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  • Articles et rapports : 81-004-X201000411339
    Description :

    En utilisant les données de l'Enquête sur la population active, cet article examine les tendances et l'évolution du taux de décrochage entre 1990-1991 et 2009-2010. Le taux de décrochage correspond à la proportion des jeunes de 20 à 24 ans qui ne fréquentent pas l'école et qui n'ont pas obtenu de diplôme d'études secondaires. De plus, l'Enquête sur la population active recueille maintenant des données nationales sur les Autochtones et les immigrants, ce qui permet aux chercheurs de déterminer en quoi le taux de décrochage de ces groupes diffère de celui du reste de la population. Enfin, l'article examine des résultats que les décrocheurs obtiennent sur le marché du travail, en termes de taux de chômage et de rémunération hebdomadaire médiane.

    Date de diffusion : 2010-11-03

  • Articles et rapports : 81-004-X201000411360
    Description :

    Des différences entre les provinces en ce qui a trait à l'âge « typique » auquel les étudiants obtiennent un diplôme d'études secondaires semblent donner lieu à un paradoxe : dans certaines provinces, les taux de décrochage et d'obtention du diplôme sont tous les deux faibles, alors que dans d'autres, les deux taux sont élevés. Le présent article analyse ce semblant de paradoxe, à l'aide des données de l'Enquête sur la population active. Il examine le statut par rapport aux études secondaires selon le groupe d'âge pour les jeunes de 16 à 24 ans, pour le Canada et les provinces en 2009-2010 et illustre comment la proportion de diplômés, de persévérants et de décrocheurs change avec l'âge des étudiants.

    Date de diffusion : 2010-11-03

  • Articles et rapports : 81-004-X200900210896
    Description :

    Une analyse précédente des données tirées de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) a démontré pour la première fois que la compétence en lecture à 15 ans jouait un rôle majeur, tant dans l'obtention d'un diplôme d'études secondaires que dans la participation aux études postsecondaires à 19 ans. Toutefois, à 19 ans, il est encore relativement tôt pour tirer des conclusions sur les résultats scolaires des jeunes. Le présent article s'inspire des données récentes tirées de l'EJET pour examiner les résultats scolaires aux niveaux secondaire et postsecondaire du même groupe de jeunes deux ans plus tard, lorsqu'ils avaient 21 ans.

    Date de diffusion : 2009-06-17

  • Articles et rapports : 81-595-M2008070
    Géographie : Canada
    Description :

    L'analyse du présent rapport repose sur des données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET), qui a été mise sur pied par Ressources humaines et Développement social Canada et Statistique Canada. Il s'agit d'une enquête longitudinale au cours de laquelle on recueille des données détaillées sur les cheminements scolaire et professionnel d'un échantillon de jeunes Canadiens qui étaient âgés entre 18 et 20 ans en 1999. On a demandé aux répondants de fournir une gamme de renseignements sur leurs études et leurs expériences sur le marché du travail ainsi que des caractéristiques personnelles. On les a interviewés quatre fois depuis la mise sur pied de l'Enquête, soit en 2000, 2002, 2004 et 2006. Le présent rapport utilise des données de ces quatre entrevues pour décrire où en étaient ces jeunes dans leur cheminement scolaire en décembre 2005, alors qu'ils étaient âgés entre 24 et 26 ans.

    Ce rapport fait suite à une étude précédente de la participation aux études postsecondaires (Shaienks et Gluszynski, 2007) dans laquelle un taux global de décrochage postsecondaire de 15 % avait été obtenu. Ce taux est cependant différent selon le type d'établissement fréquenté et certaines variables démographiques, familiales et scolaires. Le présent rapport explore le lien entre ces caractéristiques et la participation, le taux d'obtention du diplôme et le décrochage de différents types d'établissement postsecondaire.

    Trois nouvelles variables ont été élaborées pour tenir compte des types d'établissements fréquentés par les étudiants et de leur statut dans chacun d'eux. Le statut universitaire, le statut collégial et le statut dans d'autres types d'établissements postsecondaires permettent de déterminer de façon indépendante les résultats de la participation aux programmes des différents types d'établissement ainsi que le profil des diplômés, des persévérants et, en particulier, des décrocheurs, en fonction de leurs caractéristiques spécifiques.

    Date de diffusion : 2008-11-03

  • Articles et rapports : 81-595-M2008055
    Géographie : Canada
    Description :

    Le taux de décrochage, lequel est défini comme la proportion des personnes de 20 à 24 ans qui sont sans diplôme d'études secondaires et qui ne fréquentent pas l'école, suit une tendance à la baisse. De 1990-1991 à 2004-2005, selon les données de l'Enquête sur la population active, le taux est passé de 21 % à 14 % chez les hommes et de 16 % à 9 % chez les femmes. Beaucoup de décrocheurs retournent plus tard à l'école, se prévalant de la « seconde chance » de faire des études qui leur est offerte par les provinces et les établissements au Canada.

    Ce rapport utilise les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition pour analyser les déterminants du retour à l'école. L'analyse révèle que le taux de décrochage est moins élevé chez les jeunes femmes que chez les jeunes hommes et que lorsqu'elles décrochent avant de terminer leurs études secondaires, les jeunes femmes sont également plus susceptibles que les jeunes hommes de retourner à l'école.

    La décision des jeunes décrocheurs et des jeunes décrocheuses de retourner à l'école est influencée par différents facteurs. Dans le cas des jeunes hommes, deux des plus puissants prédicteurs de la décision de retourner à l'école sont l'éducation de leurs parents et le fait d'avoir suivi à l'école secondaire un cours de mathématiques préparatoires aux études postsecondaires. Les jeunes hommes qui décrochent durant leur dernière année du secondaire étaient plus susceptibles de retourner à l'école que ceux qui avaient décroché plutôt pendant leurs études. Le facteur qui influence le plus les jeunes femmes, c'est le temps qui s'est écoulé depuis qu'elles ont quitté l'école. Cependant, les jeunes femmes qui quittent l'école pour des raisons personnelles (le plus souvent une grossesse) sont 30 % plus susceptibles que les autres décrocheuses de retourner à l'école.

    Date de diffusion : 2008-04-09

  • Articles et rapports : 81-595-M2007059
    Géographie : Canada
    Description :

    L'analyse du présent rapport repose sur des données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET), qui a été mise sur pied par Ressources humaines et Développement social Canada et Statistique Canada. Il s'agit d'une enquête longitudinale au cours de laquelle on recueille des données détaillées sur les cheminements scolaire et professionnel d'un échantillon des jeunes Canadiens qui étaient âgés entre 18 et 20 ans en 1999.

    On a demandé aux répondants de fournir une gamme de renseignements sur leurs études et leurs expériences sur le marché du travail ainsi que des caractéristiques personnelles comme par exemple leurs aspirations scolaires. On les a interviewés quatre fois depuis la mise sur pied de l'enquête, soit en 2000, 2002, 2004 et 2006. Le présent rapport utilise des données de ces quatre entrevues pour décrire où en étaient ces jeunes dans leur cheminement scolaire en décembre 2005, alors qu'ils étaient âgés entre 24 et 26 ans.

    Des études précédentes sur la participation aux études postsecondaires des jeunes Canadiens ont montré qu'aucun facteur particulier n'explique pleinement ce qui les incite à poursuivre des études postsecondaires. On a cependant pris note de diverses caractéristiques permettant de différencier les jeunes qui entreprennent de telles études des autres. Le présent rapport compare les caractéristiques démographiques et familiales, l'engagement à l'école secondaire, le rendement scolaire et l'expérience lors de la première année d'études postsecondaires des jeunes qui ont entrepris des études postsecondaires et ceux qui n'en ont pas entrepris ou qui les ont abandonnées.

    Le chapitre 2 présente la relation entre diverses caractéristiques démographiques, familiales ou scolaires et la participation des jeunes aux études postsecondaires, quant au type d'établissement fréquenté et au niveau du programme entrepris à l'université (baccalauréat ou études de deuxième ou troisième cycle).

    Le chapitre 3 analyse la relation entre ces mêmes caractéristiques et le statut de participation des jeunes aux études postsecondaires, c'est-à-dire s'ils sont diplômés, persévérants ou décrocheurs.

    Le chapitre 4 conclut en résumant les résultats.

    Date de diffusion : 2007-11-20

  • Articles et rapports : 81-595-M2007054
    Géographie : Canada
    Description :

    Cheminements des jeunes Canadiens des études au marché du travail : résultats de l'Enquête auprès des jeunes en transition. Ce rapport a pour but d'examiner les différents chemins qu'empruntent les jeunes du Canada pour se rendre de l'école secondaire au marché du travail, de savoir qui prend ces chemins et de déterminer les résultats qui en découlent sur le marché du travail.

    La présente étude emploie les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) de 2004. L'EJET est une enquête longitudinale qui a recueilli des données auprès de jeunes de deux groupes d'âge lors du premier cycle de l'enquête, en l'an 2000, les premiers ayant 15 ans (Cohorte A) et les autres, de 18 à 20 ans (Cohorte B), au début de leur participation. L'analyse dans ce rapport utilise les données pour le deuxième groupe. Les deux cohortes ont été invitées à fournir un éventail de renseignements sur leurs expériences d'études et d'emploi et sur des caractéristiques personnelles telles que leurs aspirations scolaires.

    La première entrevue de suivi des participants de l'EJET s'est déroulée au début de 2002. À ce moment-là, les participants de la Cohorte B étaient âgés de 20 à 22 ans. La deuxième entrevue de suivi s'est tenue en 2004, pour la période de référence de décembre 2003, quand les participants de la Cohorte B étaient alors âgés de 22 à 24 ans.

    Le présent rapport s'appuie sur les descriptions des cheminements de base que suivaient les non-étudiants en décembre 2003, cernant d'abord les grands facteurs qui aident à prédire qui suivra quel chemin. Cela fait, nous examinons le lien entre ces cheminements et la « réussite » sur le marché du travail. Plus précisément, le restant du rapport est organisé comme suit :

    Chapitre 2 : Ce chapitre analyse en quoi certains facteurs contextuels permettent de prédire les parcours de l'école au marché du travail que suivaient les jeunes adultes de 22 à 24 ans en décembre 2003; il s'agit essentiellement de facteurs statiques qui ne changent pas (par exemple le sexe, l'âge, l'origine ethnique, le niveau de scolarité des parents, etc.).

    Chapitre 3 : Ce chapitre introduit des facteurs « intermédiaires », mesurés durant les études secondaires (par exemple la moyenne pondérée cumulative, travailler pendant le secondaire, etc.). Ces facteurs joueraient, croit-on, un rôle important d'atténuation de l'effet qu'exercent les facteurs contextuels susmentionnés sur la prévision des transitions de l'école au travail.

    Chapitre 4 : Dans ce chapitre, l'analyse change d'optique. Au lieu d'y étudier les prédicteurs des cheminements de l'école au travail, nous nous intéressons aux cheminements en tant qu'indicateurs de la situation sur le marché du travail. Dans ce chapitre, nous sommes en mesure de déterminer si certains parcours sont plus ou moins porteurs de succès professionnel et prometteurs de « bons » emplois, ainsi définis en fonction du revenu et du degré de satisfaction au travail. Nous sommes aussi à même de déterminer la profession qu'exerçaient les répondants en décembre 2003.

    Chapitre 5 : Ce chapitre de conclusion résume les résultats et l'analyse.

    Date de diffusion : 2007-11-01

  • Articles et rapports : 85-002-X20060039199
    Géographie : Canada
    Description :

    À l'aide des données d'une enquête sur la victimisation, et des enquêtes auprès de la police et des services correctionnels, ce rapport présente un portrait statistique de l'étendue et la nature de la victimisation et de la perpétration d'actes criminels chez les Autochtones du Canada depuis quelques années.

    Le rapport indique que les Autochtones sont beaucoup plus susceptibles que les non-Autochtones d'être victimes de crimes de violence et de violence conjugale. De plus, les Autochtones sont grandement surreprésentés parmi les personnes inculpées dans les affaires d'homicides déclarées par la police et parmi les personnes admises à des programmes correctionnels. En outre, les taux de criminalité dans les réserves sont beaucoup plus élevés que les taux pour le reste du Canada.

    Dans le rapport, on examine aussi les facteurs précis qui pourraient être liés à la grande représentation des Autochtones au sein du système de justice pénale. Ces facteurs comprennent les suivants : les Autochtones sont plus jeunes, en moyenne; leurs taux de chômage sont plus élevés, et leur revenu, plus faible; leur niveau de scolarité est moins élevé; ils sont plus susceptibles de vivent dans un logement surpeuplé; ils affichent une mobilité résidentielle accrue; et les enfants autochtones sont plus susceptibles de faire partie d'une famille monoparentale.

    On y présente de l'information sur la crainte de la criminalité chez les Autochtones, sur leurs perceptions du système de justice et sur leurs expériences de la discrimination. On y examine également certains des programmes et services qui ont été mis sur pied pour répondre aux besoins spéciaux des Autochtones dans le système de justice pénale.

    Date de diffusion : 2006-06-06

  • Articles et rapports : 11F0019M2006275
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude vise à évaluer les effets des compétences en littératie et en numératie sur les résultats sur le marché du travail des décrocheurs du secondaire au Canada. Nous avons déterminé que ces compétences ont des répercussions significatives sur la probabilité d'être occupé, ainsi que sur le nombre d'heures et de semaines de travail pour les hommes et pour les femmes, ainsi qu'une forte influence (directe) sur les revenus des hommes, mais pas sur ceux des femmes. Selon ces résultats, le programme d'études secondaires qui permet le développement de compétences en littératie et en numératie pourrait avoir des retombées significatives, même pour ceux qui ne le terminent pas et qui se retrouvent au bas de l'échelle sur le marché du travail. Nos conclusions laissent aussi supposer que les programmes de formation destinés aux décrocheurs pourraient améliorer substantiellement les résultats de ces personnes sur le marché du travail en leur permettant de développer ces compétences de base. Elles ont aussi des répercussions du point de vue de la théorie de la dualité du marché du travail, étant donné qu'on part souvent du principe que le marché secondaire se caractérise par des rendements minimes du capital humain, ce qui va à l'encontre des résultats présentés ici.

    Date de diffusion : 2006-03-27

  • Tableau : 85-227-X
    Description :

    Ce rapport renferme les indicateurs qui servent à mesurer la charge de travail et le rendement du système de justice pénale ainsi que les indicateurs d'un certain nombre de facteurs sociodémographiques et économiques qui peuvent être associés à la criminalité et à la victimisation. Les mesures de la charge de travail et du volume présentées ici sont axées sur le travail de la police, des tribunaux, des services correctionnels, des programmes de déjudiciarisation et des services aux victimes ainsi que sur les changements dans le temps. On peut citer comme exemples d'indicateurs de charge de travail et de volume le nombre d'affaires criminelles connues de la police; le nombre de personnes desservies par les programmes de rechange, de médiation, de règlement des différends et de déjudiciarisation; le nombre de causes entendues par les tribunaux; les comptes moyens de détenus dans les établissements correctionnels et le nombre de personnes bénéficiant de l'aide d'organismes de services aux victimes. Les indicateurs de rendement sont organisés en fonction des cinq grands objectifs suivants du système de justice pénale : 1) ordre public, sécurité et sécurité nationale par la prévention et l'intervention; 2) responsabilisation, réintégration et réhabilitation des délinquants; 3) confiance dans le système de justice et respect du système par le public; 4) égalité sociale et accès au système de justice pour tous les citoyens et 5) besoins des victimes. À titre d'exemples d'indicateurs de rendement examinés ici, citons le coût global de l'administration des secteurs du système de justice pénale; la nature et la durée des peines imposées par les tribunaux; la satisfaction du public face à la police, aux tribunaux, au système correctionnel et au système de libération conditionnelle; le nombre de demandes d'aide juridique et le nombre de services offerts aux victimes de la criminalité. Les divers indicateurs sociodémographiques et économiques de ce rapport fournissent une information statistique sur les facteurs qui peuvent être associés à la criminalité. Les indicateurs du « contexte de la criminalité » sont classés en trois grandes catégories : facteurs communautaires et sociaux, facteurs familiaux et facteurs individuels. À titre d'exemples d'indicateurs de ce genre examinés ici, mentionnons la répartition de la population selon l'âge et le sexe; les niveaux de revenu et l'activité sur le marché du travail; le niveau

    Date de diffusion : 2005-12-20
Données (2)

Données (2) ((2 résultats))

  • Tableau : 85-227-X
    Description :

    Ce rapport renferme les indicateurs qui servent à mesurer la charge de travail et le rendement du système de justice pénale ainsi que les indicateurs d'un certain nombre de facteurs sociodémographiques et économiques qui peuvent être associés à la criminalité et à la victimisation. Les mesures de la charge de travail et du volume présentées ici sont axées sur le travail de la police, des tribunaux, des services correctionnels, des programmes de déjudiciarisation et des services aux victimes ainsi que sur les changements dans le temps. On peut citer comme exemples d'indicateurs de charge de travail et de volume le nombre d'affaires criminelles connues de la police; le nombre de personnes desservies par les programmes de rechange, de médiation, de règlement des différends et de déjudiciarisation; le nombre de causes entendues par les tribunaux; les comptes moyens de détenus dans les établissements correctionnels et le nombre de personnes bénéficiant de l'aide d'organismes de services aux victimes. Les indicateurs de rendement sont organisés en fonction des cinq grands objectifs suivants du système de justice pénale : 1) ordre public, sécurité et sécurité nationale par la prévention et l'intervention; 2) responsabilisation, réintégration et réhabilitation des délinquants; 3) confiance dans le système de justice et respect du système par le public; 4) égalité sociale et accès au système de justice pour tous les citoyens et 5) besoins des victimes. À titre d'exemples d'indicateurs de rendement examinés ici, citons le coût global de l'administration des secteurs du système de justice pénale; la nature et la durée des peines imposées par les tribunaux; la satisfaction du public face à la police, aux tribunaux, au système correctionnel et au système de libération conditionnelle; le nombre de demandes d'aide juridique et le nombre de services offerts aux victimes de la criminalité. Les divers indicateurs sociodémographiques et économiques de ce rapport fournissent une information statistique sur les facteurs qui peuvent être associés à la criminalité. Les indicateurs du « contexte de la criminalité » sont classés en trois grandes catégories : facteurs communautaires et sociaux, facteurs familiaux et facteurs individuels. À titre d'exemples d'indicateurs de ce genre examinés ici, mentionnons la répartition de la population selon l'âge et le sexe; les niveaux de revenu et l'activité sur le marché du travail; le niveau

    Date de diffusion : 2005-12-20

  • Tableau : 97F0017X2001003
    Description :

    Ce tableau fait partie du thème « Scolarité et fréquentation scolaire au Canada », qui comprend des données du recensement de 2001 sur la fréquentation scolaire et le plus haut niveau de scolarité atteint des Canadiens, ainsi que des données sur les certificats, les diplômes ou les grades qu'ils ont obtenus. Ces données servent à déterminer le niveau d'instruction de la population active en général et de groupes particuliers, comme les femmes et les immigrants. Elles servent également à déterminer le lien entre le niveau de scolarité et le fait d'avoir un emploi rémunéré.

    La variable « fréquentation scolaire » renvoie à la fréquentation à temps plein ou à temps partiel d'une école, d'un collège ou d'une université au cours de la période de neuf mois allant de septembre 2000 à mai 2001. La fréquentation est comptée seulement pour les cours permettant d'accumuler des crédits en vue de l'obtention d'un certificat, d'un diplôme ou d'un grade.

    Ce tableau se trouve dans l'Ensemble thématique : Scolarité et fréquentation scolaire au Canada, Recensement de 2001, numéro 97F00017XCB2001000 au catalogue.

    Il est aussi possible de s'abonner à tous les ensembles préparés à partir des tableaux offerts le jour de la diffusion officielle. Voir le numéro 97F0023XCB au catalogue pour obtenir plus d'information.

    Ce tableau est offert GRATUITEMENT dans Internet, numéro 97F0017XIF2001003 au catalogue.

    Date de diffusion : 2003-03-11
Analyses (28)

Analyses (28) (0 à 10 de 28 résultats)

  • Articles et rapports : 81-004-X201000411339
    Description :

    En utilisant les données de l'Enquête sur la population active, cet article examine les tendances et l'évolution du taux de décrochage entre 1990-1991 et 2009-2010. Le taux de décrochage correspond à la proportion des jeunes de 20 à 24 ans qui ne fréquentent pas l'école et qui n'ont pas obtenu de diplôme d'études secondaires. De plus, l'Enquête sur la population active recueille maintenant des données nationales sur les Autochtones et les immigrants, ce qui permet aux chercheurs de déterminer en quoi le taux de décrochage de ces groupes diffère de celui du reste de la population. Enfin, l'article examine des résultats que les décrocheurs obtiennent sur le marché du travail, en termes de taux de chômage et de rémunération hebdomadaire médiane.

    Date de diffusion : 2010-11-03

  • Articles et rapports : 81-004-X201000411360
    Description :

    Des différences entre les provinces en ce qui a trait à l'âge « typique » auquel les étudiants obtiennent un diplôme d'études secondaires semblent donner lieu à un paradoxe : dans certaines provinces, les taux de décrochage et d'obtention du diplôme sont tous les deux faibles, alors que dans d'autres, les deux taux sont élevés. Le présent article analyse ce semblant de paradoxe, à l'aide des données de l'Enquête sur la population active. Il examine le statut par rapport aux études secondaires selon le groupe d'âge pour les jeunes de 16 à 24 ans, pour le Canada et les provinces en 2009-2010 et illustre comment la proportion de diplômés, de persévérants et de décrocheurs change avec l'âge des étudiants.

    Date de diffusion : 2010-11-03

  • Articles et rapports : 81-004-X200900210896
    Description :

    Une analyse précédente des données tirées de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) a démontré pour la première fois que la compétence en lecture à 15 ans jouait un rôle majeur, tant dans l'obtention d'un diplôme d'études secondaires que dans la participation aux études postsecondaires à 19 ans. Toutefois, à 19 ans, il est encore relativement tôt pour tirer des conclusions sur les résultats scolaires des jeunes. Le présent article s'inspire des données récentes tirées de l'EJET pour examiner les résultats scolaires aux niveaux secondaire et postsecondaire du même groupe de jeunes deux ans plus tard, lorsqu'ils avaient 21 ans.

    Date de diffusion : 2009-06-17

  • Articles et rapports : 81-595-M2008070
    Géographie : Canada
    Description :

    L'analyse du présent rapport repose sur des données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET), qui a été mise sur pied par Ressources humaines et Développement social Canada et Statistique Canada. Il s'agit d'une enquête longitudinale au cours de laquelle on recueille des données détaillées sur les cheminements scolaire et professionnel d'un échantillon de jeunes Canadiens qui étaient âgés entre 18 et 20 ans en 1999. On a demandé aux répondants de fournir une gamme de renseignements sur leurs études et leurs expériences sur le marché du travail ainsi que des caractéristiques personnelles. On les a interviewés quatre fois depuis la mise sur pied de l'Enquête, soit en 2000, 2002, 2004 et 2006. Le présent rapport utilise des données de ces quatre entrevues pour décrire où en étaient ces jeunes dans leur cheminement scolaire en décembre 2005, alors qu'ils étaient âgés entre 24 et 26 ans.

    Ce rapport fait suite à une étude précédente de la participation aux études postsecondaires (Shaienks et Gluszynski, 2007) dans laquelle un taux global de décrochage postsecondaire de 15 % avait été obtenu. Ce taux est cependant différent selon le type d'établissement fréquenté et certaines variables démographiques, familiales et scolaires. Le présent rapport explore le lien entre ces caractéristiques et la participation, le taux d'obtention du diplôme et le décrochage de différents types d'établissement postsecondaire.

    Trois nouvelles variables ont été élaborées pour tenir compte des types d'établissements fréquentés par les étudiants et de leur statut dans chacun d'eux. Le statut universitaire, le statut collégial et le statut dans d'autres types d'établissements postsecondaires permettent de déterminer de façon indépendante les résultats de la participation aux programmes des différents types d'établissement ainsi que le profil des diplômés, des persévérants et, en particulier, des décrocheurs, en fonction de leurs caractéristiques spécifiques.

    Date de diffusion : 2008-11-03

  • Articles et rapports : 81-595-M2008055
    Géographie : Canada
    Description :

    Le taux de décrochage, lequel est défini comme la proportion des personnes de 20 à 24 ans qui sont sans diplôme d'études secondaires et qui ne fréquentent pas l'école, suit une tendance à la baisse. De 1990-1991 à 2004-2005, selon les données de l'Enquête sur la population active, le taux est passé de 21 % à 14 % chez les hommes et de 16 % à 9 % chez les femmes. Beaucoup de décrocheurs retournent plus tard à l'école, se prévalant de la « seconde chance » de faire des études qui leur est offerte par les provinces et les établissements au Canada.

    Ce rapport utilise les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition pour analyser les déterminants du retour à l'école. L'analyse révèle que le taux de décrochage est moins élevé chez les jeunes femmes que chez les jeunes hommes et que lorsqu'elles décrochent avant de terminer leurs études secondaires, les jeunes femmes sont également plus susceptibles que les jeunes hommes de retourner à l'école.

    La décision des jeunes décrocheurs et des jeunes décrocheuses de retourner à l'école est influencée par différents facteurs. Dans le cas des jeunes hommes, deux des plus puissants prédicteurs de la décision de retourner à l'école sont l'éducation de leurs parents et le fait d'avoir suivi à l'école secondaire un cours de mathématiques préparatoires aux études postsecondaires. Les jeunes hommes qui décrochent durant leur dernière année du secondaire étaient plus susceptibles de retourner à l'école que ceux qui avaient décroché plutôt pendant leurs études. Le facteur qui influence le plus les jeunes femmes, c'est le temps qui s'est écoulé depuis qu'elles ont quitté l'école. Cependant, les jeunes femmes qui quittent l'école pour des raisons personnelles (le plus souvent une grossesse) sont 30 % plus susceptibles que les autres décrocheuses de retourner à l'école.

    Date de diffusion : 2008-04-09

  • Articles et rapports : 81-595-M2007059
    Géographie : Canada
    Description :

    L'analyse du présent rapport repose sur des données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET), qui a été mise sur pied par Ressources humaines et Développement social Canada et Statistique Canada. Il s'agit d'une enquête longitudinale au cours de laquelle on recueille des données détaillées sur les cheminements scolaire et professionnel d'un échantillon des jeunes Canadiens qui étaient âgés entre 18 et 20 ans en 1999.

    On a demandé aux répondants de fournir une gamme de renseignements sur leurs études et leurs expériences sur le marché du travail ainsi que des caractéristiques personnelles comme par exemple leurs aspirations scolaires. On les a interviewés quatre fois depuis la mise sur pied de l'enquête, soit en 2000, 2002, 2004 et 2006. Le présent rapport utilise des données de ces quatre entrevues pour décrire où en étaient ces jeunes dans leur cheminement scolaire en décembre 2005, alors qu'ils étaient âgés entre 24 et 26 ans.

    Des études précédentes sur la participation aux études postsecondaires des jeunes Canadiens ont montré qu'aucun facteur particulier n'explique pleinement ce qui les incite à poursuivre des études postsecondaires. On a cependant pris note de diverses caractéristiques permettant de différencier les jeunes qui entreprennent de telles études des autres. Le présent rapport compare les caractéristiques démographiques et familiales, l'engagement à l'école secondaire, le rendement scolaire et l'expérience lors de la première année d'études postsecondaires des jeunes qui ont entrepris des études postsecondaires et ceux qui n'en ont pas entrepris ou qui les ont abandonnées.

    Le chapitre 2 présente la relation entre diverses caractéristiques démographiques, familiales ou scolaires et la participation des jeunes aux études postsecondaires, quant au type d'établissement fréquenté et au niveau du programme entrepris à l'université (baccalauréat ou études de deuxième ou troisième cycle).

    Le chapitre 3 analyse la relation entre ces mêmes caractéristiques et le statut de participation des jeunes aux études postsecondaires, c'est-à-dire s'ils sont diplômés, persévérants ou décrocheurs.

    Le chapitre 4 conclut en résumant les résultats.

    Date de diffusion : 2007-11-20

  • Articles et rapports : 81-595-M2007054
    Géographie : Canada
    Description :

    Cheminements des jeunes Canadiens des études au marché du travail : résultats de l'Enquête auprès des jeunes en transition. Ce rapport a pour but d'examiner les différents chemins qu'empruntent les jeunes du Canada pour se rendre de l'école secondaire au marché du travail, de savoir qui prend ces chemins et de déterminer les résultats qui en découlent sur le marché du travail.

    La présente étude emploie les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) de 2004. L'EJET est une enquête longitudinale qui a recueilli des données auprès de jeunes de deux groupes d'âge lors du premier cycle de l'enquête, en l'an 2000, les premiers ayant 15 ans (Cohorte A) et les autres, de 18 à 20 ans (Cohorte B), au début de leur participation. L'analyse dans ce rapport utilise les données pour le deuxième groupe. Les deux cohortes ont été invitées à fournir un éventail de renseignements sur leurs expériences d'études et d'emploi et sur des caractéristiques personnelles telles que leurs aspirations scolaires.

    La première entrevue de suivi des participants de l'EJET s'est déroulée au début de 2002. À ce moment-là, les participants de la Cohorte B étaient âgés de 20 à 22 ans. La deuxième entrevue de suivi s'est tenue en 2004, pour la période de référence de décembre 2003, quand les participants de la Cohorte B étaient alors âgés de 22 à 24 ans.

    Le présent rapport s'appuie sur les descriptions des cheminements de base que suivaient les non-étudiants en décembre 2003, cernant d'abord les grands facteurs qui aident à prédire qui suivra quel chemin. Cela fait, nous examinons le lien entre ces cheminements et la « réussite » sur le marché du travail. Plus précisément, le restant du rapport est organisé comme suit :

    Chapitre 2 : Ce chapitre analyse en quoi certains facteurs contextuels permettent de prédire les parcours de l'école au marché du travail que suivaient les jeunes adultes de 22 à 24 ans en décembre 2003; il s'agit essentiellement de facteurs statiques qui ne changent pas (par exemple le sexe, l'âge, l'origine ethnique, le niveau de scolarité des parents, etc.).

    Chapitre 3 : Ce chapitre introduit des facteurs « intermédiaires », mesurés durant les études secondaires (par exemple la moyenne pondérée cumulative, travailler pendant le secondaire, etc.). Ces facteurs joueraient, croit-on, un rôle important d'atténuation de l'effet qu'exercent les facteurs contextuels susmentionnés sur la prévision des transitions de l'école au travail.

    Chapitre 4 : Dans ce chapitre, l'analyse change d'optique. Au lieu d'y étudier les prédicteurs des cheminements de l'école au travail, nous nous intéressons aux cheminements en tant qu'indicateurs de la situation sur le marché du travail. Dans ce chapitre, nous sommes en mesure de déterminer si certains parcours sont plus ou moins porteurs de succès professionnel et prometteurs de « bons » emplois, ainsi définis en fonction du revenu et du degré de satisfaction au travail. Nous sommes aussi à même de déterminer la profession qu'exerçaient les répondants en décembre 2003.

    Chapitre 5 : Ce chapitre de conclusion résume les résultats et l'analyse.

    Date de diffusion : 2007-11-01

  • Articles et rapports : 85-002-X20060039199
    Géographie : Canada
    Description :

    À l'aide des données d'une enquête sur la victimisation, et des enquêtes auprès de la police et des services correctionnels, ce rapport présente un portrait statistique de l'étendue et la nature de la victimisation et de la perpétration d'actes criminels chez les Autochtones du Canada depuis quelques années.

    Le rapport indique que les Autochtones sont beaucoup plus susceptibles que les non-Autochtones d'être victimes de crimes de violence et de violence conjugale. De plus, les Autochtones sont grandement surreprésentés parmi les personnes inculpées dans les affaires d'homicides déclarées par la police et parmi les personnes admises à des programmes correctionnels. En outre, les taux de criminalité dans les réserves sont beaucoup plus élevés que les taux pour le reste du Canada.

    Dans le rapport, on examine aussi les facteurs précis qui pourraient être liés à la grande représentation des Autochtones au sein du système de justice pénale. Ces facteurs comprennent les suivants : les Autochtones sont plus jeunes, en moyenne; leurs taux de chômage sont plus élevés, et leur revenu, plus faible; leur niveau de scolarité est moins élevé; ils sont plus susceptibles de vivent dans un logement surpeuplé; ils affichent une mobilité résidentielle accrue; et les enfants autochtones sont plus susceptibles de faire partie d'une famille monoparentale.

    On y présente de l'information sur la crainte de la criminalité chez les Autochtones, sur leurs perceptions du système de justice et sur leurs expériences de la discrimination. On y examine également certains des programmes et services qui ont été mis sur pied pour répondre aux besoins spéciaux des Autochtones dans le système de justice pénale.

    Date de diffusion : 2006-06-06

  • Articles et rapports : 11F0019M2006275
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude vise à évaluer les effets des compétences en littératie et en numératie sur les résultats sur le marché du travail des décrocheurs du secondaire au Canada. Nous avons déterminé que ces compétences ont des répercussions significatives sur la probabilité d'être occupé, ainsi que sur le nombre d'heures et de semaines de travail pour les hommes et pour les femmes, ainsi qu'une forte influence (directe) sur les revenus des hommes, mais pas sur ceux des femmes. Selon ces résultats, le programme d'études secondaires qui permet le développement de compétences en littératie et en numératie pourrait avoir des retombées significatives, même pour ceux qui ne le terminent pas et qui se retrouvent au bas de l'échelle sur le marché du travail. Nos conclusions laissent aussi supposer que les programmes de formation destinés aux décrocheurs pourraient améliorer substantiellement les résultats de ces personnes sur le marché du travail en leur permettant de développer ces compétences de base. Elles ont aussi des répercussions du point de vue de la théorie de la dualité du marché du travail, étant donné qu'on part souvent du principe que le marché secondaire se caractérise par des rendements minimes du capital humain, ce qui va à l'encontre des résultats présentés ici.

    Date de diffusion : 2006-03-27

  • Articles et rapports : 81-004-X20050048984
    Description :

    Cet article utilise les données de l'Enquête sur la population active pour les années scolaires 1990-1991 à 2004-2005 pour examiner les tendances relative aux taux de décrochage pour le Canada et les provinces, pour les hommes comparer aux femmes, et pour les régions métropolitaines de recensement comparer aux régions rurales. Un décrocheur correspond à la part des 20 à 24 ans qui ne fréquentent pas l'école et qui n'ont pas terminé leurs études secondaires.

    Date de diffusion : 2005-12-16
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