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- Articles et rapports : 42-28-0001202100100002Description :
Ce chapitre examine, à l'aide d'indicateurs clés, la situation des jeunes Canadiens sur le marché du travail. On y examine les types d'emplois qu'ils occupent et le salaire qu'ils reçoivent, et on présente des renseignements sur les groupes qui se portaient bien en 2019 avant la pandémie. Dans le chapitre, on établit également des comparaisons avec les Canadiens plus âgés, on présente les tendances des quatre dernières décennies, et on souligne certaines des conséquences à court terme de la COVID-19 sur l'emploi des jeunes. Lorsque cela est possible, les indicateurs du marché du travail sont examinés en fonction du sexe, de l'éducation et du statut d'immigrant.
Date de diffusion : 2021-07-26 - Articles et rapports : 11F0019M2018405Description :
Au cours des trois dernières décennies, les emplois à temps plein et les emplois permanents sont généralement devenus plus rares pour les jeunes. Par ailleurs, les salaires horaires réels médians des jeunes hommes salariés occupant des emplois à temps plein ont peu augmenté, voire pas du tout, du début des années 1980 au milieu des années 2010. Ces facteurs, de même que d’autres données probantes recueillies dans les médias, ont suscité des préoccupations quant au fait que les cohortes récentes de jeunes connaissent maintenant des trajectoires de rémunération moins favorables au fur et à mesure qu’elles avancent en âge que ce n’était le cas pour les cohortes précédentes il y a 40 ans. Dans la présente étude, on compare les trajectoires de rémunération de plusieurs cohortes récentes de jeunes travailleurs et celles de cohortes qui sont entrées sur le marché du travail à la fin des années 1970. On combine trois versions du Fichier de données longitudinales sur la main d’œuvre (FDLMO) de Statistique Canada et on étudie la période allant de 1978 à 2015.
Date de diffusion : 2018-05-29 - Articles et rapports : 11-630-X2017004Description :
Le numéro de ce mois-ci de Mégatendances canadiennes examine l’activité sur le marché du travail, le chômage, le travail à temps plein et à temps partiel ainsi que les salaires réels des jeunes travailleurs au Canada, de 1946 à 2015.
Date de diffusion : 2017-05-31 - Articles et rapports : 11-631-X2016002Description :
La présentation ci-jointe a été donnée par la Division de l'analyse sociale et de la modélisation de Statistique Canada à l'occasion de la réunion d'avril 2016 du Conseil national de la statistique. Elle a mis en lumière les résultats récents tirés des recherches sur le marché du travail et les jeunes.
Date de diffusion : 2016-12-05 - Articles et rapports : 11F0019M2014353Géographie : CanadaDescription :
Les réserves de pétrole du Canada sont concentrées dans trois provinces : l'Alberta, la Saskatchewan et Terre-Neuve-et-Labrador. Les prix du pétrole qu'obtiennent les producteurs canadiens ont plus que doublé entre 2001 et 2008. La proportion de jeunes hommes ayant un emploi dans l'industrie du pétrole diffère considérablement selon la province et le niveau de scolarité. Collectivement, ces faits portent à croire qu'au Canada, les augmentations des prix mondiaux du pétrole observées entre 2001 et 2008 pourraient avoir fait varier la demande de main-d'oeuvre et la croissance des salaires masculins entre les provinces et selon le niveau de scolarité. Fondée sur des données de l'Enquête canadienne sur la population active, la présente étude s'appuie sur cette variation de la croissance des salaires pour estimer l'élasticité-salaire de la participation des jeunes hommes au marché du travail et de leur inscription dans un établissement d'enseignement.
Date de diffusion : 2014-01-13 - Articles et rapports : 11F0019M2001155Géographie : CanadaDescription :
Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.
Date de diffusion : 2001-04-04 - 7. Les jeunes ruraux : rester, quitter, revenir ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2000152Géographie : CanadaDescription :
La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.
D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.
Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.
Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?
Date de diffusion : 2000-09-05 - Articles et rapports : 75-001-X20000014889Géographie : CanadaDescription :
En se basant sur des données provenant de l'Enquête sur la population active, cet article compare les activités quant aux études et au travail et fait une comparaison entre les taux de chômage et d'emploi à temps partiel chez les étudiants et les non-étudiants, (Tiré et adapté de Le point sur la population active, automne 1999.)
Date de diffusion : 2000-03-08
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Analyses (8)
Analyses (8) ((8 résultats))
- Articles et rapports : 42-28-0001202100100002Description :
Ce chapitre examine, à l'aide d'indicateurs clés, la situation des jeunes Canadiens sur le marché du travail. On y examine les types d'emplois qu'ils occupent et le salaire qu'ils reçoivent, et on présente des renseignements sur les groupes qui se portaient bien en 2019 avant la pandémie. Dans le chapitre, on établit également des comparaisons avec les Canadiens plus âgés, on présente les tendances des quatre dernières décennies, et on souligne certaines des conséquences à court terme de la COVID-19 sur l'emploi des jeunes. Lorsque cela est possible, les indicateurs du marché du travail sont examinés en fonction du sexe, de l'éducation et du statut d'immigrant.
Date de diffusion : 2021-07-26 - Articles et rapports : 11F0019M2018405Description :
Au cours des trois dernières décennies, les emplois à temps plein et les emplois permanents sont généralement devenus plus rares pour les jeunes. Par ailleurs, les salaires horaires réels médians des jeunes hommes salariés occupant des emplois à temps plein ont peu augmenté, voire pas du tout, du début des années 1980 au milieu des années 2010. Ces facteurs, de même que d’autres données probantes recueillies dans les médias, ont suscité des préoccupations quant au fait que les cohortes récentes de jeunes connaissent maintenant des trajectoires de rémunération moins favorables au fur et à mesure qu’elles avancent en âge que ce n’était le cas pour les cohortes précédentes il y a 40 ans. Dans la présente étude, on compare les trajectoires de rémunération de plusieurs cohortes récentes de jeunes travailleurs et celles de cohortes qui sont entrées sur le marché du travail à la fin des années 1970. On combine trois versions du Fichier de données longitudinales sur la main d’œuvre (FDLMO) de Statistique Canada et on étudie la période allant de 1978 à 2015.
Date de diffusion : 2018-05-29 - Articles et rapports : 11-630-X2017004Description :
Le numéro de ce mois-ci de Mégatendances canadiennes examine l’activité sur le marché du travail, le chômage, le travail à temps plein et à temps partiel ainsi que les salaires réels des jeunes travailleurs au Canada, de 1946 à 2015.
Date de diffusion : 2017-05-31 - Articles et rapports : 11-631-X2016002Description :
La présentation ci-jointe a été donnée par la Division de l'analyse sociale et de la modélisation de Statistique Canada à l'occasion de la réunion d'avril 2016 du Conseil national de la statistique. Elle a mis en lumière les résultats récents tirés des recherches sur le marché du travail et les jeunes.
Date de diffusion : 2016-12-05 - Articles et rapports : 11F0019M2014353Géographie : CanadaDescription :
Les réserves de pétrole du Canada sont concentrées dans trois provinces : l'Alberta, la Saskatchewan et Terre-Neuve-et-Labrador. Les prix du pétrole qu'obtiennent les producteurs canadiens ont plus que doublé entre 2001 et 2008. La proportion de jeunes hommes ayant un emploi dans l'industrie du pétrole diffère considérablement selon la province et le niveau de scolarité. Collectivement, ces faits portent à croire qu'au Canada, les augmentations des prix mondiaux du pétrole observées entre 2001 et 2008 pourraient avoir fait varier la demande de main-d'oeuvre et la croissance des salaires masculins entre les provinces et selon le niveau de scolarité. Fondée sur des données de l'Enquête canadienne sur la population active, la présente étude s'appuie sur cette variation de la croissance des salaires pour estimer l'élasticité-salaire de la participation des jeunes hommes au marché du travail et de leur inscription dans un établissement d'enseignement.
Date de diffusion : 2014-01-13 - Articles et rapports : 11F0019M2001155Géographie : CanadaDescription :
Cette étude chercher à vérifier si les tendances émergentes et celles déjà bien visibles du marché du travail des années 90 se sont inversées sous la pression de la robuste croissance économique de 1997-1999. Plus particulièrement, elle analyse la montée spectaculaire du travail indépendant, les tendances de la stabilité de l'emploi et le faible taux d'emploi des jeunes dans les années 90. La solide croissance économique de 1997-1999 ne semble pas avoir ralenti la progression du travail indépendant, ni ébranlé la stabilité de l'emploi, ni propulsé les taux d'emploi des jeunes. Pour le travail indépendant, cela amène à conclure que la progression observée dans les années 90 n'était pas d'abord et avant tout le fait d'un relâchement de la demande de main-d'oeuvre qui aurait forcé les travailleurs à créer leur propre emploi. La stabilité de l'emploi a augmenté pendant une bonne partie des années 90, sous la poussée d'un faible taux de cessation volontaire, associé à une faible embauche. Les meilleures données actuellement disponibles révèlent que les taux de cessation volontaire en particulier sont demeurés relativement bas (compte tenu du stade d'avancement du cycle économique), et que la durée de conservation des emplois est demeurée élevée. Il y a peu d'indices de détérioration de la stabilité de l'emploi chez les travailleurs rémunérés dans les années 90. Le retard qu'ont pu accuser les taux d'emploi des jeunes vient dans une large mesure de la plus grande propension des jeunes à demeurer aux études. Les étudiants ont un taux d'emploi moins élevé et, lorsque les jeunes commencent à former une plus grande proportion des travailleurs, le taux d'emploi d'ensemble pour les jeunes diminue. Cette propension des jeunes à demeurer aux études n'a pas diminué en 1997-1999, si bien que les taux d'emploi des jeunes demeurent faibles, comparativement au passé.
Date de diffusion : 2001-04-04 - 7. Les jeunes ruraux : rester, quitter, revenir ArchivéArticles et rapports : 11F0019M2000152Géographie : CanadaDescription :
La déperdition des jeunes des collectivités rurales cause depuis un bon moment déjà bien des inquiétudes. On pense généralement que la plupart des collectivités rurales offrent peu de possibilités à leurs jeunes, ce qui les oblige à partir vers les villes, vraisemblablement pour toujours. Même s'il existe un corpus de recherche considérable sur la migration interprovinciale, on sait assez peu de choses des modèles de migration entre les régions rurales et urbaines du Canada.
D'après notre analyse, les jeunes de 15 à 19 ans de presque toutes les provinces quittent en plus grand nombre les régions rurales que les régions urbaines, en partie pour poursuivre des études post-secondaires. Les modèles de migration sont plus complexes pour le groupe des 20 à 29 ans, mais toute la migration a pour résultat net que les provinces de l'Atlantique, tout comme le Manitoba et la Saskatchewan, enregistrent des pertes nettes de leur population rurale de 15 à 29 ans. Le problème est particulièrement aigu à Terre-Neuve. Les régions rurales des provinces de l'Atlantique qui obtiennent des résultats inférieurs à la moyenne nationale, en termes de gains nets de la population de jeunes, enregistrent ces pertes non pas parce qu'elles perdent une proportion de jeunes plus élevée que la moyenne nationale, mais parce qu'elles ne parviennent pas à attirer assez de jeunes personnes à venir vivre chez elles.
Tout au plus 25 % des personnes qui quittent leur collectivité rurale y reviennent dix ans plus tard. L'effet de ce résultat est clair : on ne peut pas compter sur la migration de retour pour préserver la taille de la population d'une cohorte donnée. Les régions rurales doivent plutôt compter sur les arrivants d'autres régions (urbaines) pour atteindre cet objectif. Certaines collectivités rurales y parviennent, c'est-à-dire qu'elles enregistrent une migration d'entrée nette positive des individus de 25 à 29 ans ou plus, même si elles enregistrent une perte nette pour les plus jeunes.
Ceux qui quittent les régions rurales connaissent généralement une croissance de leurs revenus supérieure à celle de ceux qui restent. La question suivante sur le sens dans lequel joue le rapport de causalité reste cependant sans réponse : le processus de migration lui-même entraîne-t-il une croissance des gains supérieure ou reflète-t-il la possibilité que ceux dont le potentiel de croissance des gains est supérieur ont plus tendance à partir?
Date de diffusion : 2000-09-05 - Articles et rapports : 75-001-X20000014889Géographie : CanadaDescription :
En se basant sur des données provenant de l'Enquête sur la population active, cet article compare les activités quant aux études et au travail et fait une comparaison entre les taux de chômage et d'emploi à temps partiel chez les étudiants et les non-étudiants, (Tiré et adapté de Le point sur la population active, automne 1999.)
Date de diffusion : 2000-03-08
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