Section 3 : Violence entre partenaires intimes au Canada, affaires déclarées par la police, 2019
La violence entre partenaires intimes, aussi appelée violence conjugale, est considérée comme un problème de santé publique généralisé (Stewart et autres, 2012). Bien qu’elle se manifeste le plus souvent sous forme de violence physique entre partenaires amoureux ou conjoints actuels et anciens, il peut également s’agir de violence verbale, sexuelle et émotionnelle, et d’exploitation financière. Cela peut aller de comportements malsains et destructeurs à des comportements criminels, voire à l’homicide. Les victimes de violence aux mains d’un partenaire intime peuvent souffrir de blessures, de douleurs chroniques et de troubles de stress post-traumatique, et éprouver des difficultés dans leurs relations et à maintenir un emploi stable (Agence de la santé publique du Canada, 2014).
La violence entre partenaires intimes touche les personnes de tout groupe démographique et socioéconomique. Cependant, les victimes sont le plus souvent des femmes et la violence est le plus souvent perpétrée par des hommes (Femmes et Égalité des genres Canada, 2020). Dans le contexte de la pandémie de COVID-19 et des restrictions sanitaires connexes, une attention accrue a été portée au problème de la violence entre partenaires intimes. De nombreuses personnes étant contraintes de rester à la maison, des préoccupations sont soulevées quant à celles qui ne seraient pas en mesure de sortir d’un milieu où règne la violence. De plus, la nature du virus entraîne des difficultés particulières pour les soutiens sociaux essentiels comme les maisons d’hébergement pour les victimes de violence.
Dans les mois à venir, le Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités de Statistique Canada diffusera une série de rapports analytiques sur la violence entre partenaires intimes fondés sur les données autodéclarées de l’Enquête sur la sécurité dans les espaces publics et privés de 2018. Cette série comprendra un aperçu de la violence entre partenaires intimes et des rapports supplémentaires dressant un portrait plus détaillé de ce type de violence chez les femmes autochtones, les femmes de minorité ethnoculturelle, les femmes ayant une incapacité, les jeunes femmes, ainsi que les femmes et les hommes de minorité sexuelle.
Dans la présente section, la violence entre partenaires intimes désigne la violence commise par des conjoints mariés, des conjoints de fait, des partenaires amoureux ou d’autres partenaires intimes, actuels ou anciens. Les données portent sur les victimes âgées de 15 à 89 ansNote .
Trois victimes d’affaires de violence déclarées par la police sur dix ont été agressées par un partenaire intime
En 2019, 358 244 personnes ont été victimes d’une affaire de violence déclarée par la police au Canada (tableau 3.1). Parmi les victimes, 3 sur 10 (30 %) ont été agressées par un partenaire intime, ce qui représentait 107 810 victimes.
Les affaires de violence entre partenaires intimes portées à l’attention de la police ont le plus souvent été commises par un partenaire actuel, soit un petit ami ou une petite amie (36 %) ou un conjoint ou une conjointe (29 %). La violence perpétrée par un ancien partenaire, comme un ex-petit ami ou une ex-petite amie (21 %) ou un ex-conjoint ou une ex-conjointe (12 %), était moins fréquente, probablement parce que les victimes et les auteurs présumés ne vivaient pas ensemble.
Alors qu’un peu plus de la moitié (53 %) des victimes de violence étaient de genre féminin, les femmes formaient la grande majorité (79 %) des victimes de violence aux mains d’un partenaire intime, et ce, quel que soit le type de relation entre partenaires intimes. Près de la moitié (45 %) des femmes victimes de violence ont été agressées par un partenaire intime.
La violence entre partenaires intimes augmente pour une cinquième année consécutive, et la hausse observée chez les hommes est plus marquée
De 2018 à 2019, le taux d’affaires de violence entre partenaires intimes déclarées par la police s’est accru de 6 % (graphique 3.1)Note , et la croissance a été plus prononcée chez les victimes de genre masculin que chez les victimes de genre féminin (+10 % par rapport à +5 %). Dans l’ensemble, il s’agit d’une cinquième augmentation annuelle consécutive, et d’une hausse de 14 % par rapport à 2014. De 2009 à 2019, le taux de violence entre partenaires intimes a diminué dans une moindre mesure que le taux de violence aux mains de personnes autres que des partenaires intimes (-6 % par rapport à -14 %).
Tableau de données du graphique 3.1
Violence aux mains de partenaires intimes | Violence aux mains d’autres personnes | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Victimes de genre féminin | Victimes de genre masculin | Total des victimes | Victimes de genre féminin | Victimes de genre masculin | Total des victimes | |
taux pour 100 000 personnes | ||||||
2009 | 579 | 145 | 365 | 725 | 1 139 | 929 |
2010 | 576 | 148 | 365 | 729 | 1 094 | 909 |
2011 | 545 | 140 | 345 | 668 | 1 022 | 843 |
2012 | 520 | 137 | 331 | 643 | 986 | 813 |
2013 | 489 | 131 | 312 | 592 | 886 | 738 |
2014 | 471 | 129 | 302 | 558 | 841 | 699 |
2015 | 483 | 132 | 309 | 569 | 858 | 712 |
2016 | 485 | 134 | 311 | 573 | 852 | 712 |
2017 | 494 | 135 | 316 | 601 | 863 | 731 |
2018 | 508 | 135 | 323 | 620 | 880 | 749 |
2019 | 536 | 149 | 344 | 663 | 937 | 799 |
Note : Les taux sont calculés pour 100 000 personnes de 15 à 89 ans. Les chiffres de population sont fondés sur des estimations au 1er juillet fournies par le Centre de démographie de Statistique Canada. Représente les victimes de 15 à 89 ans. Les victimes de 90 ans et plus ont été exclues de l’analyse en raison de la possibilité que les affaires pour lesquelles l’âge de la victime était inconnu aient été classées incorrectement dans cette catégorie d’âge. Exclut les victimes dont le genre ou l’âge était inconnu ou pour lesquelles le lien de l’auteur présumé avec la victime était inconnu. Repose sur la base de données sur les tendances du Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l’affaire qui, depuis 2009, comprend des données représentant 99 % de la population du Canada. Par conséquent, les chiffres peuvent ne pas correspondre à ceux figurant ailleurs dans le présent rapport. Source : Statistique Canada, Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités, base de données sur les tendances du Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l’affaire. |
Plus de la moitié des victimes de violence aux mains d’un partenaire intime subissent des blessures corporelles
En 2019, le taux d’affaires de violence entre partenaires intimes déclarées par la police était de 347 victimes pour 100 000 personnes (tableau 3.2). Les voies de faitNote étaient le type le plus courant de violence entre partenaires intimes, représentant 75 % des victimes, ce qui correspond à un taux de 261 pour 100 000 personnes; venaient ensuite les autres infractions comportant de la violence ou la menace de violenceNote (68) et les agressions sexuellesNote (17). Puisque la grande majorité des victimes de violence aux mains d’un partenaire intime étaient des femmes, les taux pour ces types d’infractions étaient considérablement plus élevés chez les femmes en particulier (391, 115 et 33, respectivement).
Dans l’ensemble, les taux de violence entre partenaires intimes ont atteint un sommet chez les victimes âgées de 25 à 34 ans (715 pour 100 000 personnes), aussi bien chez les femmes que chez les hommes (1 173 et 277, respectivement). En revanche, le taux de violence aux mains de personnes autres que des partenaires intimes était le plus élevé chez les victimes plus jeunes, soit celles de 15 à 24 ans, et diminuait avec l’âge. Parmi les victimes de violence aux mains d’un partenaire intime, l’agression sexuelle était le seul type d’infraction qui n’a pas atteint un sommet chez les personnes de 25 à 34 ans; ce sont plutôt les victimes de 15 à 24 ans qui ont affiché les taux les plus élevés d’agressions sexuelles (48 dans l’ensemble et 97 chez les femmes). Qu’ils soient liés ou non à la violence entre partenaires intimes, les taux d’agressions sexuelles étaient les plus élevés chez les jeunes femmes et les jeunes hommes.
Près des trois quarts (72 %) des victimes de violence aux mains d’un partenaire intime ont été agressées au moyen de la force physique (tableau 3.3)Note . De plus, 15 % de ces victimes ont été agressées avec la présence d’une arme, comme un couteau, une massue ou une arme à feu. Plus de la moitié (54 %) des victimes de violence aux mains d’un partenaire intime ont subi des blessures corporelles, ce qui est plus fréquent que chez les victimes de violence aux mains de personnes autres que des partenaires intimes (40 %)Note . Parmi celles qui ont subi des blessures corporelles à la suite de violence entre partenaires intimes, presque toutes (96 %) ont subi des blessures mineures. Les blessures corporelles causées par la violence entre partenaires intimes étaient un peu plus fréquentes chez les hommes que chez les femmes (56 % par rapport à 53 %).
Début de l’encadré 3
Encadré 3
Homicide aux mains de partenaires intimes
De 2014 à 2019, il y a eu 497 victimes d’homicide commis par un partenaire intime et, à l’instar de la violence entre partenaires intimes en général, 8 victimes sur 10 (80 %) étaient de genre fémininNote . La plupart (75 %) des victimes de genre féminin ont été tuées par un conjoint ou une conjointe marié ou par un conjoint ou une conjointe de fait (actuel ou ancien), tandis qu’une moins grande proportion ont été tuées par un partenaire intime autre qu’un conjoint ou une conjointe, comme un petit ami ou une petite amie (actuel ou ancien), ou un partenaire extra-conjugal (25 %). De même, une plus grande proportion de victimes de genre masculin ont été tuées par un conjoint ou une conjointe (65 %) que par un partenaire autre qu’un conjoint ou une conjointe (35 %).
Les Autochtones — c’est-à-dire les Premières Nations, les Métis ou les Inuits — sont surreprésentés parmi les victimes de crimes violents au Canada et, plus précisément, les Autochtones sont plus de deux fois plus susceptibles d’être victimes de violence conjugale que les non-Autochtones (Boyce, 2016; Perreault, 2015). Lorsqu’on examine la forme la plus grave de violence entre partenaires intimes, à savoir l’homicide, on constate une tendance semblable : alors qu’environ 5 % de la population est autochtone (Statistique Canada, 2020), le quart (26 % ou 125 victimes) des victimes d’homicide aux mains d’un partenaire intime durant la période allant de 2014 à 2019 étaient AutochtonesNote . Le problème de la victimisation des Autochtones est complexe, et la violence vécue par les Autochtones — tant au sein de la famille que dans la communauté — découle du système colonial d’hier et d’aujourd’hui au Canada. La violence entre partenaires intimes au sein de la population autochtone est le résultat de nombreux facteurs aggravants. Par exemple, les traumatismes intergénérationnels découlant du système des pensionnats, de la rafle des années 1960 et du système de protection de l’enfance peuvent entraîner de nombreux problèmes, comme la toxicomanie et la pauvreté, qui à leur tour contribuent aux conditions propices aux conflits et à la violence (Hoffart et Jones, 2018; Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées, 2019; O’Neill et autres, 2018).
Une proportion semblable de victimes d’homicide ont été tuées par un partenaire intime, qu’elles soient Autochtones ou non (14 % des victimes autochtones et 13 % des victimes non autochtones). Dans l’ensemble, le quart des victimes tuées par un conjoint ou une conjointe (26 %) ou par un partenaire autre qu’un conjoint ou une conjointe (25 %) étaient Autochtones. Parmi les 125 victimes autochtones d’homicide aux mains d’un partenaire intime, 66 % étaient des femmes et 34 % étaient des hommes. Bien que près de 4 femmes autochtones sur 10 (37 %) qui ont été victimes d’homicide aient été tuées par un partenaire intime, cette proportion était un peu plus élevée chez les femmes non autochtones (43 %). En revanche, il était plus courant pour les victimes d’homicide autochtones de genre masculin que pour leurs homologues non autochtones d’être tuées par un partenaire intime (7 % par rapport à 3 %). Autrement dit, parmi les victimes d’homicide aux mains d’un partenaire intime, une plus grande proportion des victimes de genre masculin étaient Autochtones, tandis que cette proportion était moins élevée chez les victimes de genre féminin (44 % par rapport à 21 %).
En 2019, le Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités de Statistique Canada a commencé à recueillir des renseignements sur l’appartenance à une minorité visible dans le cadre de l’Enquête sur les homicides. Parmi les 72 victimes d’homicide aux mains d’un partenaire intime en 2019, la police a déclaré que 25 % appartenaient à un groupe désigné comme minorité visibleNote . À l’instar de la violence entre partenaires intimes en général, la grande majorité de ces victimes d’homicide aux mains d’un partenaire intime étaient des femmesNote . Chez les victimes d’homicide en général, celles qui étaient membres d’une minorité visible étaient moins susceptibles d’être tuées par un partenaire intime que les victimes n’appartenant pas à une minorité visible (9 % par rapport à 13 %).
Fin de l’encadré 3
La Saskatchewan et le Manitoba enregistrent les taux les plus élevés de violence entre partenaires intimes parmi les provinces
À l’instar de la criminalité en général, les taux d’affaires de violence entre partenaires intimes déclarées par la police étaient habituellement les plus élevés dans les Prairies et les territoires. À l’échelle des provinces, les plus hauts taux de violence entre partenaires intimes ont été enregistrés en Saskatchewan (724 pour 100 000 personnes) et au Manitoba (607), alors que les plus faibles taux ont été observés en Ontario (251) et à l’Île-du-Prince-Édouard (270) (tableau 3.4)Note . Comparativement aux provinces, les territoires ont enregistré des taux beaucoup plus élevés, et c’est le Nunavut (5 249) qui a affiché le plus haut taux, suivi des Territoires du Nord-Ouest (4 083) et du Yukon (1 365).
Les victimes de genre féminin ont affiché un taux de violence plus élevé aux mains d’un partenaire intime que les victimes de genre masculin, et ce, dans chaque province et territoire. Les écarts les plus importants ont été observés au Nunavut, où le taux était 6,7 fois plus élevé chez les femmes que chez les hommes (9 303 par rapport à 1 390), et en Saskatchewan (1 175 par rapport à 281, soit un taux 4,2 fois plus élevé chez les femmes), au Manitoba (979 par rapport à 235, soit un taux 4,2 fois plus élevé chez les femmes) et en Ontario (398 par rapport à 99, soit un taux 4,0 fois plus élevé chez les femmes).
Dans chaque province et territoire en 2019, le taux de violence entre partenaires intimes a augmenté par rapport à l’année précédente, sauf à l’Île-du-Prince-Édouard (-13 %)Note . Les plus fortes hausses provinciales ont été observées au Nouveau-BrunswickNote (+25 %), en Colombie-Britannique (+19 %) et à Terre-Neuve-et-Labrador (+18 %).
À l’échelle des provinces, le taux de violence entre partenaires intimes était 1,8 fois plus élevé dans les régions rurales que dans les régions urbaines (548 par rapport à 300 pour 100 000 personnes), et cette tendance était semblable chez les femmes et les hommes victimes (graphique 3.2)Note . Dans les régions rurales, le taux de violence entre partenaires intimes était 3,5 fois plus élevé chez les femmes que chez les hommes (860 par rapport à 246 pour 100 000 personnes). Par ailleurs, l’écart entre les taux ruraux et urbains était plus prononcé pour la violence entre partenaires intimes que pour la violence aux mains de personnes autres que des partenaires intimes (1,8 fois plus élevé par rapport à 1,4 fois plus élevé dans les régions rurales).
Tableau de données du graphique 3.2
Violence aux mains de partenaires intimes | Violence aux mains d’autres personnes | |||||
---|---|---|---|---|---|---|
Victimes de genre féminin | Victimes de genre masculin | Total des victimes | Victimes de genre féminin | Victimes de genre masculin | Total des victimes | |
taux pour 100 000 personnes | ||||||
Région urbaine | 467 | 128 | 300 | 597 | 887 | 740 |
Région rurale | 860 | 246 | 548 | 975 | 1 148 | 1 063 |
Note : Une région urbaine est définie comme une région métropolitaine de recensement (RMR) ou une agglomération de recensement (AR). Une RMR est composée d’une ou de plusieurs municipalités voisines situées autour d’un grand noyau urbain. Une RMR doit compter au moins 100 000 habitants, dont au moins 50 000 vivent dans le noyau urbain. Pour faire partie de la RMR, les municipalités adjacentes doivent être fortement intégrées à la région urbaine centrale, le degré d'intégration étant mesuré par le débit de la migration quotidienne calculé à partir des données du recensement. Le noyau urbain d’une AR doit compter au moins 10 000 habitants. Les régions rurales désignent toutes les régions situées à l’extérieur des RMR et des AR. Les taux sont calculés pour 100 000 personnes de 15 à 89 ans. Les chiffres de population sont fondés sur des estimations au 1er juillet fournies par le Centre de démographie de Statistique Canada. Représente les victimes de 15 à 89 ans. Les victimes de 90 ans et plus ont été exclues de l’analyse en raison de la possibilité que les affaires pour lesquelles l’âge de la victime était inconnu aient été classées incorrectement dans cette catégorie d’âge. Exclut les victimes dont le genre ou l’âge était inconnu ou pour lesquelles le lien de l’auteur présumé avec la victime était inconnu. Exclut les données des territoires. Source : Statistique Canada, Centre canadien de la statistique juridique et de la sécurité des collectivités, Programme de déclaration uniforme de la criminalité fondé sur l’affaire. |
Le taux de violence entre partenaires intimes était 2,0 fois moins élevé dans les régions métropolitaines de recensementNote (RMR), soit les plus grandes villes du Canada, que dans les régions autres que des RMR (273 par rapport à 538) (tableau 3.5)Note . Parmi les RMR, les taux les plus élevés ont été observés à Lethbridge (618), à Moncton (527) et à Thunder Bay (459), alors que les taux les plus faibles ont été enregistrés à St. Catharines–Niagara (153), à Sherbrooke (208) et à OttawaNote (211).
Parmi les RMR, les écarts les plus prononcés dans les taux de violence entre partenaires intimes entre les femmes et les hommes ont été enregistrés à Abbotsford–Mission (524 par rapport à 86, soit un taux 6,1 fois plus élevé chez les femmes), à Winnipeg (549 par rapport à 91, soit un taux 6,0 fois plus élevé chez les femmes) et dans le Grand Sudbury (486 par rapport à 86, soit un taux 5,7 fois plus élevé chez les femmes).
Tableaux de données détaillés
Références
AGENCE DE LA SANTÉ PUBLIQUE DU CANADA. 2014. Initiative de lutte contre la violence familiale.
BOYCE, Jillian. 2016. « La victimisation chez les Autochtones au Canada, 2014 », Juristat, produit no 85-002-X au catalogue de Statistique Canada.
ENQUÊTE NATIONALE SUR LES FEMMES ET LES FILLES AUTOCHTONES DISPARUES ET ASSASSINÉES. 2019. Réclamer notre pouvoir et notre place : le rapport final de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.
FEMMES ET ÉGALITÉ DES GENRES CANADA. 2020. Violence entre partenaires intimes.
HOFFART, Renée, et Nicholas A. JONES. 2018. « Intimate partner violence and intergenerational trauma among Indigenous women », International Criminal Justice Review, vol. 28, no 1
O’NEILL, Linda, et autres. 2018. « Hidden burdens: A review of intergenerational, historical and complex trauma, implications for Indigenous families », Journal of Child & Adolescent Trauma, vol. 11, no 2.
PERREAULT, Samuel. 2015. « La victimisation criminelle au Canada, 2014 », produit no 85-002-X au catalogue de Statistique Canada.
STATISTIQUE CANADA. 2020. Peuples autochtones ― Faits saillants en tableaux, Recensement de 2016, produit no 98-402-X2016009 au catalogue.
STEWART, Donna E., Harriet MACMILLAN et Nadine WATHEN. 2012. « Intimate partner violence », The Canadian Journal of Psychiatry, vol. 58, no 6.
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