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  • Articles et rapports : 11F0019M2006280
    Géographie : Province ou territoire
    Description :

    Avant 1989, les bénéficiaires sans enfants de l'aide sociale au Québec qui étaient âgés de moins de 30 ans touchaient des prestations beaucoup moins élevées que les bénéficiaires âgés de plus de 30 ans. Nous utilisons cette discontinuité précise dans la politique pour estimer les effets de l'aide sociale sur divers résultats sur le marché du travail, à partir d'une approche de discontinuité de la régression. Nous disposons de preuves convaincantes que des prestations d'aide sociale plus généreuses ont pour effet de réduire l'emploi. Les estimations réagissent peu au degré de souplesse de la spécification et se comportent très bien lorsque nous contrôlons l'hétérogénéité non observée à partir d'une spécification de différence première. Enfin, nous montrons que les estimateurs de la différence des différences couramment utilisés peuvent produire des résultats médiocres lorsqu'ils sont utilisés avec des groupes témoins mal choisis.

    Date de diffusion : 2006-06-14

  • Articles et rapports : 11-621-M2005031
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cette étude, qui est fondée sur des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR), on examine trois groupes de personnes en chômage : celles rarement en chômage, celles toujours en chômage et les chômeurs chroniques. Aux fins de cette étude, le groupe de personnes rarement en chômage fait référence aux 10 % de personnes chômant le moins. Les personnes toujours en chômage, c'est-à-dire celles qui n'ont pas réussi à se trouver un emploi lorsqu'elles s'en cherchaient un, constituaient un autre 5 % de chômeurs. Les chômeurs chroniques sont classés dans la tranche supérieure des 10 % restants des personnes qui passaient plus de temps que quiconque en chômage, soit entre 48 % et 99 % de leur temps d'activité.

    Date de diffusion : 2005-09-06

  • Articles et rapports : 11F0019M2005260
    Géographie : Canada
    Description :

    L'analyse de données administratives devenues disponibles récemment dans un certain nombre de pays a mené à la conclusion qu'une étude minutieuse de l'interaction entre les caractéristiques de l'employeur et celles des employés est nécessaire pour bien interpréter les résultats observés sur le marché du travail. L'objectif du présent document est de développer ce thème grâce à l'examen de la conception de la politique sociale et de son interaction avec le marché du travail, en mettant l'accent sur le régime canadien d'assurance chômage (a. c.). Des données administratives couvrant l'univers des employés, des entreprises et des prestataires de l'assurance chômage au Canada sur une période de 11 ans sont utilisées afin d'examiner le fonctionnement de l'assurance chômage du point de vue de l'entreprise, en accordant une attention particulière aux questions longitudinales que soulèvent le profil et les causes de l'interfinancement. L'étude montre que des transferts persistants se produisent par la voie de l'assurance chômage au niveau tant de l'industrie que de l'entreprise. Cet interfinancement est le propre d'une petite fraction d'entreprises. Une analyse tenant compte des effets fixes d'entreprise montre que presque 60 % de la variation expliquée de l'interfinancement persistant est due à ce genre d'effets. Le calcul de la perte globale d'efficacité est très sensible au niveau de détail des données sur les entreprises. Pour saisir pleinement la façon dont les programmes sociaux, comme celui de l'assurance chômage, interagissent avec le marché du travail, il faut tenir compte des caractéristiques des entreprises et de leurs pratiques en matière de ressources humaines, et l'étude de cette interaction pourrait être plus fructueuse si l'on utilisait des modèles du chômage à contrat implicite.

    Date de diffusion : 2005-06-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2005245
    Géographie : Canada
    Description :

    De 1993/1994 à la fin des années 90, on a assisté au Canada à une baisse spectaculaire du recours à l'aide sociale, presque équivalente à celle enregistrée aux États Unis mais sans que des lois historiques aient été adoptées comme dans ce pays. Nous examinons la dynamique du recours à l'assistance sociale au Canada durant cette période en nous fondant sur les données fiscales de 2 à 4 millions de personnes pour chaque année, tirées de la Banque de données administratives longitudinales (DAL) du Canada. Les attributs particuliers de cette base de données, soit sa taille, la nature longitudinale des données et la disponibilité de renseignements sur le revenu, nous permettent, pour la première fois, de calculer les taux annuels d'incidence, d'entrée et de sortie au niveau national et provincial, ventilés selon le type de famille. Nous examinons la gamme variée d'expériences de ces groupes, nous déterminons le contexte politique et nous nous penchons sur les répercussions éventuelles des conclusions.

    Date de diffusion : 2005-05-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2005246
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article résume les conclusions de le document de recherche intitulée Recours à l'assistance sociale au Canada: Tendances nationales et provinciales en matière d'incidence, d'entrée et de sortie. Dans le cas de nombreuses familles canadiennes, le recours à l'assistance sociale (AS) dénote lune situation proche du dénuement et l'exclusion de la vie sociale et économique normale. Dans le cas des enfants, elle peut représenter une période critique de leur vie où ils sont défavorisés, ce qui peut avoir des effets à long terme. Les gouvernements sont engagés à l'égard de l'AS mais se préoccupent néanmoins des coûts qui y sont associés. Ainsi, lorsque la participation à l'AS a augmenté durant la récession au début des années 1990, pratiquement toutes les provinces ont apporté des changements visant à réduire la dépendance à l'égard de l'AS. Elles ont resserré les règles d'admissibilité, réduit les niveaux de prestations et mis en place des lignes téléphoniques de « dénonciation ». À la suite de ces changements et du redressement de l'économie après 1995, le nombre de personnes dépendantes de l'AS a chuté, passant de 3,1 millions à moins de 2 millions en 2000, tandis que la valeur des prestations touchées est passée de 14,3 milliards de dollars en 1994 à 10,4 milliards de dollars en 2001 (en dollars courants).

    Le présent document trace le cycle de dépendance à l'égard de l'AS. Nous nous concentrons sur les données empiriques portant sur les taux annuels d'entrée dans le régime d'AS, de sortie du régime et de participation au régime, en les plaçant dans le contexte économique et stratégique qui caractérise les années 1990. Le document comprend d'abord une description de la base de données utilisée, des procédures de sélection de l'échantillon et de vérification, de l'unité d'analyse et de notre mesure de l'entrée dans le régime d'AS et de sortie du régime. Nous décrivons ensuite le contexte économique et stratégique des années 1990, puis nous présentons nos résultats aux niveaux national et provincial. Pour terminer, nous résumons nos principales conclusions.

    Date de diffusion : 2005-05-30

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 11-522-X20010016225
    Description :

    L'Enquête sur les forces de travail (EFT) de l'Union européenne (UE) repose sur des enquêtes nationales qui, à l'origine, étaient très différentes. Depuis une dizaine d'années, sous la pression d'utilisateurs de plus en plus exigeants (notamment en matière de rapidité de diffusion, de comparabilité et de souplesse), l'EFT fait l'objet d'un processus permanent d'amélioration de la qualité.

    Le document porte sur les aspects suivants :a) le processus d'amélioration de la qualité qui consiste à examiner les méthodes d'enquête nationales, la structure cible, le fondement juridique, les rapports sur la qualité et à fournir des définitions de composantes plus exactes et plus explicites, etc.; b) les résultats visés ou atteints qui comportent, entre autres, une enquête continue produisant des résultats trimestriels dans des délais raisonnables, des taux d'emploi et de chômage comparables dans le temps et l'espace dans plus de 25 pays, des renseignements précis sur des sujets d'actualité politique, etc.; c) les lacunes qui subsistent, telles que les délais de mise en oeuvre dans certains pays, les possibilités d'analyse longitudinale, l'accès du public aux microdonnées, etc.; d) les projets à venir, notamment l'adaptation de la liste des variables et des nomenclatures CITP et CITE (pour tenir compte de l'évolution de l'emploi et des méthodes d'apprentissage), le traitement différencié des variables structurelles et recours accru à des fichiers administratifs (pour réduire le fardeau du répondant), l'harmonisation des questionnaires, etc.

    Date de diffusion : 2002-09-12

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 81-588-X
    Description :

    L'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) est une enquête longitudinale visant à recueillir des renseignements utiles pour l'élaboration des politiques relativement aux transitions école-travail et aux facteurs influant sur les cheminements. L'EJET servira d'outil pour des recherches et des analyses ultérieures sur les transitions majeures dans la vie des jeunes, principalement entre l'école, la formation et le travail. Les renseignements provenant de l'enquête et les recherches fondées sur l'enquête permettront de clarifier la nature et les causes des défis à court et à long terme auxquels sont confrontés les jeunes dans les transitions école-travail et contribueront à la planification des politiques et à la prise de décision en vue de prévenir ou de résoudre ces problèmes.

    Les objectifs de l'Enquête auprès des jeunes en transition ont été établis après une vaste consultation auprès des parties qui s'intéressent aux jeunes et aux transitions école-travail. Le contenu comprend l'évaluation des transitions majeures dans la vie des jeunes, notamment la quasi totalité de leurs expériences scolaires et la plupart de leurs expériences de travail. Les facteurs ayant une incidence sur les transitions, inclus notamment les antécédents familiaux, les expériences scolaires, la réussite, les aspirations et les attentes face à l'école, ainsi que les expériences de travail.

    Le plan de mise en oeuvre prévoit une enquête longitudinale devant être réalisée tous les deux ans pour chacune des deux cohortes d'âge. Les données de la cohorte de 15 ans permettront d'analyser les répercussions à long terme des transitions école-travail. Les données de la cohorte de 18-20 ans permettront d'obtenir des renseignements immédiats, utiles pour l'élaboration des politiques en ce qui a trait aux jeunes adultes sur le marché du travail.

    Le Cycle 1 pour la cohorte de 15 ans permettra de recueillir des données auprès des jeunes, de leurs parents et des directeurs d'école. Le plan d'échantillonnage prévoit un cadre axé sur l'école et permettant la sélection des écoles, et ensuite des individus dans les écoles. Ce plan permettra l'analyse de l'influence de l'école, domaine de recherche qui n'est pas pris en considération dans d'autres enquêtes de Statistique Canada. Les méthodes de collecte des données comprennent un questionnaire rempli par les jeunes et par les directeurs d'école, une entrevue téléphonique auprès des parents et l'évaluation des compétences des jeunes pour la lecture, les sciences et les mathématiques, comme il est prévu avec l'intégration de l'EJET au Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) de l'OCDE. Une enquête pilote a été réalisée en avril 1999 et l'enquête principale a été réalisée en avril et mai 2000. Un échantillon de 30 000 élèves âgés de 15 ans fut prélevé dans environ 1 000 écoles du Canada.

    Le plan d'échantillonnage pour la cohorte de 18-20 ans est celui d'une enquête-ménage. Les données sont recueillies par entrevue téléphonique assistée par ordinateur. L'enquête pilote a été réalisée en janvier 1999. Durant les mois de janvier à février 2000, 23 000 jeunes ont participé à la collecte des données de l'enquête principale.

    Les données pour les deux cohortes devraient être disponibles en 2001. Après la publication du premier rapport international portant sur le projet PISA de l'OCDE et le premier rapport national, les données seront accessibles au public, ce qui permettra l'examen détaillé des divers aspects du contenu.

    Date de diffusion : 2001-04-11

  • Articles et rapports : 11F0019M2000140
    Géographie : Canada
    Description :

    La corrélation entre le taux de féminité des professions et les salaires constitue le fondement de la législation en matière d'équité salariale et de valeur comparable. Diverses études antérieures ont analysé cette corrélation à partir de données américaines et ont cerné certains des facteurs déterminants des niveaux de salaire peu élevés dans les «emplois à prédominance féminine» de même que d'importantes limites des politiques publiques dans ce domaine. Toutefois, il existe peu de données visant d'autres secteurs de compétence. Cette lacune est particulièrement perturbante dans le cas du Canada, qui s'est doté de l'une des législations les plus élaborées en matière d'équité salariale au monde. Dans le présent article, nous dressons un portrait complet, de la fin des années 1980, de la ségrégation professionnelle fondée sur le sexe au Canada et de ses répercussions sur les salaires. Nous établissons également des comparaisons explicites entre nos résultats et des données américaines. Ces résultats indiquent un lien entre la rémunération des femmes et le taux de féminité des professions beaucoup plus fort aux États-Unis qu'au Canada, où cette relation est généralement peu marquée et non significative sur le plan statistique. La position relativement meilleure dont jouissent les femmes dans les emplois à prédominance féminine au Canada est associée à des taux de syndicalisation plus élevés et aux effets fixes des salaires des secteurs des «services publics».

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11F0019M1996093
    Géographie : Canada
    Description :

    La constatation statistique selon laquelle les petites entreprises ont créé la majorité des nouveaux emplois durant les années 80 a eu une incidence considérable sur les politiques gouvernementales. Pour encourager la croissance de l'emploi, les gouvernements se sont tournés vers les petites entreprises et ont adopté des politiques favorisant leur expansion. Il ressort toutefois de recherches menées récemment aux États-Unis qu'on a peut-être surestimé la création nette d' emplois dans les petites entreprises par rapport aux grandes entreprises. La première partie de la présente étude examine diverses questions soulevées dans des travaux de recherche récents relativement aux méthodes de mesure. On y réévalue la création d' emplois selon la taille des entreprises à l'aide d'un ensemble unique de données longitudinales sur toutes les sociétés canadiennes. On conclut qu'au cours de la période de 1978 à 1992, le taux de croissance nette et brute de l'emploi décroît de façon monotone lorsque la taille des entreprises augmente, quelle que soit la méthode utilisée pour déterminer la taille, et ce, pour l'ensemble de l'économie aussi bien que pour le secteur de la fabrication au Canada. Toutefois, le type de mesure utilisée à une certaine incidence, la différence entre les taux de croissance des petites et des grandes entreprises dépendant beaucoup des méthodes de mesure choisies. La première partie de l'étude fournit également des résultats concernant divers secteurs industriels et examine la croissance de l'emploi dans les petites et les grandes entreprises existantes (c.-à-d. à l'exclusion des entreprises nouvellement créées). On constate que la croissance de l'emploi est presque la même dans les petites et dans les grandes entreprises existantes. Enfin, on tente de prendre en compte l'aspect qualité du travail en fondant les calculs sur la répartition de la masse salariale plutôt que sur lesemplois. Il s'avère que les taux de croissance et de décroissance nette et brute de la masse salariale selon la taille des entreprises ne diffèrent que légèrement des taux de croissance et de décroissance de l'emploi pour les mêmes groupes de taille. La deuxième partie de l'étude analyse la concentration des créations et des pertes d'emplois à l'intérieur des divers groupes d'entreprises définis selon la taille. Cette question est pertinente car, si la croissance est fortement concentrée, le fait de savoir qu'une entreprise est de petite taille ne nous éclaire guère sur ses perspectives de croissance. La plupart des petites entreprises enregistreraient soit une progression relativement faible, soit un déclin, tandis qu'un petit nombre d'entre elles connaîtraient une vive expansion. Il est constaté que, dans tous les groupes de taille, les créations et les pertes d'emplois sont très concentrées dans un nombre relativement restreint d'entreprises, mais qu'elles sont plus nombreuses dans les petites et moyennes entreprises que dansles grandes. Enfin, on a tenté d'établir une corrélation entre les variations de l'emploi dans lesentreprises sur deux périodes de trois années. Il en ressort que le fait de savoir qu'une entreprise a été très performante (en nombre d'emploiss créés) pendant une période donnée n'a qu'une valeur limitée lorsqu'il s'agit de déterminer sa croissance durant la période suivante, et ce, tout particulièrement dans le cas des petites entreprises. Ces résultats indiquent que les entreprises qui prennent rapidement de l'expansion au cours d'une période seront remplacées dans une large mesure par d'autres entreprises durant la période suivante.

    Date de diffusion : 1997-07-17

  • Articles et rapports : 11F0019M1994071
    Géographie : Canada
    Description :

    L'observation statistique selon laquelle les petites entreprises ont créé la majorité des nouveaux emplois au cours des années 1980 a eu une incidence énorme sur la politique officielle. Les gouvernements désireux de favoriser la croissance de l'emploi se sont tournés vers le secteur des petites entreprises et ont préconisé l'adoption de politiques visant à accroître l'expansion de ce secteur. Toutefois, selon des recherches récentes réalisées aux États-Unis, la création nette d'emplois dans le secteur des petites entreprises a peut-être été surestimée, par rapport à la création nette d'emplois dans les grandes entreprises. Le présent document aborde les diverses questions relatives aux méthodes de mesure utilisées, soulevées dans ces études récentes et, à l'aide d'un ensemble de données longitudinal unique qui porte sur toutes les entreprises de l'économie canadienne, réévalue la question de la création d'emplois selon la taille de l'entreprise. Nous concluons qu'au cours de la période allant de 1978 à 1992, pour l'ensemble de l'économie marchande au Canada comme pour le secteur manufacturier, il existe une relation monotone décroissante entre le taux de croissance (nette) de l'emploi et la taille des entreprises, et ce quelle que soit la méthode de mesure utilisée pour déterminer la taille des entreprises. Au secteur des petites entreprises correspond une part disproportionnée des gains bruts et des pertes brutes d'emplois et, après agrégation, une part disproportionnée de l'augmentation du nombre d'emplois au cours de la période. Toutefois, la méthode de mesure utilisée est importante, puisque l'importance de la différence dans les taux de croissance entre les petites et les grandes entreprises varie fortement selon la méthode de mesure utilisée. Nous présentons aussi les résultats observés pour divers secteurs d'activité et nous nous demandons si les résultats constatés pour l'ensemble de l'économie sont attribuables à la croissance plus rapide dans les secteurs comprenant une forte proportion de petites entreprises. En outre, nous examinons la croissance de l'emploi dans les petites et grandes entreprises existantes (c'est-à-dire en excluant les nouvelles entreprises) et constatons que la croissance de l'emploi pour l'ensemble des petites et grandes entreprises existantes est fort similaire.

    Date de diffusion : 1994-11-16
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Analyses (8)

Analyses (8) ((8 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2006280
    Géographie : Province ou territoire
    Description :

    Avant 1989, les bénéficiaires sans enfants de l'aide sociale au Québec qui étaient âgés de moins de 30 ans touchaient des prestations beaucoup moins élevées que les bénéficiaires âgés de plus de 30 ans. Nous utilisons cette discontinuité précise dans la politique pour estimer les effets de l'aide sociale sur divers résultats sur le marché du travail, à partir d'une approche de discontinuité de la régression. Nous disposons de preuves convaincantes que des prestations d'aide sociale plus généreuses ont pour effet de réduire l'emploi. Les estimations réagissent peu au degré de souplesse de la spécification et se comportent très bien lorsque nous contrôlons l'hétérogénéité non observée à partir d'une spécification de différence première. Enfin, nous montrons que les estimateurs de la différence des différences couramment utilisés peuvent produire des résultats médiocres lorsqu'ils sont utilisés avec des groupes témoins mal choisis.

    Date de diffusion : 2006-06-14

  • Articles et rapports : 11-621-M2005031
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans cette étude, qui est fondée sur des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR), on examine trois groupes de personnes en chômage : celles rarement en chômage, celles toujours en chômage et les chômeurs chroniques. Aux fins de cette étude, le groupe de personnes rarement en chômage fait référence aux 10 % de personnes chômant le moins. Les personnes toujours en chômage, c'est-à-dire celles qui n'ont pas réussi à se trouver un emploi lorsqu'elles s'en cherchaient un, constituaient un autre 5 % de chômeurs. Les chômeurs chroniques sont classés dans la tranche supérieure des 10 % restants des personnes qui passaient plus de temps que quiconque en chômage, soit entre 48 % et 99 % de leur temps d'activité.

    Date de diffusion : 2005-09-06

  • Articles et rapports : 11F0019M2005260
    Géographie : Canada
    Description :

    L'analyse de données administratives devenues disponibles récemment dans un certain nombre de pays a mené à la conclusion qu'une étude minutieuse de l'interaction entre les caractéristiques de l'employeur et celles des employés est nécessaire pour bien interpréter les résultats observés sur le marché du travail. L'objectif du présent document est de développer ce thème grâce à l'examen de la conception de la politique sociale et de son interaction avec le marché du travail, en mettant l'accent sur le régime canadien d'assurance chômage (a. c.). Des données administratives couvrant l'univers des employés, des entreprises et des prestataires de l'assurance chômage au Canada sur une période de 11 ans sont utilisées afin d'examiner le fonctionnement de l'assurance chômage du point de vue de l'entreprise, en accordant une attention particulière aux questions longitudinales que soulèvent le profil et les causes de l'interfinancement. L'étude montre que des transferts persistants se produisent par la voie de l'assurance chômage au niveau tant de l'industrie que de l'entreprise. Cet interfinancement est le propre d'une petite fraction d'entreprises. Une analyse tenant compte des effets fixes d'entreprise montre que presque 60 % de la variation expliquée de l'interfinancement persistant est due à ce genre d'effets. Le calcul de la perte globale d'efficacité est très sensible au niveau de détail des données sur les entreprises. Pour saisir pleinement la façon dont les programmes sociaux, comme celui de l'assurance chômage, interagissent avec le marché du travail, il faut tenir compte des caractéristiques des entreprises et de leurs pratiques en matière de ressources humaines, et l'étude de cette interaction pourrait être plus fructueuse si l'on utilisait des modèles du chômage à contrat implicite.

    Date de diffusion : 2005-06-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2005245
    Géographie : Canada
    Description :

    De 1993/1994 à la fin des années 90, on a assisté au Canada à une baisse spectaculaire du recours à l'aide sociale, presque équivalente à celle enregistrée aux États Unis mais sans que des lois historiques aient été adoptées comme dans ce pays. Nous examinons la dynamique du recours à l'assistance sociale au Canada durant cette période en nous fondant sur les données fiscales de 2 à 4 millions de personnes pour chaque année, tirées de la Banque de données administratives longitudinales (DAL) du Canada. Les attributs particuliers de cette base de données, soit sa taille, la nature longitudinale des données et la disponibilité de renseignements sur le revenu, nous permettent, pour la première fois, de calculer les taux annuels d'incidence, d'entrée et de sortie au niveau national et provincial, ventilés selon le type de famille. Nous examinons la gamme variée d'expériences de ces groupes, nous déterminons le contexte politique et nous nous penchons sur les répercussions éventuelles des conclusions.

    Date de diffusion : 2005-05-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2005246
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article résume les conclusions de le document de recherche intitulée Recours à l'assistance sociale au Canada: Tendances nationales et provinciales en matière d'incidence, d'entrée et de sortie. Dans le cas de nombreuses familles canadiennes, le recours à l'assistance sociale (AS) dénote lune situation proche du dénuement et l'exclusion de la vie sociale et économique normale. Dans le cas des enfants, elle peut représenter une période critique de leur vie où ils sont défavorisés, ce qui peut avoir des effets à long terme. Les gouvernements sont engagés à l'égard de l'AS mais se préoccupent néanmoins des coûts qui y sont associés. Ainsi, lorsque la participation à l'AS a augmenté durant la récession au début des années 1990, pratiquement toutes les provinces ont apporté des changements visant à réduire la dépendance à l'égard de l'AS. Elles ont resserré les règles d'admissibilité, réduit les niveaux de prestations et mis en place des lignes téléphoniques de « dénonciation ». À la suite de ces changements et du redressement de l'économie après 1995, le nombre de personnes dépendantes de l'AS a chuté, passant de 3,1 millions à moins de 2 millions en 2000, tandis que la valeur des prestations touchées est passée de 14,3 milliards de dollars en 1994 à 10,4 milliards de dollars en 2001 (en dollars courants).

    Le présent document trace le cycle de dépendance à l'égard de l'AS. Nous nous concentrons sur les données empiriques portant sur les taux annuels d'entrée dans le régime d'AS, de sortie du régime et de participation au régime, en les plaçant dans le contexte économique et stratégique qui caractérise les années 1990. Le document comprend d'abord une description de la base de données utilisée, des procédures de sélection de l'échantillon et de vérification, de l'unité d'analyse et de notre mesure de l'entrée dans le régime d'AS et de sortie du régime. Nous décrivons ensuite le contexte économique et stratégique des années 1990, puis nous présentons nos résultats aux niveaux national et provincial. Pour terminer, nous résumons nos principales conclusions.

    Date de diffusion : 2005-05-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2000140
    Géographie : Canada
    Description :

    La corrélation entre le taux de féminité des professions et les salaires constitue le fondement de la législation en matière d'équité salariale et de valeur comparable. Diverses études antérieures ont analysé cette corrélation à partir de données américaines et ont cerné certains des facteurs déterminants des niveaux de salaire peu élevés dans les «emplois à prédominance féminine» de même que d'importantes limites des politiques publiques dans ce domaine. Toutefois, il existe peu de données visant d'autres secteurs de compétence. Cette lacune est particulièrement perturbante dans le cas du Canada, qui s'est doté de l'une des législations les plus élaborées en matière d'équité salariale au monde. Dans le présent article, nous dressons un portrait complet, de la fin des années 1980, de la ségrégation professionnelle fondée sur le sexe au Canada et de ses répercussions sur les salaires. Nous établissons également des comparaisons explicites entre nos résultats et des données américaines. Ces résultats indiquent un lien entre la rémunération des femmes et le taux de féminité des professions beaucoup plus fort aux États-Unis qu'au Canada, où cette relation est généralement peu marquée et non significative sur le plan statistique. La position relativement meilleure dont jouissent les femmes dans les emplois à prédominance féminine au Canada est associée à des taux de syndicalisation plus élevés et aux effets fixes des salaires des secteurs des «services publics».

    Date de diffusion : 2000-09-05

  • Articles et rapports : 11F0019M1996093
    Géographie : Canada
    Description :

    La constatation statistique selon laquelle les petites entreprises ont créé la majorité des nouveaux emplois durant les années 80 a eu une incidence considérable sur les politiques gouvernementales. Pour encourager la croissance de l'emploi, les gouvernements se sont tournés vers les petites entreprises et ont adopté des politiques favorisant leur expansion. Il ressort toutefois de recherches menées récemment aux États-Unis qu'on a peut-être surestimé la création nette d' emplois dans les petites entreprises par rapport aux grandes entreprises. La première partie de la présente étude examine diverses questions soulevées dans des travaux de recherche récents relativement aux méthodes de mesure. On y réévalue la création d' emplois selon la taille des entreprises à l'aide d'un ensemble unique de données longitudinales sur toutes les sociétés canadiennes. On conclut qu'au cours de la période de 1978 à 1992, le taux de croissance nette et brute de l'emploi décroît de façon monotone lorsque la taille des entreprises augmente, quelle que soit la méthode utilisée pour déterminer la taille, et ce, pour l'ensemble de l'économie aussi bien que pour le secteur de la fabrication au Canada. Toutefois, le type de mesure utilisée à une certaine incidence, la différence entre les taux de croissance des petites et des grandes entreprises dépendant beaucoup des méthodes de mesure choisies. La première partie de l'étude fournit également des résultats concernant divers secteurs industriels et examine la croissance de l'emploi dans les petites et les grandes entreprises existantes (c.-à-d. à l'exclusion des entreprises nouvellement créées). On constate que la croissance de l'emploi est presque la même dans les petites et dans les grandes entreprises existantes. Enfin, on tente de prendre en compte l'aspect qualité du travail en fondant les calculs sur la répartition de la masse salariale plutôt que sur lesemplois. Il s'avère que les taux de croissance et de décroissance nette et brute de la masse salariale selon la taille des entreprises ne diffèrent que légèrement des taux de croissance et de décroissance de l'emploi pour les mêmes groupes de taille. La deuxième partie de l'étude analyse la concentration des créations et des pertes d'emplois à l'intérieur des divers groupes d'entreprises définis selon la taille. Cette question est pertinente car, si la croissance est fortement concentrée, le fait de savoir qu'une entreprise est de petite taille ne nous éclaire guère sur ses perspectives de croissance. La plupart des petites entreprises enregistreraient soit une progression relativement faible, soit un déclin, tandis qu'un petit nombre d'entre elles connaîtraient une vive expansion. Il est constaté que, dans tous les groupes de taille, les créations et les pertes d'emplois sont très concentrées dans un nombre relativement restreint d'entreprises, mais qu'elles sont plus nombreuses dans les petites et moyennes entreprises que dansles grandes. Enfin, on a tenté d'établir une corrélation entre les variations de l'emploi dans lesentreprises sur deux périodes de trois années. Il en ressort que le fait de savoir qu'une entreprise a été très performante (en nombre d'emploiss créés) pendant une période donnée n'a qu'une valeur limitée lorsqu'il s'agit de déterminer sa croissance durant la période suivante, et ce, tout particulièrement dans le cas des petites entreprises. Ces résultats indiquent que les entreprises qui prennent rapidement de l'expansion au cours d'une période seront remplacées dans une large mesure par d'autres entreprises durant la période suivante.

    Date de diffusion : 1997-07-17

  • Articles et rapports : 11F0019M1994071
    Géographie : Canada
    Description :

    L'observation statistique selon laquelle les petites entreprises ont créé la majorité des nouveaux emplois au cours des années 1980 a eu une incidence énorme sur la politique officielle. Les gouvernements désireux de favoriser la croissance de l'emploi se sont tournés vers le secteur des petites entreprises et ont préconisé l'adoption de politiques visant à accroître l'expansion de ce secteur. Toutefois, selon des recherches récentes réalisées aux États-Unis, la création nette d'emplois dans le secteur des petites entreprises a peut-être été surestimée, par rapport à la création nette d'emplois dans les grandes entreprises. Le présent document aborde les diverses questions relatives aux méthodes de mesure utilisées, soulevées dans ces études récentes et, à l'aide d'un ensemble de données longitudinal unique qui porte sur toutes les entreprises de l'économie canadienne, réévalue la question de la création d'emplois selon la taille de l'entreprise. Nous concluons qu'au cours de la période allant de 1978 à 1992, pour l'ensemble de l'économie marchande au Canada comme pour le secteur manufacturier, il existe une relation monotone décroissante entre le taux de croissance (nette) de l'emploi et la taille des entreprises, et ce quelle que soit la méthode de mesure utilisée pour déterminer la taille des entreprises. Au secteur des petites entreprises correspond une part disproportionnée des gains bruts et des pertes brutes d'emplois et, après agrégation, une part disproportionnée de l'augmentation du nombre d'emplois au cours de la période. Toutefois, la méthode de mesure utilisée est importante, puisque l'importance de la différence dans les taux de croissance entre les petites et les grandes entreprises varie fortement selon la méthode de mesure utilisée. Nous présentons aussi les résultats observés pour divers secteurs d'activité et nous nous demandons si les résultats constatés pour l'ensemble de l'économie sont attribuables à la croissance plus rapide dans les secteurs comprenant une forte proportion de petites entreprises. En outre, nous examinons la croissance de l'emploi dans les petites et grandes entreprises existantes (c'est-à-dire en excluant les nouvelles entreprises) et constatons que la croissance de l'emploi pour l'ensemble des petites et grandes entreprises existantes est fort similaire.

    Date de diffusion : 1994-11-16
Références (2)

Références (2) ((2 résultats))

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 11-522-X20010016225
    Description :

    L'Enquête sur les forces de travail (EFT) de l'Union européenne (UE) repose sur des enquêtes nationales qui, à l'origine, étaient très différentes. Depuis une dizaine d'années, sous la pression d'utilisateurs de plus en plus exigeants (notamment en matière de rapidité de diffusion, de comparabilité et de souplesse), l'EFT fait l'objet d'un processus permanent d'amélioration de la qualité.

    Le document porte sur les aspects suivants :a) le processus d'amélioration de la qualité qui consiste à examiner les méthodes d'enquête nationales, la structure cible, le fondement juridique, les rapports sur la qualité et à fournir des définitions de composantes plus exactes et plus explicites, etc.; b) les résultats visés ou atteints qui comportent, entre autres, une enquête continue produisant des résultats trimestriels dans des délais raisonnables, des taux d'emploi et de chômage comparables dans le temps et l'espace dans plus de 25 pays, des renseignements précis sur des sujets d'actualité politique, etc.; c) les lacunes qui subsistent, telles que les délais de mise en oeuvre dans certains pays, les possibilités d'analyse longitudinale, l'accès du public aux microdonnées, etc.; d) les projets à venir, notamment l'adaptation de la liste des variables et des nomenclatures CITP et CITE (pour tenir compte de l'évolution de l'emploi et des méthodes d'apprentissage), le traitement différencié des variables structurelles et recours accru à des fichiers administratifs (pour réduire le fardeau du répondant), l'harmonisation des questionnaires, etc.

    Date de diffusion : 2002-09-12

  • Enquêtes et programmes statistiques — Documentation : 81-588-X
    Description :

    L'Enquête auprès des jeunes en transition (EJET) est une enquête longitudinale visant à recueillir des renseignements utiles pour l'élaboration des politiques relativement aux transitions école-travail et aux facteurs influant sur les cheminements. L'EJET servira d'outil pour des recherches et des analyses ultérieures sur les transitions majeures dans la vie des jeunes, principalement entre l'école, la formation et le travail. Les renseignements provenant de l'enquête et les recherches fondées sur l'enquête permettront de clarifier la nature et les causes des défis à court et à long terme auxquels sont confrontés les jeunes dans les transitions école-travail et contribueront à la planification des politiques et à la prise de décision en vue de prévenir ou de résoudre ces problèmes.

    Les objectifs de l'Enquête auprès des jeunes en transition ont été établis après une vaste consultation auprès des parties qui s'intéressent aux jeunes et aux transitions école-travail. Le contenu comprend l'évaluation des transitions majeures dans la vie des jeunes, notamment la quasi totalité de leurs expériences scolaires et la plupart de leurs expériences de travail. Les facteurs ayant une incidence sur les transitions, inclus notamment les antécédents familiaux, les expériences scolaires, la réussite, les aspirations et les attentes face à l'école, ainsi que les expériences de travail.

    Le plan de mise en oeuvre prévoit une enquête longitudinale devant être réalisée tous les deux ans pour chacune des deux cohortes d'âge. Les données de la cohorte de 15 ans permettront d'analyser les répercussions à long terme des transitions école-travail. Les données de la cohorte de 18-20 ans permettront d'obtenir des renseignements immédiats, utiles pour l'élaboration des politiques en ce qui a trait aux jeunes adultes sur le marché du travail.

    Le Cycle 1 pour la cohorte de 15 ans permettra de recueillir des données auprès des jeunes, de leurs parents et des directeurs d'école. Le plan d'échantillonnage prévoit un cadre axé sur l'école et permettant la sélection des écoles, et ensuite des individus dans les écoles. Ce plan permettra l'analyse de l'influence de l'école, domaine de recherche qui n'est pas pris en considération dans d'autres enquêtes de Statistique Canada. Les méthodes de collecte des données comprennent un questionnaire rempli par les jeunes et par les directeurs d'école, une entrevue téléphonique auprès des parents et l'évaluation des compétences des jeunes pour la lecture, les sciences et les mathématiques, comme il est prévu avec l'intégration de l'EJET au Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) de l'OCDE. Une enquête pilote a été réalisée en avril 1999 et l'enquête principale a été réalisée en avril et mai 2000. Un échantillon de 30 000 élèves âgés de 15 ans fut prélevé dans environ 1 000 écoles du Canada.

    Le plan d'échantillonnage pour la cohorte de 18-20 ans est celui d'une enquête-ménage. Les données sont recueillies par entrevue téléphonique assistée par ordinateur. L'enquête pilote a été réalisée en janvier 1999. Durant les mois de janvier à février 2000, 23 000 jeunes ont participé à la collecte des données de l'enquête principale.

    Les données pour les deux cohortes devraient être disponibles en 2001. Après la publication du premier rapport international portant sur le projet PISA de l'OCDE et le premier rapport national, les données seront accessibles au public, ce qui permettra l'examen détaillé des divers aspects du contenu.

    Date de diffusion : 2001-04-11
Date de modification :