Logo StatCan et la COVID-19: Des données aux connaissances, pour bâtir un Canada meilleur Les personnes qui vivaient en appartement ou au sein d’un ménage plus nombreux étaient plus à risque de mourir de la COVID-19 au cours de la première vague de la pandémie

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par Fei-Ju Yang et Nicole Aitken

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Au Canada, des mesures de distanciation physique ont été mises en œuvre dans les endroits publics à partir de la mi-mars 2020, dans le but de ralentir la propagation de la COVID-19, laquelle se transmet quand une personne infectée est en contact étroit avec d’autres personnes (Organisation mondiale de la Santé, 2020). Cependant, il peut être difficile pour les personnes qui partagent un logement de maintenir une certaine distance entre elles-mêmes et les autres, surtout si l’espace est restreint ou si plusieurs personnes vivent au même endroit (Moos, McCulley, et Vinodrai, 2020). Selon Schellenberg et Fonberg (2020), les unités résidentielles de plus petite taille ont tendance à avoir un moins grand nombre de chambres et une plus petite superficie habitable, de sorte qu’il peut être difficile de rester au domicile ou de respecter les mesures de distanciation physique lorsqu’un membre de la famille a eu des contacts avec une personne atteinte de la COVID-19 ou a obtenu un résultat positif à un test de dépistage. De plus, si plusieurs personnes vivent ensemble dans une unité d’habitation, cela augmentera le nombre d’occasions potentielles de transmission de la COVID-19 au sein du ménage.

Les populations vulnérables, comme les Autochtones et les nouveaux immigrants, peuvent être touchées de façon disproportionnée par le risque de transmission de la COVID-19, car elles sont plus susceptibles de vivre dans des logements surpeuplés (Statistique Canada, 2017a; Haan, 2012). Selon les études internationales, la taille du ménage et les caractéristiques du logement sont d’importants facteurs pour la transmission de la COVID-19 et la mortalité attribuable à la COVID-19, et qu’elles peuvent avoir des répercussions plus importantes sur les populations vulnérables (Borjas, 2020; Joy et coll., 2020; Moos et coll., 2000).

La présente étude se fonde sur les données provisoires de la Base canadienne de données de l’état civil – Décès, couplées aux données du questionnaire abrégé du Recensement de 2016 pour étudier les différences dans le taux de mortalité attribué à la COVID-19 par le type de logement privé où vivait une personne et la taille de son ménage au moment du Recensement de 2016. Bien que grande nombre des décès attribués à la COVID-19 lors de la première vague de la pandémie, soit de mars à juillet, se soient produits dans des foyers de soins de longue durée, le présent article porte sur les décès associés aux personnes vivant dans un logement privé, lesquelles représentent environ 98 % de la population généraleNote .

Les résultats présentés dans cet article sont fondés sur les décès attribuables à la COVID-19 survenus entre le 1er janvier et le 4 juilletNote . Les détails sur les limites de ces données se trouvent dans la section de la source de données à la fin de l’article, y compris l’absence de renseignements sur d’autres facteurs socioéconomiques pouvant être déterminants pour la COVID-19.

Les personnes qui vivent dans une maison affichent les plus faibles taux de mortalité attribuable à la COVID-19

La superficie habitable du logement aura une incidence sur la capacité de s’isoler et de maintenir une certaine distance avec les autres membres du ménage. Au Canada, la superficie habitable totale varie selon le type de logement. En OntarioNote , les maisons individuelles non attenantes ont la plus grande superficie habitable (1 840 pieds carrés), en moyenne, suivies des maisons jumelées (1 610 pieds carrés), des maisons en rangée (1 470 pieds carrés) et des appartements (862 pieds carrés) (Statistique Canada, s.d.a).

Au Canada, les plus faibles taux de mortalité attribuable à la COVID-19 étaient associés aux personnes qui vivaient dans une maison individuelle non attenante (graphique 1). Pour ce groupe, on a dénombré 9 décès associés à la COVID-19 pour 100 000Note  personnes.

Au Québec, les personnes qui vivaient dans une tour d’habitationNote affichaient des taux de mortalité attribuable à la COVID-19 près de 2,5 fois plus élevés que celles qui vivaient dans une maison individuelle non attenante (63 pour 100 000 par rapport à 27 pour 100 000).

De manière similaire, en Ontario, les taux de mortalité attribuable à la COVID-19 étaient près de deux fois plus élevés chez les personnes qui vivaient dans une tour d’habitation (16 pour 100 000 par rapport à 9 pour 100 000). Selon d’autres études, les résidents d’immeubles à logements multiples, comme un immeuble d’appartements, peuvent être plus susceptibles de contracter la COVID-19, en raison de la fréquence accrue de contacts étroits avec d’autres personnes, et de la présence de surfaces communes dans les zones très fréquentées, comme les vestibules et les ascenseurs (Dietz et coll., 2020; Eykelbosh, 2020).

Graphique 1 Taux de mortalité attribuable à la COVID-19 normalisé selon l’âge, Ontario, Québec et Canada, du le 1<sup>er</sup> janvier au 4 juillet 2020, selon le type de logement privé

Tableau de données du graphique 1 
Graphique 1
Taux de mortalité attribuable à la COVID-19 normalisé selon l’âge, Ontario, Québec et Canada, du le 1er janvier au 4 juillet 2020, selon le type de logement privé
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Taux de mortalité attribuable à la COVID-19 normalisé selon l’âge Taux de mortalité normalisé selon l’âge (pour 100 000 habitants), calculées selon Ontario, Intervalles de confiance (95 % limite inférieure), Intervalles de confiance (95 % limite supérieure), Québec et Canada unités de mesure (figurant comme en-tête de colonne).
Taux de mortalité normalisé selon l’âge (pour 100 000 habitants)
Ontario Intervalles de confiance (95 % limite inférieure) Intervalles de confiance (95 % limite supérieure) Québec Intervalles de confiance (95 % limite inférieure) Intervalles de confiance (95 % limite supérieure) Canada Intervalles de confiance (95 % limite inférieure) Intervalles de confiance (95 % limite supérieure)
Maison individuelle non attenante 9 8 9 27 25 29 9 9 10
Maison jumelée 13 10 16 41 32 49 16 13 18
Maison en rangée 13 10 15 67 51 83 13 11 15
Appartement ou plain-pied dans un duplex 12 8 16 57 50 63 26 23 29
Appartement dans un immeuble à hauteur restreinte 13 11 15 54 50 57 24 23 26
Appartement dans une tour d’habitation 16 15 18 63 58 69 23 21 24

Les appartements au Canada, en particulier ceux dans des tours d’habitation, sont concentrés dans les grandes régions urbaines ayant une population d’au moins 100 000 habitants, appelées régions métropolitaines de recensement (RMR)Note . Cela pourrait expliquer en partie le taux de moralité plus élevé associé à ces types de logements. Les appartements dans des tours d’habitation et dans des immeubles à hauteur restreinte représentaient 34,5 % des logements dans les grandes régions urbaines, alors qu’à l’extérieur de ces régions, ils représentaient 12,7 % des logements (Statistique Canada, 2017b). Pendant la première vague de la pandémie, le nombre de décès attribués à la COVID-19 au Canada était plus de quatre fois plus élevé dans les grandes régions urbaines que dans toutes les autres régions combinées.

Nos résultants indiquent que les écarts dans les taux de mortalité attribuable à la COVID-19 selon le type de logement persistent lorsque nous limitons notre analyse aux grandes régions urbaines. Dans l’ensemble des RMR du Québec, le taux de mortalité était significativement plus faible pour les maisons individuelles non attenantes que pour les appartements dans des tours d’habitation (39 pour 100 000 par rapport à 65 pour 100 000). De même, dans les RMR de l’Ontario, le taux de mortalité pour les maisons individuelles non attenantes était de 10 pour 100 000 personnes, comparativement à 17 pour 100 000 personnes pour les tours d’habitation. Ainsi, les tendances qui ressortent des résultats rendent non seulement compte de différences fondées sur la région géographique pendant la première vague, mais aussi de différences selon le type de logement.

L’écart dans les taux de mortalité entre les personnes qui vivaient dans une maison individuelle et celles qui vivaient en appartement peut également être lié à des facteurs socioéconomiques, autres que le type de logement, qui ne sont pas couverts dans la présente étude (p. ex. le revenu). Le revenu après impôt médian des ménages varie selon le type de logement. Pour les maisons individuelles, il était de 76 782 $ comparativement aux appartements dans une tour d’habitation, où il était à 42 323 $ (Al Tawil, 2019, Statistique Canada. s.d. b).

Les tendances en matière de mortalité attribuable à la COVID-19 selon le type de logement en Ontario et au Québec sont différentes, car les caractéristiques des logements varient entre ces deux provinces (Statistique Canada, 2017b). Par exemple, au Québec, il y a plus d’appartements en général (45,5 % au Québec contre 30,7 % en Ontario), mais il existe plus d’appartements dans une tour d’habitation en Ontario (17,2 % contre 5,3 %).

À l’échelle des provinces, les ménages plus nombreux sont associés à de plus hauts taux de mortalité attribuable à la COVID-19

Les personnes qui vivaient au sein d’un ménage plus nombreux étaient plus susceptibles de mourir de la COVID-19 (graphique 2). Cette situation peut être liée au fait que dans les ménages de plus grande taille, il y a davantage de points de contact potentiels avec le virus, ou moins de possibilités de s’auto-isoler à l’intérieur du logement si quelqu’un tombe malade. À l’échelle nationale, le taux de mortalité attribuable à la COVID-19 était de 15 pour 100 000 chez les personnes qui vivaient seules, et de 17 pour 100 000 chez celles qui vivaient au sein d’un ménage comptant cinq personnes ou plus.

Au Québec, le taux de mortalité chez les personnes qui vivaient au sein d’un ménage de cinq personnes ou plus était 1,4 fois plus élevé chez les personnes qui vivaient au sein d’un ménage composé d’une seule personne (58 pour 100 000 par rapport à 42 pour 100 000). En Ontario, les ménages de cinq personnes ou plus affichaient des taux de mortalité attribuable à la COVID-19 1,7 fois plus élevés (17 pour 100 000) que les ménages d’une seule personne (10 pour 100 000). Aucune différence significative n’a été enregistrée entre les ménages composés d’une, deux, trois ou quatre personnes.

Graphique 2 Taux de mortalité attribuable à la COVID-19 normalisé selon l’âge, Ontario, Québec et Canada, du 1<sup>er</sup> janvier au 4 juillet 2020, selon la taille du ménage

Tableau de données du graphique 2 
Graphique 2
Taux de mortalité attribuable à la COVID-19 normalisé selon l’âge, Ontario, Québec et Canada, du 1er janvier au 4 juillet 2020, selon la taille du ménage
Sommaire du tableau
Le tableau montre les résultats de Taux de mortalité attribuable à la COVID-19 normalisé selon l’âge Taux de mortalité normalisé selon l’âge (pour 100 000 habitants), calculées selon Ontario, Intervalles de confiance (95 % limite inférieure), Intervalles de confiance (95 % limite supérieure), Québec et Canada unités de mesure (figurant comme en-tête de colonne).
Taux de mortalité normalisé selon l’âge (pour 100 000 habitants)
Ontario Intervalles de confiance (95 % limite inférieure) Intervalles de confiance (95 % limite supérieure) Québec Intervalles de confiance (95 % limite inférieure) Intervalles de confiance (95 % limite supérieure) Canada Intervalles de confiance (95 % limite inférieure) Intervalles de confiance (95 % limite supérieure)
1 personne 10 9 11 42 39 44 15 14 15
2 personne 11 10 12 44 41 47 15 15 16
3 personne 11 9 13 45 39 51 15 14 17
4 personne 11 8 14 43 34 53 14 11 16
5 personnes ou plus 17 14 20 58 47 69 17 15 19

Source de données

Le présent article se fonde sur les données provisoires sur les décès attribuables à la COVID-19 tirées de la Base canadienne de données de l’état civil – Décès, couplées au Recensement de 2016 (questionnaire abrégé). De plus amples renseignements sur le processus de couplage et sur le fichier analytique couplé qui en découle sont accessibles sur demandeNote . La base de données couplée contient les décès attribués à la COVID-19 qui sont survenus entre le 1er janvier et le 4 juilletNote , ainsi que les renseignements sur les causes de décèsNote . Les données sur la COVID-19 dans la présente étude sont provisoires puisqu’elles ne rendent pas compte de tous les décès qui sont survenus pendant la période de référence, en raison des délais de déclaration et du fait que les données ne sont pas accessibles pour le Yukon. Une petite proportion des décès attribuables à la COVID-19 n’a pas été couplée aux données du questionnaire abrégé du Recensement de 2016 et a été exclue de la présente étude. Par conséquent, les données pourraient ne pas correspondre à ceux d’autres sources (p. ex. rapports des médias), ou aux chiffres et aux estimations des autorités provinciales ou territoriales de la santé ou d’autres organismes.

Bien que le taux de réponse au questionnaire abrégé du Recensement de la population ait atteint 97,4 % (Statistique Canada, 2017c), les renseignements démographiques qui en découlent sont limités. Par exemple, les renseignements sur le statut de minorité visible, un facteur lié à la mortalité attribuable à la COVID-19 (Subedi, Greenberg et Turcotte, 2020), ne sont pas recueillis au moyen du questionnaire abrégé. Les renseignements sur la taille convenable du logement, le nombre de chambres par logement privé ou le statut de propriété du logementNote , des facteurs qui pourraient mieux mesurer le surpeuplement d’un ménage comme facteur de risque pour la COVID-19, ne sont pas non plus recueillis au moyen de ce questionnaire. Les logements collectifs ne sont pas inclus, de sorte que les résidents de foyers de soins de longue durée sont exclus. Ces facteurs sont importants pour comprendre les taux de transmission de la COVID-19.

Les provinces et territoires autres que le Québec et l’Ontario ne sont pas inclus dans cette analyse en raison du petit nombre de décès attribuables à la COVID-19 qui y a été enregistré entre le début de la pandémie et le 4 juillet. Aussi, il convient de faire preuve de prudence au moment d’interpréter les résultats, car les renseignements sociodémographiques et socioéconomiques fournis le jour du Recensement de 2016 peuvent avoir changé depuis.

Références

Al-Tawil, Jumana. 2019. « Propriété, revenu et valeurs des propriétés résidentielles », produit no 46-28-0001 au catalogue de Statistique Canada, https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/46-28-0001/2019001/article/00002-fra.pdf

Borjas, George J. 2020. « Demographic determinants of testing incidence and COVID-19 infections in New York City neighborhoods. » NBER Working Paper Series. Cambridge : National Bureau of Economic Research.

Dietz, Leslie, Patrick F. Horve, David A. Coil, Mark Fretz, Jonathan A. Eisen et Kevin Van Den Wymelenberg. 2020. « 2019 Novel coronavirus (COVID-19) pandemic: Built environment considerations to reduce transmission. » mSystems, 5(2), https://msystems.asm.org/content/5/2/e00245-20?fbclid=IwAR35Wg7vCwfwXxzKsHTptB8oRwfS7nnnysuvOAuYe0GW6REiJ_FNdI4RI_s

Eykelbosh, A. 2020. « COVID-19 precautions for multi-unit residential buildings. BC Centre for Disease Control. » Colombie-Britannique, Canada. https://ncceh.ca/sites/default/files/COVID-19%20Precautions%20for%20Multiunit%20Residential%20Buildings%20-%20March%2031%202020.pdf

Haan, Michael. 2012. « Les expériences des nouveaux Canadiens sur le plan du logement : d’après l’Enquête longitudinale auprès des immigrants du Canada (ELIC) », Ottawa, Citoyenneté et Immigration Canada.

Joy, Mark, Richard Hobbs, Jamie L. Bernal, Julian Sherlock, Gayatri Amirthalingam, Dylan McGagh, Oluwafunmi Akinyemi, Rachel Byford, Gavin Dabrera, Jienchi Dorward, Joanna Ellis, Filipa Ferreira, Nicholas Jones, Jason Oke, Cecilia Okusi, Brian D. Nicholson, Mary Ramsay, James P. Sheppard, Mary Sinnathamby, Maria Zambon, Gary Howsam, John Williams et Simon de Lusignan. 2020. « Excess mortality in the first COVID pandemic peak: Cross-sectional analyses of the impact of age, sex, ethnicity, household size, and long-term conditions in people of known SARS-CoV-2 status in England ». British Journal of General Practice, 70(701): 890-898.

Moos, Markus, Amanda McCulley et Tara Vinodrai. 2020. « COVID-19 and urban density: Evaluating the arguments ». Report for the Region of Waterloo. Waterloo : University of Waterloo

Schellenberg, Grant et Jonathan Fonberg. 2020. « Les caractéristiques du logement et le fait de rester chez soi pendant la pandémie de COVID-19 », Statcan et la COVID-19 : Des données aux connaissances, pour bâtir un Canada meilleur, Ottawa, Statistique Canada.

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Statistique Canada. 2017b. « Recensement en bref : Les logements au Canada », Ottawa, Statistique Canada, https://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2016/as-sa/98-200-x/2016005/98-200-x2016005-fra.cfm.

Statistique Canada. 2017c. « Chapitre 10 – Évaluation de la qualité des données », Guide du Recensement de la population, 2016, Ottawa, Statistique Canada, https://www12.statcan.gc.ca/census-recensement/2016/ref/98-304/chap10-fra.cfm.

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Subedi, Rajendra, Lawson Greenberg et Martin Turcotte. 2020. « Taux de mortalité attribuable à la COVID-19 dans les quartiers ethnoculturels du Canada », Statcan et la COVID-19 : Des données aux connaissances, pour bâtir un Canada meilleur Ottawa, Statistique Canada, https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/45-28-0001/2020001/article/00079-fra.htm.

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