Postes vacants, deuxième trimestre de 2023
Diffusion : 2023-09-19
Diminution du nombre de postes vacants pour un quatrième trimestre consécutif
Le nombre de postes vacants a diminué de 55 500 (-6,6 %) pour s'établir à 780 200 au deuxième trimestre, poursuivant la tendance continue à la baisse observée au cours de la dernière année.
D'une année à l'autre, le nombre de postes vacants au deuxième trimestre a reculé de 210 700 (-21,3 %) par rapport au niveau record de 990 900 emplois vacants atteint au deuxième trimestre de 2022. Cette diminution a touché davantage les postes permanents (-193 200; -23,1 %) que les postes temporaires (-17 500; -11,4 %). Au cours de la même période, la baisse a également été plus marquée pour les postes à temps plein (-163 500; -21,9 %) que pour les postes à temps partiel (-47 200; -19,4 %).
Le taux de postes vacants — qui correspond au nombre de postes vacants exprimé en proportion de la demande totale de main-d'œuvre (postes occupés et vacants) — a diminué de 0,3 point de pourcentage pour s'établir à 4,4 % au deuxième trimestre de 2023. Il s'agit d'une quatrième baisse trimestrielle d'affilée et du plus faible taux observé depuis le deuxième trimestre de 2021 (4,3 %). La baisse du taux de postes vacants au deuxième trimestre de 2023 s'explique par un recul du nombre de postes vacants (-55 500; -6,6 %), qui s'est accompagné d'un nombre accru d'employés salariés (+66 300; +0,4 %).
Les tensions sur le marché du travail s'atténuent alors que le ratio chômeurs-postes vacants augmente
Alors que le nombre de postes vacants a diminué au deuxième trimestre, le nombre de chômeurs (estimé au moyen de l'Enquête sur la population active) a augmenté de 44 300, après avoir peu varié pendant trois trimestres. Par conséquent, on comptait en moyenne 1,4 chômeur pour chaque poste vacant au Canada au deuxième trimestre, en hausse par rapport à 1,3 au trimestre précédent et à 1,1 au deuxième trimestre de 2022. Cette progression indique que les tensions sur le marché du travail se sont atténuées au deuxième trimestre de 2023, ce qui pourrait réduire la pression à la hausse exercée sur la croissance des salaires offerts. Néanmoins, au deuxième trimestre, le ratio chômeurs-postes vacants est demeuré en dessous des niveaux observés avant la pandémie de COVID-19, lesquels étaient généralement supérieurs à 2,0.
Le rythme de croissance du salaire horaire moyen offert ralentit pour un deuxième trimestre consécutif
D'une année à l'autre, le salaire horaire moyen offert a augmenté de 4,4 % pour s'établir à 25,10 $ au deuxième trimestre, marquant un ralentissement par rapport au premier trimestre (+5,0 %) et au quatrième trimestre de 2022 (+8,5 %). À titre de comparaison, les salaires horaires moyens de l'ensemble des employés (estimés au moyen de l'Enquête sur la population active) ont progressé de 4,8 % d'une année à l'autre au deuxième trimestre de 2023 et de 5,1 % d'une année à l'autre au premier trimestre (les données présentées dans cette section ne sont pas désaisonnalisées).
Une partie de ces augmentations du salaire offert est attribuable à un changement de la composition relative des postes vacants, qui sont passés de postes moins bien rémunérés à des postes mieux rémunérés. Calculée à l'aide d'une méthode qui maintient la composition des postes vacants par profession à la moyenne du deuxième trimestre de 2022, la croissance d'une année à l'autre du salaire horaire moyen offert s'est établie à 3,0 % au deuxième trimestre de 2023, en baisse par rapport à 3,5 % au trimestre précédent, et à 5,9 % au quatrième trimestre de 2022.
Parmi les professions qui ont affiché une croissance élevée du salaire horaire moyen offert au deuxième trimestre de 2023, on retrouvait les aides-infirmiers/aides-infirmières, les aides-soignants/aides-soignantes et les préposés/préposées aux bénéficiaires (+8,6 % pour s'établir à 22,80 $) et les manœuvres à l'entretien des travaux publics (+8,0 % pour atteindre 23,05 $).
En revanche, les coordonnateurs/coordinatrices et superviseurs/superviseures des soins infirmiers (-4,3 % pour s'établir à 32,40 $) et le personnel d'installation, d'entretien et de réparation d'équipement résidentiel et commercial (-4,2 % pour se chiffrer à 22,90 $) ont vu leur salaire horaire moyen offert diminuer au deuxième trimestre par rapport à un an plus tôt.
Les professions dans la grande catégorie professionnelle de la vente et des services représentent plus de la moitié de la baisse du nombre total de postes vacants
Au deuxième trimestre, le nombre de postes vacants dans la grande catégorie professionnelle de la vente et des services a diminué de 30 400 (-11,1 %) pour s'établir à 243 500, ce qui constitue la plus forte baisse trimestrielle de toutes les grandes catégories professionnelles. Cette baisse représente plus de la moitié (54,7 %) de la diminution du nombre total de postes vacants, toutes catégories professionnelles confondues.
Les données de l'Enquête sur la population active diffusées précédemment montrent que, à l'exception des postes de gestion dans les professions de la vente et des services, l'emploi dans cette grande catégorie professionnelle a augmenté de 40 000 (+0,9 %) au deuxième trimestre.
D'une année à l'autre, le nombre de postes vacants dans la grande catégorie professionnelle de la vente et des services a reculé de 90 700 (-25,8 %). Dans cette grande catégorie professionnelle, ce sont les serveurs/serveuses au comptoir, aides de cuisine et personnel de soutien assimilé (-24 400 à 54 700) et les vendeurs/vendeuses en commerce de détail (-12 900 à 33 600) qui ont enregistré les plus fortes baisses du nombre de postes vacants par rapport à il y a un an au deuxième trimestre. Le salaire moyen offert aux serveurs/serveuses au comptoir, aides de cuisine et personnel de soutien assimilé (16,00 $) et le salaire moyen offert aux vendeurs/vendeuses en commerce au détail (16,55 $) étaient inférieurs à la moyenne nationale de 25,10 $ pour l'ensemble des professions (données non désaisonnalisées).
Le nombre de postes vacants diminue dans la grande catégorie professionnelle des sciences naturelles et appliquées et des domaines apparentés
Au deuxième trimestre, le nombre de postes vacants dans la grande catégorie professionnelle des sciences naturelles et appliquées et des domaines apparentés a diminué de 5 100 (-9,1 %) pour s'établir à 51 300. Il s'agit de la quatrième baisse trimestrielle consécutive, ce qui porte la baisse nette à 26 000 (-33,6 %) depuis le sommet inégalé atteint au deuxième trimestre de 2022.
Au deuxième trimestre de 2023, les plus fortes baisses d'une année à l'autre du nombre de postes vacants dans cette grande catégorie professionnelle ont été observées chez les programmeurs/programmeuses et développeurs/développeuses en médias interactifs (-6 700; -54,5 %), les ingénieurs/ingénieures et concepteurs/conceptrices en logiciel (-5 100; -53,5 %), et les analystes et consultants/consultantes en informatique (-4 900; -40,1 %). Ces trois groupes représentaient près des deux tiers (63,6 %) de la diminution totale des postes vacants dans la grande catégorie professionnelle des sciences naturelles et appliquées et des domaines apparentés (données non désaisonnalisées).
Recul du nombre de postes vacants dans quatre autres grandes catégories professionnelles
Le nombre de postes vacants dans la grande catégorie professionnelle des affaires, de la finance et de l'administration a reculé de 4 800 (-5,3 %) pour s'établir à 85 100 au deuxième trimestre, après avoir affiché une baisse de 9 600 (-9,7 %) au premier trimestre.
Il y avait également moins de postes vacants dans la grande catégorie professionnelle de la fabrication et des services d'utilité publique (-4 200 pour se chiffrer à 32 000), dans celle de la gestion (-3 900 pour s'établir à 36 300) et dans celle des ressources naturelles, de l'agriculture et de la production connexe (-1 700 pour atteindre 17 800).
Forte baisse d'une année à l'autre du nombre de postes vacants dans la grande catégorie professionnelle des métiers, du transport, de la machinerie et des domaines apparentés
Le nombre de postes vacants dans la grande catégorie professionnelle des métiers, du transport, de la machinerie et des domaines apparentés a diminué de 38 400 (-20,4 %) d'une année à l'autre pour s'établir à 149 700 au deuxième trimestre, ce qui représente la deuxième baisse annuelle en importance parmi toutes les grandes catégories professionnelles (après celle enregistrée pour la grande catégorie professionnelle de la vente et des services). Les données présentées dans cette section ne sont pas désaisonnalisées.
Les aides de soutien des métiers et manœuvres de la construction (-7 000; -25,7 %) ont enregistré la plus forte baisse du nombre de postes vacants, suivis des manutentionnaires (-5 100; -31,1 %) et des conducteurs/conductrice de camions de transport (-4 400; -15,4 %). Alors que le salaire horaire moyen offert a peu varié pour les conducteurs/conductrices de camion de transport (26,85 $) au deuxième trimestre, il a légèrement augmenté pour les aides de soutien des métiers et les manœuvres de la construction (+2,0 % pour s'établir à 22,55 $) et les manutentionnaires (+2,4 % pour se chiffrer à 19,40 $) par rapport à l'année précédente.
Augmentation annuelle du nombre de postes vacants dans le secteur de la santé
À l'échelle nationale, le nombre de postes vacants dans le secteur de la santé s'est élevé à 90 000 au deuxième trimestre, en hausse de 7 800 (+9,5 %) par rapport au deuxième trimestre de 2022. Le secteur de la santé était la seule grande catégorie professionnelle à enregistrer une hausse d'une année à l'autre du nombre de postes vacants au deuxième trimestre de 2023. C'est également la seule grande catégorie professionnelle qui a enregistré une progression d'une année à l'autre du nombre de postes vacants à temps plein (+5 600; +11,9 %) et à temps partiel (+2 200; +6,4 %), ainsi que du nombre de postes permanents vacants (+4 700; +7,2 %) et de postes temporaires vacants (+3 100; +18,8 %) (les données figurant dans cette section ne sont pas désaisonnalisées).
Au deuxième trimestre, les augmentations d'une année à l'autre du nombre de postes vacants dans le secteur de la santé étaient concentrées au Québec (+5 900 pour s'établir à 28 200), ce qui représente plus des trois quarts (75,8 %) de l'augmentation annuelle totale observée dans cette grande catégorie professionnelle.
À l'échelle nationale, la majeure partie de l'augmentation d'une année à l'autre du nombre de postes vacants enregistrée dans le secteur de la santé au deuxième trimestre était attribuable aux infirmiers autorisés/infirmières autorisées et infirmiers psychiatriques autorisés/infirmières psychiatriques autorisées (+6 100 pour se chiffrer à 29 700) et aux infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires (+2 700 pour atteindre 13 600).
Au cours de la même période, la proportion de postes vacants de longue durée (postes pour lesquels des efforts de recrutement sont en cours depuis 90 jours ou plus) a également augmenté pour les infirmiers autorisés/infirmières autorisées et infirmiers psychiatriques autorisés/infirmières psychiatriques autorisées (passant de 55,6 % au deuxième trimestre de 2022 à 63,3 % au deuxième trimestre de 2023) et les infirmiers auxiliaires/infirmières auxiliaires (de 56,5 % à 62,8 %), ce qui indique des difficultés persistantes au chapitre du recrutement et du maintien en poste des infirmiers et des infirmières.
Les postes exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur affichent la plus forte diminution proportionnelle du nombre de postes vacants
Au deuxième trimestre, des baisses d'une année à l'autre du nombre de postes vacants ont été enregistrées pour tous les niveaux de scolarité recherchés par les employeurs. Proportionnellement, les postes vacants exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur (-25,2 %; -160 400) ont connu la plus forte baisse au deuxième trimestre. Malgré cette baisse, le nombre de postes vacants exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur a continué de représenter la majeure partie (58,1 %) du nombre total de postes vacants observé au cours du deuxième trimestre (les données utilisées dans cette section ne sont pas désaisonnalisées).
Le salaire horaire moyen offert pour les postes vacants exigeant un diplôme d'études secondaires ou un niveau de scolarité inférieur a augmenté de 5,0 % d'une année à l'autre pour atteindre 20,05 $ au deuxième trimestre. À titre de comparaison, le salaire horaire moyen offert pour les postes exigeant un baccalauréat (40,60 $) a peu varié par rapport au même trimestre en 2022 (41,05 $).
Recul du nombre de postes vacants dans 27 des 69 régions économiques
Au deuxième trimestre de 2023, le nombre de postes vacants a diminué dans six provinces et est demeuré pratiquement inchangé dans les quatre autres. Les plus fortes baisses d'un trimestre à l'autre ont été observées en Ontario (-27 900 pour s'établir à 271 200), au Québec (-16 400 pour se chiffrer à 195 700) et en Alberta (-6 500 pour atteindre 86 700). D'une année à l'autre, le nombre de postes vacants a diminué dans huit provinces et a peu varié en Saskatchewan et à Terre-Neuve-et-Labrador.
À l'échelle régionale, le nombre de postes vacants a diminué dans 27 des 69 régions économiques au deuxième trimestre, et la plus forte baisse proportionnelle a été enregistrée à London, en Ontario (-35,4 % pour s'établir à 11 300). Parallèlement, le nombre de postes vacants a augmenté dans 5 régions économiques, et les hausses les plus marquées ont été observées à Cariboo, en Colombie-Britannique (+1 200 pour atteindre 4 900) et en Outaouais, au Québec (+900 pour se chiffrer à 6 500). Le nombre de postes vacants est demeuré stable dans les 37 autres régions économiques.
D'une année à l'autre, le taux de postes vacants a diminué dans 43 régions économiques au deuxième trimestre, y compris dans les 2 régions ayant affiché les taux les plus élevés de toutes les régions économiques au deuxième trimestre de 2022, à savoir Côte-nord et Nechako, en Colombie-Britannique (qui est passé de 8,2 % au deuxième trimestre de 2022 à 7,2 % au deuxième trimestre de 2023) et Banff–Jasper–Rocky Mountain House, en Alberta (qui est passé de 7,7 % à 5,6 %).
Parallèlement, le taux de postes vacants a augmenté dans Parklands et Nord, au Manitoba (+1,5 point de pourcentage pour s'établir à 5,9 %), et dans Swift-Current–Moose Jaw, en Saskatchewan (+0,8 point de pourcentage pour se chiffrer à 5,9 %). Par rapport à un an plus tôt, le taux de postes vacants a peu varié dans les 24 autres régions économiques.
Note aux lecteurs
L'Enquête sur les postes vacants et les salaires (EPVS) permet d'obtenir des données exhaustives sur les postes vacants et les salaires offerts selon le secteur d'activité et la profession détaillée pour le Canada, les provinces, les territoires et les régions économiques. Les données sur les postes vacants et les salaires offerts sont diffusées trimestriellement.
Les estimations selon le secteur sont fondées sur la version 3.0 du Système de classification des industries de l'Amérique du Nord de 2017. Les estimations selon la région géographique sont fondées sur la Classification géographique type de 2016. Les estimations selon la profession correspondent à la version 1.3 de la Classification nationale des professions (CNP) de 2016. La CNP est une structure hiérarchique à quatre niveaux de catégories de professions comportant des niveaux successifs de désagrégation. La structure est la suivante : (1) 10 grandes catégories professionnelles (CNP à un chiffre); (2) 40 grands groupes (CNP à deux chiffres); (3) 140 groupes intermédiaires (CNP à trois chiffres); (4) 500 groupes de base (CNP à quatre chiffres).
En raison de la pandémie de COVID-19, la collecte des données de l'EPVS a été suspendue pour les deuxième et troisième trimestres de 2020.
En janvier 2020, un nouveau questionnaire électronique a été mis en place. Les modifications mineures apportées au contenu sont documentées dans le plus récent Guide de l'Enquête sur les postes vacants et les salaires (). 75-514-G
Depuis la période de référence d'octobre 2020, des estimations mensuelles provisoires de l'EPVS sont diffusées chaque mois en même temps que la diffusion des données de l'Enquête sur l'emploi, la rémunération et les heures travaillées. Ces estimations fournissent des renseignements sur le nombre et le taux de postes vacants selon la province et selon le secteur d'activité.
La population cible de l'enquête comprend tous les emplacements commerciaux au Canada, à l'exclusion de ceux dont l'activité principale relève des secteurs des organismes religieux et des ménages privés. Les administrations publiques fédérale, provinciales et territoriales, ainsi que les organismes publics internationaux et autres organismes publics extraterritoriaux sont également exclus de l'enquête.
À moins d'indication contraire, les estimations du présent communiqué sont désaisonnalisées, ce qui facilite la comparaison, car les effets des variations saisonnières sont supprimés. Pour obtenir plus de renseignements sur la désaisonnalisation, veuillez consulter le document : Données désaisonnalisées – Foire aux questions.
Des données trimestrielles désaisonnalisées sur les postes vacants sont accessibles en ligne (tableaux 14-10-0398-01, 14-10-0399-01 et 14-10-0400-01). Les analyses des niveaux et des taux de postes vacants par secteur (20 grands groupes de secteurs industriels), par CNP à un chiffre (10 grandes catégories professionnelles), par province et par région économique sont fondées sur des données désaisonnalisées. Néanmoins, les analyses des niveaux et des taux de postes vacants selon le sous-secteur, le CNP à deux chiffres, le CNP à trois chiffres et le CNP à quatre chiffres sont fondées sur des données non désaisonnalisées.
La présente analyse porte sur les différences entre les estimations qui sont statistiquement significatives à un niveau de confiance de 68 %.
Prochaine diffusion
Les données du troisième trimestre sur les postes vacants de l'EPVS seront diffusées le 18 décembre.
Produits
Il est possible d'obtenir en ligne de plus amples renseignements sur les concepts et l'utilisation des données de l'Enquête sur les postes vacants et les salaires dans le Guide de l'Enquête sur les postes vacants et les salaires (). 75-514-G
Il est également possible de consulter le produit intitulé « Indicateurs du marché du travail, selon la province, le territoire et la région économique, données non désaisonnalisées » (). Cette application Web dynamique donne accès aux indicateurs du marché du travail de Statistique Canada pour le Canada, selon la province, le territoire et la région économique, et elle permet aux utilisateurs d'obtenir un aperçu des indicateurs clés du marché du travail, de consulter le classement géographique pour chaque indicateur en utilisant une carte et un tableau interactifs ainsi que d'insérer facilement les données dans d'autres programmes. 71-607-X
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