Postes vacants, mobilité de la main-d'oeuvre et mises à pied

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  • Articles et rapports : 75-001-X19980013594
    Géographie : Canada
    Description :

    L'âge, la situation familiale, les horaires de travail ainsi que les congés influent sur les absences du travail. Voici un tableau détaillé et à jour des conséquences de ces variables et de certains autres facteurs. Les données sont celles de l'Enquête sur la population active remaniée et de l'Enquête sur les horaires et les conditions de travail de 1995. Pour la première fois, il est possible de retrancher les données relatives aux congés de maternité.

    Date de diffusion : 1998-03-25

  • Articles et rapports : 11F0019M1997106
    Géographie : Canada, Province ou territoire
    Description :

    Le présent document traite du roulement de la main-d'oeuvre et de l'adaptation au marché du travail dans l'économie ontarienne, entre 1978 et 1993. Les principales conclusions qui ressortent de cette analyse sont résumées ci-après. Le taux de mises à pied permanentes et le taux global de cessations d'emploi permanentes varient tous deux considérablement, d'une industrie à une autre. En 1992, par exemple, les taux de mises à pied permanentes et de cessations d'emploi permanentes ont fluctué respectivement entre 27,3 % et 34,2 % dans le secteur de la construction à seulement 1,4 % et 9,3 % dans le secteur des services publics. Le taux de mises à pied permanentes et le taux global de cessations d'emploi permanentes varient aussi considérablement selon le sexe et l'âge du travailleur et la taille de l'entreprise dans la plupart des entreprises, ces taux sont plus élevés chez les travailleurs que les travailleuses, chez les travailleurs plus jeunes et les petits employeurs.

    Alors que le taux de mises à pied permanentes augmente en périodes de récession économique et qu'il diminue durant les périodes de reprise, l'inverse vaut pour le taux global de cessations d'emploi permanentes. Cette situation s'explique du fait que le taux de démissions et le taux de cessations d'emploi permanentes pour d'autres raisons diminuent tous deux en périodes de récession et augmentent durant les périodes de reprise, et ce dans des proportions qui font plus que compenser la tendance inverse qui caractérise le taux de mises à pied permanentes.

    Ces conclusions basées sur des totalisations simples sont corroborées par les résultats de l'analyse de régression logistique à plusieurs variables sur les déterminants statistiques des mises à pied permanentes et de l'ensemble des cessations d'emploi permanentes dans la plupart des industries, après avoir tenu compte des effets du sexe et de l'âge du travailleur, de la taille de l'entreprise et de la période, la probabilité estimée de mises à pied permanentes est plus faible chez les travailleuses, elle diminue considérablement avec l'âge et la taille de l'entreprise et elle augmente en périodes de récession et diminue durant les périodes de reprise et d'expansion. Les courbes de la fréquence estimée de l'ensemble des cessations d'emploi permanentes sont très similaires à celles qui caractérisent les mises à pied permanentes, si ce n'est que le taux global de cessations d'emploi permanentes diminue durant les récessions et augmentent en périodes de reprise.

    Les employeurs qui avaient quitté ou perdu leur emploi de façon définitive ont eu beaucoup plus de difficulté à trouver un emploi durant la dernière récession, qu'à toute autre période durant les 15 dernières années. Ainsi, près de 40 % des travailleurs qui avaient perdu ou quitté leur emploi en 1989 étaient toujours sans emploi en 1993. Cette situation tranche nettement avec celle observée au début des années 80, où 29 % des travailleurs ayant quitté ou perdu leur emploi de façon définitive demeuraient inactifs, trois ans après leur arrêt de travail. Une tendance très similaire ressort de l'analyse des changements de situation vis-à-vis de l'activité chez les travailleurs mis à pied de façon permanente.

    Nous observons une très forte migration hors de la province chez les travailleurs qui ont repris à travailler après avoir quitté ou perdu leur emploi. Près de 45 % des personnes qui avaient perdu ou quitté leur emploi en 1989 et avaient repris à travailler en 1993 travaillaient hors de l'Ontario. Une proportion identique de travailleurs mis à pied de façon permanente avaient trouvé un emploi dans une autre province.

    Date de diffusion : 1997-10-31

  • Articles et rapports : 11F0019M1997103
    Géographie : Canada
    Description :

    Les Canadiens sont de plus en plus préoccupés par les mises à pied permanentes, car un grand nombre d'entre eux estiment que l'instabilité d'emploi et la possibilité de perdre son emploi se sont accrues au cours des années 90. Aussi les gouvernements, qui font face chaque année à une multitude de mises à pied permanentes, doivent-ils savoir comment réagir pour améliorer l'adaptation des travailleurs déplacés et leur possibilité de trouver rapidement un nouvel emploi. Dans ce contexte, nous utilisons ici une nouvelle source de données longitudinales sur les cessations d'emploi pour traiter trois questions. Premièrement, le taux des mises à pied permanentes au Canada a-t-il réellement augmenté pendant les années 90, comme on pourrait s'y attendre étant donné les craintes entourant l'instabilité accrue d'emploi? Deuxièmement, quelles sont les causes sous-jacentes de la plupart des mises à pied permanentes? Dans le présent document, nous examinons explicitement le rôle que jouent les variations cycliques de la demande globale, les variations de la demande industrielle qui est souvent associée au changement structurel, et les différences des taux des mises à pied selon la taille des entreprises, qui elles, sont associées au processus de création et de disparition des entreprises.

    Troisièmement, dans ce contexte, l'auteur pose une question fondamentale qui présente de l'intérêt pour les analystes de politique : les mises à pied permanentes sont-elles le plus souvent un événement rare pour les travailleurs, ou sont-elles la prolongation d'une série de mises à pied répétitives? Cela importe beaucoup, parce que l'aide à l'adaptation pour un travailleur dont la mise à pied est un événement rare est très différente de celle dont aura besoin le travailleur dont les antécédents d'emploi comprennent des mises à pied fréquentes - ce qui porte à conclure à l'incapacité du travailleur de garder un emploi ou à l'instabilité de la demande dans l'entreprise ou la branche d'activité dans laquelle la personne a travaillé. Les antécédents d'emploi du travailleur sur 10 ans servent à explorer le lien entre les antécédents de mises à pied permanentes et la probabilité de mise à pied. Les travailleurs déplacés sont classés " à faible risque ", " à risque moyen " et "à haut risque" selon leurs antécédents de mises à pied, et on utilise une analyse logistique multinomiale pour distinguer les caractéristiques des travailleurs et de l'entreprise associées à des mises à pied successives ou à des mises à pied qui sont des événements rares.

    Date de diffusion : 1997-09-12

  • Articles et rapports : 75-001-X19970033209
    Géographie : Canada
    Description :

    De nombreux Canadiens estiment que les emplois sont davantage instables et que les pertes d'emploi ont augmenté au cours des années 90. Une nouvelle source de données longitudinales permet ici de déterminer quel rôle jouent le cycle économique, l'évolution de la demande sur les marchés industriels et la taille de l'entreprise dans l'augmentation du nombre de mises à pied permanentes. L'article donne également une vue d'ensemble du processus de déplacement de la main-d'oeuvre dans l'économie. (Adaptation d'un article paru dans le numéro du mois de février 1997 de L'Observateur économique canadien.)

    Date de diffusion : 1997-09-10

  • Articles et rapports : 75-001-X19960042924
    Géographie : Canada
    Description :

    Bien que la durée des emplois ait peu changé depuis 1981, on observe dans l'économie une tendance plus marquée à la polarisation entre les emplois de courte et de longue durée. L'article présente ici des estimations de la durée moyenne des emplois créés entre 1981 et 1994 et considère la probabilité que de nouveaux emplois qui durent depuis un temps donné se poursuivent. L'analyse utilise les variables que sont le sexe, l'âge, la région, le niveau de scolarité et l'industrie. (Adaptation d'un article paru dans le numéro de janvier 1996 de L'observateur économique canadien.)

    Date de diffusion : 1996-12-03

  • Articles et rapports : 11F0019M1996095
    Géographie : Canada
    Description :

    Partant des données mensuelles de l'Enquête sur la population active du Canada, l'auteur examine de quelle façon la durée complète moyenne de l'emploi a changé entre 1981 et 1994. Bien que la durée complète moyenne d'un nouvel emploi n'ait ni augmenté, ni diminué au cours de cette période, des changements dans la distribution des périodes complètes d'emploi donnent à penser que la proportion d'emplois à court terme s'est relevée tandis que celle de nouveaux emplois à moyen terme a faibli. La proportion d'emplois de longue durée est demeurée la même. Cette tendance affecte presque tous les sous-groupes de la population examinés, signe que l'explication du phénomène se situe au niveau de l'économie prise dans son ensemble (plutôt qu'au niveau d'un secteur ou d'un groupe démographique).

    Date de diffusion : 1996-11-07

  • Articles et rapports : 75-001-X19960032894
    Géographie : Canada
    Description :

    Les longues périodes d'absence du travail peuvent avoir un impact considérable sur la situation financière de l'employé et de l'employeur. Dans cet article, l'auteure examine les tendances des absences de deux semaines ou plus pour cause de maladie ou d'accident. La source des

    compensations versées aux employés est également examinée selon le secteur d'activité.

    Date de diffusion : 1996-09-03

  • Articles et rapports : 11F0019M1996096
    Géographie : Canada
    Description :

    Les Canadiens sont de plus en plus préoccupés par l'instabilité croissante de l'emploi. L'instabilité de l'emploi peut prendre diverses formes et peut être mesurée de multiples façons. S'inscrivant dans le cadre d'un effort global de recherche visant à examiner l'instabilité de l'emploi, le présent article s'appuie sur le Fichier longitudinal des travailleurs (FLT), qui contient les cessations d'emploi des travailleurs canadiens de 1978 à 1993, dans le but d'évaluer l'une des dimensions de l'instabilité de l'emploi, soit les mises à pied permanentes. La question centrale du présent article est la suivante : « Les mises à pied permanentes au Canada ont-elles augmenté au cours des années 1980 et au début des années 1990 par rapport à la fin des années 1970? » Nous analysons la tendance temporelle des mises à pied permanentes en examinant d'abord le taux de mises à pied permanentes et en effectuant ensuite des régressions logistiques permettant de prédire la probabilité des mises à pied permanentes. L'analyse vise l'ensemble des travailleurs de même que des sous-groupes particuliers.

    Résultant d'un grand nombre de processus complexes, les mises à pied permanentes sont une caractéristique constante de notre économie et ne sont pas aussi sensibles à la conjoncture que les départs volontaires et d'autres méthodes de réaménagement des effectifs utilisées par les entreprises (soit les mises à pied temporaires et le recrutement). Chaque année, plus d'un million de travailleurs sont déplacés de façon permanente de leur emploi, peu importe qu'il s'agisse d'une période de récession, de reprise ou d'expansion. Cette observation s'applique autant aux années 1980 et au début des années 1990 qu'à la fin des années 1970.

    Les mises à pied permanentes au début des années 1990 n'ont affiché aucun signe de tendance à la hausse par rapport aux années antérieures du cycle économique qui sont comparables. Ce constat tient, peu importe que l'on utilise les données brutes ou que l'on neutralise l'effet des changements dans la composition de la main-d'oeuvre selon le sexe, l'âge, la province, le secteur d'activité et la taille de l'entreprise. On observe toutefois une augmentation de la probabilité de mises à pied permanentes parmi certains groupes particuliers de travailleurs, notamment chez les travailleurs plus âgés et mieux rémunérés, parmi les travailleurs du secteur primaire ou du secteur des services de santé, d'éducation et de bien-être de même que, dans une moindre mesure, chez les travailleurs de l'Ontario ou des provinces de l'Atlantique et chez les travailleurs du secteur des services aux entreprises ou du secteur des services de distribution.

    Les données indiquent également que l'adaptation du marché canadien du travail aux changements structurels passe davantage par une baisse du recrutement que par une augmentation des mises à pied. Bien que les risques de perdre un emploi de façon permanente ne soient pas plus élevés au cours des années 1990 qu'ils ne l'étaient au cours de périodes antérieures comparables, les possibilités de trouver un nouvel emploi sont, en revanche, nettement inférieures, du moins selon les données agrégées.

    Date de diffusion : 1996-08-06

  • Articles et rapports : 11F0019M1995078
    Géographie : Canada
    Description :

    On étudie dans ce document la dynamique de la réaffectation des emplois dans le secteur canadien de la fabrication. Pour cela, on examine le régime et l'ampleur des créations d'emplois, des pertes d'emplois et du renouvellement de l'emploi en raison de la croissance et du déclin de quelques entreprises, ainsi que de la création et de la disparition d'autres. On y étudie aussi comment l'effet des influences cycliques, par opposition aux influences structurelles, a évolué dans le temps. Enfin, on examine la question de savoir si le régime et l'ampleur du renouvellement de l'emploi varient selon la branche d'activité et les régions, et si les différences éventuelles dépendent des différences de sensibilité cyclique de la création et de la disparition des emplois, ou de la mesure dans laquelle il y a restructuration.

    Date de diffusion : 1995-06-30

  • Articles et rapports : 75-001-X19950021601
    Géographie : Canada
    Description :

    Au début de l'année, les fabricants canadiens ont déclaré avoir des problèmes dembauche. Un regard sur le genre de pénuries de main-d'oeuvre auxquelles font face les petites et les grandes entreprises.

    Date de diffusion : 1995-06-01
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