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  • Articles et rapports : 89-552-M2007018
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude examine la répartition des compétences en littératie dans l'économie canadienne et les façons de former ces compétences. La formation des compétences en littératie dépend largement de la formation scolaire et de la participation des parents aux études de leurs enfants. L'étude aborde également la nature de la formation de la littératie pendant les années où une personne a terminé ces études et est entrée sur le marché du travail. Une fois que les faits essentiels au sujet de la littératie dans l'économie ont été établis, l'étude se penche sur les conséquences de l'augmentation de la littératie sur les gains individuels. Elle explore à la fois l'action causale de la littératie sur les gains et la corépartition de la littératie sur le revenu. Les auteurs soutiennent que cette dernière permet de mesurer d'une manière plus exhaustive le niveau de fonctionnement d'une personne dans la société.

    L'étude s'attarde principalement aux données de la composante canadienne de l'Enquête internationale sur l'alphabétisation et les compétences des adultes (EIACA) de 2003, composée d'un échantillon de plus de 22 000 répondants. La composante canadienne de l'Enquête internationale sur l'alphabétisation des adultes (EIAA) de 1994 est également utilisée pour dégager un tableau plus complet de l'évolution de la littératie selon l'âge et les cohortes de naissances.

    Date de diffusion : 2007-11-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2007303
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans la présente étude, nous nous servons de nouvelles données canadiennes détaillées sur les notes aux tests normalisés, les notes scolaires, l'influence des parents et des pairs, ainsi que d'autres caractéristiques socioéconomiques de base des garçons et des filles pour essayer d'expliquer l'écart important entre ceux-ci en matière d'inscription à l'université. Parmi les jeunes âgés de 19 ans en 2003, 38,8 % des filles étaient inscrites à l'université, comparativement à 25,7 % seulement des garçons. Cependant, les jeunes hommes et les jeunes femmes étaient aussi susceptibles les uns que les autres d'aller au collège. Nous constatons que des différences entre les garçons et les filles en ce qui a trait aux caractéristiques observables expliquent plus des trois quarts (76,8 %) de l'écart relatif à l'inscription à l'université. Par ordre d'importance, les principaux facteurs sont les différences entre les notes scolaires obtenues à l'âge de 15 ans, les notes aux tests normalisés de lecture obtenues à l'âge de 15 ans, les méthodes de travail, les attentes des parents et la prime salariale associée à un diplôme universitaire comparativement à celle associée à un diplôme d'études secondaires. Ensemble, les quatre mesures des aptitudes aux études que nous utilisons "notes globales, notes aux tests normalisés de lecture, méthodes de travail et redoublement d'une année" rendent compte de 58,9 % de l'écart entre les sexes pour ce qui est de l'inscription à l'université. Par conséquent, pour comprendre l'avantage des femmes en ce qui concerne la poursuite d'études universitaires, il pourrait être essentiel de comprendre pourquoi les filles obtiennent de meilleurs résultats que les garçons au primaire et au secondaire.

    Date de diffusion : 2007-09-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2007301
    Géographie : Canada
    Description :

    Les jeunes femmes ont gagné énormément de terrain par rapport aux hommes du même âge en ce qui concerne le niveau de scolarité atteint dans les années 1990. L'objectif de cette étude est d'évaluer le rôle que joue le niveau de scolarité, qui va rapidement en augmentant, des jeunes femmes quant à leur place relative sur le marché du travail. Les résultats indiquent que les tendances en éducation n'ont pas contribué à la réduction de l'écart au chapitre de l'emploi à temps plein. Néanmoins, elles ont favorisé une diminution de l'écart entre les revenus des hommes et ceux des femmes, et ce, plus particulièrement dans les années 1990. Il n'en demeure pas moins que les femmes ayant fait des études universitaires ont perdu du terrain par rapport à leurs homologues masculins. Cela est probablement attribuable au fait que les hommes et les femmes ont continué de choisir des disciplines traditionnelles au cours des années 1990, mais que seules les disciplines à prédominance masculine ont connu des augmentations des revenus moyens.

    Date de diffusion : 2007-06-12

  • Articles et rapports : 11F0019M2007292
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document modélise les revenus des hommes et des femmes titulaires d'un baccalauréat au Canada, cinq ans après l'obtention de leur diplôme. Au moyen d'une approche d'effet constant au niveau de l'université, les chercheurs ont observé des variations importantes (constantes) au chapitre des revenus des finissants de différentes universités. La variation des caractéristiques des universités au fil du temps sont mises en corrélation avec la variation des revenus des finissants. L'augmentation du taux d'inscription aux programmes universitaires de premier cycle est liée à une réduction des revenus subséquents des finissants, ce qui laisse supposer une saturation du marché. Chez les hommes, mais pas chez les femmes, les augmentations du rapport professeur-étudiant sont associées à une augmentation appréciable des revenus subséquents des étudiants. Les modèles qui ne tiennent pas compte de la majeure des étudiants affichent une incidence accrue de la variation des caractéristiques des universités, les effets atteignant près du double de leur valeur initiale. Chez les femmes en particulier, la variation de plusieurs caractéristiques des universités est étroitement liée à la variation du choix de majeure. La variation des caractéristiques des universités n'est pas étroitement liée à la probabilité d'avoir un emploi cinq ans après l'obtention du diplôme.

    Date de diffusion : 2007-02-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2006283
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans la présente étude, j'explore le rapport entre la présence d'une université dans une ville et l'inscription à l'université et au collège de la population locale de jeunes. Les conclusions sont tirées des données du recensement, ainsi que de données sur la création de nouveaux établissements décernant des grades universitaires au Canada. Les étudiants qui n'ont pas accès à une université locale sont beaucoup moins susceptibles de poursuivre des études universitaires que les étudiants qui ont grandi à proximité d'une université, probablement en raison des coûts supplémentaires liés au déménagement dans une autre ville, par opposition aux différences dans les autres facteurs (p. ex., le revenu familial, le niveau d'études des parents, la réussite scolaire). Toutefois, lorsqu'une option s'offre à ces étudiants dans leur localité, leur probabilité de s'inscrire augmente de façon substantielle. De façon plus particulière, la création d'un établissement local décernant des grades universitaires est liée à une augmentation de 28,1 % de l'inscription à l'université de la population locale de jeunes, et des hausses importantes sont enregistrées dans chaque ville touchée. Toutefois, l'augmentation du taux d'inscription à l'université se fait aux dépens de l'inscription au collège dans la plupart des villes. Par ailleurs, ce ne sont pas toutes les personnes qui profitent également de la création d'une nouvelle université. De façon plus particulière, les étudiants provenant de familles à faible revenu enregistrent les augmentations les plus marquées de leur taux d'inscription à l'université, ce qui correspond à la notion selon laquelle la distance pose un obstacle financier. Par ailleurs, les populations locales de jeunes Autochtones n'affichent qu'une hausse légère de leur taux d'inscription à l'université lorsqu'une option leur est offerte au niveau local.

    Date de diffusion : 2007-01-25
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Analyses (5)

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  • Articles et rapports : 89-552-M2007018
    Géographie : Canada
    Description :

    Cette étude examine la répartition des compétences en littératie dans l'économie canadienne et les façons de former ces compétences. La formation des compétences en littératie dépend largement de la formation scolaire et de la participation des parents aux études de leurs enfants. L'étude aborde également la nature de la formation de la littératie pendant les années où une personne a terminé ces études et est entrée sur le marché du travail. Une fois que les faits essentiels au sujet de la littératie dans l'économie ont été établis, l'étude se penche sur les conséquences de l'augmentation de la littératie sur les gains individuels. Elle explore à la fois l'action causale de la littératie sur les gains et la corépartition de la littératie sur le revenu. Les auteurs soutiennent que cette dernière permet de mesurer d'une manière plus exhaustive le niveau de fonctionnement d'une personne dans la société.

    L'étude s'attarde principalement aux données de la composante canadienne de l'Enquête internationale sur l'alphabétisation et les compétences des adultes (EIACA) de 2003, composée d'un échantillon de plus de 22 000 répondants. La composante canadienne de l'Enquête internationale sur l'alphabétisation des adultes (EIAA) de 1994 est également utilisée pour dégager un tableau plus complet de l'évolution de la littératie selon l'âge et les cohortes de naissances.

    Date de diffusion : 2007-11-30

  • Articles et rapports : 11F0019M2007303
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans la présente étude, nous nous servons de nouvelles données canadiennes détaillées sur les notes aux tests normalisés, les notes scolaires, l'influence des parents et des pairs, ainsi que d'autres caractéristiques socioéconomiques de base des garçons et des filles pour essayer d'expliquer l'écart important entre ceux-ci en matière d'inscription à l'université. Parmi les jeunes âgés de 19 ans en 2003, 38,8 % des filles étaient inscrites à l'université, comparativement à 25,7 % seulement des garçons. Cependant, les jeunes hommes et les jeunes femmes étaient aussi susceptibles les uns que les autres d'aller au collège. Nous constatons que des différences entre les garçons et les filles en ce qui a trait aux caractéristiques observables expliquent plus des trois quarts (76,8 %) de l'écart relatif à l'inscription à l'université. Par ordre d'importance, les principaux facteurs sont les différences entre les notes scolaires obtenues à l'âge de 15 ans, les notes aux tests normalisés de lecture obtenues à l'âge de 15 ans, les méthodes de travail, les attentes des parents et la prime salariale associée à un diplôme universitaire comparativement à celle associée à un diplôme d'études secondaires. Ensemble, les quatre mesures des aptitudes aux études que nous utilisons "notes globales, notes aux tests normalisés de lecture, méthodes de travail et redoublement d'une année" rendent compte de 58,9 % de l'écart entre les sexes pour ce qui est de l'inscription à l'université. Par conséquent, pour comprendre l'avantage des femmes en ce qui concerne la poursuite d'études universitaires, il pourrait être essentiel de comprendre pourquoi les filles obtiennent de meilleurs résultats que les garçons au primaire et au secondaire.

    Date de diffusion : 2007-09-20

  • Articles et rapports : 11F0019M2007301
    Géographie : Canada
    Description :

    Les jeunes femmes ont gagné énormément de terrain par rapport aux hommes du même âge en ce qui concerne le niveau de scolarité atteint dans les années 1990. L'objectif de cette étude est d'évaluer le rôle que joue le niveau de scolarité, qui va rapidement en augmentant, des jeunes femmes quant à leur place relative sur le marché du travail. Les résultats indiquent que les tendances en éducation n'ont pas contribué à la réduction de l'écart au chapitre de l'emploi à temps plein. Néanmoins, elles ont favorisé une diminution de l'écart entre les revenus des hommes et ceux des femmes, et ce, plus particulièrement dans les années 1990. Il n'en demeure pas moins que les femmes ayant fait des études universitaires ont perdu du terrain par rapport à leurs homologues masculins. Cela est probablement attribuable au fait que les hommes et les femmes ont continué de choisir des disciplines traditionnelles au cours des années 1990, mais que seules les disciplines à prédominance masculine ont connu des augmentations des revenus moyens.

    Date de diffusion : 2007-06-12

  • Articles et rapports : 11F0019M2007292
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document modélise les revenus des hommes et des femmes titulaires d'un baccalauréat au Canada, cinq ans après l'obtention de leur diplôme. Au moyen d'une approche d'effet constant au niveau de l'université, les chercheurs ont observé des variations importantes (constantes) au chapitre des revenus des finissants de différentes universités. La variation des caractéristiques des universités au fil du temps sont mises en corrélation avec la variation des revenus des finissants. L'augmentation du taux d'inscription aux programmes universitaires de premier cycle est liée à une réduction des revenus subséquents des finissants, ce qui laisse supposer une saturation du marché. Chez les hommes, mais pas chez les femmes, les augmentations du rapport professeur-étudiant sont associées à une augmentation appréciable des revenus subséquents des étudiants. Les modèles qui ne tiennent pas compte de la majeure des étudiants affichent une incidence accrue de la variation des caractéristiques des universités, les effets atteignant près du double de leur valeur initiale. Chez les femmes en particulier, la variation de plusieurs caractéristiques des universités est étroitement liée à la variation du choix de majeure. La variation des caractéristiques des universités n'est pas étroitement liée à la probabilité d'avoir un emploi cinq ans après l'obtention du diplôme.

    Date de diffusion : 2007-02-26

  • Articles et rapports : 11F0019M2006283
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans la présente étude, j'explore le rapport entre la présence d'une université dans une ville et l'inscription à l'université et au collège de la population locale de jeunes. Les conclusions sont tirées des données du recensement, ainsi que de données sur la création de nouveaux établissements décernant des grades universitaires au Canada. Les étudiants qui n'ont pas accès à une université locale sont beaucoup moins susceptibles de poursuivre des études universitaires que les étudiants qui ont grandi à proximité d'une université, probablement en raison des coûts supplémentaires liés au déménagement dans une autre ville, par opposition aux différences dans les autres facteurs (p. ex., le revenu familial, le niveau d'études des parents, la réussite scolaire). Toutefois, lorsqu'une option s'offre à ces étudiants dans leur localité, leur probabilité de s'inscrire augmente de façon substantielle. De façon plus particulière, la création d'un établissement local décernant des grades universitaires est liée à une augmentation de 28,1 % de l'inscription à l'université de la population locale de jeunes, et des hausses importantes sont enregistrées dans chaque ville touchée. Toutefois, l'augmentation du taux d'inscription à l'université se fait aux dépens de l'inscription au collège dans la plupart des villes. Par ailleurs, ce ne sont pas toutes les personnes qui profitent également de la création d'une nouvelle université. De façon plus particulière, les étudiants provenant de familles à faible revenu enregistrent les augmentations les plus marquées de leur taux d'inscription à l'université, ce qui correspond à la notion selon laquelle la distance pose un obstacle financier. Par ailleurs, les populations locales de jeunes Autochtones n'affichent qu'une hausse légère de leur taux d'inscription à l'université lorsqu'une option leur est offerte au niveau local.

    Date de diffusion : 2007-01-25
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