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Tout (3)

Tout (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 36-28-0001202100100004
    Description :

    Ces dernières années, les progrès technologiques en intelligence artificielle et en apprentissage automatique ont élargi le domaine des tâches pouvant être accomplies au moyen de la technologie de l’automatisation. Cette évolution a, par conséquent, soulevé des questions sur l’avenir du travail. Les débats à ce sujet ont surtout été axés sur les éventuelles pertes d’emplois attribuables à l’automatisation, sans prêter autant attention à la façon dont l’automatisation peut modifier la nature des emplois. La présente étude repose sur une approche fondée sur les tâches qui dirige l’attention vers l’évolution de la nature du travail au Canada plutôt que sur le remplacement des emplois. Cette approche considère les professions comme un ensemble de tâches, ce qui permet aux chercheurs d’évaluer les effets de l’automatisation dans le contexte de l’évolution des tâches de travail.

    Date de diffusion : 2021-01-27

  • Articles et rapports : 11F0019M2016386
    Description :

    Le présent document vise à déterminer si la recherche et développement (R-D) stimule chez les entreprises le niveau de compétitivité nécessaire à leur entrée sur les marchés d’exportation et si, à son tour, la participation aux marchés d’exportation fait croître les dépenses en R-D des entreprises. Il a été démontré que les entreprises canadiennes qui n’avaient pas effectué d’exportations auparavant et qui se sont lancées sur les marchés d’exportation au cours de la première décennie des années 2000 ont non seulement vu leur productivité et leur taille augmenter, selon les constatations publiées au cours des décennies précédentes, mais sont également plus susceptibles d’avoir investi dans des activités de R-D. Les dépenses extra-muros en R-D (pour l’acquisition auprès de fournisseurs canadiens et étrangers) et les dépenses intra-muros en R-D (pour les activités effectuées par l’entreprise elle-même) augmentent la capacité des entreprises à percer les marchés d’exportation. L’activité d’exportation a également une incidence importante sur les dépenses en R-D subséquentes, les entreprises exportatrices étant plus susceptibles de commencer à investir dans des activités de R-D. Les entreprises qui ont commencé à exporter leurs produits ou services ont accru leurs dépenses extra-muros en R-D pendant l’année où les exportations ont eu lieu.

    Date de diffusion : 2016-11-28

  • Articles et rapports : 11F0019M1999137
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article fait état des données probantes recueillies par le biais de plusieurs études de Statistique Canada sur l'importance de l'innovation en tant que facteur de croissance et sur les besoins des entreprises novatrices en matière de travailleurs hautement qualifiés. Plutôt que de nous concentrer sur de grands regroupements d'industries, comme c'est souvent le cas, nous avons préféré axer nos travaux sur les entreprises et leur comportement. Cette démarche nous permet de mieux comprendre le lien entre les stratégies et la réussite des entreprises.

    Nous avons observé que les entreprises prospères attribuent leur réussite à l'acquisition de compétences dans une vaste gamme de domaines. Cependant, l'innovation reste le facteur commun qui permet le plus souvent de distinguer les entreprises qui affichent une croissance rapide de celles dont l'expansion est plus lente. Les entreprises innovatrices, à leur tour, portent plus d'attention à l'acquisition et à la formation d'une main-d'oeuvre qualifiée.

    Les études démontrent également que l'importance accordée à une main-d'oeuvre hautement qualifiée varie d'une industrie à l'autre. Dans les industries de biens, la stratégie de formation complète la stratégie en matière d'innovation axée sur la R et D, l'adoption de nouvelles technologies de pointe ou la mise au point de nouveaux procédés. Les petites entreprises innovatrices assurent la formation de ses employés lorsqu'elles mettent en service de nouvelles machines et du nouveau matériel. Dans le secteur des services, la stratégie en matière d'innovation s'appuie dans une moindre mesure sur les nouvelles immobilisations et davantage sur les nouvelles compétences de la main-d'oeuvre. Il appert qu'une stratégie de formation, en soi, a une incidence plus marquée sur la réussite de l'entreprise, vraisemblablement parce qu'elle est plus susceptible d'être la stratégie par excellence de l'entreprise en matière d'innovation.

    Date de diffusion : 1999-11-30
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Articles et rapports (3)

Articles et rapports (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 36-28-0001202100100004
    Description :

    Ces dernières années, les progrès technologiques en intelligence artificielle et en apprentissage automatique ont élargi le domaine des tâches pouvant être accomplies au moyen de la technologie de l’automatisation. Cette évolution a, par conséquent, soulevé des questions sur l’avenir du travail. Les débats à ce sujet ont surtout été axés sur les éventuelles pertes d’emplois attribuables à l’automatisation, sans prêter autant attention à la façon dont l’automatisation peut modifier la nature des emplois. La présente étude repose sur une approche fondée sur les tâches qui dirige l’attention vers l’évolution de la nature du travail au Canada plutôt que sur le remplacement des emplois. Cette approche considère les professions comme un ensemble de tâches, ce qui permet aux chercheurs d’évaluer les effets de l’automatisation dans le contexte de l’évolution des tâches de travail.

    Date de diffusion : 2021-01-27

  • Articles et rapports : 11F0019M2016386
    Description :

    Le présent document vise à déterminer si la recherche et développement (R-D) stimule chez les entreprises le niveau de compétitivité nécessaire à leur entrée sur les marchés d’exportation et si, à son tour, la participation aux marchés d’exportation fait croître les dépenses en R-D des entreprises. Il a été démontré que les entreprises canadiennes qui n’avaient pas effectué d’exportations auparavant et qui se sont lancées sur les marchés d’exportation au cours de la première décennie des années 2000 ont non seulement vu leur productivité et leur taille augmenter, selon les constatations publiées au cours des décennies précédentes, mais sont également plus susceptibles d’avoir investi dans des activités de R-D. Les dépenses extra-muros en R-D (pour l’acquisition auprès de fournisseurs canadiens et étrangers) et les dépenses intra-muros en R-D (pour les activités effectuées par l’entreprise elle-même) augmentent la capacité des entreprises à percer les marchés d’exportation. L’activité d’exportation a également une incidence importante sur les dépenses en R-D subséquentes, les entreprises exportatrices étant plus susceptibles de commencer à investir dans des activités de R-D. Les entreprises qui ont commencé à exporter leurs produits ou services ont accru leurs dépenses extra-muros en R-D pendant l’année où les exportations ont eu lieu.

    Date de diffusion : 2016-11-28

  • Articles et rapports : 11F0019M1999137
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article fait état des données probantes recueillies par le biais de plusieurs études de Statistique Canada sur l'importance de l'innovation en tant que facteur de croissance et sur les besoins des entreprises novatrices en matière de travailleurs hautement qualifiés. Plutôt que de nous concentrer sur de grands regroupements d'industries, comme c'est souvent le cas, nous avons préféré axer nos travaux sur les entreprises et leur comportement. Cette démarche nous permet de mieux comprendre le lien entre les stratégies et la réussite des entreprises.

    Nous avons observé que les entreprises prospères attribuent leur réussite à l'acquisition de compétences dans une vaste gamme de domaines. Cependant, l'innovation reste le facteur commun qui permet le plus souvent de distinguer les entreprises qui affichent une croissance rapide de celles dont l'expansion est plus lente. Les entreprises innovatrices, à leur tour, portent plus d'attention à l'acquisition et à la formation d'une main-d'oeuvre qualifiée.

    Les études démontrent également que l'importance accordée à une main-d'oeuvre hautement qualifiée varie d'une industrie à l'autre. Dans les industries de biens, la stratégie de formation complète la stratégie en matière d'innovation axée sur la R et D, l'adoption de nouvelles technologies de pointe ou la mise au point de nouveaux procédés. Les petites entreprises innovatrices assurent la formation de ses employés lorsqu'elles mettent en service de nouvelles machines et du nouveau matériel. Dans le secteur des services, la stratégie en matière d'innovation s'appuie dans une moindre mesure sur les nouvelles immobilisations et davantage sur les nouvelles compétences de la main-d'oeuvre. Il appert qu'une stratégie de formation, en soi, a une incidence plus marquée sur la réussite de l'entreprise, vraisemblablement parce qu'elle est plus susceptible d'être la stratégie par excellence de l'entreprise en matière d'innovation.

    Date de diffusion : 1999-11-30
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