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  • Articles et rapports : 15-206-X2014038
    Description :

    Le présent document fournit un aperçu du programme de productivité de Statistique Canada et une brève description du rendement du Canada en matière de productivité. Il définit la productivité et les diverses mesures utilisées pour examiner les différentes facettes de la croissance de la productivité. Il décrit la différence entre des mesures de productivité partielles (par exemple, la productivité du travail) et une mesure plus complète (productivité multifactorielle) ainsi que les avantages et désavantages de chacune de ces mesures. Le document explique pourquoi la productivité est importante. Il décrit sommairement comment la croissance de la productivité s’intègre dans le cadre comptable de la croissance et comment on utilise ce dernier pour examiner les diverses sources de croissance économique. Il présente brièvement les défis que les statisticiens doivent relever lorsqu’ils mesurent la croissance de la productivité. Il fournit également un survol de la productivité à long terme du Canada et compare celle-ci à celle des États-Unis, selon les niveaux de productivité et selon les taux de croissance de la productivité.

    Date de diffusion : 2014-09-15

  • Articles et rapports : 15-206-X2014036
    Description :

    Les contrats de location constituent un outil important pour obtenir l’accès à des actifs, obtenir du financement et réduire l’exposition du preneur aux risques qui sont inhérents à la propriété d’actifs. Un contrat de location peut prendre la forme d’une location acquisition ou d’une location exploitation. Dans le cadre d’une location-acquisition, le détenteur du titre de propriété d’un actif (le bailleur) transfère la propriété économique de l’actif à l’utilisateur de ce dernier (le preneur), qui accepte en contrepartie d’assumer les risques d’exploitation et obtient les avantages économiques découlant de l’utilisation de l’actif dans le cadre d’une activité productive. Dans le cas de la location exploitation, le bailleur est à la fois le détenteur du titre de propriété et le propriétaire économique de l’actif loué, de sorte qu’il assume les risques d’exploitation et qu’il reçoit les avantages économiques engendrés par l’actif. Le bailleur transfère uniquement le droit d’utiliser l’actif au preneur.

    Les contrats de location permettent aux entreprises d’acquérir le droit d’utiliser des immobilisations selon des modalités différentes de celles associées à d’autres instruments financiers. Dans le Système de comptabilité nationale du Canada, les actifs pris en location sont enregistrés en fonction de leur propriétaire plutôt que de leur utilisateur. La distinction qui est faite entre la propriété — en particulier le titre de propriété — des immobilisations et l’utilisation de ces dernières soulève des difficultés lorsque l’on veut mesurer la productivité. Pour obtenir des mesures de la productivité qui soient uniformes au niveau des industries, les immobilisations louées doivent être réaffectées des comptes de leur propriétaire à ceux de leur utilisateur. Dans la présente étude, les bilans des sociétés établis conformément à l’Index général des renseignements financiers (IGRF) ainsi que des tableaux d’entrées sorties détaillés sont utilisés pour tester la robustesse des pratiques servant actuellement à recueillir des données sur les immobilisations louées.

    Date de diffusion : 2014-07-22

  • Articles et rapports : 15-206-X2014034
    Description :

    Récemment, les discussions au sujet des dépenses de santé ont porté essentiellement sur deux questions, à savoir : 1) la mesure dans laquelle l’augmentation des dépenses en soins de santé est due à une augmentation de la quantité plutôt qu’au prix des services de santé et 2) l’efficacité et la productivité des fournisseurs de soins de santé (p. ex. les hôpitaux, les cabinets de médecins et les établissements de soins de longue durée).

    La clé de la réponse à ces deux questions est une mesure directe de la production de services de santé — mesure qui n’existe pas à l’heure actuelle. Dans les comptes nationaux, la production du secteur de la santé est mesurée par le volume des entrées, qui comprennent les coûts de main-d'œuvre pour les médecins, le personnel infirmier et le personnel administratif, la consommation de capital et les entrées intermédiaires. La mesure de la production fondée sur les entrées repose sur l’hypothèse qu’il n’existe pas de gains de productivité dans le secteur de la santé. Par conséquent, elle ne fournit aucune mesure des résultats de la productivité, et ne permet pas non plus de décomposer les dépenses totales en soins de santé en une composante des prix et une composante du volume des produits.

    L’objectif principal du présent document est d’élaborer une mesure directe expérimentale de la production du secteur hospitalier canadien pour pouvoir aborder ces questions. De nombreux pays ont déjà construit une mesure directe de la production du secteur hospitalier et d’autres secteurs des soins de santé.

    Date de diffusion : 2014-04-23

  • Articles et rapports : 11F0027M2013085
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article décrit une approche non paramétrique de la correction de la mesure de la croissance de la productivité multifactorielle (CPMF) visant à tenir compte des variations de l'utilisation de la capacité au fil du temps. Dans le cadre élaboré ici, en partant de la théorie économique de la production, on établit une mesure de l'utilisation du capital que l'on estime en comparant le rendement ex post au rendement attendu ex ante du capital. On compare ensuite l'approche non paramétrique avec l'approche paramétrique et le cadre classique de comptabilité de la croissance. Les approches non paramétrique et paramétrique permettent toutes deux de corriger le biais cyclique présent dans la mesure classique de la CPMF, mais l'approche non paramétrique offre une correction plus pratique de l'effet de l'utilisation de la capacité, car elle est plus facile à mettre en oeuvre et plus en harmonie avec l'approche non paramétrique utilisée de longue date par les organismes statistiques et les chercheurs.

    Date de diffusion : 2013-07-23

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2013031
    Description :

    Le présent document décrit l'évolution du Programme de la productivité multifactorielle lancé à Statistique Canada en 1987, ainsi que les améliorations apportées à la mesure de la productivité multifactorielle depuis ce temps. Ces améliorations prennent en compte les nouvelles notions abordées dans les ouvrages économiques publiés, les meilleures sources de données disponibles et les besoins de la collectivité des utilisateurs. Le document résume en outre les recherches effectuées à partir d'autres données et méthodologies pour évaluer l'exactitude du Programme de la productivité multifactorielle et pour éclairer des domaines que les programmes internationaux courants sur la productivité multifactorielle laissent de côté. Enfin, le document fait état des orientations pour l'avenir qui sont envisagées en vue d'améliorer encore la mesure de la productivité à Statistique Canada.

    Date de diffusion : 2013-05-28

  • Articles et rapports : 11F0027M2011071
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude a pour but d'examiner l'incidence du rendement des entreprises non constituées en sociétés exploitées par des travailleurs indépendants sur l'écart de productivité du travail entre le Canada et les États-Unis. À cette fin, le secteur des entreprises de chaque pays est subdivisé en un secteur des entreprises non constituées en sociétés et un secteur des sociétés, pour chacun desquels sont produites des estimations de la productivité du travail.

    La productivité du secteur des entreprises non constituées en sociétés relativement à celle du secteur des sociétés est nettement plus faible au Canada qu'aux États-Unis. Par conséquent, si l'on retranche le secteur des entreprises non constituées en sociétés des estimations calculées pour le secteur des entreprises de chaque pays et que l'on compare uniquement les secteurs des sociétés des deux pays, la différence de niveau de productivité entre le Canada et les États-Unis diminue.

    Le secteur des entreprises non constituées en sociétés comprend les entreprises individuelles ainsi que les sociétés de personnes. La présente étude a aussi pour objectif d'examiner l'effet isolé des entreprises individuelles sur l'écart de productivité entre le Canada et les États-Unis. La ressemblance entre les entreprises individuelles des deux pays est plus prononcée que celles entre les sociétés de personnes, ces dernières étant beaucoup plus grandes aux États Unis qu'au Canada.

    Quand les entreprises individuelles sont soustraites des estimations pour le secteur des entreprises de chaque pays (ce qui permet de comparer ces entreprises individuelles au reste du secteur des entreprises, qui comprend les sociétés de personnes et le secteur des sociétés), la différence de productivité du travail entre le Canada et les États-Unis diminue aussi, mais environ deux fois moins que quand on soustrait les entreprises individuelles ainsi que les sociétés de personnes.

    En 1998, la productivité plus faible du secteur des entreprises non constituées en sociétés (entreprises individuelles et sociétés de personnes) expliquait presque entièrement l'écart de productivité entre le Canada et les États-Unis. Depuis, la productivité du secteur des sociétés a diminué au Canada comparativement aux États-Unis et le secteur des entreprises non constituées en sociétés n'est plus entièrement à l'origine de l'écart.

    Date de diffusion : 2011-07-28

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2008017
    Description :

    Le présent document fournit un aperçu du programme de la productivité de Statistique Canada et une brève description du rendement du Canada en matière de productivité. Il définit la productivité et les diverses mesures utilisées pour examiner les différentes facettes de la croissance de la productivité. Il décrit la différence entre des mesures de productivité partielles (par exemple, la productivité du travail) et une mesure plus complète (productivité multifactorielle) ainsi que les avantages et désavantages de chacune de ces mesures. Le document explique pourquoi la productivité est importante. Il décrit sommairement comment la croissance de la productivité s'intègre dans le cadre comptable de la croissance et comment on utilise ce dernier pour examiner les diverses sources de croissance économique. Il présente brièvement les défis que les statisticiens doivent relever lorsqu'ils mesurent la croissance de la productivité. Il fournit également un survol de la productivité à long terme du Canada et compare celle-ci à celle des États-Unis, selon les niveaux de productivité et selon les taux de croissance de la productivité.

    Date de diffusion : 2008-02-25

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2007014
    Description :

    Le secteur des Comptes canadiens de productivité (CCP) de Statistique Canada consacre deux programmes à la productivité multifactorielle (PMF).

    Le Programme de la productivité multifactorielle par principal secteur établit des indices pour l'ensemble du secteur des entreprises et les groupes d'industrie qui le composent.

    Le Programme de la productivité multifactorielle par industrie ou Programme KLEMS de productivité par industrie tient une base de données comprenant des indices de productivité multifactorielle sur la production et les facteurs englobant le capital (K), le travail (L), l'énergie (E), les matières (M) et les services (S) comme inrants dans les diverses industries du secteur des entreprises, et ce, à divers niveaux d'agrégation industrielle.Nous décrirons le cadre méthodologique et les sources d'information qui servent à élaborer ces indices par principal secteur et la base de données sur la productivité par industrie (KLEMS). Plus précisément, notre but sera :de décrire le contexte des programmes de la productivité multifactorielle par principal secteur et par industrie;d'exposer le cadre méthodologique de mesure de la PMF;de décrire les sources d'information et les données de ces programmes;de dresser un ordre de qualité pour les données KLEMS par industrie;de décrire un plan de recherche pour ce même programme.

    Date de diffusion : 2007-12-06

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2007009
    Description :

    Le but de l'étude est d'examiner les effets de diverses méthodes de calcul du coût d'usage du capital sur les estimations des indices de prix et de volume des services de capital. Nous déterminons la sensibilité des résultats à l'utilisation d'un taux de rendement exogène par opposition à endogène, à divers moyens d'inclure les gains en capital et à l'ajout ou non de corrections pour tenir compte des paramètres fiscaux. Enfin, nous étudions l'effet des diverses formules du coût d'usage du capital sur l'estimation de la croissance de la productivité multifactorielle.

    Date de diffusion : 2007-04-04

  • Articles et rapports : 15-206-X2007008
    Description :

    Cette étude est la troisième d'une série portant sur le projet initié à l'automne 2003 par les Comptes canadiens de productivité de Statistique Canada en vue de comparer les niveaux de productivité entre le Canada et les États-Unis. Le propos de cette étude vise à examiner la comparabilité des composantes du marché du travail entre ces deux pays qui font partie des sources de variation du produit intérieur brut (PIB) par habitant des deux pays. Cette étude peut être subdivisée en trois sections. La première section développe et illustre le cadre conceptuel et méthodologique nécessaire pour rendre les estimations de la main-d'oeuvre et de la population du Canada et des États-Unis comparables en termes de niveau. La deuxième section présente des révisions et une mise à jour jusqu'en 2005 des écarts de PIB par habitant et de ses composantes qui avaient été présentées pour la première fois dans l'étude de Baldwin, Maynard et Wong (2005) qui couvrait alors la période de 1994 à 2002.

    Finalement, en utilisant l'année 2000 à titre d'exemple, cette étude tente de quantifier « l'erreur statistique » qui découle de l'utilisation de statistiques inadéquates ou non conçues pour ce genre de comparaison internationale. Cet exercice démontre que la comparabilité des données sur les heures travaillées par emploi est particulièrement importante pour départager l'origine des différences de PIB par habitant entre la productivité du travail et les heures travaillées par habitant. La pire erreur consiste à comparer des heures travaillées estimées à partir d'une enquête auprès des employeurs avec celles obtenues d'une enquête auprès des ménages. Une telle comparaison entre le Canada et les États-Unis fait attribuer dans une proportion estimée à 72 % l'écart de PIB par habitant à la productivité du travail alors qu'en réalité il comptait pour à peine 36 % en 2000.

    Date de diffusion : 2007-03-26
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  • Articles et rapports : 15-206-X2014038
    Description :

    Le présent document fournit un aperçu du programme de productivité de Statistique Canada et une brève description du rendement du Canada en matière de productivité. Il définit la productivité et les diverses mesures utilisées pour examiner les différentes facettes de la croissance de la productivité. Il décrit la différence entre des mesures de productivité partielles (par exemple, la productivité du travail) et une mesure plus complète (productivité multifactorielle) ainsi que les avantages et désavantages de chacune de ces mesures. Le document explique pourquoi la productivité est importante. Il décrit sommairement comment la croissance de la productivité s’intègre dans le cadre comptable de la croissance et comment on utilise ce dernier pour examiner les diverses sources de croissance économique. Il présente brièvement les défis que les statisticiens doivent relever lorsqu’ils mesurent la croissance de la productivité. Il fournit également un survol de la productivité à long terme du Canada et compare celle-ci à celle des États-Unis, selon les niveaux de productivité et selon les taux de croissance de la productivité.

    Date de diffusion : 2014-09-15

  • Articles et rapports : 15-206-X2014036
    Description :

    Les contrats de location constituent un outil important pour obtenir l’accès à des actifs, obtenir du financement et réduire l’exposition du preneur aux risques qui sont inhérents à la propriété d’actifs. Un contrat de location peut prendre la forme d’une location acquisition ou d’une location exploitation. Dans le cadre d’une location-acquisition, le détenteur du titre de propriété d’un actif (le bailleur) transfère la propriété économique de l’actif à l’utilisateur de ce dernier (le preneur), qui accepte en contrepartie d’assumer les risques d’exploitation et obtient les avantages économiques découlant de l’utilisation de l’actif dans le cadre d’une activité productive. Dans le cas de la location exploitation, le bailleur est à la fois le détenteur du titre de propriété et le propriétaire économique de l’actif loué, de sorte qu’il assume les risques d’exploitation et qu’il reçoit les avantages économiques engendrés par l’actif. Le bailleur transfère uniquement le droit d’utiliser l’actif au preneur.

    Les contrats de location permettent aux entreprises d’acquérir le droit d’utiliser des immobilisations selon des modalités différentes de celles associées à d’autres instruments financiers. Dans le Système de comptabilité nationale du Canada, les actifs pris en location sont enregistrés en fonction de leur propriétaire plutôt que de leur utilisateur. La distinction qui est faite entre la propriété — en particulier le titre de propriété — des immobilisations et l’utilisation de ces dernières soulève des difficultés lorsque l’on veut mesurer la productivité. Pour obtenir des mesures de la productivité qui soient uniformes au niveau des industries, les immobilisations louées doivent être réaffectées des comptes de leur propriétaire à ceux de leur utilisateur. Dans la présente étude, les bilans des sociétés établis conformément à l’Index général des renseignements financiers (IGRF) ainsi que des tableaux d’entrées sorties détaillés sont utilisés pour tester la robustesse des pratiques servant actuellement à recueillir des données sur les immobilisations louées.

    Date de diffusion : 2014-07-22

  • Articles et rapports : 15-206-X2014034
    Description :

    Récemment, les discussions au sujet des dépenses de santé ont porté essentiellement sur deux questions, à savoir : 1) la mesure dans laquelle l’augmentation des dépenses en soins de santé est due à une augmentation de la quantité plutôt qu’au prix des services de santé et 2) l’efficacité et la productivité des fournisseurs de soins de santé (p. ex. les hôpitaux, les cabinets de médecins et les établissements de soins de longue durée).

    La clé de la réponse à ces deux questions est une mesure directe de la production de services de santé — mesure qui n’existe pas à l’heure actuelle. Dans les comptes nationaux, la production du secteur de la santé est mesurée par le volume des entrées, qui comprennent les coûts de main-d'œuvre pour les médecins, le personnel infirmier et le personnel administratif, la consommation de capital et les entrées intermédiaires. La mesure de la production fondée sur les entrées repose sur l’hypothèse qu’il n’existe pas de gains de productivité dans le secteur de la santé. Par conséquent, elle ne fournit aucune mesure des résultats de la productivité, et ne permet pas non plus de décomposer les dépenses totales en soins de santé en une composante des prix et une composante du volume des produits.

    L’objectif principal du présent document est d’élaborer une mesure directe expérimentale de la production du secteur hospitalier canadien pour pouvoir aborder ces questions. De nombreux pays ont déjà construit une mesure directe de la production du secteur hospitalier et d’autres secteurs des soins de santé.

    Date de diffusion : 2014-04-23

  • Articles et rapports : 11F0027M2013085
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article décrit une approche non paramétrique de la correction de la mesure de la croissance de la productivité multifactorielle (CPMF) visant à tenir compte des variations de l'utilisation de la capacité au fil du temps. Dans le cadre élaboré ici, en partant de la théorie économique de la production, on établit une mesure de l'utilisation du capital que l'on estime en comparant le rendement ex post au rendement attendu ex ante du capital. On compare ensuite l'approche non paramétrique avec l'approche paramétrique et le cadre classique de comptabilité de la croissance. Les approches non paramétrique et paramétrique permettent toutes deux de corriger le biais cyclique présent dans la mesure classique de la CPMF, mais l'approche non paramétrique offre une correction plus pratique de l'effet de l'utilisation de la capacité, car elle est plus facile à mettre en oeuvre et plus en harmonie avec l'approche non paramétrique utilisée de longue date par les organismes statistiques et les chercheurs.

    Date de diffusion : 2013-07-23

  • Articles et rapports : 11F0027M2011071
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude a pour but d'examiner l'incidence du rendement des entreprises non constituées en sociétés exploitées par des travailleurs indépendants sur l'écart de productivité du travail entre le Canada et les États-Unis. À cette fin, le secteur des entreprises de chaque pays est subdivisé en un secteur des entreprises non constituées en sociétés et un secteur des sociétés, pour chacun desquels sont produites des estimations de la productivité du travail.

    La productivité du secteur des entreprises non constituées en sociétés relativement à celle du secteur des sociétés est nettement plus faible au Canada qu'aux États-Unis. Par conséquent, si l'on retranche le secteur des entreprises non constituées en sociétés des estimations calculées pour le secteur des entreprises de chaque pays et que l'on compare uniquement les secteurs des sociétés des deux pays, la différence de niveau de productivité entre le Canada et les États-Unis diminue.

    Le secteur des entreprises non constituées en sociétés comprend les entreprises individuelles ainsi que les sociétés de personnes. La présente étude a aussi pour objectif d'examiner l'effet isolé des entreprises individuelles sur l'écart de productivité entre le Canada et les États-Unis. La ressemblance entre les entreprises individuelles des deux pays est plus prononcée que celles entre les sociétés de personnes, ces dernières étant beaucoup plus grandes aux États Unis qu'au Canada.

    Quand les entreprises individuelles sont soustraites des estimations pour le secteur des entreprises de chaque pays (ce qui permet de comparer ces entreprises individuelles au reste du secteur des entreprises, qui comprend les sociétés de personnes et le secteur des sociétés), la différence de productivité du travail entre le Canada et les États-Unis diminue aussi, mais environ deux fois moins que quand on soustrait les entreprises individuelles ainsi que les sociétés de personnes.

    En 1998, la productivité plus faible du secteur des entreprises non constituées en sociétés (entreprises individuelles et sociétés de personnes) expliquait presque entièrement l'écart de productivité entre le Canada et les États-Unis. Depuis, la productivité du secteur des sociétés a diminué au Canada comparativement aux États-Unis et le secteur des entreprises non constituées en sociétés n'est plus entièrement à l'origine de l'écart.

    Date de diffusion : 2011-07-28

  • Articles et rapports : 15-206-X2007008
    Description :

    Cette étude est la troisième d'une série portant sur le projet initié à l'automne 2003 par les Comptes canadiens de productivité de Statistique Canada en vue de comparer les niveaux de productivité entre le Canada et les États-Unis. Le propos de cette étude vise à examiner la comparabilité des composantes du marché du travail entre ces deux pays qui font partie des sources de variation du produit intérieur brut (PIB) par habitant des deux pays. Cette étude peut être subdivisée en trois sections. La première section développe et illustre le cadre conceptuel et méthodologique nécessaire pour rendre les estimations de la main-d'oeuvre et de la population du Canada et des États-Unis comparables en termes de niveau. La deuxième section présente des révisions et une mise à jour jusqu'en 2005 des écarts de PIB par habitant et de ses composantes qui avaient été présentées pour la première fois dans l'étude de Baldwin, Maynard et Wong (2005) qui couvrait alors la période de 1994 à 2002.

    Finalement, en utilisant l'année 2000 à titre d'exemple, cette étude tente de quantifier « l'erreur statistique » qui découle de l'utilisation de statistiques inadéquates ou non conçues pour ce genre de comparaison internationale. Cet exercice démontre que la comparabilité des données sur les heures travaillées par emploi est particulièrement importante pour départager l'origine des différences de PIB par habitant entre la productivité du travail et les heures travaillées par habitant. La pire erreur consiste à comparer des heures travaillées estimées à partir d'une enquête auprès des employeurs avec celles obtenues d'une enquête auprès des ménages. Une telle comparaison entre le Canada et les États-Unis fait attribuer dans une proportion estimée à 72 % l'écart de PIB par habitant à la productivité du travail alors qu'en réalité il comptait pour à peine 36 % en 2000.

    Date de diffusion : 2007-03-26

  • Articles et rapports : 11-010-X20070039602
    Géographie : Province ou territoire
    Description :

    Le ralentissement de la productivité en 2006 a pris naissance principalement dans les mines et la fabrication. La perte de productivité dans les mines s'inscrit dans une tendance à long terme, tandis que, dans la fabrication, il s'agit surtout d'un phénomène cyclique. De nombreux secteurs sont aux prises avec un problème de qualité de main-d'oeuvre, en particulier dans l'Ouest canadien.

    Date de diffusion : 2007-03-15

  • Articles et rapports : 11F0027M2005032
    Géographie : Canada
    Description :

    Les estimations du PIB sont sensibles au traitement d'une dépense d'affaires comme investissement ou comme facteur intermédiaire. Faire passer une catégorie de dépenses de dépenses intermédiaires à dépenses d'investissement a pour effet d'accroître le PIB. Même si le guide de mesure international (le SCN (93)) reconnaît qu'en raison de certaines caractéristiques la R D s'apparente davantage à un investissement qu'à une dépense intermédiaire, il ne recommande pas de traiter la R D comme investissement étant donné les difficultés que présente l'élaboration d'un critère clair permettant de distinguer la [R D] d'autres activités.

    Dans le présent document, les auteurs cherchent à déterminer si la définition du Manuel de Frascati de l'OCDE est adéquate à cette fin. Ils soutiennent qu'elle est trop étroite et que son adoption ne faciliterait pas la prise de mesures à l'avenir pour modifier le Système de comptabilité nationale. Plus particulièrement, ils soutiennent que le concept de la R D requis aux fins du SCN devrait inclure une vaste gamme de coûts d'innovation dans le domaine des sciences et que ce concept plus large de la R D est mesurable.

    Enfin, les auteurs soutiennent que le non élargissement de la définition du capital de connaissances entraînera des conséquences sur le plan de la comparaison du PIB du Canada à celui d'autres pays, particulièrement notre partenaire commercial le plus important, les États Unis. Il en découlera une estimation biaisée du PIB du Canada par rapport à celui des États Unis. Si toutes les dépenses au titre de l'innovation dans le domaine des sciences sont capitalisées, le PIB augmentera. Cependant, il semble que le système d'innovation au Canada est axé davantage sur les dépenses autres qu'en R D dans le domaine des sciences que les systèmes d'innovation de nombreux autres pays. Si le Canada ne capitalisait que les dépenses de R D selon la définition étroite de Frascati et non les dépenses au titre de l'innovation dans le domaine des sciences, les estimations du PIB du Canada seraient biaisées de façon significative par rapport à celles d'autres pays, comme les États Unis, dont les systèmes d'innovation sont axés sur des dépenses de R D plus traditionnelles.

    Date de diffusion : 2005-04-12

  • Articles et rapports : 11F0027M2005028
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document comprend un examen du niveau de productivité du travail au Canada par rapport aux États Unis en 1999. À cette fin, deux questions sont abordées principalement. La première est celle de la comparabilité des mesures du PIB et de l'intrant travail produites par l'organisme statistique de chaque pays. La deuxième a trait à la façon dont un indice de prix peut être élaboré pour rapprocher les estimations du PIB par heure travaillée au Canada et aux États Unis, qui sont calculées en dollars canadiens et en dollars américains respectivement. Une fois que cela est fait, et que sont prises en compte les autres hypothèses concernant les prix au Canada et aux États Unis, les auteurs présentent des estimations ponctuelles de la productivité relative du travail au Canada, pour l'ensemble de l'économie, qui représente environ 93 % de celle aux États Unis. Selon les auteurs, on devrait appliquer un intervalle de confiance d'au moins dix points à ces estimations. La taille de la fourchette est particulièrement sensible aux hypothèses concernant les prix des importations et des exportations.

    Date de diffusion : 2005-01-20

  • Articles et rapports : 11F0027M2004025
    Géographie : Canada
    Description :

    La croissance de la productivité aux États-Unis a fortement accéléré durant la deuxième moitié des années 1990, reprise que les travaux publiés ont relié à l'utilisation des technologies de l'information. Dans ce rapport, on contribue au débat sur cette question de deux façons. Premièrement, à l'aide des données canadiennes et américaines les plus comparables disponibles, on quantifie la contribution des technologies de l'information à la production, à l'intrant capital et à la productivité. Deuxièmement, on examine dans quelle mesure les industries productrices des technologies de l'information et les industries utilisatrices des technologies de l'information ont contribué au redressement de la productivité multifactorielle agrégée.

    Date de diffusion : 2004-11-23
Références (8)

Références (8) ((8 résultats))

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2013031
    Description :

    Le présent document décrit l'évolution du Programme de la productivité multifactorielle lancé à Statistique Canada en 1987, ainsi que les améliorations apportées à la mesure de la productivité multifactorielle depuis ce temps. Ces améliorations prennent en compte les nouvelles notions abordées dans les ouvrages économiques publiés, les meilleures sources de données disponibles et les besoins de la collectivité des utilisateurs. Le document résume en outre les recherches effectuées à partir d'autres données et méthodologies pour évaluer l'exactitude du Programme de la productivité multifactorielle et pour éclairer des domaines que les programmes internationaux courants sur la productivité multifactorielle laissent de côté. Enfin, le document fait état des orientations pour l'avenir qui sont envisagées en vue d'améliorer encore la mesure de la productivité à Statistique Canada.

    Date de diffusion : 2013-05-28

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2008017
    Description :

    Le présent document fournit un aperçu du programme de la productivité de Statistique Canada et une brève description du rendement du Canada en matière de productivité. Il définit la productivité et les diverses mesures utilisées pour examiner les différentes facettes de la croissance de la productivité. Il décrit la différence entre des mesures de productivité partielles (par exemple, la productivité du travail) et une mesure plus complète (productivité multifactorielle) ainsi que les avantages et désavantages de chacune de ces mesures. Le document explique pourquoi la productivité est importante. Il décrit sommairement comment la croissance de la productivité s'intègre dans le cadre comptable de la croissance et comment on utilise ce dernier pour examiner les diverses sources de croissance économique. Il présente brièvement les défis que les statisticiens doivent relever lorsqu'ils mesurent la croissance de la productivité. Il fournit également un survol de la productivité à long terme du Canada et compare celle-ci à celle des États-Unis, selon les niveaux de productivité et selon les taux de croissance de la productivité.

    Date de diffusion : 2008-02-25

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2007014
    Description :

    Le secteur des Comptes canadiens de productivité (CCP) de Statistique Canada consacre deux programmes à la productivité multifactorielle (PMF).

    Le Programme de la productivité multifactorielle par principal secteur établit des indices pour l'ensemble du secteur des entreprises et les groupes d'industrie qui le composent.

    Le Programme de la productivité multifactorielle par industrie ou Programme KLEMS de productivité par industrie tient une base de données comprenant des indices de productivité multifactorielle sur la production et les facteurs englobant le capital (K), le travail (L), l'énergie (E), les matières (M) et les services (S) comme inrants dans les diverses industries du secteur des entreprises, et ce, à divers niveaux d'agrégation industrielle.Nous décrirons le cadre méthodologique et les sources d'information qui servent à élaborer ces indices par principal secteur et la base de données sur la productivité par industrie (KLEMS). Plus précisément, notre but sera :de décrire le contexte des programmes de la productivité multifactorielle par principal secteur et par industrie;d'exposer le cadre méthodologique de mesure de la PMF;de décrire les sources d'information et les données de ces programmes;de dresser un ordre de qualité pour les données KLEMS par industrie;de décrire un plan de recherche pour ce même programme.

    Date de diffusion : 2007-12-06

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2007009
    Description :

    Le but de l'étude est d'examiner les effets de diverses méthodes de calcul du coût d'usage du capital sur les estimations des indices de prix et de volume des services de capital. Nous déterminons la sensibilité des résultats à l'utilisation d'un taux de rendement exogène par opposition à endogène, à divers moyens d'inclure les gains en capital et à l'ajout ou non de corrections pour tenir compte des paramètres fiscaux. Enfin, nous étudions l'effet des diverses formules du coût d'usage du capital sur l'estimation de la croissance de la productivité multifactorielle.

    Date de diffusion : 2007-04-04

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-206-X2006002
    Description :

    Ce document explique en termes simples et concis le concept de productivité ansi que son utilité. Il est destiné au usagers des comptes canadiens de productivité désireux de se familiariser, à un moindre effort, avec le concept.

    Date de diffusion : 2006-04-21

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 11F0026M2005004
    Description :

    Un organisme de statistique est appelé à relever plusieurs défis lorsqu'il élabore des comptes de productivité. Pour mesurer la productivité, il faut comparer la production et les facteurs de production ou intrants.

    Le présent document porte sur les défis qu'un organisme de statistique est appelé à relever dans ce domaine, comme le montre l'expérience canadienne. En premier lieu, nous examinons les progrès réalisés sur le plan de l'élaboration d'un système permettant d'intégrer les comptes de productivité à l'ensemble du Système de comptabilité nationale. Nous examinons également les lacunes qui restent à combler. Enfin, nous nous penchons dans le présent document sur la question de savoir s'il y a lieu d'élargir le contenu du manuel du SCN en incluant la mesure de la productivité. Nous soutenons dans le présent document qu'étant donné les avantages notables que procure l'intégration des comptes de productivité aux comptes généraux, le moment est venu d'inclure plus de détails sur la nature des comptes de productivité dans le cadre général du SCN.

    Date de diffusion : 2005-04-28

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-002-M2001001
    Description :

    Dans ce document, on décrit les sources, les méthodes et les concepts utilisés par les Comptes canadiens de productivité et on les compare aux sources, aux méthodes et aux concepts américains.

    Date de diffusion : 2004-12-24

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 15-002-M
    Description :

    Cette série d'articles permet aux utilisateurs de comprendre la notion de productivité et les normes, méthodes et concepts statistiques sous-jacents utilisés pour compiler les statistiques sur la productivité.

    Cette série permettra aux utilisateurs de mieux apprécier la signification économique, la qualité et la précision des statistiques sur la productivité. Elle a été créée spécialement à l'intention des personnes qui utilisent régulièrement les estimations de productivité, comme les analystes universitaires, économiques et financiers. Les personnes qui utilisent moins souvent les chiffres de productivité, comme les étudiants en sciences économiques, pourront aussi s'en servir à titre de référence.

    Date de diffusion : 2004-12-24
Date de modification :