Résultats

Avertissement Consulter la version la plus récente.

Information archivée dans le Web

L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n’est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n’a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

La victimisation des gais, des lesbiennes et des bisexuels

Les gais, les lesbiennes et les bisexuels ont déclaré des taux plus élevés de victimisation avec violence, notamment d'agressions sexuelles, de vols qualifiés et de voies de fait, que leurs homologues hétérosexuels. [Texte intégral]

Perceptions de la sécurité personnelle et du système de justice pénale

Même s'ils affichaient des taux de violence plus élevés, les gais, les lesbiennes et les bisexuels n'ont pas indiqué des niveaux de crainte plus élevés que les hétérosexuels. Dans l'ensemble, plus de 9 gais, lesbiennes et bisexuels canadiens sur 10 ont déclaré être « plutôt » ou « très » satisfaits face à leur sécurité personnelle, une proportion qui était semblable à celle des hétérosexuels. [Texte intégral]

Orientation sexuelle et perceptions de la discrimination

Selon la Loi canadienne sur les droits de la personne, « comportement discriminatoire » signifie le traitement différent d'une personne ou d'un groupe de personnes fondé sur leur race, leur origine ethnique ou nationale, leur couleur, leur religion, leur âge, leur sexe, leur orientation sexuelle, leur état matrimonial, leur situation de famille, leur déficience mentale ou physique, ou leur état de personne graciée. [Texte intégral]

Conclusion

En dépit du fait que les gais, les lesbiennes et les bisexuels ont affiché des taux de victimisation avec violence de deux à quatre fois supérieurs aux taux enregistrés par les hétérosexuels, leur degré de satisfaction face à leur sécurité personnelle et leurs niveaux de crainte à l'égard de la criminalité étaient semblables à ceux de leurs homologues hétérosexuels. [Texte intégral]