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Productivité >

Aperçu du programme de recherche et une description des publications

Objectif et portée

Cette étude examine la méthode utilisée pour mesurer la croissance de la productivité et tient compte des tendances à court et à long termes en ce qui a trait à la croissance de la productivité au Canada, de l'importance de la productivité pour la croissance économique globale et de la contribution de la croissance de la productivité au niveau de vie.

Baldwin, J.R., T.M. Harchaoui, J. Hosein et J.-P. Maynard. 2001. "Concepts et tendances de la productivité,". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Croissance de la productivité au Canada et aux États-Unis

Cette étude porte sur l'évolution de la croissance de la productivité au Canada, par rapport à celle des États-Unis, et compare les différences de tendances entre la productivité du travail, la productivité multifactorielle et le PIB par habitant. Elle a permis de déterminer un lien étroit entre les deux économies pour l'ensemble du secteur des entreprises, mais des écarts pour le secteur de la fabrication. Dans ce dernier cas, les différences les plus grandes touchent l'informatique et l'électronique.

Cette étude sert en outre à déterminer ce qu'il advient des comparaisons courantes lorsque l'on tient compte des différences de méthodologies entre le Canada et les États-Unis. Les résultats montrent que lorsque les estimations de la productivité multifactorielles sont révisées pour produire des données sur la croissance des facteurs de production, grâce uniquement à la somme des heures de travail pour toutes les catégories et du stock de capital pour l'ensemble des actifs, les États-Unis jouissent d'un léger avantage du point de vue de la productivité pour la période de 1961 à 1997.

Wells, S., J.R. Baldwin et J.-P. Maynard. 1999. "Croissance de la productivité au Canada et aux États-Unis." L’Observateur économique canadien. No 11-010-XPB au catalogue. Septembre. Ottawa : Statistique Canada.

Baldwin, J.R., J.-P. Maynard et S. Wells. 2000. "Croissance de la productivité au Canada et aux États-Unis." ISUMA: Revue canadienne de recherche sur les politiques, volume 1, no 1, printemps, p. 119-124.

Baldwin, J.R., T.M. Harchaoui et J.-P. Maynard. 2001. "Croissance de la productivité au Canada et aux États-Unis". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Prospérité, productivité et structures du marché du travail : Une comparaison Canada-Australie

Cette étude compare la performance économique du Canada à l'Australie, une des économies " miracles " des années 1990. La comparaison est menée en termes : a) de niveau de vie et ses principales sources de croissance (la croissance de la productivité du travail et la croissance de l'utilisation de la main-d'œuvre) et b) des sources sous-jacentes de la croissance de la productivité du travail. Il existe des différences marquées dans la structure du marché du travail entre les deux pays, reflétées par des différences notables dans la croissance du taux d'utilisation de la main-d'œuvre et des heures travaillées toutes deux en faveur du Canada. Cette croissance rapide des heures a, par contre, pénalisé la productivité du travail qui s'est accrue moins rapidement que celle de l'Australie.

Harchaoui, T.M., J. Jean et F. Tarkhani. 2003. Prospérité, productivité : une comparaison Canada-Australie. Série de documents de recherche sur l'analyse économique 11F0027MIF2003018. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Restructuration et croissance de la productivité dans le secteur des entreprises du Canada

Cette étude vise à déterminer les répercussions sur les prix et les salaires des différences intersectorielles du point de vue de la croissance de la productivité. Deux questions principales sont abordées. La première a trait à la mesure dans laquelle le Canada a délaissé les secteurs à faible productivité pour concentrer sa production dans les secteurs à forte productivité. Selon les résultats, au cours des 20 dernières années, les ressources sont passées graduellement vers les secteurs ayant une productivité plus faible.

La deuxième partie de l'étude visait à déterminer si la croissance de la productivité influence le changement structurel et comment elle le fait. Elle a permis de conclure que la croissance de la productivité est principalement réorientée sur le consommateur grâce à une modification des prix, plutôt que sur les travailleurs par un changement relatif des salaires.

Baldwin, J.R., R. Durand et J. Hosein. 2001. "Restructuration et croissance de la productivité dans le secteur des entreprises du Canada,". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Précision des mesures de la productivité

Cette étude examine la précision des estimations de la productivité et fait état des types d'intervalles de confiance dont devraient se servir les utilisateurs des estimations de la productivité. L'étude fait ressortir la nécessité d'indicateurs statistiques permettant aux utilisateurs des données d'évaluer la fiabilité des mesures de la productivité. À cet égard, l'étude fait état de plusieurs façons de déterminer les bornes de l'estimation ponctuelle de la croissance de la productivité, qu'il s'agisse de techniques d'estimation classiques, ou de comparaisons des taux de croissance de la productivité fondées sur d'autres techniques d'estimation du stock de capital. L'étude aborde en outre les problèmes que présentent les comparaisons internationales qui fondent la mesure du facteur travail sur l'emploi plutôt que sur les heures travaillées. Sur la base des différences observées dans les résultats auxquels conduisent ces diverses techniques, l'étude souligne qu'il faut faire preuve de prudence pour ce qui est du changement des tendances et des différences entre les pays.

Baldwin, J.R. et T.M. Harchaoui. 2001. "Précision des mesures de la productivité". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

La structure des investissements au Canada et ses implications sur l'accumulation du capital

Cette étude est centrée sur l'histoire de l'investissement au Canada ainsi que l'évolution de la proportion d'investissement dans le matériel et les immeubles et structures au cours des vingt dernières années. Depuis le milieu des années 80, le taux d'épargne national moyen se situe à un peu plus de 18 % du PIB, comparativement à 24 % dans les années 60. Le ralentissement de la croissance de la productivité depuis 1975 s'explique notamment par le fait que ce taux d'épargne inférieur a limité les investissements et, par conséquent, privé la nation des outils et de la technologie dont elle a besoin. Les résultats montrent que la diminution des types d'investissements nationaux privés au pays en machines et matériel, qui déterminent la productivité, a été moins grande que prévu, étant donné la baisse des épargnes générales. Le chapitre mentionne en outre que le stock de capital par unité de travail augmente au Canada, mais pas aussi rapidement que par le passé. La croissance plus lente du rapport capital-travail ne tient pas à la restructuration des biens vers les services. Enfin, l'étude note que le rapport des investissements et du PIB au Canada est passé en dessous de celui des États-Unis au cours des quinze dernières années.

Baldwin, J.R. et T.M. Harchaoui. 2001. "La structure des investissements au Canada et ses implications sur l'accumulation du capital". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Productivité et l'infrastructure

Ces deux études documentent certains faits concernant l'infrastructure publique au Canada et examinant dans quelle mesure elle a contribué à la performance de l'économie canadienne au cours de la période 1961-2000.

La première étude fournit un survol sur la taille de l'infrastructure publique au Canada par niveau de gouvernement, sa composition en termes d'actifs, son évolution au cours de cette période et sa contribution à la prospérité du Canada.

Harchaoui, T.M., F. Tarkhani et P.Warren. 2003. L'infrastructure publique au Canada : Où en sommes-nous?. Aperçus sur l'économie canadienne. No. 11-624-MIF2003005 au catalogue. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

La seconde étude quantifie la contribution du capital public à la croissance de la productivité du secteur canadien des entreprises. La méthode élaborée ici intègre les forces exercées par la demande et par l'offre, y compris la contribution du capital public, susceptibles d'influer sur la productivité. Le modèle utilise au moyen de données désagrégées couvrant 37 branches d'activité du secteur canadien des entreprises pour la période allant de 1961 à 2000. Les résultats de la présente étude indiquent que les facteurs qui contribuent le plus à la croissance de la productivité, tant au niveau de la branche d'activité qu'au niveau agrégé, sont le progrès technique et la demande exogène (représentant l'effet de la croissance du revenu agrégé et de la population). Selon nos calculs, de 1961 à 2000, la contribution du capital public à la croissance globale de la productivité multifactorielle du secteur des entreprises a été d'environ 18 %. L'importance de la contribution du capital public à la croissance de la productivité varie considérablement selon la branche d'activité et se concrétise surtout dans les transports, le commerce et les services d'utilité publique.

Harchaoui, T.M., et F. Tarkhani. 2003. Le capital public et sa contribution à la productivité du secteur des entreprises du Canada. Série de documents de recherche sur l'analyse économique 11F0027MIF2003017. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Croissance économique, accumulation de capital et changements touchant la qualité de la main-d'œuvre : comparaison entre le Canada et les États-Unis

À partir d'estimations révisées de la production et des entrées produites par Statistique Canada, ce document examine, pour la période de 1995 à 2000, les tendances concernant la formation du capital et les sources de croissance économiques observées pour le secteur canadien des entreprises, et comprend des comparaisons avec les résultats obtenus pour la période de 1981 à 1995. Le document explore d'abord l'évolution de la composition de l'investissement et de la croissance des services du capital pour de grandes catégories d'actifs. Ensuite, la croissance de la production est décomposée selon les contributions issues du travail, du capital et de la productivité multifactorielle. Enfin, le document examine dans quelle mesure les technologies de l'information et des communications ont contribué à la croissance de la production. Il compare la performance des secteurs des entreprises canadiens et américains dans chacun de ces domaines.

Les données montrent que les hausses du capital et du travail continuent d'avoir une contribution importante à la croissance économique. L'accélération de la croissance de l'investissement observée de 1995 à 2000 pour bon nombre de classes d'actifs s'est traduite par une contribution plus grande des services du capital à la croissance de la production. Une hausse considérable du nombre d'heures travaillées a également contribué à la croissance économique ; la croissance importante des heures a atténué les effets de l'approfondissement du capital issus de la croissance rapide des services du capital. La troisième source importante de croissance, la productivité multifactorielle, a augmenté au taux de 1,0 % en moyenne au cours de la période postérieure à 1995 au Canada, et de 1,3 % aux États-Unis. Cette hausse est considérablement plus élevée que celle des années 80 et du début des années 90, particulièrement au Canada. Si le redressement de la productivité multifactorielle des deux pays ne va pas au-delà de la performance enregistrée avant 1973, il s'agit néanmoins de l'un des faits saillants les plus importants des cinq dernières années du XXe siècle.

Armstrong, P., T.M. Harchaoui, C. Jackson et F. Tarkhani. 2002. Une comparaison de la croissance économique au Canada et aux États-Unis à l'âge de l'information 1981-2000 : L'importance de l'investissement dans les technologies de l'information et des communications. Série de documents de recherche sur l'analyse économique 11F0027MIF2002001. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Baldwin, J.R., T.M. Harchaoui et F. Tarkhani. 2002. "L'importance des technologies de l'information. Une comparaison Canada-É.U (traduction)." ISUMA: Revue canadienne de recherche sur les politiques, volume 3, no 1, printemps.

Le comportement cyclique de la productivité du travail par industrie au Canada

Cette étude porte sur le comportement cyclique de la productivité du travail. On se demande si le ralentissement de la croissance observé après 1973 s'est accompagné d'une volatilité croissante. L'étude analyse la volatilité, la persistance et le mouvement conjoint de 37 séries de productivité du travail industriel pour la période de 1961 à 1996. Elle tente de déterminer l'importance, la source et la corrélation des fluctuations de la tenue de la productivité d'industries particulières au cours de diverses périodes et d'analyser les changements possibles de ces caractéristiques au fil du temps. Les résultats montrent que la croissance de la productivité au cours de la période postérieure à 1973 est devenue plus volatile, que les changements se sont faits plus persistants et que l'importance des facteurs communs qui sous-tendent ces changements a également augmenté.

Baldwin, J.R. et T.M. Harchaoui. 2001. "Le comportement cyclique de la productivité du travail par industrie au Canada". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Croissance de la productivité dans le secteur canadien de la fabrication : Une alternative au cadre traditionnel

Cette étude fournit d'autres estimations expérimentales de la croissance de la productivité, qui se fondent sur une méthodologie différente de la technique non paramétrique habituellement utilisée. Elle repose sur une analyse multivariée paramétrique pour évaluer les taux de croissance de la productivité multifactorielle et tenir compte des économies d'échelle et de la fixité du capital. Les principaux résultats montrent que les hypothèses habituellement utilisées pour évaluer la productivité, c'est-à-dire que les marges bénéficiaires ne sont pas nulles, qu'il existe généralement un excédent de capacité et qu'il y a des rendements d'échelle constants, sont incorrectes, mais que l'assouplissement de ces méthodes a un effet relativement faible sur les estimations de la productivité. L'étude fait ressortir que les hypothèses des rendements constants à l'échelle et de la pleine capacité se soldent généralement par une réduction d'environ 30 % de l'estimation du changement de la productivité au cours de la période de 1961 à 1995, mais que l'estimation de ce "biais" n'est pas très précise.

Baldwin, J.R., V. Gaudreault et T.M. Harchaoui. 2001. "Croissance de la productivité dans le secteur canadien de la fabrication : Une alternative au cadre traditionnel". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Nouvelles estimations de la productivité multifactorielle

Trois études servent de base à une mise à jour récente des estimations de la productivité multifactorielle, afin de tenir compte des techniques éprouvées qui figurent actuellement dans un guide récent sur la productivité diffusé par l'OCDE.

Taux de dépréciation

Le premier projet utilise une technique d'estimation des taux de dépréciation axée sur les prix des actifs usagés. Notre projet de recherche repose sur une base de données importante sur les prix des actifs usagés au Canada, qui a été compilée par Statistique Canada. On adopte une nouvelle technique statistique pour estimer les taux de dépréciation d'un nombre important d'actifs et pour comparer les nouvelles estimations de la dépréciation avec les estimations existantes.

Des estimations précises de la dépréciation sont nécessaires, à la fois pour les programmes statistiques (p. ex., l'estimation du stock de capital qui repose sur les techniques d'inventaire permanent) et pour d'autres fins liées à la recherche (p. ex., la comparaison du coût du capital entre des pays ou des branches d'activité).

Dans le cadre des pratiques éprouvées dans le domaine économique en Amérique du Nord, on utilise les prix des actifs usagés pour estimer la dépréciation. À partir d'une base de microdonnées sur les prix des actifs usagés pour la période de 1987 à 1996 (qui provient de l'Enquête sur les investissements de Statistique Canada), un projet de recherche a été élaboré en vue de produire un ensemble de taux de dépréciation compatibles avec les taux réels de diminution des prix des actifs observés dans les prix à la revente.

Le projet fait état des types de taux de dépréciation élevés qui semblent toucher les automobiles et les ordinateurs, sur la base des résultats connus concernant les prix des actifs usagés. Il montre en outre que les taux de dépréciation sont relativement élevés pour une gamme variée d'actifs, ce qui confirme les résultats selon lesquels le rythme d'obsolescence s'est accéléré ces dernières années.

Le document vise en outre à déterminer l'allure des estimations du taux de croissance du stock de capital si ces estimations de la dépréciation étaient intégrées dans le calcul du capital, comparativement à la méthode utilisée précédemment dans le cadre du programme sur la productivité.

Gellatly, G., M. Tanguay et B. Yan. 2002. "Une méthode alternative d'estimation de la dépréciation économique : Nouveaux résultats obtenus au moyen d'un modèle de survie" dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Estimations des services du capital

Les travaux importants de Solow ont inspiré une étude exhaustive dans laquelle les sources de la croissance économique sont examinées sous l'angle de la fonction agrégée de production. Les économistes ont consacré beaucoup d'énergie à vérifier les hypothèses, à perfectionner la théorie et à améliorer les données utilisées dans les calculs. Une école importante de chercheurs ont soutenu qu'une simple mesure du stock de capital, comme celle utilisée par le passé dans le cadre du programme de la productivité multifactorielle de Statistique Canada, n'est pas la mesure du capital appropriée pour une analyse de la fonction agrégée de production, puisque des biens d'équipement hétérogènes ont des caractéristiques productives différentes.

Le deuxième projet repose sur les nouvelles estimations de la dépréciation, en vue d'un calcul de nouvelles estimations de la croissance des services découlant des investissements en capital qui tient compte de l'absence d'égalité entre les services fournis selon les différents types de biens. Ce projet a nécessité des efforts de recherche exhaustifs pour l'estimation du coût du capital. À cette fin, on a utilisé les taux de dépréciation mentionnés précédemment, le stock de capital estimé est à partir de ces estimations et la technique de l'inventaire permanent, ainsi que le taux de rendement de ces estimations du stock de capital et les bénéfices figurant dans les tableaux des entrées-sorties. Enfin, on a élaboré de nouvelles estimations des composantes du capital qui sont importantes, mais qui ont été laissées de côté précédemment (terres et stocks).

La nouvelle méthode utilisée par Statistique Canada à l'égard du concept de services du capital tient compte du fait que biens corporels achetés au même prix sont caractérisés par des durées de vie utile, des taux de dépréciation, des traitements fiscaux et, en bout de ligne, des produits marginaux différents. Par ailleurs, la méthodologie utilise de nouvelles estimations de la dépréciation fondées sur les courbes âge-prix des biens d'équipement individuels et fournit des estimations des services du capital pour diverses hypothèses quant à l'évolution du coût d'utilisation du capital. En parallèle, le document vérifie les effets de ces nouvelles estimations des services du capital sur la comparaison de la productivité au Canada et aux États-Unis.

Harchaoui, T.M. et F. Tarkhani. 2002. "Une révision complète de la méthode d'estimation de l'intrant capital pour le programme de la productivité multifactorielle de Statistique Canada". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Estimations de la composition de la main-d'œuvre

Le troisième projet de recherche important reconnaît que la main-d'œuvre, tout comme les investissements, comporte un caractère hétérogène, et il fournit un indice des heures travaillées qui tient compte de ce fait. Dans le cadre du projet, on calcule une moyenne pondérée des taux de croissance de différents types de main-d'œuvre, grâce à une pondération des taux de croissance individuels selon les taux de rémunération relatifs. Le projet repose sur des données du recensement remontant à 1961, ainsi que sur d'autres sources de données (EDTR), en vue de l'élaboration des taux de rémunération moyens pour des strates définies selon diverses caractéristiques - âge, scolarité et catégorie de travailleur (employé et travailleur autonome). Cet exercice a nécessité l'élaboration d'une base de données importante à partir de six recensements ainsi que le rapprochement de définitions qui ont évolué au fil du temps. On a aussi utilisé l'analyse multivariée pour vérifier si les deux techniques rivales de l'évolution de la qualité du changement ont donné les mêmes résultats, et la conclusion a été positive.

Gu, W., M. Kaci, J.-P. Maynard et M.-A. Sillamaa. 2002. "Changement de la composition de la population active canadienne et son influence sur la croissance de la productivité". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Profils interprovinciaux de la productivité

Les écarts de performance des économies provinciales sont souvent attribuées à leur capacité relative d'attirer des capitaux et de mettre en œuvre des technologies de pointe. Ces facteurs se manifestent dans la productivité relative du travail d'une province. Sur la base des tableaux provinciaux des entrées-sorties nouvellement créés, un document de recherche a été préparé pour examiner les différences globales et particulières entre les provinces canadiennes, pour 1996-1997, du point de vue de la production par travailleur.

On a déterminé que l'Alberta avait les niveaux les plus élevés de production par travailleur, soit 18 % environ de plus qu'en Ontario. La Saskatchewan, le Québec et la Colombie-Britannique tiraient de l'arrière par rapport à l'Ontario, avec des écarts allant de 4 à 8 %. Loin derrière viennent le Manitoba et les provinces de l'Atlantique, à 22 % et 26 % respectivement.

Le document a aussi mis l'accent sur les différences intersectorielles les plus importantes. Une fois contrôlé le secteur des ressources naturelles, les différences entre l'Alberta, l'Ontario, la Saskatchewan, le Québec et la Colombie-Britannique ont perdu leur importance statistique ; toutefois, le Manitoba et la région de l'Atlantique ont continué de tirer de l'arrière par rapport aux autres. Les lacunes du Manitoba et de la région de l'Atlantique ne sont généralement pas le résultat de différences dans la structure industrielle (la structure mesurée à partir du niveau le plus détaillé disponible dans les tableaux d'entrées-sorties par industrie).

En dehors du secteur des ressources naturelles, il existe des différences importantes entre les provinces dans le secteur des services, où l'on retrouve généralement les salaires les plus élevés - finances, commerce de gros, gazoducs et services publics. L'Ontario et l'Alberta disposent d'avantages importants dans ces secteurs.

Baldwin, J.R., J.-P. Maynard, D. Sabourin et D. Zietsma. 2001. Différences de productivité entre les provinces. Série de documents de recherche sur les études analytiques 11F0019MIF2001180. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Sabourin, D. et D. Zietsma. 2001. "Différences de productivité entre les provinces" L’Observateur économique canadien. No 11-010-XPB au catalogue. Août. Ottawa : Statistique Canada.

Études du rendement en matière de productivité des producteurs individuels

Les études de cette série portent sur la performance des producteurs, à partir des données du Recensement des manufactures.

Hétérogénéité de la croissance de la productivité du travail dans le secteur de la fabrication : Comparaisons entre les établissements sous contrôle canadien et étranger

Cette étude met l'accent sur les microdonnées tirées du Recensement des manufactures et examine les différences dans la productivité du travail entre les entreprises nationales et les entreprises étrangères dans le secteur de la fabrication, pour la période de 1973 à 1993. Ce faisant, on examine également s'il existe des différences entre les petites et les grandes entreprises et entre les secteurs industriels, ainsi que leur évolution au fil du temps. Il appert que la productivité du travail des entreprises étrangères est supérieure et que leurs taux de croissance sont les plus élevés dans le temps. De plus, la croissance de la productivité du travail a été plus rapide dans les grandes que dans les petites usines.

Baldwin, J.R. et N. Dhaliwal. 2001. "Hétérogénéité de la croissance de la productivité du travail dans le secteur de la fabrication : Comparaison entre les établissements sous contrôle canadien et étranger". Dans Croissance de la productivité au Canada. No 15-204-XPF au catalogue. Ottawa : Statistique Canada.

Importance de l'utilisation des technologies de pointe pour la croissance de la productivité dans les années 80

La politique en matière d'innovation a souvent tendance à être axée presque exclusivement sur une approche reposant sur la R-D, qui est censée résoudre les problèmes de productivité. Toutefois, ce sont les progrès technologiques, qui sont le fait des services d'ingénierie et de production de l'entreprise, qui ont peut-être les répercussions directes les plus grandes sur la croissance de la productivité.

Les données microéconomiques sur la performance, selon différents types d'usines, jettent de la lumière sur le rapport entre l'utilisation de la technologie et la réussite. En l'espace d'une décennie, environ 47 % du marché passe des entreprises moins prospères aux entreprises plus prospères au sein d'une branche typique de la fabrication. Sont liés à cette croissance des changements dans la productivité relative du travail qui procurent à certaines usines un avantage du point de vue du coût ou de la qualité.

Cette étude, qui repose sur des données microéconomiques concernant l'utilisation de la technologie et la productivité dans les établissements, montre que la productivité des usines qui ont adopté des nouvelles technologies de fabrication de pointe avant 1989 a augmenté à un taux beaucoup plus rapide dans les années 80 que celle des usines qui n'utilisaient pas ces technologies.

L'étude a en outre démontré que des technologies particulières, à savoir les technologies de l'information et des communications de pointe, sont les plus étroitement liées à la croissance de la productivité.

Baldwin, J.R., B. Diverty et D. Sabourin. 1995. Utilisation des technologies et transformation industrielle : Perspectives empiriques. Série de documents de recherche sur les études analytiques 11F0019MIF1995075. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada. Publié aussi dans T. Courchene (dir.) Technology, Information, and Public Policy. John Deutsch Institute for the Study of Economic Policy. Kingston, Ontario : Queens University.

Importance de l'utilisation des technologies de pointe pour la croissance de la productivité dans les années 90

Cette étude reprend celle effectuée au cours des années 80. Elle s'intéresse à l'évolution de la structure industrielle du secteur de la fabrication au Canada de même qu'à son lien avec le changement technologique en examinant l'adoption de technologies de pointe dans les années 90 et son rapport avec le processus de croissance stochastique dans la population des usines. Elle s'articule autour du point de vue selon lequel la croissance est un processus stochastique dans lequel intervient l'apprentissage. L'expérimentation des nouvelles technologies récompense certaines entreprises à croissance et à profitabilité supérieures. Pour savoir lesquelles, on y examine le rapport entre la croissance et le choix de différentes stratégies technologiques.

Le document étudie l'évolution de ce processus en sondant la relation entre l'adoption de nouvelles technologies et la performance des usines dans le secteur de la fabrication; cela se fait par la combinaison de données transversales sur les technologies de pointe à des données de panel longitudinales sur la performance des usines. On s'intéresse en particulier au lien entre l'utilisation des technologies de l'information et des communications et la croissance de la part de marché et de la productivité relative de l'usine.

Il appert qu'une proportion considérable de la part de marché est passée des entreprises en déclin aux entreprises en croissance au cours des années 90. En même temps, les secondes ont augmenté leur productivité par rapport aux premières. Les utilisatrices de technologies qui employaient des technologies de communication ou combinaient différents types de technologies à partir de diverses catégories de technologie ont accru le plus leur productivité relative. Ces hausses de la productivité relative se sont accompagnées d'élargissements de la part de marché. Ont aussi contribué à accroître la part de marché la présence d'installations de recherche et de développement (R-D) et d'autres activités innovatrices.

Baldwin, J.R. et D. Sabourin. 2001. Impact de l'adoption des technologies de l'information et des communications de pointe sur la performance des entreprises du secteur de la fabrication au Canada. Série de documents de recherche sur les études analytiques 11F0019MIF2001174. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Baldwin, J.R. et D. Sabourin. 2002. "Advanced Technology Use and Firm Performance in Canadian Manufacturing in the 1990s." Industrial and Corporate Change. Volume 11, numéro 4, p. 761-789.

Diminution de la productivité des petits producteurs

Dans le cadre de plusieurs études de recherche, on s'est demandé si la croissance de la productivité dans les petites usines du secteur de la fabrication a correspondu à celle des grandes usines.

La recherche démontre que la croissance de la productivité des petites entreprises n'a pas augmenté au même rythme que la croissance de l'emploi. Cela signifie que la productivité (production par travailleur) a diminué dans les petites usines du secteur de la fabrication par rapport aux grandes usines. Les taux de rémunération du travail ont aussi tiré de l'arrière. Pris ensemble, ces deux résultats signifient que les petites entreprises ne sont pas les moteurs de la croissance comme le suggèrent les statistiques sur l'emploi.

Des travaux antérieurs ont démontré que le taux de roulement des entreprises contribue de façon substantielle à la croissance de la productivité. Les entreprises plus productives acquièrent des parts de marché au détriment des entreprises moins productives. Par conséquent, la productivité moyenne de la population augmente. Notre recherche, qui vise à déterminer si les petites usines du secteur de la fabrication sont le moteur de la croissance, porte en outre sur la part du ralentissement de la productivité dans les années 80 qui est attribuable à des changements de base quant à la nature du processus concurrentiel. Elle vise à établir si la contribution du processus de roulement à la croissance de la productivité a diminué. Les résultats montrent qu'un changement fondamental s'est produit. De façon plus particulière, les nouvelles petites entreprises ne contribuent pas autant à la croissance de la productivité qu'auparavant.

Baldwin, J.R. 1996. Les petits producteurs ont-ils été le moteur de la croissance du secteur manufacturier canadien au cours des années 1980? Série de documents de recherche sur les études analytiques 11F0019MIF1996088. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Baldwin, J.R. 1996. "Création d'emplois, revenu et productivité dans le secteur manufacturier." L’Observateur économique canadien. No 11-010-XPB au catalogue. Novembre. Ottawa : Statistique Canada.

Baldwin, J.R. 1996. "Productivity Growth, Plant Turnover and Restructuring in the Canadian Manufacturing Sector". Dans D. Mayes (dir.) Sources of Productivity Growth. Cambridge : Cambridge University Press.

Le deuxième document met l'accent sur les changements qui se sont produits au Canada, la valeur ajoutée par travailleur dans les petites usines du secteur de la fabrication ayant diminué par rapport à celle des grandes usines, ce qui désavantage le Canada par rapport aux États-Unis. De façon plus particulière, on se demande s'il existe des différences structurelles entre le Canada et les États-Unis en ce qui a trait à l'importance des petites entreprises. Les changements quant à la distribution des entreprises selon la taille ont-ils désavantagé l'industrie canadienne?

Une étude a par conséquent porté sur l'évolution de la distribution des entreprises manufacturières selon la taille au Canada et aux États-Unis, afin de voir si la situation différait dans ces deux pays. Les résultats ont démontré que le secteur des petits producteurs s'est développé dans les deux pays. Alors que la proportion de l'emploi imputable aux petits producteurs a toujours été plus forte au Canada qu'aux États-Unis, l'augmentation en points de pourcentage de l'emploi total chez les petits producteurs a été à peu près la même dans les deux pays. En outre, la diminution de la productivité relative de la main-d'œuvre des petites entreprises a été à peu près similaire dans les deux pays. Donc, les variations de la distribution selon la taille et la tendance à la baisse de la productivité relative des petites entreprises manufacturières observées au Canada sont un phénomène nord-américain.

Baldwin, J.R., R. Jarmin et J. Tang. 2002. L'importance accrue des producteurs plus petits dans le secteur de la fabrication : Comparaison Canada/États-Unis. Série de documents de recherche sur l'analyse économique 11F0027MIF2002003. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Baldwin, J.R., R. Jarmin et J. Tang. 2004. "Small North American Producers Pull Back." Journal of Small Business. À paraître.

Répurcussions du travail autonome sur l'écart de croissance de productivité entre le Canada et les États-Unis

Le troisième document dans cette série met l'accent sur les plus petits producteurs - les employés autonomes - et examine l'influence de leur croissance sur la productivité du secteur des entreprises.

Le document porte sur les répercussions du travail autonome sur la croissance de la productivité du travail dans le secteur canadien des entreprises. Au cours de la décennie de 1988 à 1998, le travail autonome a généré la majorité des nouveaux emplois au Canada. Toutefois, les gains par travailleur des employés autonomes ont été inférieurs à ceux dans l'ensemble du secteur des entreprises. Ce document examine l'incidence de ces deux événements sur la croissance agrégée de la productivité.

Pour mesurer l'incidence du travail autonome sur la croissance de la productivité du travail, le document a éliminé le revenu net imputable aux travailleurs autonomes du PIB du secteur agrégé des entreprises de manière à produire un résidu qui mesure la croissance de la production du secteur des entreprises hors travailleurs autonomes (Secteur des entreprises hors travailleurs autonomes ou SEHTA). Le document compare ensuite la production par heure travaillée dans cette catégorie et la croissance de la production par heure travaillée dans le secteur agrégé des entreprises, la mesure standard de la croissance de la productivité.

Au cours de la décennie à l'étude, le taux de croissance cumulatif dans le SEHTA est supérieur au taux de croissance dans le secteur agrégé des entreprises Cela est attribuable à la croissance du revenu net par emploi (heures travaillées) des travailleurs autonomes qui est inférieure à celle de la production par emploi (par heure travaillée) dans le SEHTA depuis 1994; l'écart qui en a résulté s'est maintenu durant toute la décennie de référence. La proportion croissante de travailleurs autonomes dans l'économie et la plus faible croissance de leur revenu net, ont eu un effet à la baisse sur la croissance de la productivité du travail dans le secteur agrégé des entreprises durant les années 1990.

En outre, le document compare le Canada et les États Unis et tâche de déterminer si l'écart de productivité entre les deux pays durant la période de 1987 à 1998, est attribuable à des différences dans le secteur du travail autonome. La comparaison révèle que le travail autonome aux États Unis a eu un effet positif considérable sur la croissance de la production nominale par heure travaillée. Durant cette décennie, le travail autonome a fait augmenter la productivité du secteur des entreprises aux États Unis tandis qu'au Canada, il l'a fait baisser. Lorsque les mesures de la production nominale sont dégonflées pour calculer la différence entre les taux de croissance cumulatifs, l'écart de croissance de la productivité du travail entre les États Unis et le Canada se trouve presque éliminé.

Baldwin, J.R. and J. Chowhan. 2003. Répurcussions du travail autonome sure la crossance de la productivité du travail: Comparaison Canada/États-Unis. Série de documents de recherche sur l'analyse économique 11F0027MIF2003016. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Productivité et prospérité à l'âge de l'information

À la fin des années 90, l'économie canadienne a connu une performance remarquable. La croissance économique a été plus rapide que pendant la période d'expansion de 1981 à 1988 (3,8 % comparativement à 3,1 %).

L'augmentation de la productivité multifactorielle au Canada dans les années 90 s'est accrue non seulement comparativement aux É.-U., mais aussi par rapport aux normes internationales.

Dachraoui, K., T.M. Harchaoui, et F. Tarkhani. 2003. "Productivité et prospérité à l'âge de l'information". Dans L'emploi et le revenu en perspective. No 75-001-XIF au catalogue. Juin (Vol.4, No.6). Ottawa : Statistique Canada.

Dachraoui, K., T.M. Harchaoui, et F. Tarkhani. 2003. Productivité et prospérité à l'âge de l'information : une comparaison du Canada et des États-Unis. Aperçus sur l'économie canadienne. No. 11-624-MIF2003002 au catalogue. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.

Sources de l'écart de croissance de productivité entre le Canada et les États-Unis

L'étude est fondée sur une méthode expérimentale d'évaluation de la croissance de la productivité multifactorielle de diverses branches d'activités comparativement à une frontière de productivité représentant les meilleures pratiques. Cette méthode est utilisée afin de mieux préciser les sources de l'écart de la croissance de productivité entre le Canada et les États-Unis. L'approche permet de ventiler la croissance de la productivité en deux composantes, soit l'efficience technique et le progrès technologique.

La mesure de l'efficience technique indique si, au fil du temps, la production se rapproche (rattrapage) ou s'écarte davantage de la frontière représentant les meilleures pratiques nord-américaines. Cette composante quantifie l'efficacité de la diffusion des technologies. La mesure du progrès technologique reflète l'amélioration des meilleures pratiques au cours du temps, ce qui est un reflet de l'innovation.

En utilisant cette méthode, cette étude montre que l'écart de la croissance de la productivité du secteur des entreprises en faveur des États-Unis au cours de la période allant de 1981 à 2000 est principalement attribuable à la détérioration de l'efficience technique au Canada. Donc, le faible rythme de diffusion de la technologie de la meilleure pratique au Canada était le principal problème.

Le secteur de la fabrication présente une évolution similaire. Dans ce secteur, l'écart de croissance de la productivité en faveur des États-Unis durant la période allant de 1981 à 1997, tout comme celui du secteur des entreprises, est attribuable à la détérioration de l'efficience technique du Canada comparativement à celle des États-Unis. Les deux pays ont affiché un rythme de croissance du progrès technologique presque identique durant cette période (7,5 % pour le Canada contre 7,6 % pour les États-Unis).

Dachraoui, K. et T.M. Harchaoui. 2003. Une approche frontière de la productivité multifactorielle au Canada et aux États-Unis. Série de documents de recherche sur l'analyse économique 11F0027MIF2003010. Direction des études analytiques. Ottawa : Statistique Canada.



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Date de modification : 2004-11-24 Avis importants
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