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par Gisèle Carrière
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fracture de la hanche, accident vasculaire cérébral, résultats, autoévaluation de l’état de santé, état de santé, soins à domicile.
Gisèle Carrière ( téléphone : 604-666-5907; courriel : Gisele.Carrière@statcan.gc.ca ) travaille à la Division de l'information et de la recherche sur la santé à Statistique Canada. Elle est rattachée au Bureau de la région de l’Ouest et des Territoires du Nord à Vancouver, en Colombie-Britannique.
Selon les données nationales fondées sur les dossiers des hôpitaux, durant l’exercice 2003‑2004, 23 621 Canadiens de 60 ans et plus ont reçu leur congé d’un hôpital de soins de courte durée après avoir été traités au moins une fois pour une fracture de la hanche (données non présentées). Ceux-ci représentaient 3 % de tous les patients dans ce groupe d’âge sortis d’un hôpital de ce genre au cours de la même période.
Le présent article offre un profil des Canadiens de 60 ans et plus qui avaient subi une fracture de la hanche et qui vivaient à domicile dans l’année qui a suivi la fracture. [Texte intégral]
On a demandé aux participants à l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (CCHS) de 2003 s’ils avaient subi une blessure durant les 12 derniers mois. On a ensuite posé à ceux qui ont répondu dans l’affirmative des questions sur la nature de la blessure la plus grave. Puis, on a demandé aux personnes dont la blessure la plus grave comprenait une fracture ou une cassure quelle partie du corps avait été atteinte. Trois groupes de fractures ont été utilisés aux fins de la présente analyse, soit fracture de la hanche, fracture de la cuisse, du genou, de la partie inférieure de la jambe, de la cheville ou du pied, et fracture de l’épaule, du bras, du poignet ou de la main. [Texte intégral]
Le nombre de patients dans les hôpitaux de soins de courte durée pour l’exercice 2003‑2004 est fondé sur des renseignements tirés de l’Information‑santé orientée vers la personne (ISOP), qui est tenue à jour par Statistique Canada. Les dossiers de patients ont été couplés pour produire des données axées sur le patient. L’ISOP représente un sous‑ensemble de données d’une base de données nationales tirées des dossiers des sorties des hôpitaux, soit la Base de données sur la morbidité hospitalière (BDMH). [Texte intégral]
Les interviews pour les 1 300 participants à l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) âgés de 60 ans et plus (5,6 % du total pondéré utilisé) ont été menées par personne interposée; par conséquent, l’exactitude des réponses au sujet de l’autoévaluation de la santé générale et de l’état de santé comparativement à un an plus tôt ne peut être déterminée. Les questions sur la santé mentale, la satisfaction à l’égard de la vie et le sentiment d’appartenance à la communauté n’ont pas été posées dans les interviews menées par personne interposée et ont été codées comme « non déclaré ».
L’information fournie dans le cadre de l’ESCC était autodéclarée et les réponses n’ont pas été validées à l’externe. Aucun renseignement n’était disponible sur la chronologie des blessures ou tout accident vasculaire cérébral subi dans le passé. Les données sont transversales; aucune inférence ne peut être faite quant à la séquence temporelle d’événements ou aux relations de cause à effet. Même si les modalités de vie peuvent laisser supposer un certain soutien social, cette variable ne mesure pas la fréquence ou la qualité des contacts ni si un soutien ou de l’aide ont été fournis.