Avantages et inconvénients du fumier

Warning Consulter la version la plus récente.

Information archivée dans le Web

L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

[an error occurred while processing this directive]11-402-x[an error occurred while processing this directive] [an error occurred while processing this directive]

Le nombre de têtes de bétail ayant augmenté au cours des deux dernières décennies, la production de fumier a aussi progressé. Le fumier constitue un engrais précieux, mais, s'il est mal géré, il peut devenir une source de pollution en contaminant l'eau et en produisant des émissions atmosphériques indésirables.

Le fumier comporte diverses quantités de matière organique, d'eau et de nutriments, mais il contient généralement plus d'azote que de phosphore. Les plus gros animaux, comme les bovins, produisent plus de fumier et génèrent ainsi de plus grandes quantités de nutriments. Toutefois, il existe d'autres différences liées au type de bétail. Par exemple, le fumier de porc et de volaille est plus riche en phosphore que les autres types de fumier.

En 2006, au Canada, le fumier de bétail contenait 1,1 million de tonnes d'azote et 300 000 tonnes de phosphore. Il s'agit de hausses respectives de 17 % et 21 % par rapport aux niveaux de 1981, hausses liées à l'accroissement des populations de bétail et aux variations de la production de nutriments par type d'animal.

Graphique 1.3 Teneur en azote et en phosphore du fumier, par type de bétail, 2006
Voir la source des données du graphique 1.3

Date de modification :