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  • Articles et rapports : 11F0019M2001173
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous examinons dans le présent document, à l'aide de données d'enquête, les problèmes auxquels font face les entreprises du secteur canadien de la fabrication lorsqu'elles décident d'adopter des technologies de pointe. Les données montrent que l'utilisation des technologies de pointe est relativement importante (leurs utilisateurs représentant plus de 80 % de toutes les livraisons), mais que leur emploi n'est pas répandu dans les entreprises (leurs utilisateurs ne constituant qu'environ le tiers de tous les établissements). Cette situation vient notamment du fait que les technologies de pointe offrent une vaste gamme d'avantages, mais que les entreprises sont également confrontées à une série d'entraves, des problèmes qui les empêchent d'adopter ces technologies. Ces entraves s'inscrivent à l'intérieur de cinq groupes : les problèmes liés aux coûts, les problèmes liés au cadre institutionnel, les problèmes en matière de main-d'oeuvre, les problèmes liés à la structure organisationnelle et les problèmes en matière d'information.

    Même si l'on pourrait s'attendre à ce que les entraves soient plus grandes pour les non-utilisateurs que pour les utilisateurs des technologies de pointe, c'est le contraire qui se produit. Nous postulons qu'il en est ainsi parce que l'innovation suppose un processus d'apprentissage. Les innovateurs et les utilisateurs des technologies de pointe font face à des problèmes qu'ils doivent régler et les entreprises plus innovatrices ont des plus gros problèmes. Nous vérifions ce postulat en examinant les facteurs liés au fait qu'une entreprise signale ou ne signale pas qu'elle a fait face à des entraves. Notre analyse multidimensionnelle révèle que les utilisateurs des technologies de pointe et que les entreprises qui innovent signalent plus souvent des entraves que les non-utilisateurs de ces technologies et que les entreprises qui n'innovent pas. Nous concluons qu'il ne faudrait pas interpréter l'information sur les entraves dans les rapports des enquêtes sur la technologie et d'autres enquêtes connexes (sur l'innovation) comme des obstacles infranchissables qui empêchent les entreprises d'adopter des technologies. Ces enquêtes indiquent plutôt les domaines où les entreprises qui connaissent le succès font face à des problèmes et les règlent.

    Date de diffusion : 2001-09-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2001149
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document, le prolongement d'un travail antérieur, constitue une mise à jour de la structure et des paramètres d'orientation du régime canadien d'imposition de charges sociales. À partir d'un ensemble de données disponibles depuis peu, il fait aussi rapport des tendances sur le plan du niveau, de l'augmentation et du rôle de chaque composante de ces charges ces dernières années. Il est finalement consacré à une comparaison des charges sociales canadiennes à celles des principaux pays développés. Voici les points saillants de ses principales conclusions.

    Les charges sociales au Canada ont augmenté considérablement depuis le début des années 80, constituant une source de plus en plus importante de recettes tant pour le gouvernement fédéral que pour les gouvernements provinciaux. L'augmentation rapide de ces charges enregistrée au cours des années précédentes s'est en grande partie ralentie au début des années 90. Les recettes tirées des charges sociales perçues auprès des employés et des employeurs du pays se sont stabilisées depuis 1992 aux alentours de 5,7 % du produit intérieur brut (PIB) ou de 14,0 % des recettes totales des gouvernements fédéral et provinciaux; le taux effectif total des charges sociales s'est stabilisé depuis 1994 aux environs de 12,20 $ pour chaque 100 $ en salaires et en traitements.

    La structure, le niveau, l'augmentation et le rôle de chaque composante des charges sociales varient considérablement d'une province à une autre. Les cotisations d'assurance-emploi (a.-e.) ont toutefois été, étonnamment, la composante la plus importante de ces charges dans chaque province aussi bien dans les années 80 que dans les années 90, indépendamment de l'existence ou non dans une province d'une charge sociale provinciale; l'augmentation des cotisations d'a.-e. a aussi été invariablement le principal facteur ayant contribué à la hausse du total des charges sociales durant cette période.

    Malgré leur augmentation rapide dans les années 80 et au début des années 90, les charges sociales canadiennes demeurent parmi les plus faibles de toutes celles imposées dans les principales économies développées. Suivant des données compilées par l'OCDE, les recettes tirées des charges sociales au Canada totalisaient 6,0 % de son PIB en 1996, c'est-à-dire 14 % de moins qu'aux États-Unis, étaient les plus faibles de toutes celles imposées dans les pays du G-7 et se classaient au 9e rang le moins élevé de toutes celles prélevées dans les 29 États membres de l'OCDE.

    Date de diffusion : 2001-09-11

  • Articles et rapports : 75-001-X20010015610
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article présente un aperçu des changements survenus entre 1980 et 1997 concernant divers impôts dans les pays du G-7 et de l'OCDE.

    Date de diffusion : 2001-03-23

  • Articles et rapports : 11F0019M2000145
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document part de la définition « Le chômage structurel désigne la situation dans laquelle les travailleurs ne peuvent occuper les postes disponibles parce qu'ils n'ont pas les compétences voulues, n'habitent pas là où les postes sont offerts ou ne sont pas prêts à travailler au salaire offert sur le marché », ce qui laisse entendre que le nombre de vacances sur le marché canadien du travail est une limite supérieure de l'étendue du « chômage structurel ». Le document résume les estimations disponibles du taux de vacance au Canada. Dans le secteur de la haute technologie, les vacances peuvent équivaloir à 2,2 % de la population active, mais des preuves découlant d'enquêtes plus représentatives indiquent une étendue allant de 0,43 % à 0,75 % pour l'ensemble de l'économie. Durant les années 80, le déplacement vers l'extérieur (l'écartement) de la relation entre l'Indice de l'offre d'emploi et le taux de chômage soulevait des inquiétudes, c'est-à-dire laissait supposer que le chômage structurel devenait au Canada un problème croissant, mais ce déplacement dans les années 90 s'est inversé.

    Date de diffusion : 2000-10-16

  • Articles et rapports : 75-001-X20000035372
    Géographie : Canada
    Description :

    Certains impôts peuvent être supérieurs alors que d'autres peuvent être inférieurs à ceux d'autres pays développés, mais le taux d'imposition effectif global au Canada se situe au milieu du peloton. À partir des données de l'OCDE, on compare plusieurs ratios impôts-PIB des pays membres du G-7 et des 29 pays de l'OCDE.

    Date de diffusion : 2000-09-06

  • Articles et rapports : 75-001-X20000035373
    Géographie : Canada
    Description :

    Le niveau et la croissance des charges sociales varient grandement selon les provinces. Seulement trois des neuf charges s'appliquent à l'échelle nationale. Cet article porte sur les tendances à travers le pays. Il permet aussi de comparer brièvement l'ensemble des charges sociales canadiennes avec celles des autres pays du G-7 et de l'OCDE.

    Date de diffusion : 2000-09-06

  • Articles et rapports : 75-001-X20000025070
    Géographie : Canada
    Description :

    Les charges sociales ont crû considérablement depuis le début des années 80 et sont devenues une source de plus en plus importante des recettes des gouvernements. Cet article, qui constitue la première partie d'une analyse à deux volets, fournit des renseignements détaillés sur les diverses charges sociales prélevées par les gouvernements fédéral et provinciaux. Un article subséquent portera sur les tendances nationales et provinciales quant au niveau, à la croissance et au rôle de chaque composante. Il permettra également de comparer les charges sociales canadiennes à celles des autres pays membres du G-7.

    Date de diffusion : 2000-06-07

  • Articles et rapports : 11F0019M1999133
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document met en évidence les faits récents survenus dans le secteur de l'emploi autonome au Canada et il analyse les rapports de l'emploi autonome avec le chômage et l'emploi à plein temps rémunéré. Il y a maintenant deux millions et demi de Canadiens qui exploitent leur propre entreprise et qui constituent 16,2 % de la population active totale et représentent 17,8 % de l'emploi total. Au cours des huit premières des années 1990, l'emploi autonome s'est accru en moyenne de 4,1 % par année et il a fourni plus de trois sur quatre des nouveaux emplois créés par l'économie. Les données concernant les entrées et les sorties, dans ce secteur de l'économie, montrent qu'il s'y produit des mouvements d'entrée et de sortie considérables. Les mouvements bruts d'entrée et de sortie, dans le secteur de l'emploi autonome, en tant que principale activité sur le marché du travail, se sont élevés en moyenne à près d'un demi-million par année, entre 1982 et 1994, et ont touché 42 % de la population totale des travailleurs autonomes.Les résultats de la modélisation à effets fixes montrent un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Cette conclusion reste vrai pour différentes sources de données, pour différentes période de temps, pour différentes mesures et définitions, pour différents échantillons empiriques et pour diverses techniques d'estimation. Il existe aussi un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre les sorties du secteur de l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Il semble qu'une foule de facteurs non cycliques expliquent l'essor récent de l'emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-04-27

  • Articles et rapports : 11F0019M1999134
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document i) examine l'envergure et la cyclicité du flux de création et de disparition des emplois autonomes; ii) explore les transitions liées à ces mouvements; iii) évalue l'incidence de caractéristiques individuelles et de l'expérience du marché du travail ainsi que de conditions macro-économiques sur la probabilité d'accéder au travail autonome ou de le quitter.

    Le secteur de l'emploi autonome regroupe aujourd'hui plus de deux millions et demi de travailleurs canadiens; il a augmenté en moyenne de plus de 4 % par année au cours de la présente décennie et représente plus de trois quarts des nouveaux emplois que l'économie crée. Il y a eu, au cours des 15 dernières années, un flux important de création et de disparition d'emplois autonomes. Ce flux brut était en moyenne de près de un demi-million par année entre 1982 et 1994, ce qui représentait 42 % du nombre total de travailleurs autonomes.

    Les résultats de la régression ne présentent aucune preuve statistique corroborant l'hypothèse de la pression plutôt que celle de l'attraction exercée; selon cette notion, la détérioration de l'économie contraint de plus en plus les gens à créer leur propre emploi. Cette analyse s'effectue à la fois au moyen d'une analyse des séries chronologiques et d'une analyse des déterminants des flux de création (et de disparition) d'emplois autonomes. Comme pour les emplois rémunérés, les Canadiens plus jeunes connaissent un roulement plus élevé lorsqu'ils occupent un emploi autonome. Ils sont plus susceptibles non seulement de créer un tel emploi, mais aussi, et de loin, de le quitter. L'expérience préalable d'un emploi rémunéré et d'un emploi autonome augmente dans les deux cas la probabilité de créer un travail autonome. Plus longtemps une personne occupe un travail autonome, moins elle est susceptible de le quitter. Si le conjoint est en affaires (occupant un emploi autonome), la possibilité que l'autre conjoint occupe à son tour un emploi autonome augmente sensiblement, car un conjoint travailleur autonome amène souvent l'autre à se joindre à l'entreprise familiale ou à démarrer sa propre entreprise. On constate également qu'un revenu familial stable provenant de l'emploi rémunéré du conjoint augmente la viabilité financière du travailleur autonome (l'autre conjoint) en lui permettant de poursuivre son entreprise, ce qui réduit la possibilité qu'il quitte son emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-03-22

  • Articles et rapports : 11F0019M1998114
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document examine la mobilité interprovinciale de la main-d'oeuvre des immigrants comparativement à celle des Canadiens de naissance. Les Canadiens nés à l'étranger diffèrent énormément de leurs homologues nés au pays. La population née à l'étranger est géographiquement concentrée dans quelques provinces et quelques grandes villes. Dans l'ensemble, ces Canadiens sont plus âgés, plus instruits, plus susceptibles d'être mariés et d'avoir des enfants à charge et des ménages constitués d'un plus grand nombre de personnes. Ils sont moins engagés dans des études ou une formation à plein temps. Ils réussissent relativement mieux sur le marché du travail. Par conséquent, une plus grande proportion d'entre eux touchent des prestations de sécurité sociale directement associées à la présence d'enfants à charge ou à l'âge, par exemple, des prestations d'allocation familiale et des revenus de pension, mais un moins grand nombre touchent des prestations liées au rendement du marché du travail, telles que des prestations d'assurance-emploi et d'assurance sociale.

    Dans l'ensemble, la mobilité interprovinciale des immigrants est relativement moins grande, tant à l'échelle nationale que dans presque chaque province. Les destinations des immigrants qui changent de province sont géographiquement très concentrées. La plupart d'entre eux s'établissent en Alberta, en Ontario et en Colombie-Britannique. Si une proportion beaucoup plus faible changent de province pour des questions d'ordre économique, bon nombre le font à des fins d'études ou après leur retraite. Les revenus déclarés dans la province de migration sont beaucoup plus élevés. Cette situation découle tant de l'augmentation des salaires que du plus grand nombre d'heures travaillées après la migration.

    Les résultats de la régression multidimensionnelle montrent qu'il n'existe aucune différence structurelle statistiquement significative entre les facteurs déterminants des décisions de migration interprovinciale des Canadiens nés à l'étranger et ceux des Canadiens de naissance comparables. La probabilité de changer de province, qu'il s'agisse des immigrants ou des Canadiens nés au pays, est plus élevée si les salaires escomptés sont relativement meilleurs ailleurs, plus faible s'il est relativement plus difficile de trouver un emploi ailleurs, plus élevée chez les travailleurs plus instruits, plus faible chez des Canadiens francophones, plus faible parmi les travailleurs syndiqués et elle diminue en fonction de l'âge, de la taille de la famille et de la durée de l'emploi. Aucune des variables substituts des interventions du gouvernement à l'égard du marché du travail n'influe de façon importante sur la décision de changer de province. Les taux plus faibles de mobilité chez les Canadiens nés à l'étranger sont entièrement attribuables aux différences de répartition et de composition entre les populations immigrantes et non immigrantes.

    Ces conclusions ont des incidences directes sur les politiques de sélection des immigrants. Pour stimuler la croissance de la population et de la main-d''uvre dans des provinces économiquement moins prospères, il semblerait approprié et efficace de modifier le système actuel de sélection et d'approbation des immigrants, en considérant la destination comme facteur supplémentaire et en accordant des points aux requérants qui choisissent de s'établir dans des provinces désignées.

    Date de diffusion : 1998-09-23
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  • Articles et rapports : 11F0019M2001173
    Géographie : Canada
    Description :

    Nous examinons dans le présent document, à l'aide de données d'enquête, les problèmes auxquels font face les entreprises du secteur canadien de la fabrication lorsqu'elles décident d'adopter des technologies de pointe. Les données montrent que l'utilisation des technologies de pointe est relativement importante (leurs utilisateurs représentant plus de 80 % de toutes les livraisons), mais que leur emploi n'est pas répandu dans les entreprises (leurs utilisateurs ne constituant qu'environ le tiers de tous les établissements). Cette situation vient notamment du fait que les technologies de pointe offrent une vaste gamme d'avantages, mais que les entreprises sont également confrontées à une série d'entraves, des problèmes qui les empêchent d'adopter ces technologies. Ces entraves s'inscrivent à l'intérieur de cinq groupes : les problèmes liés aux coûts, les problèmes liés au cadre institutionnel, les problèmes en matière de main-d'oeuvre, les problèmes liés à la structure organisationnelle et les problèmes en matière d'information.

    Même si l'on pourrait s'attendre à ce que les entraves soient plus grandes pour les non-utilisateurs que pour les utilisateurs des technologies de pointe, c'est le contraire qui se produit. Nous postulons qu'il en est ainsi parce que l'innovation suppose un processus d'apprentissage. Les innovateurs et les utilisateurs des technologies de pointe font face à des problèmes qu'ils doivent régler et les entreprises plus innovatrices ont des plus gros problèmes. Nous vérifions ce postulat en examinant les facteurs liés au fait qu'une entreprise signale ou ne signale pas qu'elle a fait face à des entraves. Notre analyse multidimensionnelle révèle que les utilisateurs des technologies de pointe et que les entreprises qui innovent signalent plus souvent des entraves que les non-utilisateurs de ces technologies et que les entreprises qui n'innovent pas. Nous concluons qu'il ne faudrait pas interpréter l'information sur les entraves dans les rapports des enquêtes sur la technologie et d'autres enquêtes connexes (sur l'innovation) comme des obstacles infranchissables qui empêchent les entreprises d'adopter des technologies. Ces enquêtes indiquent plutôt les domaines où les entreprises qui connaissent le succès font face à des problèmes et les règlent.

    Date de diffusion : 2001-09-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2001149
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document, le prolongement d'un travail antérieur, constitue une mise à jour de la structure et des paramètres d'orientation du régime canadien d'imposition de charges sociales. À partir d'un ensemble de données disponibles depuis peu, il fait aussi rapport des tendances sur le plan du niveau, de l'augmentation et du rôle de chaque composante de ces charges ces dernières années. Il est finalement consacré à une comparaison des charges sociales canadiennes à celles des principaux pays développés. Voici les points saillants de ses principales conclusions.

    Les charges sociales au Canada ont augmenté considérablement depuis le début des années 80, constituant une source de plus en plus importante de recettes tant pour le gouvernement fédéral que pour les gouvernements provinciaux. L'augmentation rapide de ces charges enregistrée au cours des années précédentes s'est en grande partie ralentie au début des années 90. Les recettes tirées des charges sociales perçues auprès des employés et des employeurs du pays se sont stabilisées depuis 1992 aux alentours de 5,7 % du produit intérieur brut (PIB) ou de 14,0 % des recettes totales des gouvernements fédéral et provinciaux; le taux effectif total des charges sociales s'est stabilisé depuis 1994 aux environs de 12,20 $ pour chaque 100 $ en salaires et en traitements.

    La structure, le niveau, l'augmentation et le rôle de chaque composante des charges sociales varient considérablement d'une province à une autre. Les cotisations d'assurance-emploi (a.-e.) ont toutefois été, étonnamment, la composante la plus importante de ces charges dans chaque province aussi bien dans les années 80 que dans les années 90, indépendamment de l'existence ou non dans une province d'une charge sociale provinciale; l'augmentation des cotisations d'a.-e. a aussi été invariablement le principal facteur ayant contribué à la hausse du total des charges sociales durant cette période.

    Malgré leur augmentation rapide dans les années 80 et au début des années 90, les charges sociales canadiennes demeurent parmi les plus faibles de toutes celles imposées dans les principales économies développées. Suivant des données compilées par l'OCDE, les recettes tirées des charges sociales au Canada totalisaient 6,0 % de son PIB en 1996, c'est-à-dire 14 % de moins qu'aux États-Unis, étaient les plus faibles de toutes celles imposées dans les pays du G-7 et se classaient au 9e rang le moins élevé de toutes celles prélevées dans les 29 États membres de l'OCDE.

    Date de diffusion : 2001-09-11

  • Articles et rapports : 75-001-X20010015610
    Géographie : Canada
    Description :

    Cet article présente un aperçu des changements survenus entre 1980 et 1997 concernant divers impôts dans les pays du G-7 et de l'OCDE.

    Date de diffusion : 2001-03-23

  • Articles et rapports : 11F0019M2000145
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document part de la définition « Le chômage structurel désigne la situation dans laquelle les travailleurs ne peuvent occuper les postes disponibles parce qu'ils n'ont pas les compétences voulues, n'habitent pas là où les postes sont offerts ou ne sont pas prêts à travailler au salaire offert sur le marché », ce qui laisse entendre que le nombre de vacances sur le marché canadien du travail est une limite supérieure de l'étendue du « chômage structurel ». Le document résume les estimations disponibles du taux de vacance au Canada. Dans le secteur de la haute technologie, les vacances peuvent équivaloir à 2,2 % de la population active, mais des preuves découlant d'enquêtes plus représentatives indiquent une étendue allant de 0,43 % à 0,75 % pour l'ensemble de l'économie. Durant les années 80, le déplacement vers l'extérieur (l'écartement) de la relation entre l'Indice de l'offre d'emploi et le taux de chômage soulevait des inquiétudes, c'est-à-dire laissait supposer que le chômage structurel devenait au Canada un problème croissant, mais ce déplacement dans les années 90 s'est inversé.

    Date de diffusion : 2000-10-16

  • Articles et rapports : 75-001-X20000035372
    Géographie : Canada
    Description :

    Certains impôts peuvent être supérieurs alors que d'autres peuvent être inférieurs à ceux d'autres pays développés, mais le taux d'imposition effectif global au Canada se situe au milieu du peloton. À partir des données de l'OCDE, on compare plusieurs ratios impôts-PIB des pays membres du G-7 et des 29 pays de l'OCDE.

    Date de diffusion : 2000-09-06

  • Articles et rapports : 75-001-X20000035373
    Géographie : Canada
    Description :

    Le niveau et la croissance des charges sociales varient grandement selon les provinces. Seulement trois des neuf charges s'appliquent à l'échelle nationale. Cet article porte sur les tendances à travers le pays. Il permet aussi de comparer brièvement l'ensemble des charges sociales canadiennes avec celles des autres pays du G-7 et de l'OCDE.

    Date de diffusion : 2000-09-06

  • Articles et rapports : 75-001-X20000025070
    Géographie : Canada
    Description :

    Les charges sociales ont crû considérablement depuis le début des années 80 et sont devenues une source de plus en plus importante des recettes des gouvernements. Cet article, qui constitue la première partie d'une analyse à deux volets, fournit des renseignements détaillés sur les diverses charges sociales prélevées par les gouvernements fédéral et provinciaux. Un article subséquent portera sur les tendances nationales et provinciales quant au niveau, à la croissance et au rôle de chaque composante. Il permettra également de comparer les charges sociales canadiennes à celles des autres pays membres du G-7.

    Date de diffusion : 2000-06-07

  • Articles et rapports : 11F0019M1999133
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document met en évidence les faits récents survenus dans le secteur de l'emploi autonome au Canada et il analyse les rapports de l'emploi autonome avec le chômage et l'emploi à plein temps rémunéré. Il y a maintenant deux millions et demi de Canadiens qui exploitent leur propre entreprise et qui constituent 16,2 % de la population active totale et représentent 17,8 % de l'emploi total. Au cours des huit premières des années 1990, l'emploi autonome s'est accru en moyenne de 4,1 % par année et il a fourni plus de trois sur quatre des nouveaux emplois créés par l'économie. Les données concernant les entrées et les sorties, dans ce secteur de l'économie, montrent qu'il s'y produit des mouvements d'entrée et de sortie considérables. Les mouvements bruts d'entrée et de sortie, dans le secteur de l'emploi autonome, en tant que principale activité sur le marché du travail, se sont élevés en moyenne à près d'un demi-million par année, entre 1982 et 1994, et ont touché 42 % de la population totale des travailleurs autonomes.Les résultats de la modélisation à effets fixes montrent un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Cette conclusion reste vrai pour différentes sources de données, pour différentes période de temps, pour différentes mesures et définitions, pour différents échantillons empiriques et pour diverses techniques d'estimation. Il existe aussi un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre les sorties du secteur de l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Il semble qu'une foule de facteurs non cycliques expliquent l'essor récent de l'emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-04-27

  • Articles et rapports : 11F0019M1999134
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document i) examine l'envergure et la cyclicité du flux de création et de disparition des emplois autonomes; ii) explore les transitions liées à ces mouvements; iii) évalue l'incidence de caractéristiques individuelles et de l'expérience du marché du travail ainsi que de conditions macro-économiques sur la probabilité d'accéder au travail autonome ou de le quitter.

    Le secteur de l'emploi autonome regroupe aujourd'hui plus de deux millions et demi de travailleurs canadiens; il a augmenté en moyenne de plus de 4 % par année au cours de la présente décennie et représente plus de trois quarts des nouveaux emplois que l'économie crée. Il y a eu, au cours des 15 dernières années, un flux important de création et de disparition d'emplois autonomes. Ce flux brut était en moyenne de près de un demi-million par année entre 1982 et 1994, ce qui représentait 42 % du nombre total de travailleurs autonomes.

    Les résultats de la régression ne présentent aucune preuve statistique corroborant l'hypothèse de la pression plutôt que celle de l'attraction exercée; selon cette notion, la détérioration de l'économie contraint de plus en plus les gens à créer leur propre emploi. Cette analyse s'effectue à la fois au moyen d'une analyse des séries chronologiques et d'une analyse des déterminants des flux de création (et de disparition) d'emplois autonomes. Comme pour les emplois rémunérés, les Canadiens plus jeunes connaissent un roulement plus élevé lorsqu'ils occupent un emploi autonome. Ils sont plus susceptibles non seulement de créer un tel emploi, mais aussi, et de loin, de le quitter. L'expérience préalable d'un emploi rémunéré et d'un emploi autonome augmente dans les deux cas la probabilité de créer un travail autonome. Plus longtemps une personne occupe un travail autonome, moins elle est susceptible de le quitter. Si le conjoint est en affaires (occupant un emploi autonome), la possibilité que l'autre conjoint occupe à son tour un emploi autonome augmente sensiblement, car un conjoint travailleur autonome amène souvent l'autre à se joindre à l'entreprise familiale ou à démarrer sa propre entreprise. On constate également qu'un revenu familial stable provenant de l'emploi rémunéré du conjoint augmente la viabilité financière du travailleur autonome (l'autre conjoint) en lui permettant de poursuivre son entreprise, ce qui réduit la possibilité qu'il quitte son emploi autonome.

    Date de diffusion : 1999-03-22

  • Articles et rapports : 11F0019M1998114
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document examine la mobilité interprovinciale de la main-d'oeuvre des immigrants comparativement à celle des Canadiens de naissance. Les Canadiens nés à l'étranger diffèrent énormément de leurs homologues nés au pays. La population née à l'étranger est géographiquement concentrée dans quelques provinces et quelques grandes villes. Dans l'ensemble, ces Canadiens sont plus âgés, plus instruits, plus susceptibles d'être mariés et d'avoir des enfants à charge et des ménages constitués d'un plus grand nombre de personnes. Ils sont moins engagés dans des études ou une formation à plein temps. Ils réussissent relativement mieux sur le marché du travail. Par conséquent, une plus grande proportion d'entre eux touchent des prestations de sécurité sociale directement associées à la présence d'enfants à charge ou à l'âge, par exemple, des prestations d'allocation familiale et des revenus de pension, mais un moins grand nombre touchent des prestations liées au rendement du marché du travail, telles que des prestations d'assurance-emploi et d'assurance sociale.

    Dans l'ensemble, la mobilité interprovinciale des immigrants est relativement moins grande, tant à l'échelle nationale que dans presque chaque province. Les destinations des immigrants qui changent de province sont géographiquement très concentrées. La plupart d'entre eux s'établissent en Alberta, en Ontario et en Colombie-Britannique. Si une proportion beaucoup plus faible changent de province pour des questions d'ordre économique, bon nombre le font à des fins d'études ou après leur retraite. Les revenus déclarés dans la province de migration sont beaucoup plus élevés. Cette situation découle tant de l'augmentation des salaires que du plus grand nombre d'heures travaillées après la migration.

    Les résultats de la régression multidimensionnelle montrent qu'il n'existe aucune différence structurelle statistiquement significative entre les facteurs déterminants des décisions de migration interprovinciale des Canadiens nés à l'étranger et ceux des Canadiens de naissance comparables. La probabilité de changer de province, qu'il s'agisse des immigrants ou des Canadiens nés au pays, est plus élevée si les salaires escomptés sont relativement meilleurs ailleurs, plus faible s'il est relativement plus difficile de trouver un emploi ailleurs, plus élevée chez les travailleurs plus instruits, plus faible chez des Canadiens francophones, plus faible parmi les travailleurs syndiqués et elle diminue en fonction de l'âge, de la taille de la famille et de la durée de l'emploi. Aucune des variables substituts des interventions du gouvernement à l'égard du marché du travail n'influe de façon importante sur la décision de changer de province. Les taux plus faibles de mobilité chez les Canadiens nés à l'étranger sont entièrement attribuables aux différences de répartition et de composition entre les populations immigrantes et non immigrantes.

    Ces conclusions ont des incidences directes sur les politiques de sélection des immigrants. Pour stimuler la croissance de la population et de la main-d''uvre dans des provinces économiquement moins prospères, il semblerait approprié et efficace de modifier le système actuel de sélection et d'approbation des immigrants, en considérant la destination comme facteur supplémentaire et en accordant des points aux requérants qui choisissent de s'établir dans des provinces désignées.

    Date de diffusion : 1998-09-23
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