Familles et ménages
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- Articles et rapports : 89-652-X2024001Description : Basé sur les données de l’enquête sociale générale sur la famille de 2017, cet article examine le calendrier et le risque de dissolution des premières unions au Canada. Il s’agit d’une analyse comparative selon le sexe et le statut d’immigrant reçu qui porte sur les personnes qui étaient âgées de 20 ans et plus au moment de l’enquête et qui avaient déjà été en couple, mariage ou union libre, au moins une fois.Date de diffusion : 2024-03-11
- Articles et rapports : 11F0019M2020004Description :
Contrairement aux personnes dans la catégorie de l’immigration économique et aux immigrants de la catégorie du regroupement familial, qui choisissent pour la plupart eux-mêmes l’endroit où ils vont s’établir au Canada, le lieu d’établissement initial des réfugiés est fortement influencé par les programmes de réinstallation du gouvernement. On attribue aux réfugiés pris en charge par le gouvernement (RPG) l’une des nombreuses collectivités désignées selon un quota régional de réfugiés approuvé au préalable et en fonction de la correspondance entre les besoins des réfugiés et les ressources communautaires. Les réfugiés parrainés par le secteur privé (RPSP) sont accueillis par leurs répondants, qui sont dispersés dans tout le pays. Bien que des travaux de recherche antérieurs laissent entendre que les réfugiés, en particulier les RPG, sont plus susceptibles d’entreprendre une migration secondaire que les autres immigrants, aucune étude quantitative à grande échelle n’a comparé les taux à long terme de départ des villes de destination initiale pour différentes catégories d’immigrants. La présente étude compare la migration secondaire à long terme au Canada selon la catégorie d’admission des immigrants et met l’accent sur la taille de la ville où ils s’établissent initialement.
Date de diffusion : 2020-01-28 - Articles et rapports : 11-626-X2019011Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription : De 1980 à 2017, le Canada a accueilli 1 088 000 réfugiés, c’est-à-dire une moyenne d’environ 30 000 réfugiés par année. Pour nombre d’entre eux, l’accession à la propriété est une étape importante dans leur cheminement vers l’intégration sociale et économique. Le présent article de la série Aperçus économiques présente de nouvelles données sur la propriété résidentielle chez les résidents qui sont venus au Canada à titre de réfugiés réinstallés. Il présente une comparaison du nombre d’habitations appartenant à des réfugiés à Vancouver et à Toronto et du nombre d’habitations appartenant à des résidents nés au Canada, en mettant en évidence les écarts dans la valeur des propriétés entre les divers segments du marché de l’habitation. Les renseignements sur l’emplacement, l’âge et la taille des propriétés, ainsi que sur l’âge et le revenu des propriétaires servent à évaluer les écarts relatifs dans la valeur des propriétés entre les deux groupes. Les estimations sont fondées sur les données recueillies dans le cadre du Programme de la statistique du logement canadien, publiées en décembre 2018.Date de diffusion : 2019-06-18
- Articles et rapports : 11-626-X2019001Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Le présent article de la série Aperçus économiques fournit de nouvelles données sur les propriétés résidentielles de Toronto et de Vancouver. Il est uniquement axé sur les propriétés résidentielles appartenant à des résidents canadiens et permet d’évaluer dans quelle mesure les actifs immobiliers des immigrants diffèrent de ceux appartenant à des résidents nés au Canada. Il rend compte de la prévalence de la propriété par des immigrants de différents types de logements, y compris les maisons individuelles, les maisons jumelées, les maisons en rangée et les appartements en copropriété, et permet de comparer les valeurs des actifs immobiliers détenus par les personnes nées au Canada et les immigrants. Des données sur l’emplacement, l’âge et la taille des propriétés sont utilisées pour évaluer les écarts observés dans la valeur relative des logements appartenant à des immigrants.
Date de diffusion : 2019-01-29 - Articles et rapports : 75-006-X201600114639Description :
La présente étude vise à déterminer dans quelle mesure les jeunes adultes de 20 à 29 ans vivent avec leurs parents, selon diverses caractéristiques ethnoculturelles et socioéconomiques. Les résultats sont fondés sur des données de l’Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, ainsi que des données des recensements précédents.
Date de diffusion : 2016-06-15 - Articles et rapports : 11F0019M2005238Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensementDescription :
Par le passé, les familles d'immigrants en âge de travailler dans les grandes agglomérations urbaines du Canada présentaient des taux de propriété de l'habitation supérieurs à ceux de la population de souche. Ces 20 dernières années cependant, l'avantage est passé à la population de souche à cause tant d'une baisse des taux d'immigration que d'une hausse des taux de propriété chez les Canadiens nés au pays. Mon propos sera d'évaluer l'efficacité des modèles standard des choix de consommation avec des indicateurs comme ceux de l'âge, du revenu, de la scolarité et du type de familles et avec plusieurs caractéristiques des immigrants comme éléments d'explication de cette évolution. Je constaterai que le modèle standard explique presque entièrement l'avantage dont jouissaient les immigrants en matière de propriété en 1981, ainsi que la montée des taux de propriété au fil des ans dans la population de souche. Le modèle standard explique toutefois le tiers seulement en gros de l'évolution des taux de 1981 à 2001 dans la population immigrante même après prise en compte de la baisse bien connue des fortunes économiques des immigrants. J'examinerai certaines des conséquences de cette sous-explication et ferai plusieurs recommandations de recherches complémentaires.
Date de diffusion : 2005-02-03 - Articles et rapports : 11F0019M2003197Géographie : CanadaDescription :
L'assimilation économique des immigrants est une préoccupation clé pour les économistes et les responsables de l'élaboration des politiques. De nombreuses études portent sur l'assimilation des immigrants en ce qui a trait au revenu. La présente examine la question du point de vue de la richesse à partir des données de l'Enquête de 1999 sur la sécurité financière.
Nous constatons, dans le cas des famille ayant à leur tête des conjoints, du 40e au 90e centile de la répartition de la richesse, le niveau de richesse des familles d'immigrants est plus élevé que celui des familles nées au Canada et que l'écart de richesse se situe entre 20 000 $ et 78 000 $. Dans le cas des familles mono-parentales, du 55e au 95e centile, le niveau de richesse des familles d'immigrants est plus élevé que celui des familles nées au Canada et l'écart de richesse se situe entre 14 000 $ et 145 000 $. Dans la tranche inférieure de la distribution, cependant, des éléments probants suggèrent que les immigrants ont une richesse inférieure, quoique, l'écart est inférieur à 10 000 $. Les différents résultats des décompositions montrent que l'âge du soutien économique principal (et celui de son conjoint dans le cas des familles mariées) de même que les facteurs qui influent le revenu permanent, expliquent une part significative de l'écart de richesse dans les cas où les familles immigrantes ont une plus grande richesse que les familles nées au Canada. Dans la tranche inférieure de la répartition de la richesse, cependant, l'écart de richesse ne s'explique pas par l'âge du soutien économique principal, le revenu permanent et la taille de la famille (ou la situation de famille monoparentale), ce qui laisse supposer que les familles d'immigrants dont le niveau de richesse est faible peuvent agir autrement dans leur processus d'accumulation de richesse, que les familles nées au Canada.
L'étude examine également l'écart de richesse selon la cohorte. Comme on pouvait s'y attendre, le niveau de richesse des immigrants récents est inférieur. Les immigrants qui sont arrivés au Canada avant 1976, ont une richesse supérieure au premier groupe de nouveaux arrivants.. Même si l'on croit de façon générale que les immigrants qui sont entrés au Canada entre 1976 et 1985 ont éprouvé au début un plus grand désavantage sur le plan des revenus que leurs prédécesseurs par rapport aux personnes nées au pays, l'étude démontre dans la tranche supérieure de la répartition, le niveau de richesse des familles d'immigrants membres de cette cohorte n'est pas sensiblement différent de celui des familles comparables nées au Canada, mais que dans la tranche inférieure de la répartition, leur niveau de richesse est inférieur à celui des familles comparables nées au Canada.
Date de diffusion : 2003-11-18 - Articles et rapports : 11-008-X20010015704Géographie : CanadaDescription :
Dans cet article, on examine le comportement migratoire des personnes dans le contexte d'une stratégie familiale.
Date de diffusion : 2001-06-12 - 9. Modes de vie et surpeuplement des logements : la situation des immigrants âgés au Canada, 1991 ArchivéArticles et rapports : 11F0019M1998115Géographie : CanadaDescription :
Les immigrants âgés qui arrivent au Canada ne sont pas admissibles aux paiements de transfert gouvernementaux ou à l'aide sociale pendant une période pouvant aller jusqu'à dix ans. C'est pourquoi nombre d'entre eux choisissent de vivre avec des personnes apparentées ou leurs répondants dans des logements encombrés déjà habités par les membres de trois générations ou plus. Les préférences culturelles ont également un rôle à jouer à cet égard. La propension des groupes d'immigrants originaires de régions en développement à vivre dans des ménages formés de trois générations ou plus peut être jusqu'à 18 fois plus élevée que celle des Canadiens de naissance et des immigrants issus de pays développés faisant partie du même groupe d'âge. Le revenu moyen, le pourcentage de personnes qui touchent des prestations de sécurité de la vieillesse, le pourcentage de veufs et de veuves ainsi que la durée de résidence au Canada sont des facteurs liés de façon significative aux proportions d'immigrants qui vivent dans ces conditions et expliquent environ 84 % et 81 % de l'écart entre les lieux de naissance pour les hommes et les femmes respectivement.
Date de diffusion : 1998-09-23
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- Articles et rapports : 89-652-X2024001Description : Basé sur les données de l’enquête sociale générale sur la famille de 2017, cet article examine le calendrier et le risque de dissolution des premières unions au Canada. Il s’agit d’une analyse comparative selon le sexe et le statut d’immigrant reçu qui porte sur les personnes qui étaient âgées de 20 ans et plus au moment de l’enquête et qui avaient déjà été en couple, mariage ou union libre, au moins une fois.Date de diffusion : 2024-03-11
- Articles et rapports : 11F0019M2020004Description :
Contrairement aux personnes dans la catégorie de l’immigration économique et aux immigrants de la catégorie du regroupement familial, qui choisissent pour la plupart eux-mêmes l’endroit où ils vont s’établir au Canada, le lieu d’établissement initial des réfugiés est fortement influencé par les programmes de réinstallation du gouvernement. On attribue aux réfugiés pris en charge par le gouvernement (RPG) l’une des nombreuses collectivités désignées selon un quota régional de réfugiés approuvé au préalable et en fonction de la correspondance entre les besoins des réfugiés et les ressources communautaires. Les réfugiés parrainés par le secteur privé (RPSP) sont accueillis par leurs répondants, qui sont dispersés dans tout le pays. Bien que des travaux de recherche antérieurs laissent entendre que les réfugiés, en particulier les RPG, sont plus susceptibles d’entreprendre une migration secondaire que les autres immigrants, aucune étude quantitative à grande échelle n’a comparé les taux à long terme de départ des villes de destination initiale pour différentes catégories d’immigrants. La présente étude compare la migration secondaire à long terme au Canada selon la catégorie d’admission des immigrants et met l’accent sur la taille de la ville où ils s’établissent initialement.
Date de diffusion : 2020-01-28 - Articles et rapports : 11-626-X2019011Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription : De 1980 à 2017, le Canada a accueilli 1 088 000 réfugiés, c’est-à-dire une moyenne d’environ 30 000 réfugiés par année. Pour nombre d’entre eux, l’accession à la propriété est une étape importante dans leur cheminement vers l’intégration sociale et économique. Le présent article de la série Aperçus économiques présente de nouvelles données sur la propriété résidentielle chez les résidents qui sont venus au Canada à titre de réfugiés réinstallés. Il présente une comparaison du nombre d’habitations appartenant à des réfugiés à Vancouver et à Toronto et du nombre d’habitations appartenant à des résidents nés au Canada, en mettant en évidence les écarts dans la valeur des propriétés entre les divers segments du marché de l’habitation. Les renseignements sur l’emplacement, l’âge et la taille des propriétés, ainsi que sur l’âge et le revenu des propriétaires servent à évaluer les écarts relatifs dans la valeur des propriétés entre les deux groupes. Les estimations sont fondées sur les données recueillies dans le cadre du Programme de la statistique du logement canadien, publiées en décembre 2018.Date de diffusion : 2019-06-18
- Articles et rapports : 11-626-X2019001Géographie : Région métropolitaine de recensementDescription :
Le présent article de la série Aperçus économiques fournit de nouvelles données sur les propriétés résidentielles de Toronto et de Vancouver. Il est uniquement axé sur les propriétés résidentielles appartenant à des résidents canadiens et permet d’évaluer dans quelle mesure les actifs immobiliers des immigrants diffèrent de ceux appartenant à des résidents nés au Canada. Il rend compte de la prévalence de la propriété par des immigrants de différents types de logements, y compris les maisons individuelles, les maisons jumelées, les maisons en rangée et les appartements en copropriété, et permet de comparer les valeurs des actifs immobiliers détenus par les personnes nées au Canada et les immigrants. Des données sur l’emplacement, l’âge et la taille des propriétés sont utilisées pour évaluer les écarts observés dans la valeur relative des logements appartenant à des immigrants.
Date de diffusion : 2019-01-29 - Articles et rapports : 75-006-X201600114639Description :
La présente étude vise à déterminer dans quelle mesure les jeunes adultes de 20 à 29 ans vivent avec leurs parents, selon diverses caractéristiques ethnoculturelles et socioéconomiques. Les résultats sont fondés sur des données de l’Enquête nationale auprès des ménages (ENM) de 2011, ainsi que des données des recensements précédents.
Date de diffusion : 2016-06-15 - Articles et rapports : 11F0019M2005238Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensementDescription :
Par le passé, les familles d'immigrants en âge de travailler dans les grandes agglomérations urbaines du Canada présentaient des taux de propriété de l'habitation supérieurs à ceux de la population de souche. Ces 20 dernières années cependant, l'avantage est passé à la population de souche à cause tant d'une baisse des taux d'immigration que d'une hausse des taux de propriété chez les Canadiens nés au pays. Mon propos sera d'évaluer l'efficacité des modèles standard des choix de consommation avec des indicateurs comme ceux de l'âge, du revenu, de la scolarité et du type de familles et avec plusieurs caractéristiques des immigrants comme éléments d'explication de cette évolution. Je constaterai que le modèle standard explique presque entièrement l'avantage dont jouissaient les immigrants en matière de propriété en 1981, ainsi que la montée des taux de propriété au fil des ans dans la population de souche. Le modèle standard explique toutefois le tiers seulement en gros de l'évolution des taux de 1981 à 2001 dans la population immigrante même après prise en compte de la baisse bien connue des fortunes économiques des immigrants. J'examinerai certaines des conséquences de cette sous-explication et ferai plusieurs recommandations de recherches complémentaires.
Date de diffusion : 2005-02-03 - Articles et rapports : 11F0019M2003197Géographie : CanadaDescription :
L'assimilation économique des immigrants est une préoccupation clé pour les économistes et les responsables de l'élaboration des politiques. De nombreuses études portent sur l'assimilation des immigrants en ce qui a trait au revenu. La présente examine la question du point de vue de la richesse à partir des données de l'Enquête de 1999 sur la sécurité financière.
Nous constatons, dans le cas des famille ayant à leur tête des conjoints, du 40e au 90e centile de la répartition de la richesse, le niveau de richesse des familles d'immigrants est plus élevé que celui des familles nées au Canada et que l'écart de richesse se situe entre 20 000 $ et 78 000 $. Dans le cas des familles mono-parentales, du 55e au 95e centile, le niveau de richesse des familles d'immigrants est plus élevé que celui des familles nées au Canada et l'écart de richesse se situe entre 14 000 $ et 145 000 $. Dans la tranche inférieure de la distribution, cependant, des éléments probants suggèrent que les immigrants ont une richesse inférieure, quoique, l'écart est inférieur à 10 000 $. Les différents résultats des décompositions montrent que l'âge du soutien économique principal (et celui de son conjoint dans le cas des familles mariées) de même que les facteurs qui influent le revenu permanent, expliquent une part significative de l'écart de richesse dans les cas où les familles immigrantes ont une plus grande richesse que les familles nées au Canada. Dans la tranche inférieure de la répartition de la richesse, cependant, l'écart de richesse ne s'explique pas par l'âge du soutien économique principal, le revenu permanent et la taille de la famille (ou la situation de famille monoparentale), ce qui laisse supposer que les familles d'immigrants dont le niveau de richesse est faible peuvent agir autrement dans leur processus d'accumulation de richesse, que les familles nées au Canada.
L'étude examine également l'écart de richesse selon la cohorte. Comme on pouvait s'y attendre, le niveau de richesse des immigrants récents est inférieur. Les immigrants qui sont arrivés au Canada avant 1976, ont une richesse supérieure au premier groupe de nouveaux arrivants.. Même si l'on croit de façon générale que les immigrants qui sont entrés au Canada entre 1976 et 1985 ont éprouvé au début un plus grand désavantage sur le plan des revenus que leurs prédécesseurs par rapport aux personnes nées au pays, l'étude démontre dans la tranche supérieure de la répartition, le niveau de richesse des familles d'immigrants membres de cette cohorte n'est pas sensiblement différent de celui des familles comparables nées au Canada, mais que dans la tranche inférieure de la répartition, leur niveau de richesse est inférieur à celui des familles comparables nées au Canada.
Date de diffusion : 2003-11-18 - Articles et rapports : 11-008-X20010015704Géographie : CanadaDescription :
Dans cet article, on examine le comportement migratoire des personnes dans le contexte d'une stratégie familiale.
Date de diffusion : 2001-06-12 - 9. Modes de vie et surpeuplement des logements : la situation des immigrants âgés au Canada, 1991 ArchivéArticles et rapports : 11F0019M1998115Géographie : CanadaDescription :
Les immigrants âgés qui arrivent au Canada ne sont pas admissibles aux paiements de transfert gouvernementaux ou à l'aide sociale pendant une période pouvant aller jusqu'à dix ans. C'est pourquoi nombre d'entre eux choisissent de vivre avec des personnes apparentées ou leurs répondants dans des logements encombrés déjà habités par les membres de trois générations ou plus. Les préférences culturelles ont également un rôle à jouer à cet égard. La propension des groupes d'immigrants originaires de régions en développement à vivre dans des ménages formés de trois générations ou plus peut être jusqu'à 18 fois plus élevée que celle des Canadiens de naissance et des immigrants issus de pays développés faisant partie du même groupe d'âge. Le revenu moyen, le pourcentage de personnes qui touchent des prestations de sécurité de la vieillesse, le pourcentage de veufs et de veuves ainsi que la durée de résidence au Canada sont des facteurs liés de façon significative aux proportions d'immigrants qui vivent dans ces conditions et expliquent environ 84 % et 81 % de l'écart entre les lieux de naissance pour les hommes et les femmes respectivement.
Date de diffusion : 1998-09-23
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