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Descriptions des états de santé au Canada
82-619-MIF

Cancers

Contexte

Introduction

Tableau sommaire

Les types de cancer

Au moment du diagnostic

Options thérapeutiques

États de santé subséquents

Références

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Renseignements supplémentaires

Introduction

Les cellules cancéreuses prolifèrent de façon anormale, anarchique et progressive. Les tumeurs malignes tendent à envahir les tissus avoisinants et à produire des métastases (propagation de la maladie dans d’autres régions du corps loin du siège de la tumeur primitive).

La plupart des cancers sont classés au moyen d’un système de stadification basé sur la taille de la tumeur, l’importance de l’envahissement ganglionnaire et les signes de métastase. De façon générale, les options thérapeutiques pour les cancers débutants (localisés) visent à assurer un contrôle local. Le traitement des cancers régionaux plus avancés visent un contrôle loco-régional, avec une probabilité de « guérison » moindre1. Les cancers diagnostiqués au stade le plus avancé ont déjà métastasé et se sont disséminés dans d’autres régions du corps et, à quelques exceptions près, sont traités dans une optique palliative en vue d’allonger la durée de survie, de maintenir la qualité de vie et de traiter les symptômes liés aux cancers, lorsqu’une visée curative n’est pas possible.

L’impact psychosocial d’un diagnostic de cancer ne peut être sous-estimé. « Il faut s’attendre à une détresse psychologique aiguë lorsqu’un patient songe aux répercussions du cancer : décès possible, douleur, dépendance vis-à-vis des autres, incapacité, préjudices esthétiques et perte de fonction, qui peuvent tous mettre en péril ses relations avec les autres » [Traduction]1. À partir de cette description, on peut présumer que la plupart des cas ressentent les contrecoups affectifs associés au diagnostic initial de même qu’au fait de savoir qu’ils pourraient avoir à suivre un traitement pendant des mois.

L’incertitude et l’angoisse risquent d’être le lot du patient « en rémission », jusqu’à ce qu’il soit « guéri » ou que son cancer récidive. Si le cancer réapparaît, le patient doit faire face à un plus grand nombre d’options diagnostiques et thérapeutiques et encore plus d’incertitude. Les patients qui se font dire qu’il n’existe plus de méthodes pour traiter leur cancer doivent apprivoiser leur mortalité et composer avec des mois de soins palliatifs et terminaux.

Le présent document examine l’état physique et affectif des personnes au moment du diagnostic de cancer et lors de l’application des modalités thérapeutiques les plus courantes, comme la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie et l’hormonothérapie (pour le cancer de la prostate). Les effets à long terme de ces traitements sont examinés de même que les limitations fonctionnelles associées aux soins palliatifs et terminaux.

Le document débute par un aperçu de la progression et du traitement des trois cancers les plus fréquemment diagnostiqués dans chaque groupe : vessie, sein, prostate (très bon pronostic), colorectal, lymphome non hodgkinien, rénal (pronostic assez bon); poumon, pancréas, estomac (mauvais pronostic). Ces neuf cancers représentent près de 72 % de tous les cas (estimés) qui ont été diagnostiqués en 2002.2 Deux types de leucémie sont également décrits : la leucémie lymphoïde chronique (leucémie la plus répandue chez les adultes) et la leucémie aiguë lymphoblastique (la plus répandue chez les enfants).

Dans les sections suivantes, nous décrivons et classons les états de santé lors du diagnostic, au moment de recevoir le traitement et les états de santé subséquents, notamment la rémission, les soins palliatifs et les soins terminaux. Il convient de rappeler que les personnes évolueront d’un état de santé à l’autre.


1 Bien que l’on reconnaisse généralement que les patients ne sont pas « guéris », les cliniciens envisagent le traitement dans une visée curative.


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Date de modification : 2005-08-16 Avis importants
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