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Tout (8) ((8 résultats))

  • Articles et rapports : 13-605-X201800154961
    Description :

    Au quatrième trimestre de 2017 et au début de 2018, Statistique Canada a mené une enquête auprès des producteurs de cannabis autorisés au Canada. Les entreprises de cette industrie sont autorisées par Santé Canada. L’enquête a permis de recueillir des renseignements sur la production, les stocks, les revenus, les dépenses, l’emploi et les dépenses en immobilisations pour les années 2015 et 2016. Des renseignements supplémentaires, et parfois plus récents, ont été tirés, d’une part, des dossiers relatifs à l’impôt sur le revenu des sociétés et aux retenues à la source de l’Agence du revenu du Canada et, d’autre part, des données réglementaires de Santé Canada.

    Date de diffusion : 2018-04-26

  • Articles et rapports : 11F0027M2008052
    Géographie : Canada
    Description :

    Au cours des trois dernières décennies, les obstacles tarifaires ont diminué de façon significative, ce qui a mené à une intégration plus grande des établissements de fabrication canadiens aux marchés mondiaux, et plus particulièrement le marché des États-Unis. On a accordé beaucoup d'attention aux effets de cette transition à l'échelle nationale, mais peu à la variation de ces effets d'une région à l'autre. Dans un pays de la taille d'un continent, il existe de bonnes raisons de croire que les effets du commerce varieront d'une région à l'autre. De façon plus particulière, l'emplacement a un effet significatif sur la taille des marchés auxquels les entreprises ont accès, et cela peut avoir des répercussions sur la mesure dans laquelle elles réorganisent leur production par suite de la diminution des obstacles tarifaires. À partir d'un fichier de microdonnées longitudinales sur les établissements de fabrication (1974 à 1999), la présente étude a pour but d'évaluer l'effet de l'accroissement du commerce entre les régions sur l'organisation de la production à l'intérieur des établissements. L'étude a permis de déterminer que des niveaux plus élevés d'intensité des exportations (exportations en proportion de la production) entre les régions comportent un lien positif avec des cycles de production plus longs, des établissements plus importants et une plus grande spécialisation des produits à l'intérieur de ces établissements. Ces effets sont les plus marqués en Ontario et au Québec, les deux provinces les mieux situées par rapport au marché des États-Unis.

    Date de diffusion : 2008-05-09

  • Articles et rapports : 11F0027M2008050
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude a pour but de déterminer si le taux des obligations d'État à long terme peut ou non être raisonnablement employé comme taux de rendement du capital public dans le calcul du produit intérieur brut du secteur public. Elle indique que le taux de rendement du capital public est souvent plus faible que celui publié et qu'il concorde approximativement avec celui du capital privé. Étant donné qu'il existe une gamme d'estimations plausibles, nous concluons que le taux des obligations d'État à long terme pourrait être utilisé comme estimation prudente du taux de rendement de l'infrastructure publique.

    Des études antérieures ont révélé que les estimations fondées sur la fonction de production ont tendance à donner des taux de rendement incroyablement élevés, tandis que celles fondées sur la fonction de coût semblent fournir des résultats plus raisonnables. Nous montrons dans le présent document que la croissance du capital public et celle de la productivité totale des facteurs (PTF) évoluent de la même façon et soutenons que les estimations de l'effet du capital public fondées sur la fonction de production surestiment par conséquent cet effet, parce qu'elles englobent une partie de ce qui est inclus dans les estimations de la PTF. Nous montrons aussi que la similarité entre la croissance du capital public et celle de la PTF donne lieu à un grand intervalle de confiance autour des estimations de l'élasticité du capital public produites d'après le cadre de la fonction de production. Par la suite nous calculons un intervalle de confiance d'après la fonction de production d'abord estimée en tenant compte de la croissance de la PTF, puis en n'en tenant pas compte. Ensuite, nous utilisons une fonction de coût pour obtenir des estimations plus précises de la réduction des coûts marginaux attribuable au capital public. Fait important, l'estimation calculée d'après la fonction de coût se situe dans la partie inférieure de l'intervalle de confiance établi d'après la fonction de production. Nous montrons alors que le taux de rendement associé aux estimations chevauchantes couvre un intervalle qui s'étend du taux moyen des obligations d'État à long terme au taux de rendement du capital privé.

    Date de diffusion : 2008-04-15

  • Articles et rapports : 11-010-X20070059639
    Géographie : Canada
    Description :

    L'industrie de l'automobile est au premier plan de la mondialisation. Des fabricants étrangers transfèrent leur production en Amérique du Nord après avoir connu du succès sur le plan des ventes. Dans cet article, l'auteur examine comment le Canada a réussi à attirer de nouvelles usines et si celles-ci ont un comportement différent en ce qui concerne l'achat local de pièces et le commerce international.

    Date de diffusion : 2007-05-17

  • Articles et rapports : 11F0027M2006038
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude porte sur l'effet de la libéralisation des échanges sur la taille des usines, la durée des cycles de production et la diversification des produits. Nous élaborons tout d'abord un modèle du commerce de produits différenciés sous l'hypothèse d'usines multiproduits. Nous présentons ensuite des preuves empiriques à partir d'un grand panel d'usines de fabrication canadiennes et d'après leur expérience de l'Accord de libre échange entre le Canada et les États Unis (ALE) de 1989. Selon le modèle, les réductions tarifaires bilatérales réduisent la diversification des produits des usines exportatrices, augmentent la durée des cycles de production et ont un effet ambigu sur la taille de ces usines. En outre, elles réduisent la diversification des produits et la taille des usines non exportatrices mais n'ont pas d'effet sur la durée des cycles de production de ces usines. Les données empiriques sur les usines non exportatrices appuient le modèle de façon générale. Les données recueillies sur les usines exportatrices montrent que les établissements exportateurs réduisent la diversification des produits et augmentent la durée des cycles de production et la taille des usines, mais ces changements ne semblent pas être liés aux réductions tarifaires. Une fois entrées sur les marchés d'exportation, les usines réagissent à des forces autres que les réductions tarifaires. De nouvelles réductions tarifaires ont alors moins d'effet sur ces usines.

    Date de diffusion : 2006-05-19

  • Articles et rapports : 11F0019M2000143
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document est consacré à un examen des différences entre les établissements innovateurs et les établissements non innovateurs dans les branches des services aux entreprises. Il est axé sur les petits établissements qui fournissent des facteurs techniques essentiels à d'autres entreprises : les établissements des branches des services informatiques et des services connexes, des services de génie et des autres services scientifiques et techniques.

    L'analyse débute par un examen de l'incidence de l'innovation au sein de la population des petites entreprises. Quarante pour cent des petites entreprises déclarent implanter (ou introduire) de nouveaux produits ou procédés ou de nouvelles formes d'organisation ou des produits, des procédés ou des formes d'organisation améliorées. Parmi ces entreprises, l'innovation en produits domine par rapport à l'innovation en procédés ou au changement organisationnel. Une majorité de ces établissements laisse voir, en implantant régulièrement des innovations, un engagement permanent en faveur de programmes d'innovation. À l'opposé, les entreprises qui n'implantent pas de nouveaux produits ou procédés ou de nouvelles méthodes d'organisation ou des produits, des procédés ou des méthodes d'organisation améliorées fournissent peu de preuves à l'appui d'activités d'innovation.

    Le présent document porte ensuite sur un examen des différences au niveau de l'intensité stratégique entre les entreprises innovatrices et les entreprises non innovatrices. Les innovateurs attachent plus d'importance à la gestion financière et à l'acquisition de capital. Les innovateurs mettent aussi davantage l'accent sur le recrutement de personnel qualifié et sur la promotion d'une rémunération comportant des incitatifs. Ces distinctions sont sensées; parmi les petites entreprises des branches effectuant beaucoup de R-D, le financement et les compétences des ressources humaines jouent un rôle crucial à l'intérieur du processus d'innovation.

    La dernière section du présent document est consacrée à un examen visant à déterminer si les obstacles à l'innovation diffèrent entre les innovateurs et les non-innovateurs. Les innovateurs sont plus susceptibles de déclarer des difficultés reliées à la réussite sur le marché, à l'imitation (ou à la copie) et aux restrictions en matière de compétences. Les preuves d'apprentissage par l'action sont plus évidentes dans un cadre multidimensionnel. La probabilité de se heurter à des obstacles reliés aux risques et à des restrictions en matière de ressources est plus élevée à l'intérieur des établissements qui s'engagent dans la R-D et qui ont recours à des droits de propriété intellectuelle, deux éléments clés du processus d'innovation. Bien des obstacles à l'innovation sont également plus évidents pour les entreprises qui insistent sur les stratégies de financement, de marketing, de production ou en matière de ressources humaines.

    Date de diffusion : 2000-01-25

  • Revues et périodiques : 61-525-X
    Géographie : Canada
    Description :

    Les taux de faillite sont en hausse au Canada. Près de la moitié des faillites au Canada sont principalement attribuables à des lacunes de l'entreprise plutôt qu'à des problèmes qui échappent à son contrôle. Ces entreprises n'ont pas acquis les compétences de base essentielles à leur survie. Les lacunes en matière de gestion ainsi que le manque de débouchés pour leur produit ont causé leur perte.

    La présente étude laisse entendre que, à tout le moins dans une large mesure, les problèmes de financement de l'entreprise sont tributaires des lacunes des gestionnaires plutôt que des facteurs externes associés à l'imperfection des marchés financiers. De nombreux faillis ont du mal à obtenir du financement dans les marchés financiers; cependant, il convient de souligner que bon nombre d'entre eux éprouvent également des problèmes internes (par exemple, les gestionnaires méconnaissent les différentes options de financement).

    Date de diffusion : 1998-04-01

  • Articles et rapports : 11F0019M1995073
    Géographie : Canada
    Description :

    L'étude porte sur les différences observées dans les principes que respectent les entreprises innovatrices et non innovatrices. Les auteurs examinent une multitude de stratégies relatives à la commercialisation, aux finances, à la production, à la gestion et aux ressources humaines afin de déterminer si certains éléments clés des stratégies qu'appliquent les entreprises innovatrices et non innovatrices varient. Les auteurs examinent également de quelle façon les activités des entreprises varient dans chacun de ces domaines. Enfin, ils comparent le rendement des entreprises innovatrices à celui des sociétés non innovatrices. Les auteurs ont établi que les entreprises innovatrices mettent davantage l'accent sur la gestion, les ressources humaines, le marketing, le financement, les programmes et services gouvernementaux et les améliorations de la production. Dans la plupart de ces domaines, les entreprises innovatrices font preuve de plus d'intensité. Finalement, les entreprises innovatrices remportent plus de succès que les sociétés non innovatrices.

    Date de diffusion : 1995-02-28
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Analyses (8)

Analyses (8) ((8 résultats))

  • Articles et rapports : 13-605-X201800154961
    Description :

    Au quatrième trimestre de 2017 et au début de 2018, Statistique Canada a mené une enquête auprès des producteurs de cannabis autorisés au Canada. Les entreprises de cette industrie sont autorisées par Santé Canada. L’enquête a permis de recueillir des renseignements sur la production, les stocks, les revenus, les dépenses, l’emploi et les dépenses en immobilisations pour les années 2015 et 2016. Des renseignements supplémentaires, et parfois plus récents, ont été tirés, d’une part, des dossiers relatifs à l’impôt sur le revenu des sociétés et aux retenues à la source de l’Agence du revenu du Canada et, d’autre part, des données réglementaires de Santé Canada.

    Date de diffusion : 2018-04-26

  • Articles et rapports : 11F0027M2008052
    Géographie : Canada
    Description :

    Au cours des trois dernières décennies, les obstacles tarifaires ont diminué de façon significative, ce qui a mené à une intégration plus grande des établissements de fabrication canadiens aux marchés mondiaux, et plus particulièrement le marché des États-Unis. On a accordé beaucoup d'attention aux effets de cette transition à l'échelle nationale, mais peu à la variation de ces effets d'une région à l'autre. Dans un pays de la taille d'un continent, il existe de bonnes raisons de croire que les effets du commerce varieront d'une région à l'autre. De façon plus particulière, l'emplacement a un effet significatif sur la taille des marchés auxquels les entreprises ont accès, et cela peut avoir des répercussions sur la mesure dans laquelle elles réorganisent leur production par suite de la diminution des obstacles tarifaires. À partir d'un fichier de microdonnées longitudinales sur les établissements de fabrication (1974 à 1999), la présente étude a pour but d'évaluer l'effet de l'accroissement du commerce entre les régions sur l'organisation de la production à l'intérieur des établissements. L'étude a permis de déterminer que des niveaux plus élevés d'intensité des exportations (exportations en proportion de la production) entre les régions comportent un lien positif avec des cycles de production plus longs, des établissements plus importants et une plus grande spécialisation des produits à l'intérieur de ces établissements. Ces effets sont les plus marqués en Ontario et au Québec, les deux provinces les mieux situées par rapport au marché des États-Unis.

    Date de diffusion : 2008-05-09

  • Articles et rapports : 11F0027M2008050
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude a pour but de déterminer si le taux des obligations d'État à long terme peut ou non être raisonnablement employé comme taux de rendement du capital public dans le calcul du produit intérieur brut du secteur public. Elle indique que le taux de rendement du capital public est souvent plus faible que celui publié et qu'il concorde approximativement avec celui du capital privé. Étant donné qu'il existe une gamme d'estimations plausibles, nous concluons que le taux des obligations d'État à long terme pourrait être utilisé comme estimation prudente du taux de rendement de l'infrastructure publique.

    Des études antérieures ont révélé que les estimations fondées sur la fonction de production ont tendance à donner des taux de rendement incroyablement élevés, tandis que celles fondées sur la fonction de coût semblent fournir des résultats plus raisonnables. Nous montrons dans le présent document que la croissance du capital public et celle de la productivité totale des facteurs (PTF) évoluent de la même façon et soutenons que les estimations de l'effet du capital public fondées sur la fonction de production surestiment par conséquent cet effet, parce qu'elles englobent une partie de ce qui est inclus dans les estimations de la PTF. Nous montrons aussi que la similarité entre la croissance du capital public et celle de la PTF donne lieu à un grand intervalle de confiance autour des estimations de l'élasticité du capital public produites d'après le cadre de la fonction de production. Par la suite nous calculons un intervalle de confiance d'après la fonction de production d'abord estimée en tenant compte de la croissance de la PTF, puis en n'en tenant pas compte. Ensuite, nous utilisons une fonction de coût pour obtenir des estimations plus précises de la réduction des coûts marginaux attribuable au capital public. Fait important, l'estimation calculée d'après la fonction de coût se situe dans la partie inférieure de l'intervalle de confiance établi d'après la fonction de production. Nous montrons alors que le taux de rendement associé aux estimations chevauchantes couvre un intervalle qui s'étend du taux moyen des obligations d'État à long terme au taux de rendement du capital privé.

    Date de diffusion : 2008-04-15

  • Articles et rapports : 11-010-X20070059639
    Géographie : Canada
    Description :

    L'industrie de l'automobile est au premier plan de la mondialisation. Des fabricants étrangers transfèrent leur production en Amérique du Nord après avoir connu du succès sur le plan des ventes. Dans cet article, l'auteur examine comment le Canada a réussi à attirer de nouvelles usines et si celles-ci ont un comportement différent en ce qui concerne l'achat local de pièces et le commerce international.

    Date de diffusion : 2007-05-17

  • Articles et rapports : 11F0027M2006038
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude porte sur l'effet de la libéralisation des échanges sur la taille des usines, la durée des cycles de production et la diversification des produits. Nous élaborons tout d'abord un modèle du commerce de produits différenciés sous l'hypothèse d'usines multiproduits. Nous présentons ensuite des preuves empiriques à partir d'un grand panel d'usines de fabrication canadiennes et d'après leur expérience de l'Accord de libre échange entre le Canada et les États Unis (ALE) de 1989. Selon le modèle, les réductions tarifaires bilatérales réduisent la diversification des produits des usines exportatrices, augmentent la durée des cycles de production et ont un effet ambigu sur la taille de ces usines. En outre, elles réduisent la diversification des produits et la taille des usines non exportatrices mais n'ont pas d'effet sur la durée des cycles de production de ces usines. Les données empiriques sur les usines non exportatrices appuient le modèle de façon générale. Les données recueillies sur les usines exportatrices montrent que les établissements exportateurs réduisent la diversification des produits et augmentent la durée des cycles de production et la taille des usines, mais ces changements ne semblent pas être liés aux réductions tarifaires. Une fois entrées sur les marchés d'exportation, les usines réagissent à des forces autres que les réductions tarifaires. De nouvelles réductions tarifaires ont alors moins d'effet sur ces usines.

    Date de diffusion : 2006-05-19

  • Articles et rapports : 11F0019M2000143
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document est consacré à un examen des différences entre les établissements innovateurs et les établissements non innovateurs dans les branches des services aux entreprises. Il est axé sur les petits établissements qui fournissent des facteurs techniques essentiels à d'autres entreprises : les établissements des branches des services informatiques et des services connexes, des services de génie et des autres services scientifiques et techniques.

    L'analyse débute par un examen de l'incidence de l'innovation au sein de la population des petites entreprises. Quarante pour cent des petites entreprises déclarent implanter (ou introduire) de nouveaux produits ou procédés ou de nouvelles formes d'organisation ou des produits, des procédés ou des formes d'organisation améliorées. Parmi ces entreprises, l'innovation en produits domine par rapport à l'innovation en procédés ou au changement organisationnel. Une majorité de ces établissements laisse voir, en implantant régulièrement des innovations, un engagement permanent en faveur de programmes d'innovation. À l'opposé, les entreprises qui n'implantent pas de nouveaux produits ou procédés ou de nouvelles méthodes d'organisation ou des produits, des procédés ou des méthodes d'organisation améliorées fournissent peu de preuves à l'appui d'activités d'innovation.

    Le présent document porte ensuite sur un examen des différences au niveau de l'intensité stratégique entre les entreprises innovatrices et les entreprises non innovatrices. Les innovateurs attachent plus d'importance à la gestion financière et à l'acquisition de capital. Les innovateurs mettent aussi davantage l'accent sur le recrutement de personnel qualifié et sur la promotion d'une rémunération comportant des incitatifs. Ces distinctions sont sensées; parmi les petites entreprises des branches effectuant beaucoup de R-D, le financement et les compétences des ressources humaines jouent un rôle crucial à l'intérieur du processus d'innovation.

    La dernière section du présent document est consacrée à un examen visant à déterminer si les obstacles à l'innovation diffèrent entre les innovateurs et les non-innovateurs. Les innovateurs sont plus susceptibles de déclarer des difficultés reliées à la réussite sur le marché, à l'imitation (ou à la copie) et aux restrictions en matière de compétences. Les preuves d'apprentissage par l'action sont plus évidentes dans un cadre multidimensionnel. La probabilité de se heurter à des obstacles reliés aux risques et à des restrictions en matière de ressources est plus élevée à l'intérieur des établissements qui s'engagent dans la R-D et qui ont recours à des droits de propriété intellectuelle, deux éléments clés du processus d'innovation. Bien des obstacles à l'innovation sont également plus évidents pour les entreprises qui insistent sur les stratégies de financement, de marketing, de production ou en matière de ressources humaines.

    Date de diffusion : 2000-01-25

  • Revues et périodiques : 61-525-X
    Géographie : Canada
    Description :

    Les taux de faillite sont en hausse au Canada. Près de la moitié des faillites au Canada sont principalement attribuables à des lacunes de l'entreprise plutôt qu'à des problèmes qui échappent à son contrôle. Ces entreprises n'ont pas acquis les compétences de base essentielles à leur survie. Les lacunes en matière de gestion ainsi que le manque de débouchés pour leur produit ont causé leur perte.

    La présente étude laisse entendre que, à tout le moins dans une large mesure, les problèmes de financement de l'entreprise sont tributaires des lacunes des gestionnaires plutôt que des facteurs externes associés à l'imperfection des marchés financiers. De nombreux faillis ont du mal à obtenir du financement dans les marchés financiers; cependant, il convient de souligner que bon nombre d'entre eux éprouvent également des problèmes internes (par exemple, les gestionnaires méconnaissent les différentes options de financement).

    Date de diffusion : 1998-04-01

  • Articles et rapports : 11F0019M1995073
    Géographie : Canada
    Description :

    L'étude porte sur les différences observées dans les principes que respectent les entreprises innovatrices et non innovatrices. Les auteurs examinent une multitude de stratégies relatives à la commercialisation, aux finances, à la production, à la gestion et aux ressources humaines afin de déterminer si certains éléments clés des stratégies qu'appliquent les entreprises innovatrices et non innovatrices varient. Les auteurs examinent également de quelle façon les activités des entreprises varient dans chacun de ces domaines. Enfin, ils comparent le rendement des entreprises innovatrices à celui des sociétés non innovatrices. Les auteurs ont établi que les entreprises innovatrices mettent davantage l'accent sur la gestion, les ressources humaines, le marketing, le financement, les programmes et services gouvernementaux et les améliorations de la production. Dans la plupart de ces domaines, les entreprises innovatrices font preuve de plus d'intensité. Finalement, les entreprises innovatrices remportent plus de succès que les sociétés non innovatrices.

    Date de diffusion : 1995-02-28
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