Faits saillants

Avertissement Consulter la version la plus récente.

Information archivée dans le Web

L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

Saviez-vous que …

  • La population autochtone de l'agglomération de recensement (AR) de Prince Albert est jeune et en croissance. En 2006, 13 570 Autochtones y vivaient, ce qui représente une hausse de 17 % par rapport à 2001.
  • Plus de la moitié (56 %) de la population autochtone de Prince Albert avait moins de 25 ans, ce qui est presque le double (28 %) de la population non autochtone.
  • Les jeunes autochtones de 15 à 24 ans de Prince Albert étaient moins susceptibles de fréquenter l'école que leurs homologues non autochtones (51 % contre 59 %). En outre, les Autochtones étaient beaucoup plus enclins que les non-Autochtones à retourner aux études plus tard dans la vie.
  • Chez les Autochtones de Prince Albert, les femmes étaient un peu plus susceptibles que les hommes d'avoir terminé des études postsecondaires. Près de la moitié (47 %) des femmes autochtones de 25 à 64 ans avaient terminé des études postsecondaires, comparativement à 45 % de leurs homologues masculins.
  • Le taux de chômage de la population autochtone du principal groupe d'âge actif (les 25 à 54 ans) à Prince Albert était supérieur à celui de la population non autochtone (14,3 % contre 5,2 %). Les femmes des Premières Nations étaient plus susceptibles que leurs homologues masculins d'être sans emploi. Toutefois, cela était le contraire pour les Métis et les non-Autochtones.
  • Chez les Métis, les taux d'emploi des hommes (79,8 %) et des femmes (76,8 %) de 25 à 54 ans se rapprochaient le plus de ceux de leurs homologues non autochtones (86,2 % et 83,2 %, respectivement).
  • En 2000, les Autochtones qui travaillaient à temps plein toute l'année gagnaient 86 % de ce que touchaient leurs homologues non autochtones. En 2005, ce pourcentage atteignait 87 %.