Rendement des entreprises et propriété

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  • Articles et rapports : 11-622-M2008019
    Géographie : Canada
    Description :

    Les diplômés universitaires sont plus nombreux et leur nombre croît plus rapidement dans les grandes villes que dans les petites villes et les régions rurales. Ce taux de croissance relativement élevé tient aux flux migratoires nets et(ou) aux taux plus élevés d'obtention d'un diplôme. En s'appuyant sur les données tirées des Recensements de 1996 et de 2001, les auteurs du présent document testent l'importance relative de ces deux sources de croissance du capital humain en décomposant la croissance du nombre de titulaires de diplômes dans les diverses villes en flux migratoires nets (intérieurs et étrangers) et en croissance in situ, autrement dit, croissance attribuable aux taux plus élevés d'obtention d'un diplôme dans les populations des résidents des villes. Nous constatons que les deux sources sont importantes, la croissance in situ étant toutefois le facteur dominant. Ainsi, les taux élevés d'obtention d'un diplôme dans les populations des villes s'expliquent moins par la capacité des villes d'attirer du capital humain que par leur capacité de le générer.

    Date de diffusion : 2008-06-02

  • Articles et rapports : 11F0027M2008055
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document a trois objectifs principaux. Premièrement, il présente les tendances à long terme de l'impartition et de la délocalisation dans les diverses industries au Canada. Deuxièmement, il examine la relation entre la délocalisation et les changements aux structures des échanges au niveau de l'industrie. Il est axé sur deux moteurs importants qui, selon certains, alimentent les récentes tendances vers la délocalisation : la mondialisation et les changements technologiques liés aux technologies de l'information et des communications. Troisièmement, le document examine les répercussions économiques de la délocalisation en observant la relation entre l'ampleur de la délocalisation et la croissance de la productivité, le passage à des activités à grande valeur ajoutée et les changements aux marchés du travail.

    Date de diffusion : 2008-05-23

  • Articles et rapports : 11F0027M2008054
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document décrit la façon dont les établissements de fabrication canadiens s'adaptent à la concurrence croissante des importations en provenance de pays à bas salaires en modifiant leur portefeuille de produits. Nous faisons la distinction dans l'analyse entre les produits « de base » et les produits « périphériques », ainsi qu'entre les produits différenciés et les produits homogènes. Nous tenons compte également des complémentarités de coûts et des complémentarités technologiques en nous appuyant sur les liens, au niveau des entrées-sorties, entre les produits fabriqués par un établissement. Nous donnons des preuves d'un important roulement des produits dans les établissements au cours de la période allant de 1988 à 1996. Les changements les plus importants ont eu lieu dans les établissements multiproduits et concernent les produits périphériques. Les produits les plus touchés sont ceux susceptibles d'être utilisés comme entrées dans la fabrication du produit « de base », ceux qui sont homogènes (plutôt que différenciés) et ceux qui présentent des complémentarités d'entrées relativement faibles avec le produit de base. Les établissements qui font face à une forte concurrence des importations modifient leur portefeuille de produits de façon à se concentrer sur la fabrication de leur produit de base et à s'écarter de celle de produits périphériques non apparentés.

    Date de diffusion : 2008-05-16

  • Articles et rapports : 11F0027M2008052
    Géographie : Canada
    Description :

    Au cours des trois dernières décennies, les obstacles tarifaires ont diminué de façon significative, ce qui a mené à une intégration plus grande des établissements de fabrication canadiens aux marchés mondiaux, et plus particulièrement le marché des États-Unis. On a accordé beaucoup d'attention aux effets de cette transition à l'échelle nationale, mais peu à la variation de ces effets d'une région à l'autre. Dans un pays de la taille d'un continent, il existe de bonnes raisons de croire que les effets du commerce varieront d'une région à l'autre. De façon plus particulière, l'emplacement a un effet significatif sur la taille des marchés auxquels les entreprises ont accès, et cela peut avoir des répercussions sur la mesure dans laquelle elles réorganisent leur production par suite de la diminution des obstacles tarifaires. À partir d'un fichier de microdonnées longitudinales sur les établissements de fabrication (1974 à 1999), la présente étude a pour but d'évaluer l'effet de l'accroissement du commerce entre les régions sur l'organisation de la production à l'intérieur des établissements. L'étude a permis de déterminer que des niveaux plus élevés d'intensité des exportations (exportations en proportion de la production) entre les régions comportent un lien positif avec des cycles de production plus longs, des établissements plus importants et une plus grande spécialisation des produits à l'intérieur de ces établissements. Ces effets sont les plus marqués en Ontario et au Québec, les deux provinces les mieux situées par rapport au marché des États-Unis.

    Date de diffusion : 2008-05-09

  • Articles et rapports : 11F0027M2008051
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude traite de l'incidence, sur la productivité manufacturière au Canada, de l'adoption de l'Accord de libre-échange (ALE) canado-américain. On y constate que les réductions tarifaires au Canada ont fait monter les taux de sortie des établissements non exportateurs modérément productifs, d'où un réaménagement des parts de marché au profit des établissements hautement productifs, ce qui aide à expliquer que la productivité globale ait augmenté là où ont diminué les tarifs au Canada. On y constate en outre que tous les gains de productivité dans les établissements par suite des réductions tarifaires aux États-Unis concerne les établissements exportateurs en général et les nouvelles entreprises exportatrices en particulier. On y démontre enfin que toute absence de variation de la production et toute élimination d'emplois à la suite de l'adoption de l'ALE n'intéressent que les établissements canadiens non exportateurs, alors que les établissements exportateurs acquièrent, eux, les gains procurés par cette entente.

    Date de diffusion : 2008-05-07

  • Articles et rapports : 11F0027M2008050
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude a pour but de déterminer si le taux des obligations d'État à long terme peut ou non être raisonnablement employé comme taux de rendement du capital public dans le calcul du produit intérieur brut du secteur public. Elle indique que le taux de rendement du capital public est souvent plus faible que celui publié et qu'il concorde approximativement avec celui du capital privé. Étant donné qu'il existe une gamme d'estimations plausibles, nous concluons que le taux des obligations d'État à long terme pourrait être utilisé comme estimation prudente du taux de rendement de l'infrastructure publique.

    Des études antérieures ont révélé que les estimations fondées sur la fonction de production ont tendance à donner des taux de rendement incroyablement élevés, tandis que celles fondées sur la fonction de coût semblent fournir des résultats plus raisonnables. Nous montrons dans le présent document que la croissance du capital public et celle de la productivité totale des facteurs (PTF) évoluent de la même façon et soutenons que les estimations de l'effet du capital public fondées sur la fonction de production surestiment par conséquent cet effet, parce qu'elles englobent une partie de ce qui est inclus dans les estimations de la PTF. Nous montrons aussi que la similarité entre la croissance du capital public et celle de la PTF donne lieu à un grand intervalle de confiance autour des estimations de l'élasticité du capital public produites d'après le cadre de la fonction de production. Par la suite nous calculons un intervalle de confiance d'après la fonction de production d'abord estimée en tenant compte de la croissance de la PTF, puis en n'en tenant pas compte. Ensuite, nous utilisons une fonction de coût pour obtenir des estimations plus précises de la réduction des coûts marginaux attribuable au capital public. Fait important, l'estimation calculée d'après la fonction de coût se situe dans la partie inférieure de l'intervalle de confiance établi d'après la fonction de production. Nous montrons alors que le taux de rendement associé aux estimations chevauchantes couvre un intervalle qui s'étend du taux moyen des obligations d'État à long terme au taux de rendement du capital privé.

    Date de diffusion : 2008-04-15

  • Articles et rapports : 11-010-X200800410559
    Géographie : Canada
    Description :

    Malgré la turbulence sur les marchés financiers et un ralentissement aux États-Unis, la croissance a été remarquablement stable au Canada en 2007. Il s'agit de la conséquence de l'essor continu dans le secteur des ressources et de la poussée que le dollar canadien en hausse a exercée sur les dépenses au pays.

    Date de diffusion : 2008-04-10

  • Articles et rapports : 88F0006X2008002
    Description :

    Cet exposé est fondé sur les résultats de l'Enquête sur le commerce électronique et la technologie (ECET) qui, en 2005, comportait un module sur les fournisseurs et les utilisateurs de services d'incubation. Joseph, Bordt et Hamdani (2006) ont examiné de leur côté les résultats de l'Enquête sur les incubateurs d'entreprises (EIE). La grande différence entre ces deux enquêtes est que l'EIE s'attache aux entreprises dont la principale activité consiste à fournir des services d'incubation critère servant à définir les limites entre industries dans les systèmes statistiques, alors que l'ECET a pour objet toutes les entreprises ayant fourni de tels services à de nouvelles entreprises à titre d'activité principale ou secondaire.

    Date de diffusion : 2008-03-27

  • Articles et rapports : 11-622-M2008018
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce document porte sur la présence d'externalités de connaissances qui influent sur l'adoption de technologies de pointe dans le secteur canadien de la fabrication. Nous tâchons de déterminer, au moyen d'un modèle d'adoption de technologie, si les établissements qui adoptent des technologies de pointe sont plus susceptibles de ce faire lorsque d'autres établissements situés à proximité le font également.

    Date de diffusion : 2008-02-05

  • Articles et rapports : 11F0027M2008049
    Géographie : Canada
    Description :

    La productivité et les salaires ont tendance à être plus élevés dans les villes. L'explication courante de ce phénomène repose sur les économies d'agglomération, qui font augmenter le rendement associé au fait d'occuper un emplacement urbain. Les arguments parallèles axés sur la spécialisation et sur la diversité viennent étayer cette explication proposée. Depuis longtemps, la recherche empirique s'efforce de confirmer l'existence de telles économies d'agglomération et de trancher entre, d'une part, les modèles de Marshall, Arrow et Romer (MAR), qui avancent que les avantages de la proximité sont en grande partie confinés à des industries particulières, et d'autre part l'argument de Jacobs (1969) voulant que de tels avantages découlent de l'accroissement général de la densité de l'activité économique dans un emplacement donné et profitent à l'ensemble des occupants de cet emplacement. L'objet premier de la présente étude est de déterminer les principales sources de la hausse du rendement en région urbaine, dans la foulée des travaux de Marshall (1920). L'examen de la distance sur laquelle se manifestent les externalités entre entreprises appartenant à une même industrie constitue un deuxième objectif. Afin d'étudier ces questions, nous utilisons des données au niveau des établissements, structurées sous forme de panel pour les années 1989 et 1999. Les données de panel permettent d'éliminer le biais d'échantillonnage découlant de l'hétérogénéité non observée au niveau des établissements, cette hétérogénéité étant constante au fil du temps. Les fonctions de production au niveau des établissements sont estimées pour l'ensemble du secteur canadien de la fabrication ainsi que pour cinq grands groupes d'industries caractérisés par la nature de leur production. Les résultats obtenus donnent beaucoup de poids aux arguments de Marshall (1920) concernant l'importance des réseaux acheteurs fournisseurs, des bassins de main d'oeuvre et des externalités. Les données montrent que les externalités donnent lieu à un accroissement de la productivité des établissements à l'intérieur d'une même industrie plutôt qu'entre industries, et que ces externalités tendent à se manifester sur une plus vaste étendue spatiale que ce qui avait été observé dans les études précédentes.

    Date de diffusion : 2008-02-05
Références (105)

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