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- Articles et rapports : 18-001-X2024001Description : Cette étude applique l’estimation sur petits domaines (EPD) et un nouveau concept géographique appelé Zone de travail autonome (ZTA) à l'Enquête canadienne sur la situation des entreprises (ECSE) en mettant l'accent sur les opportunités de travail à distance sur les marchés du travail ruraux. Grâce à la modélisation EPD, nous avons estimé les proportions d'entreprises, classées par secteur industriel général (prestataires de services et producteurs de biens), qui offriraient principalement des opportunités de travail à distance à leur main-d'œuvre.Date de diffusion : 2024-04-22
- Articles et rapports : 71-222-X2019002Description :
L'article décrit un bref portrait des travailleurs qui exerçaient un emploi autonome au cours des 12 mois précédant septembre 2018, mettant l'accent sur les principales raisons pour lesquelles ils travaillaient à leur propre compte.
Date de diffusion : 2019-05-28 - Articles et rapports : 11F0019M1999133Géographie : CanadaDescription :
Le présent document met en évidence les faits récents survenus dans le secteur de l'emploi autonome au Canada et il analyse les rapports de l'emploi autonome avec le chômage et l'emploi à plein temps rémunéré. Il y a maintenant deux millions et demi de Canadiens qui exploitent leur propre entreprise et qui constituent 16,2 % de la population active totale et représentent 17,8 % de l'emploi total. Au cours des huit premières des années 1990, l'emploi autonome s'est accru en moyenne de 4,1 % par année et il a fourni plus de trois sur quatre des nouveaux emplois créés par l'économie. Les données concernant les entrées et les sorties, dans ce secteur de l'économie, montrent qu'il s'y produit des mouvements d'entrée et de sortie considérables. Les mouvements bruts d'entrée et de sortie, dans le secteur de l'emploi autonome, en tant que principale activité sur le marché du travail, se sont élevés en moyenne à près d'un demi-million par année, entre 1982 et 1994, et ont touché 42 % de la population totale des travailleurs autonomes.Les résultats de la modélisation à effets fixes montrent un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Cette conclusion reste vrai pour différentes sources de données, pour différentes période de temps, pour différentes mesures et définitions, pour différents échantillons empiriques et pour diverses techniques d'estimation. Il existe aussi un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre les sorties du secteur de l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Il semble qu'une foule de facteurs non cycliques expliquent l'essor récent de l'emploi autonome.
Date de diffusion : 1999-04-27 - Articles et rapports : 11F0019M1999134Géographie : CanadaDescription :
Le présent document i) examine l'envergure et la cyclicité du flux de création et de disparition des emplois autonomes; ii) explore les transitions liées à ces mouvements; iii) évalue l'incidence de caractéristiques individuelles et de l'expérience du marché du travail ainsi que de conditions macro-économiques sur la probabilité d'accéder au travail autonome ou de le quitter.
Le secteur de l'emploi autonome regroupe aujourd'hui plus de deux millions et demi de travailleurs canadiens; il a augmenté en moyenne de plus de 4 % par année au cours de la présente décennie et représente plus de trois quarts des nouveaux emplois que l'économie crée. Il y a eu, au cours des 15 dernières années, un flux important de création et de disparition d'emplois autonomes. Ce flux brut était en moyenne de près de un demi-million par année entre 1982 et 1994, ce qui représentait 42 % du nombre total de travailleurs autonomes.
Les résultats de la régression ne présentent aucune preuve statistique corroborant l'hypothèse de la pression plutôt que celle de l'attraction exercée; selon cette notion, la détérioration de l'économie contraint de plus en plus les gens à créer leur propre emploi. Cette analyse s'effectue à la fois au moyen d'une analyse des séries chronologiques et d'une analyse des déterminants des flux de création (et de disparition) d'emplois autonomes. Comme pour les emplois rémunérés, les Canadiens plus jeunes connaissent un roulement plus élevé lorsqu'ils occupent un emploi autonome. Ils sont plus susceptibles non seulement de créer un tel emploi, mais aussi, et de loin, de le quitter. L'expérience préalable d'un emploi rémunéré et d'un emploi autonome augmente dans les deux cas la probabilité de créer un travail autonome. Plus longtemps une personne occupe un travail autonome, moins elle est susceptible de le quitter. Si le conjoint est en affaires (occupant un emploi autonome), la possibilité que l'autre conjoint occupe à son tour un emploi autonome augmente sensiblement, car un conjoint travailleur autonome amène souvent l'autre à se joindre à l'entreprise familiale ou à démarrer sa propre entreprise. On constate également qu'un revenu familial stable provenant de l'emploi rémunéré du conjoint augmente la viabilité financière du travailleur autonome (l'autre conjoint) en lui permettant de poursuivre son entreprise, ce qui réduit la possibilité qu'il quitte son emploi autonome.
Date de diffusion : 1999-03-22
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- Articles et rapports : 18-001-X2024001Description : Cette étude applique l’estimation sur petits domaines (EPD) et un nouveau concept géographique appelé Zone de travail autonome (ZTA) à l'Enquête canadienne sur la situation des entreprises (ECSE) en mettant l'accent sur les opportunités de travail à distance sur les marchés du travail ruraux. Grâce à la modélisation EPD, nous avons estimé les proportions d'entreprises, classées par secteur industriel général (prestataires de services et producteurs de biens), qui offriraient principalement des opportunités de travail à distance à leur main-d'œuvre.Date de diffusion : 2024-04-22
- Articles et rapports : 71-222-X2019002Description :
L'article décrit un bref portrait des travailleurs qui exerçaient un emploi autonome au cours des 12 mois précédant septembre 2018, mettant l'accent sur les principales raisons pour lesquelles ils travaillaient à leur propre compte.
Date de diffusion : 2019-05-28 - Articles et rapports : 11F0019M1999133Géographie : CanadaDescription :
Le présent document met en évidence les faits récents survenus dans le secteur de l'emploi autonome au Canada et il analyse les rapports de l'emploi autonome avec le chômage et l'emploi à plein temps rémunéré. Il y a maintenant deux millions et demi de Canadiens qui exploitent leur propre entreprise et qui constituent 16,2 % de la population active totale et représentent 17,8 % de l'emploi total. Au cours des huit premières des années 1990, l'emploi autonome s'est accru en moyenne de 4,1 % par année et il a fourni plus de trois sur quatre des nouveaux emplois créés par l'économie. Les données concernant les entrées et les sorties, dans ce secteur de l'économie, montrent qu'il s'y produit des mouvements d'entrée et de sortie considérables. Les mouvements bruts d'entrée et de sortie, dans le secteur de l'emploi autonome, en tant que principale activité sur le marché du travail, se sont élevés en moyenne à près d'un demi-million par année, entre 1982 et 1994, et ont touché 42 % de la population totale des travailleurs autonomes.Les résultats de la modélisation à effets fixes montrent un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Cette conclusion reste vrai pour différentes sources de données, pour différentes période de temps, pour différentes mesures et définitions, pour différents échantillons empiriques et pour diverses techniques d'estimation. Il existe aussi un rapport négatif (ou positif), significatif sur le plan statistique mais faible sur le plan empirique, entre les sorties du secteur de l'emploi autonome et le chômage (ou l'emploi à plein temps rémunéré). Il semble qu'une foule de facteurs non cycliques expliquent l'essor récent de l'emploi autonome.
Date de diffusion : 1999-04-27 - Articles et rapports : 11F0019M1999134Géographie : CanadaDescription :
Le présent document i) examine l'envergure et la cyclicité du flux de création et de disparition des emplois autonomes; ii) explore les transitions liées à ces mouvements; iii) évalue l'incidence de caractéristiques individuelles et de l'expérience du marché du travail ainsi que de conditions macro-économiques sur la probabilité d'accéder au travail autonome ou de le quitter.
Le secteur de l'emploi autonome regroupe aujourd'hui plus de deux millions et demi de travailleurs canadiens; il a augmenté en moyenne de plus de 4 % par année au cours de la présente décennie et représente plus de trois quarts des nouveaux emplois que l'économie crée. Il y a eu, au cours des 15 dernières années, un flux important de création et de disparition d'emplois autonomes. Ce flux brut était en moyenne de près de un demi-million par année entre 1982 et 1994, ce qui représentait 42 % du nombre total de travailleurs autonomes.
Les résultats de la régression ne présentent aucune preuve statistique corroborant l'hypothèse de la pression plutôt que celle de l'attraction exercée; selon cette notion, la détérioration de l'économie contraint de plus en plus les gens à créer leur propre emploi. Cette analyse s'effectue à la fois au moyen d'une analyse des séries chronologiques et d'une analyse des déterminants des flux de création (et de disparition) d'emplois autonomes. Comme pour les emplois rémunérés, les Canadiens plus jeunes connaissent un roulement plus élevé lorsqu'ils occupent un emploi autonome. Ils sont plus susceptibles non seulement de créer un tel emploi, mais aussi, et de loin, de le quitter. L'expérience préalable d'un emploi rémunéré et d'un emploi autonome augmente dans les deux cas la probabilité de créer un travail autonome. Plus longtemps une personne occupe un travail autonome, moins elle est susceptible de le quitter. Si le conjoint est en affaires (occupant un emploi autonome), la possibilité que l'autre conjoint occupe à son tour un emploi autonome augmente sensiblement, car un conjoint travailleur autonome amène souvent l'autre à se joindre à l'entreprise familiale ou à démarrer sa propre entreprise. On constate également qu'un revenu familial stable provenant de l'emploi rémunéré du conjoint augmente la viabilité financière du travailleur autonome (l'autre conjoint) en lui permettant de poursuivre son entreprise, ce qui réduit la possibilité qu'il quitte son emploi autonome.
Date de diffusion : 1999-03-22
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