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  • Articles et rapports : 75-006-X202300100004
    Description : Au Canada, le besoin en termes de logements convenables et abordables a été reconnu comme étant d'une importance capitale par tous les niveaux de gouvernement. À l'aide des données de l'Enquête canadienne sur les logements de 2018, cette étude examine les caractéristiques des Canadiens qui vivaient dans des logements subventionnés en 2018, selon le sexe. L’étude examine également les différences entre les expériences des résidents de logements subventionnés, leur satisfaction à l'égard du logement et du quartier, par rapport à leurs homologues vivant dans des logements locatifs non subventionnés.
    Date de diffusion : 2023-04-11

  • Stats en bref : 11-627-M2023033
    Description : À l'aide des données de l'Enquête canadienne sur le logement de 2021, cette infographie dresse un portrait des personnes vivant dans un logement subventionné au pays. On y traite des expériences vécues par les locataires qui habitent un logement subventionné et de leur satisfaction à l'égard de leur quartier, en établissant des comparaisons avec leurs homologues qui vivent dans un logement locatif non subventionné.
    Date de diffusion : 2023-04-11

  • Articles et rapports : 75F0002M2020003
    Description :

    Le présent article dresse un portrait des ménages locataires vivant dans un logement social et abordable, fondé sur les données de l'ECL de 2018, proposant ainsi un aperçu général des personnes qui vivent dans ces logements.

    Date de diffusion : 2020-10-02

  • Articles et rapports : 75-001-X200810113202
    Géographie : Canada
    Description :

    Le logement étant la plus importante dépense pour la plupart des ménages, son abordabilité peut avoir un impact considérable sur le bien-être. La mesure de l'abordabilité consiste à comparer les coûts du logement à la capacité des ménages d'y faire face. Jusqu'à présent, l'abordabilité a été mesurée de façon ponctuelle. De nouveaux renseignements permettent de produire le premier examen longitudinal de l'abordabilité des logements. Cet article examine la probabilité de dépenser 30 % ou plus du revenu du ménage sur le logement, la récurrence d'une telle situation et si elle se produit occasionnellement ou de façon persistante.

    Date de diffusion : 2008-03-18

  • Articles et rapports : 75F0002M2008001
    Description :

    Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.

    Date de diffusion : 2008-01-25

  • Articles et rapports : 11F0019M2002185
    Géographie : Canada, Région métropolitaine de recensement
    Description :

    Mon propos sera d'examiner si les résultats obtenus à long terme sur le marché du travail dépendent du milieu d'habitation des adultes qui ont grandi dans des logements subventionnés à Toronto. Le programme torontois de logement offre tout l'éventail de qualité des quartiers pour une mesure des différences de résultats. Il nous donne un exemple bien concret de réforme possible à grande échelle de la qualité des quartiers. Un grand avantage avec une telle optique est que, si on participe à un programme de logement public, on est grandement restreint dans le choix d'un logement. Les familles qui ont demandé un logement public ne pouvaient indiquer dans quel ensemble elles auraient désiré habiter et devaient se limiter à ce qui était disponible au moment de leur demande selon le nombre de leurs membres. Contrairement à ce qui s'est fait dans les études antérieures de mobilité dans le domaine de l'habitation, nous nous reportons aux dossiers administratifs disponibles du fisc pour mesurer les résultats à court terme comme à long terme. Nos résultats ne font voir presque aucune différence d'instruction, de gains à l'âge adulte, de revenu et de participation au régime d'aide sociale entre les enfants qui ont grandi dans des ensembles de logements publics différents. Pour les résultats moyens, les répartitions salariales estimatives et les corrélations de résultats entre voisins non apparentés dans des ensembles, on ne peut discerner d'effet appréciable de quartier. En revanche, les différences de famille semblent beaucoup importer.

    Date de diffusion : 2002-06-03
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