Rapports sur la santé
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Une revue à comité de lecture canadienne consacrée à la recherche sur la santé des populations et les services de santé
Août 2019
L’activité physique modérée à vigoureuse mesurée par accéléromètre chez les adultes canadiens, 2007 à 2017
par Janine Clarke, Rachel Colley, Ian Janssen et Mark S. Tremblay
L’inactivité physique est associée à un risque accru de développer plusieurs maladies chroniques et à un risque accru de mortalité prématurée. On estime que l’inactivité physique est à l’origine de 3,7 % du total des coûts directs et indirects liés aux soins de santé au Canada (6,8 milliards de dollars par an). Les Directives canadiennes en matière d’activité physique qui sont en vigueur recommandent aux adultes de faire au moins 150 minutes d’activité physique modérée à vigoureuse (APMV) par semaine à raison d’au moins 10 minutes par séance, en plus d’exercer des activités de renforcement des muscles et des os au moins deux fois par semaine. Avant qu’on commence à utiliser des accéléromètres dans le cadre de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS) en 2007, on évaluait la prévalence et les tendances de l’activité physique au Canada à l’aide de données autodéclarées et de données mesurées par podomètre.
Résumé Article complet Version PDF Communiqué dans Le Quotidien
Autres articles
L’activité physique modérée à vigoureuse mesurée par accéléromètre chez les adultes canadiens, 2007 à 2017
- R.C. Colley, G. Butler, D. Garriguet, et al., « Comparaison de l’activité physique autodéclarée et mesurée par accéléromètre chez les adultes au Canada », Rapports sur la santé, 29(12), 2018, p. 3-16.
- R.C. Colley, D. Garriguet, I. Janssen, et al., « Activité physique des adultes au Canada : résultats d’accélérométrie de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé de 2007-2009 », Rapports sur la santé, 22(1), 2011, p. 7-15.
Perte auditive non perçue chez les Canadiens de 40 à 79 ans
par Pamela L. Ramage-Morin, Rex Banks, Dany Pineault et Maha Atrach
La perte auditive figure invariablement parmi les cinq principales causes des années de vie vécues avec une incapacité. Au Canada, environ 19 % des adultes (4,6 millions de personnes) présentent au moins une perte auditive légère dans la gamme des fréquences vocales (0,5 kHz, 1 kHz, 2 kHz et 4 kHz). Un pourcentage encore plus élevé de la population adulte, 35 % (8,4 millions de personnes), présente un certain degré de perte auditive dans la bande de hautes fréquences (3 kHz, 4 kHz, 6 kHz et 8 kHz), soit la bande où la perte auditive liée à l’âge commence généralement. En plus du processus de vieillissement, la perte auditive peut également découler de facteurs héréditaires, de certaines maladies chroniques, d’une exposition au bruit, d’une exposition à des substances ototoxiques, de la prise de médicaments ototoxiques ou d’autres facteurs. La capacité réduite de traiter de l’information acoustique peut gêner la communication. Par exemple, il peut se révéler difficile d’entendre ou de comprendre les paroles d’une autre personne, de dialoguer dans des environnements bruyants et de détecter la provenance d’un bruit.
Résumé Article complet Version PDF Communiqué dans Le Quotidien
Autres articles
Perte auditive non perçue chez les Canadiens de 40 à 79 ans
- K. Feder, D. Michaud, P. Ramage-Morin, et al., « Taux de perte auditive chez les Canadiens de 20 à 79 ans : résultats audiométriques de l’Enquête canadienne sur les mesures de la santé de 2012-2013 », Rapports sur la santé, 26(7), 2015, p. 20-28
- P.L. Ramage-Morin, « Problèmes auditifs et sentiment d’isolement social chez les Canadiens âgés de 45 ans et plus », Rapports sur la santé, 27(11), 2016, p. 3-14.
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