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Comptes nationaux des revenus et dépenses
Comptes économiques provinciaux

Comptes nationaux des revenus et dépenses

Aperçu

Les Comptes nationaux des revenus et dépenses sont au centre de l'analyse macro-économique et des décisions financières au Canada. Ils sont utilisés dans une grande variété d'applications par divers groupes et personnes. Ils permettent aux Canadiens de visualiser et d'évaluer la performance de l'économie nationale. Ces comptes fournissent un cadre de planification aux administrations publiques ainsi qu'une fiche d'évaluation des résultats des plans mis en oeuvre par les administrations publiques.

Les Comptes des revenus et des dépenses (CRD) ont pour concept central celui du Produit intérieur brut (PIB) et de ses composantes. Il s'agit d'une mesure agrégée de l'activité économique qui représente la valeur sans double compte de la production établie de deux façons : d'après les revenus générés par la production, d'une part, et d'après les dépenses finales au titre de la production, d'autre part. La première mesure consiste simplement à additionner les revenus des facteurs générés par l'activité de production, c'est à dire les revenus représentant le rendement de la main d'oeuvre et du capital utilisés. La deuxième consiste à additionner toutes les dépenses des utilisateurs finals (consommateurs, administrations publiques, dépenses des entreprises en capital, exportations nettes). Ces deux mesures du PIB ne sont pas nécessairement égales, ce qui produit une divergence statistique.

Le Système de comptabilité nationale du Canada (SCNC) fournit un cadre conceptuel intégré de statistiques et d'analyse pour l'étude de l'état de l'économie canadienne. Les comptes servent surtout à mesurer les activités liées à la production de biens et de services, à la disposition finale de ces biens et services sur les marchés, aux transactions financières qui les supportent et aux positions du patrimoine qui en résultent.

Sources de données et méthodologie

Population cible

L'économie canadienne (les individus, les entreprises individuelles, les sociétés, les administrations publiques et les non-résidents).

Sources des données

Les données sont tirées de fichiers administratifs et sont dérivées de diverses enquêtes de Statistique Canada et/ou d'autres sources.

Les CRD donnent une mesure trimestrielle de l'activité macroéconomique, telle que représentée par le PIB en termes de revenus et de dépenses, dont la production dépend fortement d'une foule de renseignements fournis par divers programmes de Statistique Canada. Le processus complexe de calcul du PIB, de ses composantes et des comptes sectoriels sous jacents nécessite la compilation, l'intégration et l'analyse d'une très grande quantité d'information provenant de diverses divisions d'enquête du Bureau, conjuguée à d'autres données.

À Statistique Canada, les grands fournisseurs de données incluent la Division de l'agriculture, la Division de l'investissement et du stock de capital, la Division de la statistique du revenu, la Division du commerce international, la Division de la statistique du commerce, la Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie, la Division de l'organisation et des finances de l'industrie, la Division du travail, la Division des prix, la Division des institutions publiques, la Division des industries de service, la Division des données fiscales et la Division de transports. Il existe aussi une grande quantité de sources de données externes et administratives

Estimation

Le Système de comptabilité nationale est centré sur la notion de 'production économique'. Le produit intérieur brut est conçu explicitement pour mesurer la valeur de la production totale de biens et services de la nation. Mais, tout en donnant ce total, les tableaux fournissent également une image statistique de la structure et du fonctionnement de l'économie, de la composition et de l'emploi de la production de la nation, et des divers types de revenus engendrés dans le processus. En poussant plus loin, les estimations globales des revenus et des dépenses peuvent être ventilées davantage de manière à montrer comment les diverses catégories d'agents dans l'économie (entreprises, particuliers, administrations et non-résidents) contribuent à la production du produit de la nation par le jeu des opérations intervenant entre elles. En d'autres termes, à partir de cette notion de production, il est possible de construire un grand système statistique qui vienne décrire le flux de toutes les opérations de revenus et de dépenses à la base de la production et de la répartition du produit total de la nation. Le système actuel utilise à la fois le concept de produit national et celui de produit intérieur. Le produit national brut mesure les gains de tous les facteurs de production canadiens, quel que soit le lieu où ils se trouvent. Le produit intérieur brut ne mesure que la production originant dans les limites géographiques du Canada, que les facteurs de production appartiennent à des Canadiens ou des non-résidents.

Les comptes nationaux des revenus et dépenses mesurent la valeur de la production sans double compte de deux façons différentes. La première consiste simplement à additionner tous les revenus des facteurs (salaires et traitements, bénéfices) engendrés par cette activité productive, qui sont constitués de deux éléments : le revenu du travail et le revenu du capital. La deuxième méthode consiste à prendre la somme de toutes les ventes des entreprises aux utilisateurs finals, c'est-à-dire les consommateurs, les administrations, les entreprises (au compte de capital), ou à l'exportation. Cette méthode permet aussi d'obtenir la valeur sans double compte de la production totale. Il faut évidemment déduire les importations du total, car elles sont implicitement comprises dans ces ventes finales et ne doivent pas être comptées comme une partie de la production canadienne (puisqu'elles représentent une partie de la production d'un pays étranger). Les ventes entre entreprises (production intermédiaire) ne doivent pas être comptées, sinon il y aurait double compte, car toute la production intermédiaire est comprise dans la production finale vendue aux utilisateurs. Cette méthode des 'ventes aux utilisateurs finals' (ou de la 'somme des dépenses') donne la même valeur de la production que la méthode de la 'somme des revenus'. Après que les estimations initiales du PIB calculées selon les revenus et selon les dépenses sont produites, l'évaluation de la divergence est effectuée.

Le PIB réel est seulement calculé en termes de dépenses, car on ne peut séparer la valeur des composantes du revenu entre les quantités et les prix. Il n'existe donc pas d'indicateurs permettant d'enlever l'effet de l'inflation et donc de calculer les composantes du PIB en termes de revenus en valeur réelle. C'est pourquoi seules les composantes du PIB en termes de dépenses sont calculées en valeur réelle.

Évaluation de la qualité

Les données sont analysées afin de vérifier l'uniformité des séries chronologiques, d'établir des liens avec les événements économiques courants, de cerner les problèmes découlant des données sources et d'assurer la cohérence. Également, la divergence entre les estimations du PIB calculé selon les revenus et selon les dépenses est évaluée.

Il est impossible de produire un équivalent des comptes des revenus et des dépenses, sauf au niveau agrégé. Au niveau du PIB, la valeur sans double compte de la production peut également être mesurée en soustrayant de la valeur brute de la production de chaque entreprise, la valeur des intrants intermédiaires de l'entreprise sous forme de ses achats auprès d'autres entreprises (y compris les importations). On obtient ainsi la « valeur ajoutée nette » de l'entreprise à la production. Des estimations de ce type sont produites dans les tableaux annuels des entrées-sorties, ainsi que dans les estimations mensuelles du PIB selon l'industrie. Les estimations réelles du PIB peuvent donc être comparées aux résultats du programme d'évaluation du PIB mensuel selon l'industrie. Annuellement, les données sur les revenus et les dépenses sont étalonnées d'après les comptes des entrées-sorties.

Certaines composantes des valeurs du PIB en termes de revenus et de dépenses peuvent être obtenues auprès des divisions d'enquête, mais, habituellement, les données ne sont pas directement comparables. Ainsi, la variable « bénéfices des sociétés » est publiée dans les Statistiques financières trimestrielles, mais elle diffère de la mesure du PIB en termes de revenus à cause de certains ajustements apportés aux concepts des comptes nationaux.

Contrôle de la divulgation

La Loi interdit à Statistique Canada de rendre publique toute donnée susceptible de révéler de l'information obtenue en vertu de la Loi sur la statistique et se rapportant à toute personne, entreprise ou organisation reconnaissable sans que cette personne, entreprise ou organisation le sache ou y consente par écrit. Diverses règles de confidentialité s'appliquent à toutes les données diffusées ou publiées afin d'empêcher la publication ou la divulgation de toute information jugée confidentielle. Au besoin, des données sont supprimées pour empêcher la divulgation directe ou par recoupement de données reconnaissables.

Révisions et désaisonnalisation

Révisions - Les données sont diffusées dans les 60 jours après la période de référence. Les estimations produites pour chaque trimestre sont révisées lorsque celles des trimestres subséquents de la même année sont publiées, puis quand celles du premier trimestre des quatre années suivantes sont publiées. Normalement, elles ne sont plus révisées après cela, sauf quand une révision historique est réalisée, habituellement une fois tous les dix ans. Des révisions statistiques sont faites afin d'intégrer l'information la plus récente tirée des enquêtes trimestrielles et annuelles, des statistiques sur l'impôt, des comptes publics, des recensements, etc., ainsi que du processus annuel d'étalonnage d'après les comptes d'entrées-sorties.

Désaisonnalisation - Presque toutes les séries des CRD trimestriels sont désaisonnalisées. En général, la désaisonnalisation est faite au niveau d'agrégation le plus petit et les agrégats désaisonnalisés sont obtenus par sommation. Les séries chronologiques sont désaisonnalisées selon la méthode X-11 ARIMA de Statistique Canada.

Exactitude des données

Les comptes sont conçus comme un système à double entrée dans lequel les valeurs totales du PIB en termes de revenus et de dépenses devraient, en principe, être identiques. En fait, il existe presque toujours un écart entre les deux à cause de la présence d'erreurs dans les données de référence, de l'imperfection des techniques d'estimation, de différences entre les méthodes de désaisonnalisation et de différences entre les moments où les revenus et les dépenses sont enregistrés.

La grandeur de la divergence, qui découle de la procédure d'estimation, est un indicateur de la fiabilité globale du système. Cependant, cet indicateur n'est que partiel et plutôt insuffisant. Un autre indicateur de qualité est la mesure dans laquelle le PIB réel en termes de dépenses se compare au PIB réel selon l'industrie.

Aucune mesure directe de la marge d'erreur dans les estimations ne peut être calculée. Il est toutefois possible d'inférer la qualité des estimations d'après l'analyse des révisions et d'après une évaluation subjective des sources de données et de la méthodologie utilisées pour produire les estimations.

Documentation

Les renseignements sur les développements dans les Comptes Nationaux des revenus et dépenses sont disponibles dans « Les nouveautés en matière des comptes économiques canadiens », gratuit. Le menu latéral de cette publication électronique inclut : chronologie des événements, changements de concepts, changements de classification, et révisions des données.

Comptes économiques provinciaux

Aperçu

Le programme des Comptes économiques provinciaux produit des estimations annuelles de certains agrégats des Comptes des revenus et dépenses (CRD) par province et territoire : produit intérieur brut, demande intérieure finale, revenu personnel et comptes du secteur des administrations publiques.

Les données sont utilisées dans le domaine de l'analyse macro-économique et de la prévision, dans le domaine de l'analyse des politiques et aux fins de l'établissement de modèles économétriques et de tests d'hypothèses par des fonctionnaires fédéraux et provinciaux, par des gens d'affaires, des universitaires, des économistes et des organismes internationaux.

Le Système de comptabilité nationale du Canada (SCNC) fournit un cadre conceptuel intégré de statistiques et d'analyse pour l'étude de l'état de l'économie canadienne. Les comptes servent surtout à mesurer les activités liées à la production de biens et de services, à la disposition finale de ces biens et services sur les marchés, aux transactions financières qui les supportent et aux positions du patrimoine qui en résultent.

Comptes provinciaux et territoriaux - Le Système de comptabilité nationale diffuse une grande variété de données au niveau provincial ou territorial sur des sujets tels que l'environnement, les finances publiques, le produit intérieur brut et ses composantes, le PIB par industrie, le tourisme et la productivité du travail.

Sources des données

Population cible

L'économie canadienne (les individus, les entreprises individuelles, les sociétés, les administrations publiques et les non-résidents).

Sources des données

Les données sont tirées de fichiers administratifs et sont dérivées de diverses enquêtes de Statistique Canada et/ou d'autres sources.

Les Comptes économiques provinciaux (CÉP) donnent une mesure annuelle de l'activité macroéconomique, telle que représentée par le PIB en termes de revenus et de dépenses, dont la production dépend fortement d'une foule de renseignements fournis par divers programmes de Statistique Canada. Le processus complexe de calcul du PIB par province, de ses composantes et des comptes sectoriels sous jacents nécessite la compilation, l'intégration et l'analyse d'une très grande quantité d'information provenant de diverses divisions d'enquête du Bureau, conjuguée à d'autres données.

À Statistique Canada, les grands fournisseurs de données incluent la Division de l'agriculture, la Division de l'investissement et du stock de capital, la Division de la statistique du revenu, la Division du commerce international, la Division de la statistique du commerce, la Division de la fabrication, de la construction et de l'énergie, la Division de l'organisation et des finances de l'industrie, la Division du travail, la Division des prix, la Division des institutions publiques, la Division des industries de service, la Division des données fiscales et la Division de transports. Il existe aussi une grande quantité de sources de données externes et administratives.

Estimation

Les comptes économiques provinciaux mesurent la valeur de la production sans double compte de deux façons différentes. La première consiste simplement à additionner tous les revenus des facteurs (salaires et traitements, bénéfices) engendrés par cette activité productive, qui sont constitués de deux éléments : le revenu du travail et le revenu du capital. La deuxième méthode consiste à prendre la somme de toutes les ventes des entreprises aux utilisateurs finals, c'est-à-dire les consommateurs, les administrations, les entreprises (au compte de capital), ou à l'exportation. Cette méthode permet aussi d'obtenir la valeur sans double compte de la production totale. Il faut évidemment déduire les importations du total, car elles sont implicitement comprises dans ces ventes finales et ne doivent pas être comptées comme une partie de la production indigène (puisqu'elles représentent une partie de la production exogène à la province). Les ventes entre entreprises (production intermédiaire) ne doivent pas être comptées, sinon il y aurait double compte, car toute la production intermédiaire est comprise dans la production finale vendue aux utilisateurs. Cette méthode des « ventes aux utilisateurs finals » (ou de la « somme des dépenses ») donne la même valeur de la production que la méthode de la 'somme des revenus'. Après que les estimations initiales du produit intérieur brut (PIB) calculées selon les revenus et selon les dépenses sont produites, l'évaluation de la divergence est effectuée.

Le PIB réel est seulement calculé en termes de dépenses, car on ne peut séparer la valeur des composantes du revenu entre les quantités et les prix. Il n'existe donc pas d'indicateurs permettant d'enlever l'effet de l'inflation et donc de calculer les composantes du PIB en termes de revenus en valeur réelle. C'est pourquoi seules les composantes du PIB en termes de dépenses sont calculées en valeur réelle.

Évaluation de la qualité

Les données sont analysées afin de vérifier l'uniformité des séries chronologiques, d'établir des liens avec les événements économiques courants, de cerner les problèmes découlant des données sources et d'assurer la cohérence. Également, la divergence entre les estimations du PIB calculé selon les revenus et selon les dépenses est évaluée.

Il est impossible de produire un équivalent des Comptes économiques provinciaux, mesurés en termes de revenus et de dépenses, sauf au niveau agrégé. Au niveau du PIB, la valeur sans double compte de la production peut également être mesurée en soustrayant de la valeur brute de la production de chaque entreprise, la valeur des intrants intermédiaires de l'entreprise sous forme de ses achats auprès d'autres entreprises (y compris les importations). On obtient ainsi la « valeur ajoutée nette » de l'entreprise à la production. Des estimations de ce type sont produites dans les tableaux provinciaux des entrées- sorties, ainsi que dans les estimations du PIB par province selon l'industrie. Les estimations réelles du PIB peuvent donc être comparées aux résultats du programme d'évaluation du PIB par province selon l'industrie. Annuellement, les données provinciales sur les revenus et les dépenses sont étalonnées d'après les comptes des entrées-sorties.

Certaines composantes des valeurs du PIB en termes de revenus et de dépenses peuvent être obtenues auprès des divisions d'enquête, mais, habituellement, les données ne sont pas directement comparables. Ainsi, la variable « bénéfices des sociétés » est publiée dans les Statistiques financières trimestrielles, mais elle diffère de la mesure du PIB en termes de revenus à cause de certains ajustements apportés aux concepts des comptes nationaux. De plus on doit faire la répartition des bénéfices des sociétés par province et par territoire de façon à refléter l'endroit où l'activité a eu lieu et non l'emplacement du siège social de l'entreprise.

Contrôle de la divulgation

La Loi interdit à Statistique Canada de rendre publique toute donnée susceptible de révéler de l'information obtenue en vertu de la Loi sur la statistique et se rapportant à toute personne, entreprise ou organisation reconnaissable sans que cette personne, entreprise ou organisation le sache ou y consente par écrit. Diverses règles de confidentialité s'appliquent à toutes les données diffusées ou publiées afin d'empêcher la publication ou la divulgation de toute information jugée confidentielle. Au besoin, des données sont supprimées pour empêcher la divulgation directe ou par recoupement de données reconnaissables.

Révisions et désaisonnalisation

Révisions - Les estimations préliminaires sont publiées au printemps suivant l'année de référence et révisées à l'automne de la même année. Lors de la diffusion automnale, des révisions sont aussi apportées aux estimations des trois années antérieures. Normalement, les estimations ne sont plus révisées après cela, sauf quand une révision historique est réalisée, habituellement une fois tous les dix ans. Des révisions statistiques sont faites afin d'intégrer l'information la plus récente tirée des enquêtes, des statistiques sur l'impôt, des comptes publics, des recensements, etc., ainsi que du processus annuel d'étalonnage d'après les comptes d'entrées-sorties.

Désaisonnalisation - Presque toutes les séries des CÉP trimestriels sont désaisonnalisées. En général, la désaisonnalisation est faite au niveau d'agrégation le plus petit et les agrégats désaisonnalisés sont obtenus par sommation. Les séries chronologiques sont désaisonnalisées selon la méthode X-11 ARIMA de Statistique Canada.

Exactitude des données

Les comptes sont conçus comme un système à double entrée dans lequel les valeurs totales du PIB en termes de revenus et de dépenses devraient, en principe, être identiques. En fait, il existe presque toujours un écart entre les deux à cause de la présence d'erreurs dans les données de référence, de l'imperfection des techniques d'estimation, de différences entre les méthodes de désaisonnalisation et de différences entre les moments où les revenus et les dépenses sont enregistrés.

La grandeur de la divergence, qui découle de la procédure d'estimation, est un indicateur de la fiabilité globale du système. Cependant, cet indicateur n'est que partiel et plutôt insuffisant. Un autre indicateur de qualité est la mesure dans laquelle le PIB réel en termes de dépenses se compare au PIB réel selon l'industrie.

Aucune mesure directe de la marge d'erreur dans les estimations ne peut être calculée. Il est toutefois possible d'inférer la qualité des estimations d'après l'analyse des révisions et d'après une évaluation subjective des sources de données et de la méthodologie utilisées pour produire les estimations.

Documentation

Les renseignements sur les développements dans les Comptes économiques provinciaux sont disponible dans « Les nouveautés en matière des comptes économiques canadiens ». Le menu latéral de cette publication électronique inclut : chronologie des événements, changements de concepts, changements de classification, et révisions des données.