Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (7)

Tout (7) ((7 résultats))

  • Articles et rapports : 36-28-0001202100500006
    Description :

    Les liens qui existent entre les caractéristiques des quartiers et les résultats en matière de santé, et entre les caractéristiques des quartiers et la satisfaction à l’égard du voisinage, ont fait l’objet de nombreuses études, mais peu d’attention a été accordée aux liens entre ces caractéristiques et le bien-être subjectif, notamment en ce qui a trait à la satisfaction à l’égard de la vie. Cette étude a pour objet de combler cette lacune et d’éclairer l’élaboration de politiques en lien avec la vie de quartier, lesquelles visent à améliorer le bien-être général et suscitent un intérêt grandissant.

    Date de diffusion : 2021-05-26

  • Articles et rapports : 62F0014M2020005
    Description :

    Une analyse des tendances de la demande des consommateurs canadiens et des ventes utilisant les données transactionnelles des produits d'épicerie dans la foulée de l'épidémie de la COVID-19. Cette analyse comprend les ventes d'épiceries canadiennes jusqu'au 11 avril.

    Date de diffusion : 2020-05-11

  • Articles et rapports : 62F0014M2020004
    Description :

    Une analyse des tendances de la demande des consommateurs canadiens et des ventes utilisant les données transactionnelles des produits d'épicerie dans la foulée de l'épidémie de la COVID-19.

    Date de diffusion : 2020-04-08

  • Articles et rapports : 11-633-X2020001
    Description :

    La présente étude porte sur différentes mesures de la diversité des revenus au sein d’unités géographiques et les applique en utilisant des données sur le revenu détaillées au niveau géographique qui sont dérivées des déclarations de revenus. Elle permet de faire ressortir les caractéristiques de ces mesures, en particulier leur facilité d’interprétation et leur adaptabilité à la décomposition à divers niveaux d’analyse, en allant des quartiers aux immeubles d’appartements individuels. L’analyse porte sur trois mesures : l’indice de dissimilarité, l’indice de théorie de l’information et l’indice de divergence (Indice-D). L’accent est mis en particulier sur l’indice-D, car il s’agit de l’indice qui décrit le plus efficacement la différence entre la répartition des revenus au niveau sous métropolitain (p. ex. quartiers) et celle au niveau métropolitain (c.-à-d. le degré de tri du revenu pour tous les quartiers). De plus, l’indice-D peut systématiquement mesurer les contributions du tri du revenu au sein des quartiers (p. ex. pour tous les immeubles d’appartements individuels) par rapport à la diversité des revenus à l’échelle du quartier et de la région métropolitaine.

    Date de diffusion : 2020-01-21

  • Articles et rapports : 75F0002M2008001
    Description :

    Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.

    Date de diffusion : 2008-01-25

  • Articles et rapports : 11F0024M20040007613
    Description :

    Dans cette étude, on examine les tendances passées et à venir des contribuables canadiens au chapitre des données démographiques, de la population active, des technologies, des caractéristiques socioéconomiques et de la programmation financière. Cette étude regroupe les recherches de Statistique Canada avec celles réalisées ailleurs pour faire la lumière sur les nouvelles tendances pertinentes concernant la fiscalité et l'observation par les particuliers du Canada.

    Date de diffusion : 2004-11-25

  • Articles et rapports : 12-001-X19970013103
    Description :

    Les auteurs décrivent certaines méthodes diagnostiques simples utilisées pour guider la construction de cellules de correction pour la non-réponse. S'inspirant des travaux de Little (1986), ils étudient la construction de cellules de correction par regroupement d'unités d'échantillonnage selon la probabilité estimée de réponse ou selon la réponse estimée aux questions de l'enquête. Ils examinent plus particulièrement l'évaluation de la sensibilité des estimations corrigées de la moyenne à la variation de k, c'est-à-dire le nombre de cellules utilisées, le dépistage de cellules particulières qui nécessitent une mise au point supplémentaire, la comparaison des estimations corrigées et non corrigées de la moyenne et la comparaison des estimations obtenues au moyen des cellules fondées sur la probabilité estimée de réponse, d'une part, et sur la réponse estimée aux questions, d'autre part. Les auteurs justifient les méthodes proposées et les illustrent par une application à l'estimation du revenu moyen des unités de la U.S. Consumer Expenditure Survey.

    Date de diffusion : 1997-08-18
Stats en bref (0)

Stats en bref (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Articles et rapports (7)

Articles et rapports (7) ((7 résultats))

  • Articles et rapports : 36-28-0001202100500006
    Description :

    Les liens qui existent entre les caractéristiques des quartiers et les résultats en matière de santé, et entre les caractéristiques des quartiers et la satisfaction à l’égard du voisinage, ont fait l’objet de nombreuses études, mais peu d’attention a été accordée aux liens entre ces caractéristiques et le bien-être subjectif, notamment en ce qui a trait à la satisfaction à l’égard de la vie. Cette étude a pour objet de combler cette lacune et d’éclairer l’élaboration de politiques en lien avec la vie de quartier, lesquelles visent à améliorer le bien-être général et suscitent un intérêt grandissant.

    Date de diffusion : 2021-05-26

  • Articles et rapports : 62F0014M2020005
    Description :

    Une analyse des tendances de la demande des consommateurs canadiens et des ventes utilisant les données transactionnelles des produits d'épicerie dans la foulée de l'épidémie de la COVID-19. Cette analyse comprend les ventes d'épiceries canadiennes jusqu'au 11 avril.

    Date de diffusion : 2020-05-11

  • Articles et rapports : 62F0014M2020004
    Description :

    Une analyse des tendances de la demande des consommateurs canadiens et des ventes utilisant les données transactionnelles des produits d'épicerie dans la foulée de l'épidémie de la COVID-19.

    Date de diffusion : 2020-04-08

  • Articles et rapports : 11-633-X2020001
    Description :

    La présente étude porte sur différentes mesures de la diversité des revenus au sein d’unités géographiques et les applique en utilisant des données sur le revenu détaillées au niveau géographique qui sont dérivées des déclarations de revenus. Elle permet de faire ressortir les caractéristiques de ces mesures, en particulier leur facilité d’interprétation et leur adaptabilité à la décomposition à divers niveaux d’analyse, en allant des quartiers aux immeubles d’appartements individuels. L’analyse porte sur trois mesures : l’indice de dissimilarité, l’indice de théorie de l’information et l’indice de divergence (Indice-D). L’accent est mis en particulier sur l’indice-D, car il s’agit de l’indice qui décrit le plus efficacement la différence entre la répartition des revenus au niveau sous métropolitain (p. ex. quartiers) et celle au niveau métropolitain (c.-à-d. le degré de tri du revenu pour tous les quartiers). De plus, l’indice-D peut systématiquement mesurer les contributions du tri du revenu au sein des quartiers (p. ex. pour tous les immeubles d’appartements individuels) par rapport à la diversité des revenus à l’échelle du quartier et de la région métropolitaine.

    Date de diffusion : 2020-01-21

  • Articles et rapports : 75F0002M2008001
    Description :

    Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.

    Date de diffusion : 2008-01-25

  • Articles et rapports : 11F0024M20040007613
    Description :

    Dans cette étude, on examine les tendances passées et à venir des contribuables canadiens au chapitre des données démographiques, de la population active, des technologies, des caractéristiques socioéconomiques et de la programmation financière. Cette étude regroupe les recherches de Statistique Canada avec celles réalisées ailleurs pour faire la lumière sur les nouvelles tendances pertinentes concernant la fiscalité et l'observation par les particuliers du Canada.

    Date de diffusion : 2004-11-25

  • Articles et rapports : 12-001-X19970013103
    Description :

    Les auteurs décrivent certaines méthodes diagnostiques simples utilisées pour guider la construction de cellules de correction pour la non-réponse. S'inspirant des travaux de Little (1986), ils étudient la construction de cellules de correction par regroupement d'unités d'échantillonnage selon la probabilité estimée de réponse ou selon la réponse estimée aux questions de l'enquête. Ils examinent plus particulièrement l'évaluation de la sensibilité des estimations corrigées de la moyenne à la variation de k, c'est-à-dire le nombre de cellules utilisées, le dépistage de cellules particulières qui nécessitent une mise au point supplémentaire, la comparaison des estimations corrigées et non corrigées de la moyenne et la comparaison des estimations obtenues au moyen des cellules fondées sur la probabilité estimée de réponse, d'une part, et sur la réponse estimée aux questions, d'autre part. Les auteurs justifient les méthodes proposées et les illustrent par une application à l'estimation du revenu moyen des unités de la U.S. Consumer Expenditure Survey.

    Date de diffusion : 1997-08-18
Revues et périodiques (0)

Revues et périodiques (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Date de modification :