Analyses
Filtrer les résultats par
Aide à la rechercheMot(s)-clé(s)
Année de publication
Auteur(s)
Résultats
Tout (6)
Tout (6) ((6 résultats))
- Articles et rapports : 12-001-X202300200011Description : Le présent article permet d’examiner des plans d’échantillonnage pour les populations qui peuvent être représentées sous forme de matrice N × M. Par exemple, pour l’étude des activités touristiques, les lignes peuvent représenter les endroits visités par les touristes et les colonnes, les jours pendant la saison touristique. L’objectif est d’échantillonner les cellules (i, j) de la matrice lorsque le nombre de sélections dans chaque ligne et chaque colonne est a priori fixe. La taille d’échantillon de la ie ligne représente le nombre de cellules sélectionnées dans la ligne i, tandis que la taille d’échantillon de la je colonne correspond au nombre de cellules sélectionnées dans la colonne j. Un plan d’échantillonnage matriciel donne une matrice d’indicateurs d’échantillon N × M, avec l’entrée 1 à la position (i, j) si la cellule (i, j) est échantillonnée, et 0 autrement. Le premier plan d’échantillonnage matriciel étudié comporte un niveau d’échantillonnage et les tailles d’échantillon des lignes et des colonnes sont établies à l’avance : les tailles d’échantillon des lignes peuvent varier, tandis que les tailles d’échantillon des colonnes sont toutes identiques. Nous pouvons considérer les marges fixes comme des contraintes d’équilibrage et nous examinons les algorithmes possibles pour la sélection de ces échantillons. Nous abordons ensuite un nouvel estimateur de variance de l’estimateur de Horvitz-Thompson pour la moyenne de la variable d’enquête y. Plusieurs niveaux d’échantillonnage peuvent être requis pour tenir compte de toutes les contraintes, ce qui nécessite des plans d’échantillonnage matriciel à plusieurs niveaux, que nous étudions également.Date de diffusion : 2024-01-03
- 2. Utilisation de l'échantillonnage équilibré dans les enquêtes sur les prises des pêcheurs sportifs ArchivéArticles et rapports : 12-001-X201800254954Description :
Ces dernières années, les techniques d’échantillonnage équilibré ont suscité un regain d’intérêt. Ces techniques contraignent les estimateurs d’Horvitz-Thompson des totaux des variables auxiliaires a égaler, du moins approximativement, les totaux vrais correspondants, pour éviter la présence de mauvais échantillons. Plusieurs procédures existent pour exécuter l’échantillonnage équilibré, dont la méthode du cube, élaborée par Deville et Tillé (2004), et l’algorithme réjectif, introduit par Hájek (1964). Après un bref examen de ces méthodes d’échantillonnage, motivé par la planification d’une enquête auprès des pêcheurs sportifs, nous étudions par simulations Monte Carlo les plans de sondage produits par ces deux algorithmes d’échantillonnage.
Date de diffusion : 2018-12-20 - Articles et rapports : 12-001-X201100111447Description :
Ce document présente un programme R pour la stratification d'une population d'enquête à l'aide d'une variable unidimensionnelle X et pour le calcul de tailles d'échantillon dans les strates. Nous y employons des méthodes non itératives pour délimiter les strates, comme la méthode de la fonction cumulative de la racine carrée des fréquences et la méthode géométrique. Nous pouvons élaborer des plans optimaux où les bornes de strates minimisent soit le CV de l'estimateur simple par dilatation pour une taille fixe d'échantillon n, soit la valeur n pour un CV fixe. Nous disposons de deux algorithmes itératifs pour le calcul des bornes optimales. Le plan peut comporter des strates à tirage obligatoire qui sont définies par l'utilisateur et dont toutes les unités sont échantillonnées. Il est également possible d'inclure dans le plan stratifié des strates à tirage complet et à tirage nul qui permettent souvent de réduire les tailles d'échantillon. Les calculs de taille d'échantillon sont fondés sur les moments anticipés de la variable d'enquête Y étant donné la variable de stratification X. Le programme traite les distributions conditionnelles de Y étant donné X qui sont soit un modèle linéaire hétéroscédastique soit un modèle loglinéaire. Nous pouvons tenir compte de la non-réponse par strate dans l'élaboration du plan d'échantillonnage et dans les calculs de taille d'échantillon.
Date de diffusion : 2011-06-29 - Articles et rapports : 12-001-X20020026432Description :
Cet article décrit des algorithmes de stratification qui permettent de tenir compte d'une divergence entre la variable de stratification et la variable étudiée au moment de l'élaboration d'un plan de sondage stratifié. On y propose deux modèles pour caractériser la relation entre ces deux variables. L'un est un modèle de régression log-linéaire; l'autre suppose que la variable étudiée et la variable de stratification coïncident pour la plupart des unités, mais que des divergences importantes existent pour certaines unités. Ensuite, on modifie l'algorithme de stratification de Lavallée et Hidiroglou (1988) afin d'intégrer ces modèles dans la détermination des tailles d'échantillon et des limites de strate optimales pour un plan de sondage stratifié. Enfin, on illustre par un exemple la performance du nouvel algorithme de stratification, puis on présente un examen de l'application numérique de cet algorithme.
Date de diffusion : 2003-01-29 - Articles et rapports : 12-001-X20000015179Description :
Les auteurs proposent l'estimation de l'erreur quadratique moyenne conditionnelle des estimateurs régionaux comme moyen d'en évaluer la précision. Cette erreur quadratique moyenne est conditionnelle en ce sens qu'elle mesure la variabilité relativement au plan d'échantillonnage pour une réalisation particulière du modèle de lissage qui sous-tend les estimateurs régionaux. Il est facile de construire un estimateur sans biais pour l'erreur quadratique moyenne conditionnelle à l'aide du lemme de Stein pour l'espérance de variables aléatoires normales.
Date de diffusion : 2000-08-30 - Articles et rapports : 12-001-X199500214399Description :
Nous examinons l’utilité de la moyenne winsorisée comme estimateur de la moyenne d’une distribution à asymétrie positive. On obtient la moyenne winsorisée en remplaçant toutes les observations supérieures à une valeur limite donnée R par cette même valeur R, avant le calcul de la moyenne. La valeur limite optimale, telle qu’elle est définie par Searls (1966), minimise l’erreur quadratique moyenne (mean square error, ou MSE) de l’estimateur winsorisé. Nous proposons des méthodes d’évaluation de cette valeur limite optimale avec divers plans d’échantillonnage, y compris l’échantillonnage aléatoire simple, l’échantillonnage stratifié et l’échantillonnage avec probabilité proportionnelle à la taille (ppt). Pour la plupart des distributions asymétriques, la stratégie de winsorisation optimale aura généralement pour effet de modifier la valeur d’environ une observation dans l’échantillon. On dérive des approximations directes (qui ne fait pas appel à un processus itératif) de l’efficacité de la moyenne winsorisée de Searls en utilisant la théorie des statistiques d’ordre extrême. Une expérience de Monte Carlo nous sert à comparer divers estimateurs réduisant l’impact des valeurs extrêmes.
Date de diffusion : 1995-12-15
Stats en bref (0)
Stats en bref (0) (0 résultat)
Aucun contenu disponible actuellement
Articles et rapports (6)
Articles et rapports (6) ((6 résultats))
- Articles et rapports : 12-001-X202300200011Description : Le présent article permet d’examiner des plans d’échantillonnage pour les populations qui peuvent être représentées sous forme de matrice N × M. Par exemple, pour l’étude des activités touristiques, les lignes peuvent représenter les endroits visités par les touristes et les colonnes, les jours pendant la saison touristique. L’objectif est d’échantillonner les cellules (i, j) de la matrice lorsque le nombre de sélections dans chaque ligne et chaque colonne est a priori fixe. La taille d’échantillon de la ie ligne représente le nombre de cellules sélectionnées dans la ligne i, tandis que la taille d’échantillon de la je colonne correspond au nombre de cellules sélectionnées dans la colonne j. Un plan d’échantillonnage matriciel donne une matrice d’indicateurs d’échantillon N × M, avec l’entrée 1 à la position (i, j) si la cellule (i, j) est échantillonnée, et 0 autrement. Le premier plan d’échantillonnage matriciel étudié comporte un niveau d’échantillonnage et les tailles d’échantillon des lignes et des colonnes sont établies à l’avance : les tailles d’échantillon des lignes peuvent varier, tandis que les tailles d’échantillon des colonnes sont toutes identiques. Nous pouvons considérer les marges fixes comme des contraintes d’équilibrage et nous examinons les algorithmes possibles pour la sélection de ces échantillons. Nous abordons ensuite un nouvel estimateur de variance de l’estimateur de Horvitz-Thompson pour la moyenne de la variable d’enquête y. Plusieurs niveaux d’échantillonnage peuvent être requis pour tenir compte de toutes les contraintes, ce qui nécessite des plans d’échantillonnage matriciel à plusieurs niveaux, que nous étudions également.Date de diffusion : 2024-01-03
- 2. Utilisation de l'échantillonnage équilibré dans les enquêtes sur les prises des pêcheurs sportifs ArchivéArticles et rapports : 12-001-X201800254954Description :
Ces dernières années, les techniques d’échantillonnage équilibré ont suscité un regain d’intérêt. Ces techniques contraignent les estimateurs d’Horvitz-Thompson des totaux des variables auxiliaires a égaler, du moins approximativement, les totaux vrais correspondants, pour éviter la présence de mauvais échantillons. Plusieurs procédures existent pour exécuter l’échantillonnage équilibré, dont la méthode du cube, élaborée par Deville et Tillé (2004), et l’algorithme réjectif, introduit par Hájek (1964). Après un bref examen de ces méthodes d’échantillonnage, motivé par la planification d’une enquête auprès des pêcheurs sportifs, nous étudions par simulations Monte Carlo les plans de sondage produits par ces deux algorithmes d’échantillonnage.
Date de diffusion : 2018-12-20 - Articles et rapports : 12-001-X201100111447Description :
Ce document présente un programme R pour la stratification d'une population d'enquête à l'aide d'une variable unidimensionnelle X et pour le calcul de tailles d'échantillon dans les strates. Nous y employons des méthodes non itératives pour délimiter les strates, comme la méthode de la fonction cumulative de la racine carrée des fréquences et la méthode géométrique. Nous pouvons élaborer des plans optimaux où les bornes de strates minimisent soit le CV de l'estimateur simple par dilatation pour une taille fixe d'échantillon n, soit la valeur n pour un CV fixe. Nous disposons de deux algorithmes itératifs pour le calcul des bornes optimales. Le plan peut comporter des strates à tirage obligatoire qui sont définies par l'utilisateur et dont toutes les unités sont échantillonnées. Il est également possible d'inclure dans le plan stratifié des strates à tirage complet et à tirage nul qui permettent souvent de réduire les tailles d'échantillon. Les calculs de taille d'échantillon sont fondés sur les moments anticipés de la variable d'enquête Y étant donné la variable de stratification X. Le programme traite les distributions conditionnelles de Y étant donné X qui sont soit un modèle linéaire hétéroscédastique soit un modèle loglinéaire. Nous pouvons tenir compte de la non-réponse par strate dans l'élaboration du plan d'échantillonnage et dans les calculs de taille d'échantillon.
Date de diffusion : 2011-06-29 - Articles et rapports : 12-001-X20020026432Description :
Cet article décrit des algorithmes de stratification qui permettent de tenir compte d'une divergence entre la variable de stratification et la variable étudiée au moment de l'élaboration d'un plan de sondage stratifié. On y propose deux modèles pour caractériser la relation entre ces deux variables. L'un est un modèle de régression log-linéaire; l'autre suppose que la variable étudiée et la variable de stratification coïncident pour la plupart des unités, mais que des divergences importantes existent pour certaines unités. Ensuite, on modifie l'algorithme de stratification de Lavallée et Hidiroglou (1988) afin d'intégrer ces modèles dans la détermination des tailles d'échantillon et des limites de strate optimales pour un plan de sondage stratifié. Enfin, on illustre par un exemple la performance du nouvel algorithme de stratification, puis on présente un examen de l'application numérique de cet algorithme.
Date de diffusion : 2003-01-29 - Articles et rapports : 12-001-X20000015179Description :
Les auteurs proposent l'estimation de l'erreur quadratique moyenne conditionnelle des estimateurs régionaux comme moyen d'en évaluer la précision. Cette erreur quadratique moyenne est conditionnelle en ce sens qu'elle mesure la variabilité relativement au plan d'échantillonnage pour une réalisation particulière du modèle de lissage qui sous-tend les estimateurs régionaux. Il est facile de construire un estimateur sans biais pour l'erreur quadratique moyenne conditionnelle à l'aide du lemme de Stein pour l'espérance de variables aléatoires normales.
Date de diffusion : 2000-08-30 - Articles et rapports : 12-001-X199500214399Description :
Nous examinons l’utilité de la moyenne winsorisée comme estimateur de la moyenne d’une distribution à asymétrie positive. On obtient la moyenne winsorisée en remplaçant toutes les observations supérieures à une valeur limite donnée R par cette même valeur R, avant le calcul de la moyenne. La valeur limite optimale, telle qu’elle est définie par Searls (1966), minimise l’erreur quadratique moyenne (mean square error, ou MSE) de l’estimateur winsorisé. Nous proposons des méthodes d’évaluation de cette valeur limite optimale avec divers plans d’échantillonnage, y compris l’échantillonnage aléatoire simple, l’échantillonnage stratifié et l’échantillonnage avec probabilité proportionnelle à la taille (ppt). Pour la plupart des distributions asymétriques, la stratégie de winsorisation optimale aura généralement pour effet de modifier la valeur d’environ une observation dans l’échantillon. On dérive des approximations directes (qui ne fait pas appel à un processus itératif) de l’efficacité de la moyenne winsorisée de Searls en utilisant la théorie des statistiques d’ordre extrême. Une expérience de Monte Carlo nous sert à comparer divers estimateurs réduisant l’impact des valeurs extrêmes.
Date de diffusion : 1995-12-15
Revues et périodiques (0)
Revues et périodiques (0) (0 résultat)
Aucun contenu disponible actuellement
- Date de modification :