Analyses

La présence des femmes sur le marché du travail a connu une hausse substantielle au cours des dernières décennies, créant pour les familles des défis liés à l'équilibre des responsabilités entre le travail et la vie personnelle. L'examen des régimes de travail familiaux a révélé des différences significatives dans les heures de travail annuelles entre les familles avec enfants et celles sans enfants.

En règle générale, on dit que la maternité à l'adolescence aura des effets négatifs à long terme sur le bien être de la mère celle-ci aura peut-être plus de difficulté à terminer ses études secondaires, ce qui signifie qu'elle sera probablement moins susceptible de poursuivre des études postsecondaires et d'acquérir les compétences nécessaires à l'obtention de meilleurs emplois. Puisque les emplois peu spécialisés ont tendance à être moins bien rémunérés, les mères adolescentes seraient plus susceptibles de vivre en situation de faible revenu. Cette étude, qui porte sur les femmes âgées de 30 à 39 ans, permet de déterminer si la maternité à l'adolescence est liée à de plus faibles caractéristiques socioéconomiques à long terme, et met l'accent sur le niveau de scolarité, l'activité sur le marché du travail et la situation de faible revenu.

Cette étude a examiné les transitions d'entrées et de sorties de situations de faible revenu ainsi que la persistance de ces situations pour la population Canadienne. Elle a examiné également la prévalence de travailleurs faiblement rémunérés et dans quelle mesure ces travailleurs vivent dans des familles à faibles revenus.

L'étude a démontré que les personnes seules âgées entre 45 et 64 ans, celles ayant une limitation de l'activité, les sans emplois, les membres des minorités visibles et les décrocheurs ont tous un plus haut risque de persistance dans les situations de faible revenu (6 années sur 6). La fondation de familles a semblé réduire l'incidence et la persistance des situations de faible revenu.

Les analysent statistiques ont démontré que parmi les personnes en âge de travailler et vivant seules, celles qui sont sans emploi, celles qui ont une signaler une incapacité limitant les activités de travail, qui n'ont pas complété leurs études secondaires, qui sont âgées entre 45 et 64 ans ou qui ont vécu seul durant les six années de l'étude sont associées à un risque plus élevé d'être dans des situations de faible revenu persistant.

La présence des femmes sur le marché du travail a connu une hausse substantielle au cours des dernières décennies, créant pour les familles des défis liés à l'équilibre des responsabilités entre le travail et la vie personnelle. L'examen des régimes de travail familiaux a révélé des différences significatives dans les heures de travail annuelles entre les familles avec enfants et celles sans enfants.

En règle générale, on dit que la maternité à l'adolescence aura des effets négatifs à long terme sur le bien être de la mère celle-ci aura peut-être plus de difficulté à terminer ses études secondaires, ce qui signifie qu'elle sera probablement moins susceptible de poursuivre des études postsecondaires et d'acquérir les compétences nécessaires à l'obtention de meilleurs emplois. Puisque les emplois peu spécialisés ont tendance à être moins bien rémunérés, les mères adolescentes seraient plus susceptibles de vivre en situation de faible revenu. Cette étude, qui porte sur les femmes âgées de 30 à 39 ans, permet de déterminer si la maternité à l'adolescence est liée à de plus faibles caractéristiques socioéconomiques à long terme, et met l'accent sur le niveau de scolarité, l'activité sur le marché du travail et la situation de faible revenu.

Cette étude a examiné les transitions d'entrées et de sorties de situations de faible revenu ainsi que la persistance de ces situations pour la population Canadienne. Elle a examiné également la prévalence de travailleurs faiblement rémunérés et dans quelle mesure ces travailleurs vivent dans des familles à faibles revenus.

L'étude a démontré que les personnes seules âgées entre 45 et 64 ans, celles ayant une limitation de l'activité, les sans emplois, les membres des minorités visibles et les décrocheurs ont tous un plus haut risque de persistance dans les situations de faible revenu (6 années sur 6). La fondation de familles a semblé réduire l'incidence et la persistance des situations de faible revenu.

Les analysent statistiques ont démontré que parmi les personnes en âge de travailler et vivant seules, celles qui sont sans emploi, celles qui ont une signaler une incapacité limitant les activités de travail, qui n'ont pas complété leurs études secondaires, qui sont âgées entre 45 et 64 ans ou qui ont vécu seul durant les six années de l'étude sont associées à un risque plus élevé d'être dans des situations de faible revenu persistant.