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Ce qu’il faut savoir au sujet de la présente étudeLes données utilisées dans le présent article proviennent de l’Enquête sociale générale sur l’emploi du temps de 2005, dans le cadre de laquelle on a interviewé des Canadiens âgés de 15 ans et plus vivant dans les 10 provinces. L’étude est centrée sur les adultes de 19 à 64 ans dont l’activité principale pendant l’année était le travail. La population cible est fondée sur approximativement 9 700 répondants et représente plus de 13,4 millions de Canadiens. Bourreau de travail : Tous les répondants qui ont répondu « oui » à la question « Vous considérez-vous comme un bourreau de travail? ». Cette déclaration volontaire est fondée uniquement sur la perception que les répondants ont du temps et non sur le nombre réel d’heures qu’ils travaillent. On utilise plus l’expression « bourreau de travail » dans les ouvrages de vulgarisation que dans le domaine de la psychologie, où l’on préfère souvent « dépendance au travail ». L’expression est une traduction du mot anglais « workaholic », qui a commencé à être utilisé dans les années 1970 et qui persiste dans le langage courant. Selon diverses recherches, environ une personne sur quatre se considère comme un bourreau de travail1, et on définit un certain nombre de sous-types distincts dans les ouvrages didactiques2. Selon leurs réponses aux questions de sélection, les bourreaux de travail peuvent être classés dans des catégories allant de « travailleur enthousiaste » à « travailleur peu enthousiaste »3. Pour plus de renseignements sur la classification des sous-types de bourreau de travail et sur le concept dans son ensemble, consultez J. Spence et A. Robbins. 1992. « Workaholism: Definition, measurement, and preliminary results », Journal of Personality Assessment, vol. 58, no 1, p. 160 à 178. Sources
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