migration sont inversement associés à la taille de la province, ce qui traduit vraisemblablement la conjoncture économique, les effets d'échelle du marché du travail et la simple distance géographique; la langue tient également un rôle important à cet égard; ii) les personnes vivant dans les petits centres urbains, les petites villes et, plus particulièrement, dans les régions rurales sont moins susceptibles de migrer que les résidents de grands centres urbains; iii) l'âge, le fait d'être marié et la présence d'enfants sont négativement associés à la mobilité, tant pour les hommes que pour les femmes; iv) la migration est positivement liée au taux de chômage provincial, à la perception de prestations d'assurance-emploi (sauf dans le cas des hommes à l'âge d'entrée), à des revenus d'emploi nuls (sauf dans le cas des hommes et des femmes à l'âge d'entrée) et à la perception de prestations d'aide sociale (notamment chez les hommes); v) abstraction faite des revenus nuls, la migration est positivement liée aux niveaux de revenu pour les hommes d'âge moyen et mûr, mais non pour les autres, et ces effets sont généralement peu prononcés (les autres facteurs étant neutralisés); vi) on n'observe pas de variations très marquées des taux de migration au fil des ans; néanmoins, les taux de migration des hommes ont légèrement fléchi au cours des années 1990, tandis que, chez les femmes (exception faite des femmes à l'âge d'entrée), ces taux sont généralement restés stables ou ont augmenté légèrement, ce qui indique une divergence des tendances selon le sexe.

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 75-001-X20000025072
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article examine la preuve empirique disponible relative à l'«exode de cerveaux» que subit le Canada - la perte de travailleurs du savoir vers les États-Unis. Il traite également du gain du Canada en la matière - l'apport des travailleurs du savoir en provenance du reste du monde. (Adapté d'un article paru dans la Revue trimestrielle de l'éducation, printemps 2000.)

    Date de diffusion : 2000-06-07

  • Articles et rapports : 11F0019M2000148
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous avons généralement l'impression que le marché du travail des années 1990 a été unique. Il a été caractérisé par des notions comme « rationalisation », « révolution technologique », « économie fondée sur le savoir », « plus grande instabilité d'emploi », etc. Nous fournissons dans le présent document un aperçu détaillé du rendement du marché du travail pendant les années 1990, ainsi qu'une analyse de la façon dont il a dévié par rapport à celui des années 1980. Nous examinons ensuite si les faits qui se sont produits sont conformes à un grand nombre de croyances et d'explications courantes. Le document est axé a) sur les résultats au niveau macro-économique, et b) sur les résultats répartis. Dans les résultats macro-économiques, nous traitons des sujets suivants : la nature du travail a-t-elle changé radicalement pendant les années 1990? y a-t-il eu un effet de crémaillère soutenu du chômage? avons-nous été témoins d'une hausse de l'instabilité d'emploi et d'une augmentation des mises à pied? la rationalisation dans les entreprises a-t-elle progressé pendant les années 1990? pourquoi y a-t-il eu un ralentissement de la croissance du revenu par habitant pendant les années 1990? pour un travailleur ayant un certain capital humain, y a-t-il eu une détérioration des résultats sur le marché du travail?

    Les résultats répartis ont retenu une bonne partie de l'attention sur le marché du travail pendant les années 1980 et 1990 - qui gagne et qui perd. Les résultats répartis du marché du travail pendant les années 1990 qui sont traités dans le document comprennent entre autres les suivants : les résultats pour les hommes et pour les femmes; les changements dans les gains relatifs des personnes très instruites et l'inégalité salariale; les tendances dans le taux de faible revenu; les nouveaux résultats obtenus par de récents entrants sur le marché du travail, y compris les jeunes et les immigrants; et la mesure dans laquelle les changements technologiques jouent un rôle important dans ces résultats.

    Le document se termine par un examen du rendement global du marché du travail pendant les années 1990 comparativement à celui des années 1980.

    Date de diffusion : 2000-05-04

  • Articles et rapports : 11F0019M1998114
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document examine la mobilité interprovinciale de la main-d'oeuvre des immigrants comparativement à celle des Canadiens de naissance. Les Canadiens nés à l'étranger diffèrent énormément de leurs homologues nés au pays. La population née à l'étranger est géographiquement concentrée dans quelques provinces et quelques grandes villes. Dans l'ensemble, ces Canadiens sont plus âgés, plus instruits, plus susceptibles d'être mariés et d'avoir des enfants à charge et des ménages constitués d'un plus grand nombre de personnes. Ils sont moins engagés dans des études ou une formation à plein temps. Ils réussissent relativement mieux sur le marché du travail. Par conséquent, une plus grande proportion d'entre eux touchent des prestations de sécurité sociale directement associées à la présence d'enfants à charge ou à l'âge, par exemple, des prestations d'allocation familiale et des revenus de pension, mais un moins grand nombre touchent des prestations liées au rendement du marché du travail, telles que des prestations d'assurance-emploi et d'assurance sociale.

    Dans l'ensemble, la mobilité interprovinciale des immigrants est relativement moins grande, tant à l'échelle nationale que dans presque chaque province. Les destinations des immigrants qui changent de province sont géographiquement très concentrées. La plupart d'entre eux s'établissent en Alberta, en Ontario et en Colombie-Britannique. Si une proportion beaucoup plus faible changent de province pour des questions d'ordre économique, bon nombre le font à des fins d'études ou après leur retraite. Les revenus déclarés dans la province de migration sont beaucoup plus élevés. Cette situation découle tant de l'augmentation des salaires que du plus grand nombre d'heures travaillées après la migration.

    Les résultats de la régression multidimensionnelle montrent qu'il n'existe aucune différence structurelle statistiquement significative entre les facteurs déterminants des décisions de migration interprovinciale des Canadiens nés à l'étranger et ceux des Canadiens de naissance comparables. La probabilité de changer de province, qu'il s'agisse des immigrants ou des Canadiens nés au pays, est plus élevée si les salaires escomptés sont relativement meilleurs ailleurs, plus faible s'il est relativement plus difficile de trouver un emploi ailleurs, plus élevée chez les travailleurs plus instruits, plus faible chez des Canadiens francophones, plus faible parmi les travailleurs syndiqués et elle diminue en fonction de l'âge, de la taille de la famille et de la durée de l'emploi. Aucune des variables substituts des interventions du gouvernement à l'égard du marché du travail n'influe de façon importante sur la décision de changer de province. Les taux plus faibles de mobilité chez les Canadiens nés à l'étranger sont entièrement attribuables aux différences de répartition et de composition entre les populations immigrantes et non immigrantes.

    Ces conclusions ont des incidences directes sur les politiques de sélection des immigrants. Pour stimuler la croissance de la population et de la main-d''uvre dans des provinces économiquement moins prospères, il semblerait approprié et efficace de modifier le système actuel de sélection et d'approbation des immigrants, en considérant la destination comme facteur supplémentaire et en accordant des points aux requérants qui choisissent de s'établir dans des provinces désignées.

    Date de diffusion : 1998-09-23
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