Recherche par mot-clé
Filtrer les résultats par
Aide à la rechercheMot(s)-clé(s)
Sujet
Année de publication
Résultats
Tout (11)
Tout (11) (0 à 10 de 11 résultats)
- 1. Réallocation des travailleurs au Canada ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2013348Géographie : CanadaDescription :
La présente étude vise à documenter l'évolution des taux de recrutement, des taux de cessation d'emploi et des taux de redistribution des travailleurs de la fin des années 70 à la fin de la première décennie des années 2000. Elle vise aussi à déterminer comment le rythme de redistribution de la main d'oeuvre a varié selon l'industrie, la taille de l'entreprise, la province, le groupe d'âge et le niveau de scolarité pendant les années 2000.
Date de diffusion : 2013-03-01 - Articles et rapports : 81-004-X201000211253Description :
Cet article présente un sommaire des résultats d'une récente étude de Statistique Canada, laquelle se penchait sur les taux d'achèvement et de non-persévérance, sur une période de 11 ans (de 1995 à 2005), des apprentis inscrits en se fondant sur une cohorte longitudinale créée à partir du Système d'information sur les apprentis inscrits (SIAI). Le présent article se penche sur la relation entre la durée du programme d'apprentissage et les taux d'achèvement ou de non-persévérance. L'achèvement et la non-persévérance sont examinés en regard de la durée nominale du programme, du temps médian nécessaire à l'achèvement ainsi que du temps passé dans le programme dans le cas des non-persévérants.
Date de diffusion : 2010-06-15 - 3. Différences entre les sexes relativement aux départs volontaires et à l'absentéisme au Canada ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2007296Géographie : CanadaDescription :
Les femmes sur le marché du travail sont traditionnellement perçues comme étant plus susceptibles de quitter leur emploi, d'être absentes et de prendre plus de jours de congé que les hommes, et cette différence entre les sexes est largement utilisée comme explication importante des disparités salariales entre les sexes et des autres différences entre les hommes et les femmes sur le marché du travail. Dans cette étude, l'auteur étaie par des données les différences entre les sexes en matière de départs volontaires et d'absentéisme au Canada et tente d'évaluer si ce point de vue traditionnel est encore valable aujourd'hui.
Dans le cadre de cette étude, on a constaté que le comportement des femmes concernant le départ volontaire a énormément changé au cours des 20 dernières années. Bien que le taux de départs permanents des femmes ait été supérieur à celui des hommes au cours des années 1980, il a convergé vers celui des hommes à partir du début des années 1990 et aujourd'hui, il ne semble pas exister de différence importante dans le comportement des femmes et des hommes canadiens à l'égard des départs. Pour ce qui est de l'absentéisme, nous avons constaté que, toutes autres choses étant égales, les hommes et les femmes présentaient une légère différence en ce qui a trait aux congés de maladie payés, mais ne présentaient aucune différence en ce qui a trait aux autres congés payés et aux congés non payés, et la différence à l'égard des congés de maladie payés n'était pas importante : les femmes prenaient seulement un jour de plus que les hommes.
Pris ensemble, ces résultats signifient que, au Canada, les différences actuelles entre les sexes en ce qui a trait aux départs volontaires et à l'absentéisme ne sont pas des facteurs significatifs pour expliquer certaines différences entre les sexes relativement aux résultats sur le marché du travail, notamment les disparités salariales entre les hommes et les femmes.
Date de diffusion : 2007-02-23 - 4. L'instabilité des gains familiaux et du revenu familial au Canada, 1986 à 1991 et 1996 à 2001 ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2005265Géographie : CanadaDescription :
Nous étudions l'évolution de l'instabilité des gains familiaux de la fin des années 1980 à la fin des années 1990 et du revenu familial d'un segment à l'autre de la courbe de distribution des gains familiaux. Nous dégageons quatre grands profils. Premièrement, dans le sous ensemble de familles demeurées intactes de 1982 à 1991 et de 1992 à 2001, l'instabilité des gains familiaux a peu varié de la fin des années 1980 à la fin des années 1990. Deuxièmement, la dispersion des gains permanents des familles est devenue beaucoup plus inégale au cours de cette période. Troisièmement, les familles classées dans le tertile inférieur de la distribution des gains (selon l'âge) de 1992 à 1995 ont eu, de 1996 à 2000, un revenu du marché nettement plus instable que leurs homologues du tertile supérieur. Quatrièmement, parmi les familles dont le mari avait moins de 45 ans, le régime d'impôts et de transferts a, durant la période allant de 1996 à 2001, éliminé au moins les deux tiers (et jusqu'à la totalité) des différences d'instabilité (exprimées en gains/pertes proportionnels de revenu) du revenu du marché familial observées entre les familles des tertiles inférieur et supérieur. Ce résultat met en relief le rôle stabilisateur clé joué par le régime d'impôts et de transferts, un aspect auquel assez peu d'attention a été accordée durant les années 1990, au moment de la réforme de l'assurance emploi (l'assurance chômage) et de l'assistance sociale.
Date de diffusion : 2005-11-02 - 5. Les taux de mises à pied permanentes ArchivéArticles et rapports : 75-001-X200410313115Géographie : CanadaDescription :
Au cours des années 1980 et 1990, le risque d'être mis à pied a peu augmenté. Toutefois, quelles étaient les probabilités des personnes ayant perdu leur emploi d'en trouver un nouveau? Le Fichier longitudinal des travailleurs sert à examiner les embauches et les cessations d'emploi durant cette période.
Date de diffusion : 2004-06-14 - Articles et rapports : 71-584-M2003007Géographie : CanadaDescription :
Dans cette étude, on examine si les pratiques de travail novatrices (comme le travail en équipe, la rotation d'emplois et la participation aux bénéfices) réduisent le roulement de la main-d'oeuvre, tant dans le secteur des services que dans le secteur manufacturier.
Date de diffusion : 2003-08-27 - Articles et rapports : 11F0019M2003199Géographie : CanadaDescription :
À l'aide d'un échantillon national représentatif d'établissements, nous avons cherché à déterminer si l'adoption de certaines pratiques de travail équivalentes (PTE) a tendance à réduire le taux de démissions. Dans l'ensemble, notre analyse fournit des preuves solides d'une association négative entre l'adoption de certaines PTE et le taux de démissions, pour les établissements comptant plus de dix employés du secteur des services hautement spécialisés. Nous dégageons aussi certaines preuves d'une association négative pour le secteur des services peu spécialisés. Cependant, la force de cette association négative diminue considérablement lorsque nous ajoutons un indicateur précisant si l'établissement a adopté ou non une politique officielle de partage de l'information. Dans le secteur de la fabrication, les preuves d'une association négative sont faibles. Bien que les établissements ayant des groupes de travail autonomes aient affiché un taux de démissions plus faible que les autres, aucun ensemble de pratiques de travail étudié n'a d'effet négatif et statistiquement significatif sur ce taux. Nous émettons l'hypothèse que les PTE clés peuvent réduire davantage le roulement de la main-d'oeuvre dans des environnements techniquement complexes que dans des environnements requérant peu de compétences.
Date de diffusion : 2003-03-17 - Articles et rapports : 11F0019M2001155Géographie : CanadaDescription :
Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.
Date de diffusion : 2001-04-04 - Articles et rapports : 63F0002X1999022Description :
À partir des données de l'Enquête sur la population active et du Fichier de données longitudinales sur la main-d'oeuvre, cet article examine les tendances de la stabilité d'emploi au Canada, particulièrement dans le secteur tertiaire. Le document établit que la stabilité d'emploi varie non seulement entre le secteur tertiaire et les autres secteurs, mais aussi à l'intérieur du secteur tertiaire. Par exemple, la stabilité d'emploi est la même dans les services commerciaux, les services de distribution et l'industrie manufacturière, mais elle est plus faible dans les services aux consommateurs, dans l'industrie primaire et dans l'industrie de la construction. Les services publics connaissent la plus haute stabilité d'emploi.
Le document montre aussi que la stabilité d'emploi globale atteint actuellement des niveaux historiquement élevés, partiellement en raison de la baisse du taux de mises à pied permanentes et du taux de départ. Puisqu'une économie robuste s'accompagne habituellement d'une augmentation du taux de départ, l'augmentation de la stabilité d'emploi qui résulte d'une baisse du taux de départ n'est pas nécessairement un signe positif. La baisse du taux de départ est observée dans les services commerciaux et dans les industries des services publics. Par ailleurs, l'augmentation de la stabilité d'emploi dans les services aux consommateurs résulte de la baisse du taux de mises à pied permanentes.
Date de diffusion : 1999-03-01 - 10. Mouvements de la main-d'oeuvre et adaptation au marché du travail en Ontario de 1978 à 1993 ArchivéArticles et rapports : 11F0019M1997106Géographie : Canada, Province ou territoireDescription :
Le présent document traite du roulement de la main-d'oeuvre et de l'adaptation au marché du travail dans l'économie ontarienne, entre 1978 et 1993. Les principales conclusions qui ressortent de cette analyse sont résumées ci-après. Le taux de mises à pied permanentes et le taux global de cessations d'emploi permanentes varient tous deux considérablement, d'une industrie à une autre. En 1992, par exemple, les taux de mises à pied permanentes et de cessations d'emploi permanentes ont fluctué respectivement entre 27,3 % et 34,2 % dans le secteur de la construction à seulement 1,4 % et 9,3 % dans le secteur des services publics. Le taux de mises à pied permanentes et le taux global de cessations d'emploi permanentes varient aussi considérablement selon le sexe et l'âge du travailleur et la taille de l'entreprise dans la plupart des entreprises, ces taux sont plus élevés chez les travailleurs que les travailleuses, chez les travailleurs plus jeunes et les petits employeurs.
Alors que le taux de mises à pied permanentes augmente en périodes de récession économique et qu'il diminue durant les périodes de reprise, l'inverse vaut pour le taux global de cessations d'emploi permanentes. Cette situation s'explique du fait que le taux de démissions et le taux de cessations d'emploi permanentes pour d'autres raisons diminuent tous deux en périodes de récession et augmentent durant les périodes de reprise, et ce dans des proportions qui font plus que compenser la tendance inverse qui caractérise le taux de mises à pied permanentes.
Ces conclusions basées sur des totalisations simples sont corroborées par les résultats de l'analyse de régression logistique à plusieurs variables sur les déterminants statistiques des mises à pied permanentes et de l'ensemble des cessations d'emploi permanentes dans la plupart des industries, après avoir tenu compte des effets du sexe et de l'âge du travailleur, de la taille de l'entreprise et de la période, la probabilité estimée de mises à pied permanentes est plus faible chez les travailleuses, elle diminue considérablement avec l'âge et la taille de l'entreprise et elle augmente en périodes de récession et diminue durant les périodes de reprise et d'expansion. Les courbes de la fréquence estimée de l'ensemble des cessations d'emploi permanentes sont très similaires à celles qui caractérisent les mises à pied permanentes, si ce n'est que le taux global de cessations d'emploi permanentes diminue durant les récessions et augmentent en périodes de reprise.
Les employeurs qui avaient quitté ou perdu leur emploi de façon définitive ont eu beaucoup plus de difficulté à trouver un emploi durant la dernière récession, qu'à toute autre période durant les 15 dernières années. Ainsi, près de 40 % des travailleurs qui avaient perdu ou quitté leur emploi en 1989 étaient toujours sans emploi en 1993. Cette situation tranche nettement avec celle observée au début des années 80, où 29 % des travailleurs ayant quitté ou perdu leur emploi de façon définitive demeuraient inactifs, trois ans après leur arrêt de travail. Une tendance très similaire ressort de l'analyse des changements de situation vis-à-vis de l'activité chez les travailleurs mis à pied de façon permanente.
Nous observons une très forte migration hors de la province chez les travailleurs qui ont repris à travailler après avoir quitté ou perdu leur emploi. Près de 45 % des personnes qui avaient perdu ou quitté leur emploi en 1989 et avaient repris à travailler en 1993 travaillaient hors de l'Ontario. Une proportion identique de travailleurs mis à pied de façon permanente avaient trouvé un emploi dans une autre province.
Date de diffusion : 1997-10-31
Données (0)
Données (0) (0 résultat)
Aucun contenu disponible actuellement
Analyses (11)
Analyses (11) (0 à 10 de 11 résultats)
- 1. Réallocation des travailleurs au Canada ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2013348Géographie : CanadaDescription :
La présente étude vise à documenter l'évolution des taux de recrutement, des taux de cessation d'emploi et des taux de redistribution des travailleurs de la fin des années 70 à la fin de la première décennie des années 2000. Elle vise aussi à déterminer comment le rythme de redistribution de la main d'oeuvre a varié selon l'industrie, la taille de l'entreprise, la province, le groupe d'âge et le niveau de scolarité pendant les années 2000.
Date de diffusion : 2013-03-01 - Articles et rapports : 81-004-X201000211253Description :
Cet article présente un sommaire des résultats d'une récente étude de Statistique Canada, laquelle se penchait sur les taux d'achèvement et de non-persévérance, sur une période de 11 ans (de 1995 à 2005), des apprentis inscrits en se fondant sur une cohorte longitudinale créée à partir du Système d'information sur les apprentis inscrits (SIAI). Le présent article se penche sur la relation entre la durée du programme d'apprentissage et les taux d'achèvement ou de non-persévérance. L'achèvement et la non-persévérance sont examinés en regard de la durée nominale du programme, du temps médian nécessaire à l'achèvement ainsi que du temps passé dans le programme dans le cas des non-persévérants.
Date de diffusion : 2010-06-15 - 3. Différences entre les sexes relativement aux départs volontaires et à l'absentéisme au Canada ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2007296Géographie : CanadaDescription :
Les femmes sur le marché du travail sont traditionnellement perçues comme étant plus susceptibles de quitter leur emploi, d'être absentes et de prendre plus de jours de congé que les hommes, et cette différence entre les sexes est largement utilisée comme explication importante des disparités salariales entre les sexes et des autres différences entre les hommes et les femmes sur le marché du travail. Dans cette étude, l'auteur étaie par des données les différences entre les sexes en matière de départs volontaires et d'absentéisme au Canada et tente d'évaluer si ce point de vue traditionnel est encore valable aujourd'hui.
Dans le cadre de cette étude, on a constaté que le comportement des femmes concernant le départ volontaire a énormément changé au cours des 20 dernières années. Bien que le taux de départs permanents des femmes ait été supérieur à celui des hommes au cours des années 1980, il a convergé vers celui des hommes à partir du début des années 1990 et aujourd'hui, il ne semble pas exister de différence importante dans le comportement des femmes et des hommes canadiens à l'égard des départs. Pour ce qui est de l'absentéisme, nous avons constaté que, toutes autres choses étant égales, les hommes et les femmes présentaient une légère différence en ce qui a trait aux congés de maladie payés, mais ne présentaient aucune différence en ce qui a trait aux autres congés payés et aux congés non payés, et la différence à l'égard des congés de maladie payés n'était pas importante : les femmes prenaient seulement un jour de plus que les hommes.
Pris ensemble, ces résultats signifient que, au Canada, les différences actuelles entre les sexes en ce qui a trait aux départs volontaires et à l'absentéisme ne sont pas des facteurs significatifs pour expliquer certaines différences entre les sexes relativement aux résultats sur le marché du travail, notamment les disparités salariales entre les hommes et les femmes.
Date de diffusion : 2007-02-23 - 4. L'instabilité des gains familiaux et du revenu familial au Canada, 1986 à 1991 et 1996 à 2001 ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2005265Géographie : CanadaDescription :
Nous étudions l'évolution de l'instabilité des gains familiaux de la fin des années 1980 à la fin des années 1990 et du revenu familial d'un segment à l'autre de la courbe de distribution des gains familiaux. Nous dégageons quatre grands profils. Premièrement, dans le sous ensemble de familles demeurées intactes de 1982 à 1991 et de 1992 à 2001, l'instabilité des gains familiaux a peu varié de la fin des années 1980 à la fin des années 1990. Deuxièmement, la dispersion des gains permanents des familles est devenue beaucoup plus inégale au cours de cette période. Troisièmement, les familles classées dans le tertile inférieur de la distribution des gains (selon l'âge) de 1992 à 1995 ont eu, de 1996 à 2000, un revenu du marché nettement plus instable que leurs homologues du tertile supérieur. Quatrièmement, parmi les familles dont le mari avait moins de 45 ans, le régime d'impôts et de transferts a, durant la période allant de 1996 à 2001, éliminé au moins les deux tiers (et jusqu'à la totalité) des différences d'instabilité (exprimées en gains/pertes proportionnels de revenu) du revenu du marché familial observées entre les familles des tertiles inférieur et supérieur. Ce résultat met en relief le rôle stabilisateur clé joué par le régime d'impôts et de transferts, un aspect auquel assez peu d'attention a été accordée durant les années 1990, au moment de la réforme de l'assurance emploi (l'assurance chômage) et de l'assistance sociale.
Date de diffusion : 2005-11-02 - 5. Les taux de mises à pied permanentes ArchivéArticles et rapports : 75-001-X200410313115Géographie : CanadaDescription :
Au cours des années 1980 et 1990, le risque d'être mis à pied a peu augmenté. Toutefois, quelles étaient les probabilités des personnes ayant perdu leur emploi d'en trouver un nouveau? Le Fichier longitudinal des travailleurs sert à examiner les embauches et les cessations d'emploi durant cette période.
Date de diffusion : 2004-06-14 - Articles et rapports : 71-584-M2003007Géographie : CanadaDescription :
Dans cette étude, on examine si les pratiques de travail novatrices (comme le travail en équipe, la rotation d'emplois et la participation aux bénéfices) réduisent le roulement de la main-d'oeuvre, tant dans le secteur des services que dans le secteur manufacturier.
Date de diffusion : 2003-08-27 - Articles et rapports : 11F0019M2003199Géographie : CanadaDescription :
À l'aide d'un échantillon national représentatif d'établissements, nous avons cherché à déterminer si l'adoption de certaines pratiques de travail équivalentes (PTE) a tendance à réduire le taux de démissions. Dans l'ensemble, notre analyse fournit des preuves solides d'une association négative entre l'adoption de certaines PTE et le taux de démissions, pour les établissements comptant plus de dix employés du secteur des services hautement spécialisés. Nous dégageons aussi certaines preuves d'une association négative pour le secteur des services peu spécialisés. Cependant, la force de cette association négative diminue considérablement lorsque nous ajoutons un indicateur précisant si l'établissement a adopté ou non une politique officielle de partage de l'information. Dans le secteur de la fabrication, les preuves d'une association négative sont faibles. Bien que les établissements ayant des groupes de travail autonomes aient affiché un taux de démissions plus faible que les autres, aucun ensemble de pratiques de travail étudié n'a d'effet négatif et statistiquement significatif sur ce taux. Nous émettons l'hypothèse que les PTE clés peuvent réduire davantage le roulement de la main-d'oeuvre dans des environnements techniquement complexes que dans des environnements requérant peu de compétences.
Date de diffusion : 2003-03-17 - Articles et rapports : 11F0019M2001155Géographie : CanadaDescription :
Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.
Date de diffusion : 2001-04-04 - Articles et rapports : 63F0002X1999022Description :
À partir des données de l'Enquête sur la population active et du Fichier de données longitudinales sur la main-d'oeuvre, cet article examine les tendances de la stabilité d'emploi au Canada, particulièrement dans le secteur tertiaire. Le document établit que la stabilité d'emploi varie non seulement entre le secteur tertiaire et les autres secteurs, mais aussi à l'intérieur du secteur tertiaire. Par exemple, la stabilité d'emploi est la même dans les services commerciaux, les services de distribution et l'industrie manufacturière, mais elle est plus faible dans les services aux consommateurs, dans l'industrie primaire et dans l'industrie de la construction. Les services publics connaissent la plus haute stabilité d'emploi.
Le document montre aussi que la stabilité d'emploi globale atteint actuellement des niveaux historiquement élevés, partiellement en raison de la baisse du taux de mises à pied permanentes et du taux de départ. Puisqu'une économie robuste s'accompagne habituellement d'une augmentation du taux de départ, l'augmentation de la stabilité d'emploi qui résulte d'une baisse du taux de départ n'est pas nécessairement un signe positif. La baisse du taux de départ est observée dans les services commerciaux et dans les industries des services publics. Par ailleurs, l'augmentation de la stabilité d'emploi dans les services aux consommateurs résulte de la baisse du taux de mises à pied permanentes.
Date de diffusion : 1999-03-01 - 10. Mouvements de la main-d'oeuvre et adaptation au marché du travail en Ontario de 1978 à 1993 ArchivéArticles et rapports : 11F0019M1997106Géographie : Canada, Province ou territoireDescription :
Le présent document traite du roulement de la main-d'oeuvre et de l'adaptation au marché du travail dans l'économie ontarienne, entre 1978 et 1993. Les principales conclusions qui ressortent de cette analyse sont résumées ci-après. Le taux de mises à pied permanentes et le taux global de cessations d'emploi permanentes varient tous deux considérablement, d'une industrie à une autre. En 1992, par exemple, les taux de mises à pied permanentes et de cessations d'emploi permanentes ont fluctué respectivement entre 27,3 % et 34,2 % dans le secteur de la construction à seulement 1,4 % et 9,3 % dans le secteur des services publics. Le taux de mises à pied permanentes et le taux global de cessations d'emploi permanentes varient aussi considérablement selon le sexe et l'âge du travailleur et la taille de l'entreprise dans la plupart des entreprises, ces taux sont plus élevés chez les travailleurs que les travailleuses, chez les travailleurs plus jeunes et les petits employeurs.
Alors que le taux de mises à pied permanentes augmente en périodes de récession économique et qu'il diminue durant les périodes de reprise, l'inverse vaut pour le taux global de cessations d'emploi permanentes. Cette situation s'explique du fait que le taux de démissions et le taux de cessations d'emploi permanentes pour d'autres raisons diminuent tous deux en périodes de récession et augmentent durant les périodes de reprise, et ce dans des proportions qui font plus que compenser la tendance inverse qui caractérise le taux de mises à pied permanentes.
Ces conclusions basées sur des totalisations simples sont corroborées par les résultats de l'analyse de régression logistique à plusieurs variables sur les déterminants statistiques des mises à pied permanentes et de l'ensemble des cessations d'emploi permanentes dans la plupart des industries, après avoir tenu compte des effets du sexe et de l'âge du travailleur, de la taille de l'entreprise et de la période, la probabilité estimée de mises à pied permanentes est plus faible chez les travailleuses, elle diminue considérablement avec l'âge et la taille de l'entreprise et elle augmente en périodes de récession et diminue durant les périodes de reprise et d'expansion. Les courbes de la fréquence estimée de l'ensemble des cessations d'emploi permanentes sont très similaires à celles qui caractérisent les mises à pied permanentes, si ce n'est que le taux global de cessations d'emploi permanentes diminue durant les récessions et augmentent en périodes de reprise.
Les employeurs qui avaient quitté ou perdu leur emploi de façon définitive ont eu beaucoup plus de difficulté à trouver un emploi durant la dernière récession, qu'à toute autre période durant les 15 dernières années. Ainsi, près de 40 % des travailleurs qui avaient perdu ou quitté leur emploi en 1989 étaient toujours sans emploi en 1993. Cette situation tranche nettement avec celle observée au début des années 80, où 29 % des travailleurs ayant quitté ou perdu leur emploi de façon définitive demeuraient inactifs, trois ans après leur arrêt de travail. Une tendance très similaire ressort de l'analyse des changements de situation vis-à-vis de l'activité chez les travailleurs mis à pied de façon permanente.
Nous observons une très forte migration hors de la province chez les travailleurs qui ont repris à travailler après avoir quitté ou perdu leur emploi. Près de 45 % des personnes qui avaient perdu ou quitté leur emploi en 1989 et avaient repris à travailler en 1993 travaillaient hors de l'Ontario. Une proportion identique de travailleurs mis à pied de façon permanente avaient trouvé un emploi dans une autre province.
Date de diffusion : 1997-10-31
Références (0)
Références (0) (0 résultat)
Aucun contenu disponible actuellement
- Date de modification :