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Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Stats en bref : 45-28-0001202100100004
    Description :

    Les risques de mortalité de la COVID-19 sont plus élevés pour certains Canadiens (p.ex., les personnes âgées, en particulier celles qui vivent dans des résidences de soins de longue durée, etc.). Pour les Canadiens qui vivent à proximité, il pourrait y avoir un risque accru. Cet article examine le taux de mortalité de la COVID-19 associée aux personnes qui vivent dans différents types de logements privés au Québec et en Ontario. En outre, la taille du ménage et les situations des particuliers dans les ménages sont également étudiées.

    Date de diffusion : 2021-04-13

  • Articles et rapports : 11-633-X2020001
    Description :

    La présente étude porte sur différentes mesures de la diversité des revenus au sein d’unités géographiques et les applique en utilisant des données sur le revenu détaillées au niveau géographique qui sont dérivées des déclarations de revenus. Elle permet de faire ressortir les caractéristiques de ces mesures, en particulier leur facilité d’interprétation et leur adaptabilité à la décomposition à divers niveaux d’analyse, en allant des quartiers aux immeubles d’appartements individuels. L’analyse porte sur trois mesures : l’indice de dissimilarité, l’indice de théorie de l’information et l’indice de divergence (Indice-D). L’accent est mis en particulier sur l’indice-D, car il s’agit de l’indice qui décrit le plus efficacement la différence entre la répartition des revenus au niveau sous métropolitain (p. ex. quartiers) et celle au niveau métropolitain (c.-à-d. le degré de tri du revenu pour tous les quartiers). De plus, l’indice-D peut systématiquement mesurer les contributions du tri du revenu au sein des quartiers (p. ex. pour tous les immeubles d’appartements individuels) par rapport à la diversité des revenus à l’échelle du quartier et de la région métropolitaine.

    Date de diffusion : 2020-01-21

  • Articles et rapports : 75-001-X200810113202
    Géographie : Canada
    Description :

    Le logement étant la plus importante dépense pour la plupart des ménages, son abordabilité peut avoir un impact considérable sur le bien-être. La mesure de l'abordabilité consiste à comparer les coûts du logement à la capacité des ménages d'y faire face. Jusqu'à présent, l'abordabilité a été mesurée de façon ponctuelle. De nouveaux renseignements permettent de produire le premier examen longitudinal de l'abordabilité des logements. Cet article examine la probabilité de dépenser 30 % ou plus du revenu du ménage sur le logement, la récurrence d'une telle situation et si elle se produit occasionnellement ou de façon persistante.

    Date de diffusion : 2008-03-18

  • Articles et rapports : 75F0002M2008001
    Description :

    Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.

    Date de diffusion : 2008-01-25
Stats en bref (1)

Stats en bref (1) ((1 résultat))

Articles et rapports (3)

Articles et rapports (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 11-633-X2020001
    Description :

    La présente étude porte sur différentes mesures de la diversité des revenus au sein d’unités géographiques et les applique en utilisant des données sur le revenu détaillées au niveau géographique qui sont dérivées des déclarations de revenus. Elle permet de faire ressortir les caractéristiques de ces mesures, en particulier leur facilité d’interprétation et leur adaptabilité à la décomposition à divers niveaux d’analyse, en allant des quartiers aux immeubles d’appartements individuels. L’analyse porte sur trois mesures : l’indice de dissimilarité, l’indice de théorie de l’information et l’indice de divergence (Indice-D). L’accent est mis en particulier sur l’indice-D, car il s’agit de l’indice qui décrit le plus efficacement la différence entre la répartition des revenus au niveau sous métropolitain (p. ex. quartiers) et celle au niveau métropolitain (c.-à-d. le degré de tri du revenu pour tous les quartiers). De plus, l’indice-D peut systématiquement mesurer les contributions du tri du revenu au sein des quartiers (p. ex. pour tous les immeubles d’appartements individuels) par rapport à la diversité des revenus à l’échelle du quartier et de la région métropolitaine.

    Date de diffusion : 2020-01-21

  • Articles et rapports : 75-001-X200810113202
    Géographie : Canada
    Description :

    Le logement étant la plus importante dépense pour la plupart des ménages, son abordabilité peut avoir un impact considérable sur le bien-être. La mesure de l'abordabilité consiste à comparer les coûts du logement à la capacité des ménages d'y faire face. Jusqu'à présent, l'abordabilité a été mesurée de façon ponctuelle. De nouveaux renseignements permettent de produire le premier examen longitudinal de l'abordabilité des logements. Cet article examine la probabilité de dépenser 30 % ou plus du revenu du ménage sur le logement, la récurrence d'une telle situation et si elle se produit occasionnellement ou de façon persistante.

    Date de diffusion : 2008-03-18

  • Articles et rapports : 75F0002M2008001
    Description :

    Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.

    Date de diffusion : 2008-01-25
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