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  • Articles et rapports : 75-001-X20061129544
    Géographie : Canada
    Description :

    Les discussions relatives aux heures de travail sont d'habitude suscitées par des études transversales. Mais on en sait beaucoup moins concernant la perspective longitudinale et la persistance des longues heures de travail ou des périodes de sous-emploi. Cet article examine les heures de travail annuelles des employés sur une période de cinq ans pour déterminer la proportion d'entre eux qui font des années de travail variables et comment cela se répercute sur leur bien-être.

    Date de diffusion : 2007-03-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2007293
    Géographie : Canada, Région géographique du Canada, Province ou territoire
    Description :

    Depuis quelques années, les différences dans les heures de travail entre le Canada et d'autres pays ont fait l'objet de nombreuses recherches. Par contre, on a accordé généralement moins d'attention aux différences régionales dans les heures de travail, même si certaines des différences interrégionales au niveau de la moyenne des heures annuelles sont comparables à la différence qui existe dans les heures de travail entre le Canada et les États-Unis. À l'aide des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu de 2004, la présente étude examine dans quelle mesure les différences dans les heures de travail entre l'Ontario et cinq autres régions du Canada peuvent être expliquées par des différences « observables », ce qui comprend les différences dans le statut syndical, la structure industrielle, les conditions d'emploi et les caractéristiques démographiques. Ces différences « observables » sont relativement efficaces pour expliquer les différences entre la part des personnes qui travaillent à temps réduit et la part de celles qui travaillent selon un horaire à temps plein toute l'année. Par contre, elles n'expliquent pas pourquoi certaines régions ont une plus grande part de personnes travaillant de longues heures, n'expliquent pas entièrement la part plus élevée de travailleurs à temps réduit en Atlantique et en Colombie-Britannique, et n'expliquent pas pourquoi les Québécois sont beaucoup plus susceptibles de travailler selon un horaire à temps plein toute l'année « moins chargé ». Ainsi, les différences qui demeurent inexpliquées laissent entendre que des facteurs « non observables » (ceux qui sont plus difficiles à observer dans les enquêtes-ménages) contribuent aussi à exacerber les différences régionales dans les heures de travail. Ceux-ci comprennent notamment les incitations liées aux inégalités des salaires, les incitations ou désincitations liées aux politiques fiscales progressives, les différences dans les conditions d'emploi, les différences sur le plan des préférences, ainsi que les différences institutionnelles.

    Date de diffusion : 2007-01-22

  • Articles et rapports : 11F0019M2006278
    Géographie : Canada
    Description :

    Les auteurs de nombreuses études des heures de travail ont tiré d'importantes conclusions des résultats des enquêtes transversales. Par exemple, à tout moment donné, la part des personnes qui travaillent de longues heures est assez importante. En outre, elle semble avoir augmenté au cours des deux dernières décennies, faisant ressortir la nécessité d'élaborer des politiques visant à réduire les divergences entre les heures de travail des travailleurs ou à réduire la durée du travail de façon générale. Toutefois, si les heures de travail varient considérablement au niveau individuel au fil du temps, alors les conclusions fondées sur les études de données transversales peuvent être incomplètes. D'après les données longitudinales de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu, nous concluons à une variation importante du nombre annuel d'heures de travail au fil du temps, au niveau individuel. En fait, près de la moitié de l'inégalité transversale dans le nombre annuel d'heures de travail résulte de l'instabilité des heures au niveau individuel. En outre, très peu de personnes travaillent systématiquement de longues heures. Nous montrons que l'instabilité des heures de travail est liée à des emplois de moins bonne qualité, au travail atypique, aux niveaux de faible revenu, au stress et au mauvais état de santé. Cela indique que les heures de travail variables ne sont probablement pas le résultat d'un choix; il est plus probable que ces travailleurs ne peuvent trouver un emploi plus stable. L'absence de persistance dans les longues heures de travail et la forte instabilité des heures de travail au niveau individuel vont à l'encontre des arguments fondés sur l'équité en faveur de l'adoption de politiques visant à réduire la durée du travail. De plus, nos recherches montrent que les politiques destinées à réduire l'instabilité des heures de travail pourraient être dans l'intérêt des travailleurs.

    Date de diffusion : 2006-03-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2006279
    Géographie : Canada
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée: Instabilité des heures de travail au Canada.

    Les auteurs de nombreuses études des heures de travail ont tiré d'importantes conclusions des résultats des enquêtes transversales. Par exemple, à tout moment donné, la part des personnes qui travaillent de longues heures est assez importante. En outre, elle semble avoir augmenté au cours des deux dernières décennies, faisant ressortir la nécessité d'élaborer des politiques visant à réduire les divergences entre les heures de travail des travailleurs ou à réduire la durée du travail de façon générale. Toutefois, si les heures de travail varient considérablement au niveau individuel au fil du temps, alors les conclusions fondées sur les études de données transversales peuvent être incomplètes. D'après les données longitudinales de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu, nous concluons à une variation importante du nombre annuel d'heures de travail au fil du temps, au niveau individuel. En fait, près de la moitié de l'inégalité transversale dans le nombre annuel d'heures de travail résulte de l'instabilité des heures au niveau individuel. En outre, très peu de personnes travaillent systématiquement de longues heures. Nous montrons que l'instabilité des heures de travail est liée à des emplois de moins bonne qualité, au travail atypique, aux niveaux de faible revenu, au stress et au mauvais état de santé. Cela indique que les heures de travail variables ne sont probablement pas le résultat d'un choix; il est plus probable que ces travailleurs ne peuvent trouver un emploi plus stable. L'absence de persistance dans les longues heures de travail et la forte instabilité des heures de travail au niveau individuel vont à l'encontre des arguments fondés sur l'équité en faveur de l'adoption de politiques visant à réduire la durée du travail. De plus, nos recherches montrent que les politiques destinées à réduire l'instabilité des heures de travail pourraient être dans l'intérêt des travailleurs.

    Date de diffusion : 2006-03-29

  • Articles et rapports : 11-008-X20050038967
    Géographie : Canada
    Description :

    Depuis quelques années, les tendances de navettage sont devenues plus complexes, l'emploi ayant progressé plus rapidement dans les banlieues que dans les secteurs du noyau urbain. Étant limitées à peu d'options pratiques en ce qui a trait au transport en commun, le nombre croissant de personnes qui font la navette d'un bout à l'autre de ces banlieues conduisent pour se rendre au travail. Le présent article examine les tendances de navettage de 1996 à 2001, celles-ci ayant un rapport avec la récente progression de l'emploi dans les banlieues. On y présente brièvement les caractéristiques démographiques des navetteurs et on se penche sur certaines conséquences resultant du changement dans l'emplacement des emplois et dans les tendances de navettage sur l'infrastructure des villes canadiennes.

    Date de diffusion : 2005-12-06

  • Articles et rapports : 89-613-M2005007
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport porte sur l'emplacement des emplois dans 27 régions métropolitaines de recensement, une attention plus particulière étant accordée à l'évolution de la situation à Québec, Montréal, Ottawa-Hull, Toronto, Winnipeg, Calgary, Edmonton et Vancouver. En outre, on y analyse les modes de transport utilisés par les navetteurs pour se rendre au travail, en mettant l'accent sur l'utilisation du transport en commun et de la voiture (comme conducteur ou comme passager).

    Alors que les régions métropolitaines de recensement du Canada ont continué d'être caractérisées par une forte concentration des emplois au centre ville, entre 1996 et 2001 l'emploi a crû plus rapidement dans les banlieues des régions métropolitaines de recensement les plus grandes que dans les centres villes. L'une des caractéristiques de la croissance de l'emploi en banlieue est le déplacement des activités manufacturières du centre ville vers les banlieues. Le commerce de détail s'est également déplacé du centre ville vers les banlieues.

    Relativement peu de travailleurs employés à l'extérieur du centre ville ont utilisé le transport en commun pour se rendre au travail. La plupart des navetteurs ont conduit leur voiture ou se sont rendus au travail en tant que passagers à bord d'une voiture. Plus le lieu de travail était éloigné du centre ville, plus cette tendance au navettage en voiture s'est accentuée. En outre, les tendances de navettage sont devenues plus complexes, le navettage entre banlieues prenant plus d'importance par rapport aux modèles traditionnels de navettage dans le centre ville et entre le centre ville et la banlieue. De plus, les navetteurs qui se rendaient d'une banlieue à l'autre étaient beaucoup plus susceptibles de conduire que d'utiliser le transport en commun.

    Malgré la décentralisation des emplois dans les régions métropolitaines, les réseaux de transport en commun n'ont pas perdu leur part des navetteurs entre 1996 et 2001. Même si le navettage en voiture vers les emplois situés en banlieue a augmenté, une proportion plus importante des navetteurs se rendant au centre ville ont utilisé le transport en commun. La proportion totale des navetteurs utilisant les réseaux de transport en commun est donc demeurée stable entre 1996 et 2001.

    En outre, selon le rapport, les emplois au centre ville étaient plus spécialisés et mieux rémunérés, et les gains des travailleurs du centre ville ont augmenté plus rapidement entre 1996 et 2001.

    Le rapport est fondé sur les données des recensements du Canada de 1996 et de 2001.

    Date de diffusion : 2005-06-01

  • Articles et rapports : 89-613-M2005006
    Géographie : Canada
    Description :

    Le rapport traite de l'emploi, du chômage, du travail, des gains, de la structure industrielle, de la concentration et de la diversité des industries, du capital humain et de la croissance de la population attribuables à l'immigration et la mobilité dans les régions métropolitaines de recensement (RMR) de 1981 à 2001.

    En 2001, les taux d'emploi et de chômage des résidents des RMR étaient semblables à ceux de 1981 malgré les changements dans la structure de l'économie urbaine et plus particulièrement le déclin de l'importance des manufactures, et la hausse d'emploi dans le secteur des industries des services.

    Les effectifs du marché du travail dans les plus grandes régions urbaines du Canada ont énormément varié en 2001, bien que depuis 1981 la différence entre les RMR est en décroissance, que ce soit au niveau des marchés du travail faibles ou forts.

    De 1981 à 2001, les immigrants, les salariés économiquement faibles et les jeunes travailleurs ont perdu du terrain dans le marché du travail. Au cours de cette même période, les gains des femmes se sont accrus au niveau de l'emploi et des revenus comparativement aux hommes.

    En 2001, la concentration des titulaires de diplômes universitaires se retrouvait dans les RMR. De 1996 à 2001, les immigrants récents ont contribué substantiellement à la croissance de l'ensemble du capital humain dans certaines RMR. Au cours de cette même période, plusieurs petites RMR ont perdu les personnes ayant un niveau d'études élevé et les jeunes au profit des grandes RMR.

    Ce rapport a utilisé les données des Recensements du Canada de 1981, 1991 et 2001 ainsi que celles de l'Enquête sur la population de 1987 à 2003.

    Date de diffusion : 2005-04-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2004217
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document porte sur le lien entre la structure financière et la croissance de l'emploi et des stocks des fabricants canadiens constitués en société au cours de la période allant de 1988 à 1997. On observe que les entreprises financièrement vulnérables - c'est-à-dire celles de petite taille ou avec un niveau d'endettement élevé - réduisent davantage leur effectif (10 % de plus) que les entreprises prospères lorsque survient une baisse donnée de la demande de produits. Cette incidence était plus marquée durant la récession de 1990 à 1992, ce qui est l'indication qu'une plus grande vulnérabilité financière, se traduisant par un haut niveau d'endettement, peut avoir contribué à aggraver cette récession. Les effets sont plus importants dans les branches d'activité où on note des fluctuations cycliques plus marquées. En général, les entreprises plus endettées tendent à réduire davantage leurs stocks (dans une proportion de 5 %) lorsque survient un choc de la demande.

    Date de diffusion : 2004-02-18

  • Articles et rapports : 11F0019M2003209
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document porte sur le nombre d'heures de travail aux États'Unis et au Canada au cours de la période allant de 1979 à 2000. Nous constatons qu'un écart s'est creusé durant les années 80 et s'est accentué considérablement dans les années 90. Nous examinons la possibilité que cet écart s'explique par des différences dans l'offre de main-d'oeuvre, plus particulièrement par 1) les stimulants résultant de l'inégalité des salaires ou 2) les différences dans la participation au marché du travail des femmes, des jeunes ou des hommes plus âgés. Nous constatons que les faits stylisés ne nous permettent pas de conclure à une explication fondée sur l'offre. En fait, la croissance économique plus lente au Canada pendant la plus grande partie des années 1990 (comme le démontre le taux de chômage) semble le mieux expliquer l'élargissement de l'écart entre les heures travaillées aux États-Unis et au Canada, ce qui laisse supposer qu'il faut y chercher une explication du côté de la demande sur le marché du travail.

    Date de diffusion : 2003-09-11
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Articles et rapports (9)

Articles et rapports (9) ((9 résultats))

  • Articles et rapports : 75-001-X20061129544
    Géographie : Canada
    Description :

    Les discussions relatives aux heures de travail sont d'habitude suscitées par des études transversales. Mais on en sait beaucoup moins concernant la perspective longitudinale et la persistance des longues heures de travail ou des périodes de sous-emploi. Cet article examine les heures de travail annuelles des employés sur une période de cinq ans pour déterminer la proportion d'entre eux qui font des années de travail variables et comment cela se répercute sur leur bien-être.

    Date de diffusion : 2007-03-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2007293
    Géographie : Canada, Région géographique du Canada, Province ou territoire
    Description :

    Depuis quelques années, les différences dans les heures de travail entre le Canada et d'autres pays ont fait l'objet de nombreuses recherches. Par contre, on a accordé généralement moins d'attention aux différences régionales dans les heures de travail, même si certaines des différences interrégionales au niveau de la moyenne des heures annuelles sont comparables à la différence qui existe dans les heures de travail entre le Canada et les États-Unis. À l'aide des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu de 2004, la présente étude examine dans quelle mesure les différences dans les heures de travail entre l'Ontario et cinq autres régions du Canada peuvent être expliquées par des différences « observables », ce qui comprend les différences dans le statut syndical, la structure industrielle, les conditions d'emploi et les caractéristiques démographiques. Ces différences « observables » sont relativement efficaces pour expliquer les différences entre la part des personnes qui travaillent à temps réduit et la part de celles qui travaillent selon un horaire à temps plein toute l'année. Par contre, elles n'expliquent pas pourquoi certaines régions ont une plus grande part de personnes travaillant de longues heures, n'expliquent pas entièrement la part plus élevée de travailleurs à temps réduit en Atlantique et en Colombie-Britannique, et n'expliquent pas pourquoi les Québécois sont beaucoup plus susceptibles de travailler selon un horaire à temps plein toute l'année « moins chargé ». Ainsi, les différences qui demeurent inexpliquées laissent entendre que des facteurs « non observables » (ceux qui sont plus difficiles à observer dans les enquêtes-ménages) contribuent aussi à exacerber les différences régionales dans les heures de travail. Ceux-ci comprennent notamment les incitations liées aux inégalités des salaires, les incitations ou désincitations liées aux politiques fiscales progressives, les différences dans les conditions d'emploi, les différences sur le plan des préférences, ainsi que les différences institutionnelles.

    Date de diffusion : 2007-01-22

  • Articles et rapports : 11F0019M2006278
    Géographie : Canada
    Description :

    Les auteurs de nombreuses études des heures de travail ont tiré d'importantes conclusions des résultats des enquêtes transversales. Par exemple, à tout moment donné, la part des personnes qui travaillent de longues heures est assez importante. En outre, elle semble avoir augmenté au cours des deux dernières décennies, faisant ressortir la nécessité d'élaborer des politiques visant à réduire les divergences entre les heures de travail des travailleurs ou à réduire la durée du travail de façon générale. Toutefois, si les heures de travail varient considérablement au niveau individuel au fil du temps, alors les conclusions fondées sur les études de données transversales peuvent être incomplètes. D'après les données longitudinales de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu, nous concluons à une variation importante du nombre annuel d'heures de travail au fil du temps, au niveau individuel. En fait, près de la moitié de l'inégalité transversale dans le nombre annuel d'heures de travail résulte de l'instabilité des heures au niveau individuel. En outre, très peu de personnes travaillent systématiquement de longues heures. Nous montrons que l'instabilité des heures de travail est liée à des emplois de moins bonne qualité, au travail atypique, aux niveaux de faible revenu, au stress et au mauvais état de santé. Cela indique que les heures de travail variables ne sont probablement pas le résultat d'un choix; il est plus probable que ces travailleurs ne peuvent trouver un emploi plus stable. L'absence de persistance dans les longues heures de travail et la forte instabilité des heures de travail au niveau individuel vont à l'encontre des arguments fondés sur l'équité en faveur de l'adoption de politiques visant à réduire la durée du travail. De plus, nos recherches montrent que les politiques destinées à réduire l'instabilité des heures de travail pourraient être dans l'intérêt des travailleurs.

    Date de diffusion : 2006-03-29

  • Articles et rapports : 11F0019M2006279
    Géographie : Canada
    Description :

    Le present article résume les conclusions de le document de recherché intitulée: Instabilité des heures de travail au Canada.

    Les auteurs de nombreuses études des heures de travail ont tiré d'importantes conclusions des résultats des enquêtes transversales. Par exemple, à tout moment donné, la part des personnes qui travaillent de longues heures est assez importante. En outre, elle semble avoir augmenté au cours des deux dernières décennies, faisant ressortir la nécessité d'élaborer des politiques visant à réduire les divergences entre les heures de travail des travailleurs ou à réduire la durée du travail de façon générale. Toutefois, si les heures de travail varient considérablement au niveau individuel au fil du temps, alors les conclusions fondées sur les études de données transversales peuvent être incomplètes. D'après les données longitudinales de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu, nous concluons à une variation importante du nombre annuel d'heures de travail au fil du temps, au niveau individuel. En fait, près de la moitié de l'inégalité transversale dans le nombre annuel d'heures de travail résulte de l'instabilité des heures au niveau individuel. En outre, très peu de personnes travaillent systématiquement de longues heures. Nous montrons que l'instabilité des heures de travail est liée à des emplois de moins bonne qualité, au travail atypique, aux niveaux de faible revenu, au stress et au mauvais état de santé. Cela indique que les heures de travail variables ne sont probablement pas le résultat d'un choix; il est plus probable que ces travailleurs ne peuvent trouver un emploi plus stable. L'absence de persistance dans les longues heures de travail et la forte instabilité des heures de travail au niveau individuel vont à l'encontre des arguments fondés sur l'équité en faveur de l'adoption de politiques visant à réduire la durée du travail. De plus, nos recherches montrent que les politiques destinées à réduire l'instabilité des heures de travail pourraient être dans l'intérêt des travailleurs.

    Date de diffusion : 2006-03-29

  • Articles et rapports : 11-008-X20050038967
    Géographie : Canada
    Description :

    Depuis quelques années, les tendances de navettage sont devenues plus complexes, l'emploi ayant progressé plus rapidement dans les banlieues que dans les secteurs du noyau urbain. Étant limitées à peu d'options pratiques en ce qui a trait au transport en commun, le nombre croissant de personnes qui font la navette d'un bout à l'autre de ces banlieues conduisent pour se rendre au travail. Le présent article examine les tendances de navettage de 1996 à 2001, celles-ci ayant un rapport avec la récente progression de l'emploi dans les banlieues. On y présente brièvement les caractéristiques démographiques des navetteurs et on se penche sur certaines conséquences resultant du changement dans l'emplacement des emplois et dans les tendances de navettage sur l'infrastructure des villes canadiennes.

    Date de diffusion : 2005-12-06

  • Articles et rapports : 89-613-M2005007
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport porte sur l'emplacement des emplois dans 27 régions métropolitaines de recensement, une attention plus particulière étant accordée à l'évolution de la situation à Québec, Montréal, Ottawa-Hull, Toronto, Winnipeg, Calgary, Edmonton et Vancouver. En outre, on y analyse les modes de transport utilisés par les navetteurs pour se rendre au travail, en mettant l'accent sur l'utilisation du transport en commun et de la voiture (comme conducteur ou comme passager).

    Alors que les régions métropolitaines de recensement du Canada ont continué d'être caractérisées par une forte concentration des emplois au centre ville, entre 1996 et 2001 l'emploi a crû plus rapidement dans les banlieues des régions métropolitaines de recensement les plus grandes que dans les centres villes. L'une des caractéristiques de la croissance de l'emploi en banlieue est le déplacement des activités manufacturières du centre ville vers les banlieues. Le commerce de détail s'est également déplacé du centre ville vers les banlieues.

    Relativement peu de travailleurs employés à l'extérieur du centre ville ont utilisé le transport en commun pour se rendre au travail. La plupart des navetteurs ont conduit leur voiture ou se sont rendus au travail en tant que passagers à bord d'une voiture. Plus le lieu de travail était éloigné du centre ville, plus cette tendance au navettage en voiture s'est accentuée. En outre, les tendances de navettage sont devenues plus complexes, le navettage entre banlieues prenant plus d'importance par rapport aux modèles traditionnels de navettage dans le centre ville et entre le centre ville et la banlieue. De plus, les navetteurs qui se rendaient d'une banlieue à l'autre étaient beaucoup plus susceptibles de conduire que d'utiliser le transport en commun.

    Malgré la décentralisation des emplois dans les régions métropolitaines, les réseaux de transport en commun n'ont pas perdu leur part des navetteurs entre 1996 et 2001. Même si le navettage en voiture vers les emplois situés en banlieue a augmenté, une proportion plus importante des navetteurs se rendant au centre ville ont utilisé le transport en commun. La proportion totale des navetteurs utilisant les réseaux de transport en commun est donc demeurée stable entre 1996 et 2001.

    En outre, selon le rapport, les emplois au centre ville étaient plus spécialisés et mieux rémunérés, et les gains des travailleurs du centre ville ont augmenté plus rapidement entre 1996 et 2001.

    Le rapport est fondé sur les données des recensements du Canada de 1996 et de 2001.

    Date de diffusion : 2005-06-01

  • Articles et rapports : 89-613-M2005006
    Géographie : Canada
    Description :

    Le rapport traite de l'emploi, du chômage, du travail, des gains, de la structure industrielle, de la concentration et de la diversité des industries, du capital humain et de la croissance de la population attribuables à l'immigration et la mobilité dans les régions métropolitaines de recensement (RMR) de 1981 à 2001.

    En 2001, les taux d'emploi et de chômage des résidents des RMR étaient semblables à ceux de 1981 malgré les changements dans la structure de l'économie urbaine et plus particulièrement le déclin de l'importance des manufactures, et la hausse d'emploi dans le secteur des industries des services.

    Les effectifs du marché du travail dans les plus grandes régions urbaines du Canada ont énormément varié en 2001, bien que depuis 1981 la différence entre les RMR est en décroissance, que ce soit au niveau des marchés du travail faibles ou forts.

    De 1981 à 2001, les immigrants, les salariés économiquement faibles et les jeunes travailleurs ont perdu du terrain dans le marché du travail. Au cours de cette même période, les gains des femmes se sont accrus au niveau de l'emploi et des revenus comparativement aux hommes.

    En 2001, la concentration des titulaires de diplômes universitaires se retrouvait dans les RMR. De 1996 à 2001, les immigrants récents ont contribué substantiellement à la croissance de l'ensemble du capital humain dans certaines RMR. Au cours de cette même période, plusieurs petites RMR ont perdu les personnes ayant un niveau d'études élevé et les jeunes au profit des grandes RMR.

    Ce rapport a utilisé les données des Recensements du Canada de 1981, 1991 et 2001 ainsi que celles de l'Enquête sur la population de 1987 à 2003.

    Date de diffusion : 2005-04-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2004217
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document porte sur le lien entre la structure financière et la croissance de l'emploi et des stocks des fabricants canadiens constitués en société au cours de la période allant de 1988 à 1997. On observe que les entreprises financièrement vulnérables - c'est-à-dire celles de petite taille ou avec un niveau d'endettement élevé - réduisent davantage leur effectif (10 % de plus) que les entreprises prospères lorsque survient une baisse donnée de la demande de produits. Cette incidence était plus marquée durant la récession de 1990 à 1992, ce qui est l'indication qu'une plus grande vulnérabilité financière, se traduisant par un haut niveau d'endettement, peut avoir contribué à aggraver cette récession. Les effets sont plus importants dans les branches d'activité où on note des fluctuations cycliques plus marquées. En général, les entreprises plus endettées tendent à réduire davantage leurs stocks (dans une proportion de 5 %) lorsque survient un choc de la demande.

    Date de diffusion : 2004-02-18

  • Articles et rapports : 11F0019M2003209
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document porte sur le nombre d'heures de travail aux États'Unis et au Canada au cours de la période allant de 1979 à 2000. Nous constatons qu'un écart s'est creusé durant les années 80 et s'est accentué considérablement dans les années 90. Nous examinons la possibilité que cet écart s'explique par des différences dans l'offre de main-d'oeuvre, plus particulièrement par 1) les stimulants résultant de l'inégalité des salaires ou 2) les différences dans la participation au marché du travail des femmes, des jeunes ou des hommes plus âgés. Nous constatons que les faits stylisés ne nous permettent pas de conclure à une explication fondée sur l'offre. En fait, la croissance économique plus lente au Canada pendant la plus grande partie des années 1990 (comme le démontre le taux de chômage) semble le mieux expliquer l'élargissement de l'écart entre les heures travaillées aux États-Unis et au Canada, ce qui laisse supposer qu'il faut y chercher une explication du côté de la demande sur le marché du travail.

    Date de diffusion : 2003-09-11
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