Statistique Canada
Symbole du gouvernement du Canada

Liens de la barre de menu commune

Section V : Commerce intérieur

Contenu archivé

L'information dont il est indiqué qu'elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. Elle n'est pas assujettie aux normes Web du gouvernement du Canada et elle n'a pas été modifiée ou mise à jour depuis son archivage. Pour obtenir cette information dans un autre format, veuillez communiquer avec nous.

Télécharger le PDF de section

Mel. S. Moyer, Université York

Commerce de détail (séries V1-331)


Commerce de gros (séries V332-409)


Établissements de services (séries V410-448)


Les données de cette section sont subdivisées en trois parties. Les séries V1-331 contiennent des statistiques sur le commerce de détail, les séries V332-409 renferment des données sur le commerce de gros et les séries V410-448 donnent des chiffres sur les établissements de services.

Comme les sources publiées des données présentées dans cette section sont toutes des publications de Statistique Canada, le nom de l'auteur, Statistique Canada, ou de son prédécesseur, le Bureau fédéral de la statistique, n'est pas répété avec chaque publication dans la liste des sources publiées donnée plus loin. Le nom de l'éditeur est également omis, sauf dans le cas des publications du recensement décennal.

Les tableaux sont offerts en format CSV (fichier de valeurs séparées par des virgules). Une variété de logiciels permettent leur visualisation. Il se peut que vous deviez créer une association entre votre application logicielle et les fichiers CSV. Servez-vous des fichiers PDF pour vérifier les formats des tableaux. Par exemple, les notes de bas de page apparaissent dans une colonne située à droite de la cellule à laquelle elles se rapportent dans les fichiers CSV. Quant aux fichiers PDF, les notes de bas de page y apparaissent sous forme d'exposants.

Remarque historique générale sur le commerce intérieur

Au Canada, comme dans de nombreux pays, la collecte de données sur le commerce intérieur et les services a commencé relativement tard. En 1924, le Bureau fédéral de la statistique s'est efforcé pour la première fois de recueillir ces données afin d'obtenir des renseignements portant sur le commerce de détail et de gros en 1923. La liste d'établissements auxquels on avait envoyé des questionnaires était fondée sur des renseignements recueillis lors du recensement décennal de 1921 et complétés par des données provenant d'autres sources (voir plus loin la remarque se rapportant au recensement décennal du commerce et des services). Toutefois, le nombre de réponses reçues n'était pas suffisant pour fournir des résultats fiables pour l'ensemble du commerce de détail et de gros. Aucune autre tentative en vue de recueillir des données sur le commerce intérieur n'a été faite jusqu'au recensement décennal de 1931, bien que des estimations du commerce de détail aient été effectuées ultérieurement pour la période commençant dès 1923.

On a entrepris la collecte régulière de données sur le commerce de gros et de détail et sur certains services pour l'année 1930.

Dans le passé, le recensement décennal du commerce et des services était effectué en deux parties. Au moment du recensement décennal de la population, c'est-à-dire au début de juin de l'année de recensement, les agents recenseurs dressaient des listes des établissements de gros, de détail et de services situés dans leurs secteurs de recensement, qui comprenaient les renseignements nécessaires pour effectuer plus tard une enquête par questionnaire. Les listes préparées par les agents recenseurs étaient complétées par des renseignements provenant d'associations professionnelles, d'annuaires commerciaux et d'autres sources analogues. Lorsque les listes étaient complètes, des questionnaires étaient envoyés aux entreprises inscrites. La méthode habituelle de rappel des retardataires par lettre et, au besoin, par l'intermédiaire des bureaux régionaux de Statistique Canada, a été suivie afin d'obtenir une couverture aussi complète que possible. Les totalisations fondées sur les questionnaires renvoyés ont servi de données de référence pour les séries annuelles et mensuelles. Les années visées par les recensements complets sont 1930, 1941, 1951, 1961, 1966 et 1971.

Les chiffres annuels portant sur les ventes de gros et de détail ont été préparés à l'aide des données recueillies annuellement et (ou) mensuellement à partir d'échantillons constitués principalement de grossistes, de détaillants indépendants, de la plupart des grands magasins et des magasins à succursales. Pour les magasins à succursales, l'enquête annuelle a été fondée dès le début sur une couverture complète.

Les enquêtes annuelles ont été effectuées pour la première fois pour le commerce de gros et le commerce de détail et les magasins de détail à succursales pour l'année 1933. Elles recueillaient en même temps des données pour 1931 et 1932 auprès des mêmes répondants. Par la suite, ces enquêtes ont été menées chaque année jusqu'en 1939.

On a entrepris au début des années 30 des enquêtes mensuelles fondées sur un échantillon du commerce de détail. Leur champ d'observation comprenait les grands magasins, les magasins à succursales et certains magasins indépendants.

En ce qui concerne le commerce de gros, l'enquête-échantillon mensuelle menée auprès des grossistes a débuté à la fin de 1934. L'enquête annuelle était distincte de l'enquête mensuelle, elle portait sur un échantillon plus grand et, dans le cas du commerce de détail, elle obtenait plus de renseignements que ceux qui étaient recueillis dans les déclarations mensuelles, qui se limitaient aux ventes.

Quand la guerre éclata, les enquêtes annuelles tant sur le commerce de gros que sur le commerce de détail furent interrompues (à l'exception de l'enquête annuelle complète sur les magasins de détail à succursales qui s'est poursuivie). Des données annuelles ont été calculées à partir des déclarations mensuelles sur le commerce. Après la fin de chaque année, on s'efforçait tout particulièrement de compléter les déclarations de toutes les entreprises faisant partie de l'échantillon mensuel pour cette année, la vérification étant effectuée par correspondance et par l'intermédiaire des bureaux régionaux.

La collecte de données annuelles intercensitaires sur les ventes à partir des déclarations mensuelles pour le commerce de gros et de détail s'est poursuivie jusqu'en 1957 pour le commerce de détail et jusqu'en 1960 pour le commerce de gros.

En 1957, on a recommencé à effectuer une enquête annuelle sur le commerce de détail, distincte des enquêtes mensuelles.

La taille de l'échantillon de magasins de détail indépendants était fixée à 3,000 magasins pour l'enquête mensuelle en 1935, 7,200 en 1945, 9,000 en 1955, 10,000 en 1960 et 16,000 en 1975. L'échantillon de grands magasins a toujours compris les magasins les plus importants. Il a toujours eu un taux élevé de couverture qui, récemment, a atteint 100% des grands magasins connus. Les ventes annuelles des magasins de détail à succursales sont fondées sur une couverture annuelle complète tandis que les données sur les ventes mensuelles sont recueillies pour un échantillon. Le nombre total de magasins de détail se chiffrait à 125,000 en 1930, à 137,000 en 1941, à 152,000 en 1951, à 153,000 en 1961, à 154,000 en 1966 et à 157,000 en 1971.

Pour le commerce de détail, on a utilisé les données recueillies lors des enquêtes annuelles et mensuelles pour estimer les ventes totales au détail en appliquant les résultats annuels aux données des années de référence du recensement. La méthode utilisée consistait à «relier» les données d'une année à l'autre à l'aide de la «méthode de rapport en chaîne». A la fin des années 40, 50 et 60, les ventes annuelles ont été ajustées pour tenir compte des créations et des disparitions de magasins de détail. Les données sur les disparitions ont été recueillies à partir d'un groupe permanent repris des enquêtes-échantillons effectuées dans certaines régions en même temps que l'Enquête sur la population active.

En 1958, un recensement complet du commerce de gros proprement dit a été effectué à l'aide des listes figurant dans le répertoire des employeurs de la Commission d'assurance-chômage.

Le nombre total de locaux d'affaires de gros se chiffrait à 13,000 en 1930, à 25,000 en 1941, à 26,000 en 1951 et à 31,000 en 1961. Le nombre total d'établissements de gros atteignait 31,000 en 1966.

Les séries sur le commerce de gros n'ont pas été ajustées pour tenir compte des créations et des disparitions d'entreprises avant 1951. Toutefois, l'échantillon a parfois été ajusté pour refléter les changements intervenus dans l'importance de l'activité des grossistes. Une estimation des ventes annuelles totales de gros, distincte du recensement complet, n'est disponible que pour la période de 1930 à 1939 et à partir de 1951. De 1939 à 1951, les séries annuelles sur les ventes de gros sont présentées sous forme d'indices. Ces indices portent seulement sur certaines catégories de commerce de gros. Ils sont établis en reliant chaque année à la précédente et sont disponibles dès 1935. Les données intercensitaires ont été révisées en fonction des nouvelles données du dernier recensement.

Les données précitées se rapportent surtout aux ventes. En outre, Statistique Canada a recueilli périodiquement depuis 1938 un échantillon de données portant sur les statistiques d'exploitation et la structure financière des entreprises de détail. L'enquête de 1938 a été effectuée en même temps que le recensement annuel habituel du commerce de détail. Depuis la fin de la guerre, ces enquêtes ont généralement été menées tous les deux ans. Ce programme a été interrompu au milieu des années 60 et repris une décennie plus tard. Les enquêtes portaient sur l'emploi, la rémunération, le coût des matières, les marges de commerce, les stocks, etc. Les tailles de l'échantillon sont données dans les publications.

Les ventes au détail comprennent, outre les ventes des détaillants proprement dits, les ventes des points de vente au détail des entreprises exerçant d'autres activités, lorsqu'ils constituent des entités distinctes. Elles incluent donc les services de vente au détail des fabricants, ainsi que les services de vente des compagnies d'électricité vendant des appareils électriques. Les statistiques ne comprennent pas: les ventes de tout genre par démarchage, les ventes au détail des grossistes et des établissements de services, les ventes au détail effectuées par les boulangeries industrielles, les laiteries industrielles et les coopératives d'achat, les ventes de repas, boissons et tabacs par les hôtels, les ventes des élévateurs de compagnies, les ventes au détail des fabricants autres que celles qui sont effectuées par des points de vente au détail distincts, ni les ventes des entreprises dont plus de 50% des recettes proviennent de travaux de réparation.

Les entreprises dont l'activité relève à la fois du commerce de gros et du commerce de détail sont classées dans le secteur qui contribue le plus aux bénéfices bruts totaux. Par exemple, une quincaillerie peut vendre pour $50,000 de marchandises, dont 60% sont vendues en gros et 40% au détail. En supposant que la marge bénéficiaire brute soit de 18.1% pour la vente de quincaillerie en gros et de 28.9% pour la vente au détail, le magasin sera classé dans la catégorie des établissements de détail bien que plus de la moitié de ses ventes totales soient effectuées en gros.

Les ventes annuelles de gros se rapportent surtout aux ventes des grossistes proprement dits. Toutefois, les ventes des dépôts de produits pétroliers et des établissements de conditionnement ont été comprises dans l'enquête annuelle pour la période de 1930 à 1939. A partir de l'année de recensement 1961, le commerce effectué par les agents à la commission, les courtiers, les commerçants en produits primaires, les succursales de vente des fabricants, etc. est exclu.

En 1947, Statistique Canada a commencé à présenter une série donnant les statistiques d'exploitation et la structure financière des entreprises de gros, qui a connu une évolution semblable à celle des séries sur le commerce de détail.

Des descriptions relatives à la collecte des données sur les services sont présentées dans les remarques se rapportant à chaque tableau dans le reste du texte car les méthodes diffèrent quelque peu pour les divers services.

Commerce de détail (séries V1-331)

Tableau V1-24a Ventes au détail, par genre de commerce, 1930 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V1-24a
Ventes au détail, par genre de commerce, 1930 à 1975

Tableau V1-24b Ventes au détail, par genre de commerce, 1930 à 1975 (fin). Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V1-24b
Ventes au détail, par genre de commerce, 1930 à 1975 (fin)

Source: de 1969 à 1971, de 1972 à 1974 et pour 1975, Commerce de détail, éditions de janvier 1972, juin 1975, et mars 1976, respectivement, (63-005 au catalogue); de 1966 à 1968, Commerce de détail. Rectification des estimations post-censales de 1966-1970, (63-519 au catalogue); de 1961 à 1965, Commerce de détail, 1961-1966, révisions intercensales des estimations, (63-517 au catalogue); de 1931 à 1960 (à l'exclusion des années de recensement) Retail Trade, 1930-1961, Revisions to 1951-61 Intercensal Estimates, (63-510 au catalogue); pour 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VII, Distribution: Commerce de détail; pour 1941, Recensement du Canada, 1941, vol. X. Commerce et services, Partie 1; pour 1930, Recensement du Canada, 1931, vol. X, Commerce et services, Partie 1. Pour les données relatives aux boissons alcooliques, Magasins de détail à succursales, (63-210 au catalogue), diverses éditions; de 1931 à 1950, sauf les années de recensement, estimations tirées de Commerce de détail, pour les séries V3, 4, 5 et 23.

Pour obtenir des détails sur la méthode généralement utilisée pour la collecte de ces données, voir la remarque générale se rapportant à la Section V.

«Commerce de détail» signifie en «général» l'ensemble des ventes faites par des points de vente au détail».

Un «point de vente au détail», suivant la définition de Statistique Canada, est «un local d'affaires (habituellement un magasin) dont l'activité principale est la vente de marchandises et de services connexes au grand public pour la consommation ménagère ou personnelle».

Les estimations relatives au commerce de détail ne prennent pas en compte les ventes directes, c'est-à-dire les ventes qui ne sont pas faites par l'intermédiaire d'un point de vente au détail. Elles ne comprennent donc pas les ventes directes par démarchage, les ventes par distributeur automatique, les ventes de journaux ou de revues faites directement par les imprimeurs et éditeurs, ni les ventes faites par les cercles du livre et les clubs de disques. Il n'y a qu'une exception: les ventes des grands magasins faites par la poste ou par catalogue, qui sont classées dans la catégorie des «magasins de marchandises diverses». En outre, le commerce de détail ne comprend pas les ventes au détail des unités auxiliaires, par exemple, entrepôts, sièges sociaux, etc., ni les ventes des entrepreneurs dont l'activité principale ne relève pas du commerce de détail, ni les opérations de détail entre particuliers.

Les «ventes nettes totales» comprennent les ventes de marchandises et les recettes provenant de services connexes tels que les réparations, la location de matériel et la restauration, moins les rendus, les rajustements et les remises. Les ventes totales comprennent également: la valeur des reprises, les prélèvements de marchandises pour usage personnel (au détail) et les commissions au titre de la vente de marchandises appartenant à d'autres personnes. On ne prend pas en compte les recettes hors exploitation, ni le recouvrement des créances douteuses, ni les taxes de vente. Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce sujet, voir la remarque historique générale sur le commerce intérieur.


Classification

Genre de commerce

Les estimations relatives au commerce de détail sont stratifiées par région et par groupe de genre de commerce. Ces groupes sont fondés sur la Classification des activités économiques et les catégories de genres de commerce de détail qui ont été utilisées lors du Recensement du commerce et des services de 1971.

Étant donné que l'enquête mensuelle du commerce de détail est axée sur les points de vente, chaque point de vente au détail d'une entreprise se voit attribuer un code «genre de commerce» d'après son activité principale ou le genre de marchandises vendues.

De 1931 à 1940, les ventes des boucheries (série V4), des garages et postes d'essence (série V10) et de tous les autres magasins de détail (série V24) ne sont pas données dans la publication Retail Trade, 1930-1961 (63-510 au catalogue). En outre, les magasins de boissons alcooliques (série V3) et les autres magasins d'alimentation (série V5) étaient compris dans la catégorie «tous les autres magasins de détail» (série V24). Les ventes ont été estimées de la manière décrite ci-après.

Pour obtenir les ventes des boucheries de 1931 à 1940, on a calculé le rapport entre les ventes des boucheries et celles des épiceries et épiceries-boucheries pour chacune des années du recensement complet de 1930 et 1941 et on a établi la moyenne arithmétique. On a ensuite appliqué cette moyenne aux ventes annuelles des épiceries et épiceries-boucheries de 1931 à 1940 pour estimer les ventes des boucheries.

Pour les garages et postes d'essence, on a calculé le rapport entre les ventes de ces commerces et les ventes d'automobiles neuves pour 1930 et 1941 et établi la moyenne arithmétique. On a ensuite appliqué cette moyenne aux ventes d'automobiles neuves de 1931 à 1940 pour estimer les ventes des garages et postes d'essence pour ces années.

A l'aide du calcul des deux séries précitées pour la période de 1931 à 1941 et du total donné pour les ventes au détail, on a calculé les chiffres relatifs à tous les autres magasins de détail comme reste pour inscrire ces années dans le tableau de référence.

Les ventes des magasins de boissons alcooliques ont été estimées en établissant le rapport entre les ventes de ces magasins, de la manière indiquée dans les recensements complets, et les ventes des magasins ayant présenté une déclaration annuelle au Bureau pour ces années de recensement. Les estimations intercensitaires ont été obtenues en appliquant le rapport moyen des dernières années de chacune de ces périodes intercensitaires aux ventes annuelles des magasins de boissons alcooliques envoyant une déclaration au Bureau. (Ces magasins ne comprennent pas les tavernes, salons-bars ni les bars.)

Les ventes des autres magasins d'alimentation (série V5) ont été calculées en deux étapes. Les chiffres relatifs aux ventes des autres chaînes d'alimentation ont, d'une part, été tirés de l'enquête annuelle sur les magasins à succursales. Pour les autres magasins indépendants d'alimentation, d'autre part, on a calculé le rapport entre les ventes de ces magasins et l'ensemble du poste «tous les autres magasins de détail» pour les années de recensement. On a ensuite appliqué la moyenne de ces rapports à l'ensemble du groupe «tous les autres magasins de détail».

Les estimations présentées dans les séries V1-24 portent sur les ventes des magasins indépendants, des magasins de détail à succursales et des grands magasins. Pour obtenir des renseignements sur les ventes au détail qui ne sont pas comprises dans ces estimations, on peut consulter la remarque générale se rapportant à la Section V.

A partir de 1951, les détaillants d'instruments scientifiques et médicaux, les détaillants de lait et les optométristes ont été exclus du commerce de détail.

A compter de 1961, les traiteurs, bars et boîtes de nuit, salons-bars, tavernes débit de boissons et cabarets, ainsi que les comptoirs et kiosques de rafraîchissements ont été exclus du commerce de détail. Les magasins de boissons ont été reclassés dans la catégorie «tous les autres magasins».

A partir de 1961, les magasins de vente et réparation de téléviseurs, et les magasins de téléviseurs, radios, pianos et de musique ont été exclus de la catégorie des magasins de meubles, téléviseurs, radios et accessoires, et ont été inclus dans la catégorie «tous les autres magasins».

A compter de 1961, les autres magasins de matériaux de construction, les magasins d'instruments agricoles, les magasins d'aliments pour animaux, les magasins de fournitures agricoles, les selleries, et les magasins de matériel de chauffage et de plomberie ont été exclus du commerce de détail.

A partir de 1961, les ateliers de réparation de bicyclettes, qui faisaient auparavant partie du secteur des services, ont été inclus avec les magasins d'articles de sport dans la catégorie «tous les autres magasins» du commerce de détail.

A compter de 1961, les garages, qui étaient auparavant classés dans le secteur des services, ont été inclus dans le genre de commerce «garages», dans le secteur du commerce de détail.

A partir de 1961, les ateliers de peinture et de débosselage, les lave-autos, les autres ateliers spécialisés de réparation d'automobiles, les magasins d'automobiles n.c.a., qui faisaient auparavant partie du secteur des services, ont été classés dans la catégorie «tous les autres magasins» du commerce de détail.

A compter de 1961, les magasins de bois et de matériaux de construction et les restaurants ont été transférés du commerce de détail au commerce de gros.

A compter de 1961, les restaurants ont été transférés du commerce de détail aux services.

A partir de 1966, le genre de commerce des grands magasins ne comprend que les ventes des points de vente réels de ces magasins. Il ne comprend donc pas les données relatives aux ventes des autres genres de commerce qui peuvent être exploités par les sociétés propriétaires de grands magasins. Ces commerces auxiliaires, comme les magasins généraux et les magasins d'appareils ménagers, ont été classés selon le genre de commerce correspondant le mieux à leur gamme respective de produits. Les bureaux de vente par commande postale et par catalogue des grands magasins sont compris dans le groupe des magasins de marchandises diverses, qui est inclus dans la catégorie «tous les autres magasins» dans le tableau V1-24. Les ventes des comptoirs de vente sont généralement comprises dans le chiffre d'affaires total des grands magasins dans lesquels ils sont situés.

A partir de 1972, les confiséries sont exclues des autres magasins d'alimentation et incluses dans les épiceries, confiséries et magasins d'articles divers, qui figurent dans la deuxième colonne du tableau V1-24.

A compter de 1972, les magasins d'appareils électriques, qui étaient auparavant classés dans la catégorie «tous les autres magasins», sont compris dans le genre de commerce des magasins de meubles, téléviseurs, radios et accessoires.

A partir de 1972, les magasins de médicaments brevetés et spécialisés, de parfums et de produits de beauté, qui faisaient auparavant partie du groupe «tous les autres magasins» sont compris dans le genre de commerce des pharmacies.

A compter de 1971, les marchands de combustible sont exclus du commerce de détail et reclassés dans le commerce de gros.

Pour pouvoir comparer les genres de commerce de la nouvelle enquête sur le commerce de détail pour 1972 et les années ultérieures à ceux de l'ancienne enquête pour les années antérieures à 1972, on peut consulter la publication Commerce de détail, juin 1975, mensuel, (63-005 au catalogue), pages x et xi.

On peut également se reporter à la publication susmentionnée, pages 54 et 55, pour obtenir la composition par genre de commerce.

Tableau V25-34 Ventes au détail, par genre de commerce, 1923 à 1933. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V25-34
Ventes au détail, par genre de commerce, 1923 à 1933

Source: de 1931 à 1933, Retail Trade, 1930-1961, Revisions to 1951-1961 Intercensal Estimates, hors série, (63-510 au catalogue); pour 1930, Recensement du Canada, 1941, vol. X, Commerce et services, Partie 1; de 1923 à 1929, A Decade of Retail Trade, 1923 to 1933, (63-D-54 au catalogue).

Les données de ces séries ont été calculées par Statistique Canada en 1934 et 1935. Les chiffres de 1930 sont tirés du recensement complet pour cette année. Ceux de 1931 à 1933 ont été estimés à l'aide de l'enquête effectuée pour 1933 sur un échantillon de magasins de détail, qui portait également sur les ventes de ces magasins en 1931 et 1932 (voir la remarque historique générale se rapportant à la Section V), et qui constituait le premier recensement annuel du commerce de détail. Les données relatives à la période de 1923 à 1929 ont été estimées au moyen de diverses méthodes qui sont décrites dans la première édition de Statistiques historiques du Canada. On peut consulter cette source pour obtenir une analyse des méthodes sur lesquelles sont fondées les commentaires qui suivent.

Les genres de commerce de détail sont identiques à ceux des séries V1-24 malgré certaines différences de classement (voir les remarques se rapportant aux séries V1-24 et la remarque historique générale relative à la Section V).

Tableau V35-52 Ventes au détail, par genre de commerce, et nombre de chaînes et de magasins, des magasins à succursales, 1930 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V35-52
Ventes au détail, par genre de commerce, et nombre de chaînes et de magasins, des magasins à succursales, 1930 à 1975

Source: identique à celle des séries V1-24. Pour obtenir des données sur le nombre de chaînes, le nombre moyen de magasins et le genre de commerce pour la période de 1931 à 1960, sauf les années de recensement, on peut également consulter la publication Magasins de détail à succursales, annuel, (63-210 au catalogue), diverses éditions.

A compter de 1966, la série V48 exclut tous les autres magasins d'articles de maison.

Le nombre moyen de chaînes n'est pas disponible par province pour chaque année.

Un magasin à succursales est en général une entreprise exploitant quatre points de vente au détail ou plus dans un même genre de commerce, sous une même appartenance juridique. Font exception à cette définition les grands magasins qui sont considérés du point de vue statistique comme des magasins à succursales même s'ils n'exploitent pas quatre points de vente. Par conséquent, cette définition exclut les concessions. Par ailleurs, du fait qu'elle utilise l'expression «appartenance juridique», la définition a eu tendance à compter comme plusieurs magasins à succursales les entreprises qui exploitent des points de vente dans deux provinces ou plus, qui sont constituées en vertu d'une loi provinciale, et qui correspondent à la définition d'un magasin à succursales dans chacune des provinces où elles exploitent des succursales.

Les classements sont les mêmes que ceux utilisés pour l'ensemble du commerce de détail, séries V1-24.

Les publications de référence comprennent, outre les chiffres des ventes présentés ici, des données sur les effectifs (pour les années reculées), la rémunération, les stocks et les créances actives à la fin de l'année. Ces données sont présentées pour divers groupes de magasins à succursales.

V53-88. Ventes au détail et nombre de chaînes et de magasins des magasins à succursales, par province, 1930 à 1975

Tableau V53-88a Canada, Terre Neuve, Île-du-Prince-Édouard, Nouvelle-Écosse. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V53-88a
Canada, Terre Neuve, Île-du-Prince-Édouard, Nouvelle-Écosse

Tableau V53-88b Nouveau-Brunswick, Québec, Ontario, Manitoba. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V53-88b
Nouveau-Brunswick, Québec, Ontario, Manitoba

Tableau V53-88c Saskatchewan, Alberta, Colombie-Britannique, Territoires du Nords-Ouest. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V53-88c
Saskatchewan, Alberta, Colombie-Britannique, Territoires du Nords-Ouest

Source: Magasins de détail à succursales, annuel, (63-210 au catalogue), diverses éditions; pour 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VII, Distribution: Commerce de détail; pour 1941, Recensement du Canada, 1941, vol. X, Commerce et services, Partie 1; pour 1930, Recensement du Canada, 1931, vol. X, Commerce et services, Partie 1.

Tableau V89-99 Ventes au détail, par province, 1923 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V89-99
Ventes au détail, par province, 1923 à 1975

Source: identique à celle des séries V1-24. Pour la période de 1923 à 1933, voir également A Decade of Retail Trade, 1923 to 1933, (63-D-54 au catalogue).

Les mouvements des ventes à l'intérieur des provinces sont fondés sur les données des recensements décennaux et les réponses de l'échantillon annuel provenant de chaque province. Les estimations intercensitaires et postcensitaires ont été rectifiées après chaque nouveau recensement. Toutefois, les données portant sur la période de 1967 à 1970 n'ont pas été révisées à l'aide des données du recensement de 1971. En 1930, les ventes des maisons de vente par correspondance ont été attribuées à la province dans laquelle le magasin était situé. En 1941, 1961, 1966 et 1971, les ventes par correspondance effectuées par l'intermédiaire de bureaux de commande locaux étaient attribuées à la province dans laquelle le bureau était situé, mais les ventes par correspondance résultant de commandes envoyées directement par les clients étaient rattachées à la province dans laquelle le magasin était situé. En 1951, toutes les ventes par correspondance étaient attribuées à la province de résidence du client. Lors de la révision des données intercensitaires portant sur la période de 1941 à 1951, les chiffres avaient été rectifiés pour baser les données sur 1951 (voir Retail Trade, 1930-1951, p. 11) mais, apparemment, les données de 1930 à 1941 n'avaient pas été ajustées. Les données provinciales sont reportées depuis 1951 sur la base du recensement de 1951.

Pour de plus amples renseignements sur les méthodes de répartition des ventes entre les provinces de 1923 à 1929, on peut consulter la publication A Decade of Retail Trade, 1923-1933. La répartition des ventes entre les provinces utilisées en 1930 a servi de fondement principal à la répartition des années antérieures.

Voir la remarque générale se rapportant aux séries V1-24 pour connaître les types de ventes au détail qui sont compris et exclus.

Tableau V100-129a Commerce de détail, marges bénéficiaires brutes, par genre de commerce 1938 à 1960. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V100-129a
Commerce de détail, marges bénéficiaires brutes, par genre de commerce 1938 à 1960

Tableau V100-129b Commerce de détail, marges bénéficiaires brutes, par genre de commerce 1938 à 1960 (fin). Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V100-129b
Commerce de détail, marges bénéficiaires brutes, par genre de commerce 1938 à 1960 (fin)

Source: séries V100-104, de 1954 à 1960, Operating Results and Financial Structure, Retail Food Stores, 1960, tableaux 1, 6, 11, 16 et 21; de 1938 à 1952, même titre, mais pour l'année 1952, p. K-8; séries V105-112, de 1954 à 1960, Operating Results and Financial Structure, Retail Clothing Stores, 1960, tableaux 1, 9, 16 et 23; de 1941 à 1950, même titre, mais pour l'année 1952, p. L-8; pour 1938, Operating Results of Independent Clothing and Shoe Stores in Canada, 1938, pp. 2-3; séries V113-118, de 1952 à 1959, Résultats d'exploitation des quincailleries, magasins de meubles, magasins d'appareils de ménage, de radios et de téléviseurs en détail, 1959, tableaux 1, 9 et 15; de 1948 à 1950, même titre (à part le mot téléviseurs qui est omis), mais pour l'année 1950, pp. M10, M15 et M17; de 1938 à 1948, même titre, mais pour 1948, p. 11; séries V119-120, de 1952 à 1959, Résultats d'exploitation des postes d'essence en détail et des garages, 1959, tableaux 1 et 6; de 1938 à 1950, publications individuelles portant le même titre pour l'année précise à laquelle les données se rapportent; série V121 de 1954 à 1960, Operating Results and Financial Structure Independent General Stores, 1960, tableau 1, p. 4; de 1950 à 1952, même titre, mais pour 1952, pp. 1-9; de 1945 à 1948, Operating Results and Financial Structure, Miscellaneous Retail Stores, 1948, tableau 1, p. 12; pour les années antérieures, Operating Results of Country General and Dry Goods Stores; séries V122-129, pour 1952 et les années ultérieures, bulletins publiés séparément pour chaque catégorie sous le titre général Operating Results and Financial Structure, avec les sous-titres suivants: Independent Restaurants, 1959; Independent Fuel Dealers, 1959; Independent Drug Stores, 1959; Independent Jewellery Stores, 1959; et Independent Tobacco Stores, 1956; de 1938 à 1950, Operating Results and Financial Structure, Miscellaneous Retail Stores, bulletins des années auxquelles les données se rapportent; pour les magasins à succursales, séries V100-102, Operating Results of Chain Food Stores, 1959, tableau 3, p. 7, tableau 5, p. 9; même titre pour 1957, tableau 8, p. H-14; même titre pour 1947, tableau 1, p. 12; séries V106-112, Operating Results of Chain Clothing Stores, 1959; série V116, Operating Results of Chain Furniture Stores, 1959, tableau 1, p. 4; série V126, Operating Results of Chain Drug Stores, 1959, tableau 1, p. 4.

Voir la remarque historique générale se rapportant à la Section V pour obtenir une description de la méthode de collecte de ces données.

En 1952, un échantillon de 17,000 magasins indépendants (initialement choisi en 1944) a été recensé, et environ 10,000 déclarations utilisables ont été recueillies (voir BFS, History, Function, Organization, 1952, pp. 76-7, (12-D-52 au catalogue). Les rapports donnent le nombre d'unités déclarantes dans les diverses catégories.

Les données sur les magasins de détail à succursales pour les années visées ont été recueillies lors de l'enquête annuelle.

La marge bénéficiaire brute est le ratio de la différence entre les ventes nettes et le coût des biens vendus par rapport aux ventes nettes. Le coût des biens vendus s'obtient en additionnant les stocks en début d'exercice aux ventes nettes de marchandises et en déduisant les stocks en fin d'exercice.

De 1947 à 1959, les marges bénéficiaires brutes des bazars à succursales (qui ne rentrent dans aucune catégorie de magasins indépendants) en pourcentages des ventes nettes étaient les suivantes: 1947 (37.7), 1949 (37.5), 1951 (37.8), 1953 (37.8), 1955 (38.3), 1957 (38.6) et 1959 (38.7). Voir Operating Results of Chain Variety Stores, 1959, tableau 1, p. 4.

Les rapports présentent également des détails des données sur les frais d'exploitation et le bilan par tranche de taille pour les diverses catégories de magasins.

Tableau V130-131 Ventes au détail, par produit, 1968 et 1974. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V130-131
Ventes au détail, par produit, 1968 et 1974

Source: pour 1974, Enquête sur les marchandises vendues au détail, 1974, (63-526 au catalogue); pour 1968, Enquête sur les marchandises vendues au détail, 1968, (63-518 au catalogue).

Il est à noter que le total des marchandises vendues au détail donné dans ce tableau ne correspond pas toujours au total du commerce de détail présenté dans les séries Vl-24. Il faut d'abord se rendre compte que l'enquête d'où sont tirées les données figurant dans le tableau V130-131 constitue une étude des activités des entreprises interrogées. De ce fait, elle a soulevé pour la plupart des entreprises le problème de déclarer des données qu'une comptabilité ordinaire ne révèle pas immédiatement. Nombre d'entreprises ont dû réexaminer leurs factures d'achat ou étudier les mouvements de leurs stocks afin de fournir les renseignements demandés; d'autres ont utilisé leurs meilleures estimations. Malgré ces problèmes de déclaration, le taux global de réponse dépassait 73% des entreprises enquêtées. Les magasins à succursales et les grands magasins connus, qui ont tous été sélectionnés, ont tous répondu.

Un échantillon aléatoire stratifié de 43,000 établissements de détail a été prélevé, sans remise, sur 115,000 établissements classés dans le secteur de la vente au détail sur un fichier central d'employeurs conservé par Statistique Canada.

Les statistiques des entreprises du commerce et des services sont calculées selon deux concepts «le local d'affaires» et «l'établissement». Les statistiques suivant le local d'affaires portent sur chaque point de vente distinct d'une entreprise classé selon son genre de commerce tandis que les statistiques suivant l'établissement visent l'entité comptable qui calcule les ventes d'un ou plusieurs locaux d'affaires ne faisant pas nécessairement partie d'une même activité économique (c'est-à-dire le commerce de détail) ou d'un même genre de commerce. Toutefois, l'établissement de détail est classé en entier dans le genre de commerce qui couvre son activité principale. Ainsi, les données déclarées par un établissement possédant plus d'un point de vente peuvent englober les activités commerciales de plusieurs genres de commerce, peut-être dans plusieurs provinces, et peut-être bien d'autres activités économiques. Les magasins d'alcools, de bières et de vins ont été exclus de l'enquête sur les marchandises vendues au détail. Ils figuraient pour $1.765 milliard des ventes en 1974. C'est pour ces raisons que les résultats des enquêtes de 1968 et de 1974 sur les marchandises vendues au détail, qui sont fondées sur le concept de l'établissement, ne seront pas nécessairement comparables, ni au niveau du genre de commerce, ni au niveau de la province, à ceux des enquêtes sur le commerce de détail fondées sur les locaux d'affaires.

Tableau V132-142 Nombre et ventes des centres commerciaux, par province, 1956 à 1973. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V132-142
Nombre et ventes des centres commerciaux, par province, 1956 à 1973

Source: nombre de centres commerciaux: de 1966 à 1973, Les centres commerciaux au Canada, 1973, annuel, (63-214 au catalogue); de 1961 à 1965, Les centres commerciaux au Canada, 1972, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1959 et 1960, Commerce de détail, 1960, annuel, (63-209 au catalogue); pour 1958, Commerce de détail, 1959, annuel, (63-209 au catalogue); pour 1957, Commerce de détail, 1958, annuel, (63-209 au catalogue); pour 1956, Les centres commerciaux au Canada, 1951-1973, Document de recherche nº 1, (63-527 au catalogue); Ventes au détail dans les centres commerciaux: pour 1972 et 1973, Les centres commerciaux au Canada, 1973, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1969 et 1970, Les centres commerciaux au Canada, 1970, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1961 et 1968, Les centres commerciaux au Canada, 1968, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1967, Les centres commerciaux au Canada, 1966-67, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1956, 1959 et 1964, Les centres commerciaux au Canada, 1951-1973, Document de recherche nº 1, (63-527 au catalogue); ventes pour le Canada: de 1956 à 1968, Les centres commerciaux au Canada, 1968, annuel, (63-214 au catalogue).

Il importe de souligner que l'addition d'un centre commercial pour une année donnée ne signifie pas nécessairement que le centre venait d'être construit et avait été ouvert pendant l'année en question. Le centre pouvait avoir été exploité antérieurement sans toutefois répondre à toutes les exigences de la définition d'un «centre commercial». Pour les besoins de ce tableau, un centre commercial est: «Un groupe de magasins prévu, conçu et aménagé comme un tout, comprenant au moins cinq points de vente au détail (ou quatre points de vente au détail et un restaurant) en activité pendant une partie quelconque de l'année en cours. Le centre doit mettre gratuitement à la disposition des clients un terrain de stationnement contigu, d'une grandeur minimum de 20,000 pieds carrés. Lorsque les centres commerciaux ont un terrain de stationnement à surface revêtue dont la superficie est de 20,000-50,000 pieds carrés, le rapport entre cette dernière et la superficie brute du centre doit être d'au moins 1.5. L'ensemble commercial doit comprendre soit une épicerie-boucherie (c'est-à-dire une épicerie dont les ventes de viande de boucherie représentent de 20 à 40% du chiffre d'affaires), soit un grand magasin, soit un bazar faisant partie d'une entreprise à succursales multiples. Bien que le centre commercial soit généralement conçu comme un tout, il n'est pas nécessaire que tous les établissements soient loués par le même bailleur (indépendant ou collectif). Un établissement de vente au détail peut être propriétaire du bâtiment et du terrain qu'il occupe dans le centre commercial. Ce dernier porte ordinairement un nom et, en règle générale, les questions qui intéressent l'ensemble des locataires, comme l'entretien du terrain de jeu pour enfants, les activités communautaires, le stationnement, etc., relèvent d'une même autorité».

Cette définition exclut du champ de l'enquête la plupart des galeries marchandes des centres ville et un grand nombre de centres commerciaux à magasins et à étages multiples, soit parce qu'ils ne mettent pas à la disposition du client des places de stationnement gratuites, soit parce qu'ils ne répondent pas à l'une ou l'autre des exigences de la définition citée plus haut.

Tableau V143-146 Centres commerciaux au Canada, selon le type, 1956 à 1973. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V143-146
Centres commerciaux au Canada, selon le type, 1956 à 1973

Source: nombre de centres commerciaux: pour 1973, Les centres commerciaux au Canada, 1973, annuel, (63-214 au catalogue); de 1961 à 1972, Les centres commerciaux au Canada, 1972, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1960, Commerce de détail, 1960, annuel, (63-209 au catalogue); pour 1956 et 1959, Les centres commerciaux au Canada, 1951-1973, Document de recherche nº 1, (63-527 au catalogue); pour 1957 et 1958, Commerce de détail, 1958, annuel, (63-209 au catalogue). Ventes au détail dans les centres commerciaux: pour 1964, 1968, 1969, 1970, 1972 et 1973, Les centres commerciaux au Canada, annuel, (63-214 au catalogue), éditions de 1965, 1968, 1969, 1970, 1972 et 1973, respectivement; pour 1966 et 1967, Les centres commerciaux au Canada, 1966-67, annuel, (63-214 au catalogue); de 1961 à 1963, Les centres commerciaux au Canada, 1961-63, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1959 et 1960, Commerce de détail, annuel, (63-209 au catalogue), éditions de 1959 et 1960, respectivement; pour 1957 et 1958, Commerce de détail, 1958, annuel, (63-209 au catalogue); pour 1956, Les centres commerciaux au Canada, 1956, Document de référence nº 87, (63-504 au catalogue). Ventes totales, de 1956 à 1968, Les centres commerciaux au Canada, 1968, annuel, (63-214 au catalogue).

Les centres commerciaux ordinaires sont stratifiés en fonction du nombre de points de vente au détail et (ou) de restaurants (voir la définition qui précède) exploités dans le centre; les centres de type A comprennent de 5 à 15 points de ventes, ceux de type B en contiennent de 16 à 30 et ceux de type C, plus de 30.

Le nombre de points de vente exploités dans certains centres commerciaux peut varier légèrement d'une année à l'autre. Ces centres peuvent donc être reclassés dans un différent type pour une année quelconque.

Les ventes totales au détail effectuées dans les centres commerciaux pour les années 1956 à 1967 sont des chiffres rectifiés excluant les recettes des restaurants situés dans les centres commerciaux (voir Les centres commerciaux au Canada, 1968, annuel).

Pour les années 1956 à 1967, les ventes au détail, sauf les recettes des restaurants, effectuées dans les centres commerciaux de type A, B et C ont été calculées proportionnellement au moyen de la répartition des ventes (restaurants inclus) des centres de type A, B et C, donnée dans les diverses publications annuelles (voir les sources) portant sur la période de 1956 à 1967.

Tableau V147-162 Ventes des centres commerciaux, par genre de commerce, 1956 à 1973. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V147-162
Ventes des centres commerciaux, par genre de commerce, 1956 à 1973

Source: pour 1973, Les centres commerciaux au Canada, 1973, annuel, (63-214 au catalogue); de 1967 à 1972, Les centres commerciaux au Canada, 1972, annuel (63-214 au catalogue); pour 1964, 1965 et 1966, Les centres commerciaux au Canada, annuel, (63-214 au catalogue), éditions de 1964, 1965 et 1966, respectivement; de 1961 à 1963, Les centres commerciaux au Canada, 1961-63, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1956, 1957, 1958, 1959 et 1960, Commerce de détail, annuel, (63-209 au catalogue), éditions de 1956, 1958, 1959 et 1960, respectivement.

Voir les séries V1-24 pour obtenir des détails sur les changements apportés aux genres de commerce de détail (qui s'appliquent également aux genres de commerce des centres commerciaux), ainsi qu'une description des anciennes catégories de genres de commerce de l'enquête sur le commerce de détail présentées dans ce tableau.

Tableau V163-177 Recettes des services offerts dans les centres commerciaux, 1967 à 1973. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V163-177
Recettes des services offerts dans les centres commerciaux, 1967 à 1973

Source: de 1970 à 1973, Les centres commerciaux au Canada, 1973, annuel, (63-214 au catalogue); pour 1967, 1968 et 1969, Les centres commerciaux au Canada, annuel, (63-214 au catalogue), éditions de 1966-67, 1969 et 1970, respectivement.

Pour obtenir des renseignements complémentaires sur les services situés dans les centres commerciaux, on peut consulter les publications de référence.

Tableau V178-190 Nombre et ventes des distributeurs automatiques, par province, 1958 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V178-190
Nombre et ventes des distributeurs automatiques, par province, 1958 à 1975

Source: nombre de distributeurs pour 1973, 1974 et 1975, Exploitants de distributeurs automatiques, annuel, (63-213 au catalogue), éditions de 1973, 1974 et 1975, respectivement; de 1960 à 1972, Exploitants de distributeurs automatiques, 1974, annuel, (63-213 au catalogue); pour 1958 et 1959, Exploitants de distributeurs automatiques, 1959, annuel, (63-213 au catalogue). Ventes: pour 1958 et 1959, 1960, 1961 à 1969, 1970 à 1974 et 1975, Exploitants de distributeurs automatiques, annuel, (63-213 au catalogue), éditions de 1959, 1961, 1972, 1974 et 1975, respectivement.

Jusqu'en 1971, inclusivement, les statistiques portent sur les exploitants de distributeurs automatiques qui exploitent un ou plusieurs distributeurs automatiques installés ailleurs que dans leur propre établissement. A partir de 1972, seuls les exploitants de distributeurs automatiques qui exploitent au moins 10 machines de taille normale ou 200 distributeurs de confiserie en vrac ou qui déclarent un chiffre d'affaires d'au moins $20,000 sont compris dans l'enquête. En même temps, la clause concernant la nécessité d'exploiter les distributeurs ailleurs que dans son propre établissement est éliminée.

Aux fins du présent tableau, on appelle distributeur automatique une machine qui dispense automatiquement une marchandise dès qu'on y introduit les pièces de monnaie nécessaires, la marchandise dont il s'agit comprend aussi bien les tabacs, les boissons et produits comestibles que les produits non comestibles comme les stylos, les bas, les piles, les articles de toilette, les livres, etc. Sont exclus les produits comme l'essence et les journaux de même que les services tels que les boîtes à musique, les jeux, les machines à laver, les machines à nettoyage à sec, les appareils-photos automatiques, les photocopieurs, les machines à cirer les chaussures, etc.

Tableau V191-214 Ventes par distributeurs automatiques, par produit, 1958 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V191-214
Ventes par distributeurs automatiques, par produit, 1958 à 1975

Source: pour toutes les années, Exploitants de distributeurs automatiques, annuel, (63-213 au catalogue), éditions de 1959, 1961, 1972, 1973, 1974 et 1975, respectivement.

A compter de 1973, les ventes par distributeurs automatiques sont déclarées selon le genre de distributeur; avant 1973, elles étaient déclarées par produit. Le tableau V191-214 a été établi en appariant le mieux possible les deux séries de données (1958 à 1972 et 1973 à 1975). L'utilisateur est invité à utiliser le tableau avec une extrême prudence car ces deux séries de données ne sont pas exactement comparables.

Tableau V215-218 Ventes au détail, selon le genre de magasin, 1930 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V215-218
Ventes au détail, selon le genre de magasin, 1930 à 1975

Source: identique à celle des séries V1-24. Voir également la publication Magasins de détail à succursales, annuel, (63-210 au catalogue), diverses éditions.

De 1931 à 1960 (sauf les années de recensement), les données ont été calculées de la manière suivante: le nombre de magasins indépendants s'obtient en soustrayant les magasins à succursales (séries V35-52) et les grands magasins du total, ensemble des magasins (séries V1-24). Pour les grands magasins, voir la publication Retail Trade, 1930-1961, Revisions to 1951-61 Intercensal Estimates, (63-510 au catalogue), hors série.

Tableau V219-229 Ventes au détail, selon le genre de magasin, par province, certaines années, 1930 à 1971. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V219-229
Ventes au détail, selon le genre de magasin, par province, certaines années, 1930 à 1971

Source: pour 1971, Commerce de détail, janvier 1972, (65-005 au catalogue); pour 1966, Commerce de détail, Rectification des estimations post-censales de 1966-1970, (63-519 au catalogue); pour 1961, Commerce de détail, 1961-1966, révisions intercensales des estimations, (63-517 au catalogue); pour 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VII, Distribution: Commerce de détail; pour 1941, Recensement du Canada, 1941, vol. X, Commerce et services, Partie 1; pour 1930, Recensement du Canada, 1931, vol. X, Commerce et services, Partie 1.

Pour 1966, la somme des données provinciales relatives aux magasins à succursales ne correspond pas au total du Canada car les ventes des grands magasins sont comprises dans celles des magasins à succursales pour trois provinces.

Dans le cas des magasins indépendants, pour 1930 et 1941, il faut ajouter les ventes des grands magasins aux ventes correspondantes des magasins indépendants pour chacune des provinces du Québec, de l'Ontario et de la Colombie-Britannique pour que la somme des données provinciales soit égale au total du Canada.

Tableau V230-248 Ventes des magasins de détail à succursales, selon le genre de commerce, certaines années, 1930 à 1971. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V230-248
Ventes des magasins de détail à succursales, selon le genre de commerce, certaines années, 1930 à 1971

Source: identique à celle des séries V219-229.

Pour obtenir une description des catégories de genres de commerce présentées dans ce tableau, le lecteur est invité à consulter les publications de référence. D'une année de recensement à l'autre, des changements sont intervenus dans la composition des divers genres de commerce.

Tableau V249-267 Ventes des magasins de détail indépendants, selon le genre de commerce, certaines années, 1930 à 1971. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V249-267
Ventes des magasins de détail indépendants, selon le genre de commerce, certaines années, 1930 à 1971

Source: identique à celle des séries V219-229.

Pour obtenir une description des catégories de genres de commerce présentées dans ce tableau, le lecteur est invité à consulter les publications de référence. D'une année de recensement à l'autre, des changements sont intervenus dans la composition des divers genres de commerce.

Tableau V268-290 Ventes directes par produit, 1969 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V268-290
Ventes directes par produit, 1969 à 1975

Source: pour 1975, La vente directe au Canada, 1975, annuel, (63-218 au catalogue); de 1969 à 1974, La vente directe au Canada, 1974, annuel, (63-218 au catalogue).

Par ventes directes, on entend les nombreuses ventes de biens de consommation au consommateur final qui ne passent pas par les points de vente au détail habituels des grands magasins, des succursales ou des détaillants indépendants. Ces ventes sont effectuées à tous les niveaux de l'acheminement des marchandises du producteur primaire ou de l'importateur au consommateur: au niveau agricole par les exploitants de serres et de pépinières et certains maraîchers, au niveau de la fabrication par les ventes faites exclusivement aux employés dans les magasins exploités sur place par la société, ou par des services intégrés de vente au moyen de commandes postales ou de démarcheurs; par certains grossistes et importateurs, par des établissements spécialisés dans la vente directe et par les exploitants de distributeurs automatiques.

Les statistiques sur ces ventes au détail hors magasin complètent celles du commerce de détail normal, qui sont également recueillies et publiées dans le bulletin mensuel sur le commerce de détail afin de constituer le fondement essentiel du poste «dépenses des particuliers en biens de consommation et en services» des Comptes nationaux du Canada.

Le présent tableau n'englobe toutefois que les ventes directes de quelques producteurs primaires (exploitants de serres et de pépinières, par exemple), des fabricants et des établissements spécialisés dans la vente directe. Il ne prend pas en compte les ventes par correspondance des entreprises étrangères aux consommateurs canadiens ni celles des grands magasins; sont aussi exclues les ventes directes des grossistes, des exploitants de distributeurs automatiques et des établissements de services. Des estimations de la valeur de certaines de ces dernières catégories sont données dans le tableau spécial sur la valeur du «total, commerce de détail connu» publié dans le Recensement du commerce et des services de 1971, vol. VII, (97-702 au catalogue).

Tableau V291-313 Ventes directes par produit, selon la province, 1971. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V291-313
Ventes directes par produit, selon la province, 1971

Source: La vente directe au Canada, 1971, (63-218 au catalogue).

Tableau V314-319 Commerce de détail, selon la forme juridique d'organisation, certaines années, 1930 à 1966. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V314-319
Commerce de détail, selon la forme juridique d'organisation, certaines années, 1930 à 1966

Source: pour 1966, Recensement du Canada, 1966, vol. VI, Commerce de détail, Locaux d'affaires, (97-606 au catalogue); pour 1961, Recensement du Canada, 1961, vol. VI, Partie 1, (97-504 au catalogue); pour 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VII, Distribution: Commerce de détail; pour 1941 Recensement du Canada, 1941, vol. X, Commerce et services, Partie 1; pour 1930, Recensement du Canada, 1931, vol. X, Commerce et services, Partie 1.

Tableau V320-331 Statistiques sommaires, recensement du commerce de détail, par province, certaines années, 1930 à 1971. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V320-331
Statistiques sommaires, recensement du commerce de détail, par province, certaines années, 1930 à 1971

Source: www1971, Recensement du Canada, 1971, Commerce de détail, (97-702 au catalogue); pour 1966, Recensement du Canada, 1966, vol. VI, Commerce de détail, Locaux d'affaires, (97-602 au catalogue); pour 1961, Recensement du Canada, 1961, vol. VI, Partie 1, (97-501 au catalogue); pour 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VII, Distribution: Commerce de détail; pour 1930 et 1941, Recensement du Canada, 1941, vol. X, Commerce et services, Partie 1.

Commerce de gros (séries V332-409)

Tableau V332-350 Estimations des ventes annuelles des grossistes proprement dits, par genre de commerce, 1951 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V332-350
Estimations des ventes annuelles des grossistes proprement dits, par genre de commerce, 1951 à 1975

Source: pour 1972, 1973, 1974 et 1975, Commerce de gros, mensuel, éditions de décembre 1973, 1974 et 1975, respectivement (63-008 au catalogue); de 1961 à 1971, Commerce de gros, 1961-1971, (63-521 au catalogue); de 1951 à 1960, Commerce de gros, 1951-1968, (63-515 au catalogue).

Les enquêtes portent sur les grossistes proprement dits, qui se définissent comme étant des intermédiaires entre le producteur et le détaillant ou le producteur et le commerce, l'industrie ou l'institution. Ils détiennent des stocks et achètent et vendent pour leur propre compte. Sont exclus les agents et courtiers, les succursales de vente des fabricants, les commerçants en produits primaires, les dépôts de produits pétroliers et certains autres types d'activités non comprises dans l'enquête mais généralement considérées comme faisant partie du commerce de gros.

Il est à noter que la révision importante introduite en 1960 dans la Classification type des industries a eu des répercussions sur le commerce de gros en 1961. La composition de l'univers du commerce de gros a été modifiée par l'inclusion des marchands de bois et matériaux de construction, des marchands d'autres matériaux de construction, des vendeurs d'instruments agricoles, des magasins d'aliments pour animaux et de semences, des magasins de fournitures agricoles et des selleries, qui faisaient auparavant partie du secteur du commerce de détail.

Cette modification a eu pour effet, notamment, d'ajouter environ $651,000,000 au total du groupe commercial «Autres matériaux et fournitures de construction, y compris le bois d'oeuvre». Des rectifications semblables ont été effectuées pour les autres groupes commerciaux visés.

IOutre les révisions apportées à la CTI en 1960, de nombreux changements de codage et de nouveaux concepts ont été adoptés lors du recensement de 1961. Par exemple, la méthode de la «valeur ajoutée» a été utilisée pour la première fois pour établir le classement exact des commerces de gros et de détail. Les concepts de «local d'affaires» et d'«établissement» ont également été adoptés à ce moment.

Les effets de l'application du concept d'établissement apparaissent clairement lorsqu'on compare les chiffres de 1961 à ceux qui se rapportent aux mêmes commerces en 1960. Ce concept a tendance à accroître les totaux des ventes dans certains commerces et à les diminuer dans d'autres. L'établissement est la plus petite entité comptable en mesure de fournir une gamme complète de statistiques.

L'utilisation du «concept de la valeur ajoutée» pour classer les établissements dans le commerce de gros ou de détail se traduit par une perte d'un nombre inconnu de ventes de gros. Par exemple, dans les recensements antérieurs, une quincaillerie dont les ventes de gros se chiffraient à 51% des ventes totales aurait été classée dans le commerce de gros. En 1961, le même commerce aurait été classé dans le secteur de détail, la valeur ajoutée dans la vente au détail étant supérieure à celle obtenue dans la vente en gros.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce sujet, l'utilisateur de ces statistiques peut se reporter à la publication Standard Industrial Classification Manual, révisée en 1960, (12-501 au catalogue), pp. 7-9.

Les statistiques présentées dans ce tableau mesurent les ventes nettes (ventes brutes moins les rendus et les reprises), y compris les taxes de vente perçues et d'autres recettes d'exploitation de tous les grossistes en activité au Canada, canadiens ou étrangers, et quelle que soit la destination des ventes, au Canada ou à l'étranger. Il peut exister certains doubles comptes dans le cas de ventes entre grossistes. Le tableau ne comprend pas les statistiques relatives aux ventes des succursales de vente des fabricants, des commerçants en produits primaires, des agents et courtiers ni des dépôts et distributeurs par camion-citerne de produits pétroliers.

Pour obtenir une description détaillée des catégories de genres de commerce présentées dans ce tableau, veuillez consulter la publication Commerce de gros, décembre 1975, (63-008 au catalogue).

A compter de 1961, les vendeurs de matériel de chauffage et de plomberie, auparavant classés dans le secteur du commerce de détail, sont inclus dans la série V347 du présent tableau.

Tableau V351-360 Nombres-indices des ventes des grossistes proprement dits, pour certains genres de commerce, 1930 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V351-360
Nombres-indices des ventes des grossistes proprement dits, pour certains genres de commerce, 1930 à 1975

Source: de 1954 à 1975, source identique à celle des séries V332-350; de 1950 à 1953, l'indice a été calculé en établissant la moyenne arithmétique des indices mensuels donnés dans Commerce de gros, (63-008 au catalogue), éditions mensuelles jusqu'à la fin de 1954; de 1941 à 1949, Wholesale Trade, 1949 Revised Indexes, tableau 2, p. B-9 (63-D-32 au catalogue); de 1935 à 1940, Summary Monthly Indexes of Wholesale Sales in Canada, 1935-1943, (63-D-32 au catalogue); de 1930 à 1937 (base 1930 = 100), Wholesale Trade in Canada and the Provinces, 1939, tableaux 1 et 2, pp. 5-7, (63-D-33 au catalogue). La méthode décrite plus haut a été utilisée par le Bureau de 1935 à 1949 pour obtenir les indices de 1950 à 1953.

Les indices de 1935 à 1953 ont été calculés comme moyennes des indices mensuels fondés sur les enquêtes mensuelles auprès d'un échantillon de grossistes. La taille de l'échantillon, qui était fixée à 200 commerces de 1935 à 1939, a été portée à 300 en 1940 et à 400 de 1944 à la fin de la période étudiée. Ces indices se rapportent aux grossistes proprement dits (voir la remarque relative aux séries V332-350 et la remarque générale concernant la Section V). L'enquête ne portait que sur neuf genres de commerce, et l'indice des ventes totales repose uniquement sur ces derniers. On obtient l'indice de commerce pour chaque mois en comparant les ventes déclarées pour ce mois avec celles déclarées pour le mois correspondant de l'année précédente.

Ces estimations fournissent les seules données sur les ventes annuelles disponibles de 1940 à 1950. Elles ont été révisées à la lumière des renseignements recueillis lors des recensements décennaux de 1941 et 1951.

Les indices de 1930 a 1937 (base 1930 = 100) sont tirés de l'enquête annuelle sur le commerce de gros, qui a été effectuée entre 1933 et 1939, et du recensement décennal de 1930. L'enquête annuelle était fondée sur un échantillon plus grand que celui de l'enquête mensuelle. Elle portait sur toutes les branches du commerce de gros proprement dit ainsi que sur les dépôts de produits pétroliers et les points de vente en gros de salaison et de conserverie de la viande. Une classification analogue à celle du recensement de 1930 mais quelque peu différente de celle de l'enquête mensuelle était utilisée. Pour ce tableau, les postes ont été choisis afin de correspondre le plus possible aux catégories de l'enquête mensuelle. L'indice pour tous les genres de commerce, série V351, a une couverture nettement supérieure à celle obtenue par l'enquête mensuelle.

Pour obtenir la meilleure description des genres de commerce pris en compte dans l'enquête mensuelle, on peut consulter le classement des établissements de gros par genre de commerce, donnée dans le recensement du commerce de 1930, Recensement du Canada, 1931, vol. XI, Commerce et services, Partie 2, p. 483. On trouvera une description de la portée des indices mensuels dans la publication Current Trends in Wholesale Trade, autocopiée, 1936, et une analyse de la portée des indices fondés sur les enquêtes annuelles dans Wholesale Trade in Canada and the Provinces, 1933.

Comme on ne dispose plus de données annuelles comparables relatives aux ventes des grossistes proprement dits pour toute la période de 1930 à 1975, on a dû établir de nouvelles années de référence en 1935 et 1954.

Tableau V361-373 Ventes de gros, selon le genre de commerce et le genre d'exploitation, certaines années, 1930 à 1966. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V361-373
Ventes de gros, selon le genre de commerce et le genre d'exploitation, certaines années, 1930 à 1966

Source: pour 1966, Recensement du Canada, 1966, Commerce de gros: Établissements, (97-627 au catalogue); pour 1961, Recensement du Canada, 1961, Bulletin 6.2-1, vol. VI, Partie 2, (97-511 au catalogue) et Bulletin 6.2-4, vol. VI, Partie 2, (97-514 au catalogue); pour 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VIII, Distribution: Commerce de gros et services; pour 1930 et 1941, Recensement du Canada, 1941, vol. XI, Commerce et services, Partie 2.

Les ventes des grossistes proprement dits, dans certains genres de commerce, varieront des ventes indiquées dans les séries V332-350 en raison de l'utilisation d'une composition différente par genre de commerce. Le lecteur est invité à se reporter aux publications de référence pour obtenir la composition par genre de commerce pour chaque année de recensement.

Les données présentées dans ce tableau ne comprennent que les catégories ayant enregistré les plus importantes valeurs de vente. Bon nombre d'autres catégories ont obtenu des montants inférieurs. Pour obtenir des données sur les ventes totales effectuées par les diverses catégories de points de vente et sur les ventes des dépôts de produits pétroliers, voir les séries V374-387.

On trouvera des détails sur le contenu des divers genres de commerce et la nature du genre d'exploitation pour le recensement de 1951 dans Recensement du Canada, 1951, vol. VIII, Distribution: Commerce de gros et services, appendice B et appendice A, respectivement. Voir également le tableau 3 dans le même volume.

A compter de 1961, les marchands de bois et matériaux de construction, qui faisaient auparavant partie du secteur de détail, sont compris dans la série V369 du présent tableau.

Un certain nombre de succursales de vente des fabricants ayant déclaré des ventes ou pour lesquelles des ventes ont été estimées, ont été incluses dans le commerce de gros en 1951, mais exclues en 1961 si elles ne constituaient pas des entités comptables en mesure de déclarer une gamme complète de statistiques. On estime que les ventes effectuées par ces 3,478 locaux d'affaires en 1961 dépassaient $4 milliards.

Les chiffres de 1930 comprennent certains bureaux de vente situés au même endroit que l'établissement manufacturier, qui ont été exclus des résultats pour 1941.

En 1961, la série V370, révèle l'existence d'un manque d'entités comptables en mesure de déclarer une gamme complète de statistiques.

En raison de différences existant dans la portée et le champ d'observation, les comparaisons directes entre les résultats obtenus pour 1941 et 1930 dans la série V370 doivent être effectuées avec prudence.

Tableau V374-387 Commerce de gros, selon le genre principal d'exploitation par province, certaines années, 1930 à 1966. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V374-387
Commerce de gros, selon le genre principal d'exploitation par province, certaines années, 1930 à 1966

Source: pour 1966, Recensement du Canada, 1966, Commerce de gros: Établissements, (97-627 au catalogue); pour 1961, Recensement du Canada, 1961, Bulletin 6.2-1, vol. VI, Partie 2, (97-511 au catalogue); pour 1941 et 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VII, Distribution: Commerce de gros et services; pour 1930, Recensement du Canada, 1941, vol. XI, Commerce et services, Partie 2.

A partir de certaines caractéristiques communes chaque établissement de vente en gros est classé dans l'un des genres d'exploitation suivants:

1. Commerçants en produits primaires. Établissements dont l'activité principale consiste à acheter des produits primaires tels que les céréales, le bétail, les fourrures non traitées, le poisson, le tabac en feuilles, la pulpe de bois, etc., directement aux exploitants agricoles et forestiers, aux pêcheurs et aux trappeurs canadiens ou à servir d'agents à l'occasion de telles opérations. On considère les coopératives de vente qui mettent sur le marché les produits primaires de leurs membres comme des commerçants en produits primaires.

2. Grossistes. Établissements dont l'activité principale consiste à acheter et à vendre pour leur propre compte. Cette catégorie comprend les grossistes en exportation ou en importation, en vente au comptant sans livraison, les grossistes spécialisés en expédition directe, en vente par correspondance, en répartition par camion, en vente au moyen d'étalages placés chez les clients, etc.

3. Agents et courtiers. Établissements dont l'activité principale est l'achat ou la vente à la commission de marchandises appartenant à d'autres. Ces établissements peuvent porter la désignation de sociétés de vente aux enchères, de commissionnaires en marchandises, d'agents et courtiers en importation ou en exportation, de représentants de fabricants, d'agents d'achat et acheteurs, d'agents de vente, etc. On ne classe pas tous les agents ou courtiers dans cette catégorie: un agent dont l'activité porte sur les produits primaires qu'il achète directement aux fermiers canadiens est considéré comme un commerçant en produits primaires (1er type); les activités de gros du type agence assurées par des fabricants feront partie des succursales de vente des fabricants (4e type), tandis que les agents dont le commerce porte principalement sur les produits du pétrole feront partie des dépôts et distributeurs par camion-citerne de produits pétroliers (5e type).

4. Succursales de vente des fabricants. Établissements que les entreprises manufacturières possèdent pour la commercialisation de leurs propres produits. Ces établissements peuvent être constitués ou non en une société séparée et peuvent également vendre des marchandises d'autres fabricants. Les deux exceptions sont: a) les succursales de vente des fabricants qui appartiennent à une entreprise n'ayant d'usine qu'à l'étranger et b) les succursales de vente des fabricants constituées en société et vendant moins de 50% de la production de la société-mère. Ces deux exceptions sont désignées non pas comme succursales de vente des fabricants, mais comme grossistes. Il faut noter qu'il n'a pas été tenu compte de l'exception a) lors du recensement du commerce de gros de 1961. Les succursales de vente des fabricants qui n'ont pas de comptabilité distincte mais constituent de simples prolongements des usines (qui n'ajoutent donc aucune marge aux biens qu'elles reçoivent de la fabrique-mère, et qui ne sont pas payées à la commission par la compagnie-mère) font partie des établissements manufacturiers, ce qui les fait exclure du champ d'observation du recensement du commerce de gros.

5. Dépôts et distributeurs par camion-citerne de produits pétroliers. Entreprises dont l'activité principale consiste en la distribution en gros des produits du pétrole. Exemples: dépôts de pétrole en vrac exploités par un personnel salarié ou indépendant ou par une agence; distributeurs par camion-citerne fonctionnant à titre indépendant ou sous forme d'agence.

Lorsqu'un établissement de commerce de gros a plusieurs genres d'exploitation, il est classé selon l'activité d'où provient la plus grande partie de sa marge brute. Lorsque cet établissement est exploité par des agents ou par des courtiers, le montant total des commissions reçues représente la marge brute. On peut citer comme exemple un établissement qui est à la fois grossiste et en partie agent, qui gagne $20,000 sous forme de marge brute pour compte propre, et touche $30,000 sous forme de commissions. Du fait que les recettes provenant des commissions dépassent la marge sur les opérations pour compte propre, l'établissement est classé dans la catégorie des agents et courtiers.

La notion d'établissement s'appuie essentiellement sur la comptabilité commerciale. L'établissement est la plus petite entité ou ensemble d'exploitation séparé en mesure de déclarer tous les éléments qui y sont mis en oeuvre ou produits et qui sont nécessaires au calcul de la marge brute, ainsi que les effectifs occupés et la rémunération des salariés. La seule restriction à cette définition est que les établissements de gros ne doivent pas chevaucher les limites des cinq régions canadiennes. (La région de l'Atlantique comprend Terre-Neuve, l'Île-du-Prince-Édouard, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick. Le Québec et l'Ontario sont considérés comme deux régions distinctes. Le Manitoba, la Saskatchewan et l'Alberta forment la région des Prairies; tandis que la Colombie-Britannique, le Yukon et les Territoires du Nord-Ouest sont rattachés à la région de la Colombie-Britannique.) Il a fallu créer des établissements fictifs pour des entreprises de gros à établissements multiples ayant des locaux d'affaires dans plusieurs régions. On a constitué des établissements de telles entreprises à partir des limites régionales, sans tenir compte des entités comptables.

Le «local d'affaires» est le point de vente réel où a lieu l'activité commerciale. Le local d'affaires ne dépend pas obligatoirement de la disponibilité de données comptables, mais il doit pouvoir fournir un nombre limité de données statistiques même s'il y a lieu de procéder par estimation. Lorsque les dossiers comptables servent à mesurer l'activité commerciale déterminée d'un seul local d'affaires, l'établissement et le local d'affaires se confondent; dans le cas contraire, deux ou plusieurs locaux d'affaires appartiennent à un même établissement donné.

A compter de 1961, les élévateurs à céréales locaux ayant conclu un contrat de vente avec la Commission canadienne du blé sont exclus du commerce de gros et de la colonne V384 et inclus dans l'industrie de l'entreposage.

Des méthodes différentes ont été utilisées en 1930 et 1941 pour classer les élévateurs de compagnies. Le recensement de 1930 mettait l'accent sur la fonction de vente de ces compagnies. Chaque compagnie était considérée comme une seule entité et ne présentait qu'une déclaration portant sur les activités du siège social et l'organisation des ventes uniquement. Le recensement de 1941 insistait davantage sur la fonction de montage de ces élévateurs plutôt que sur leur fonction de vente, ainsi que l'indique le tableau. Le siège social a été tout à fait omis, mais chaque élévateur local a été considéré comme une entité. Le chiffre d'affaires indiqué pour les élévateurs de compagnies représente les paiements versés aux agriculteurs aux élévateurs locaux. Ce changement de méthode entraîne la présentation d'un nombre bien plus élevé d'établissements pour ce classement en 1941, comparativement à 1930.

Tableau V388-397 Commerce de gros, marges bénéficiaires brutes par genre de commerce, tous les deux ans, 1947 à 1957. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V388-397
Commerce de gros, marges bénéficiaires brutes par genre de commerce, tous les deux ans, 1947 à 1957

Source:Operating Results of Food Wholesalers, bisannuel, 1947 à 1957, chaque édition, tableau sur le sommaire des résultats, (63-419 au catalogue); Operating Results of Automotive Parts and Accessories Wholesalers, éditions de 1953, 1955 et 1957, tableau 1, (63-416 au catalogue); Operating Results of Hardware Wholesalers, éditions de 1953, 1955 et 1957, tableau 1, (63-421 au catalogue); Operating Results of Plumbing and Heating Supplies Wholesalers, éditions de 1953, 1955 et 1957, tableau 1, (63-423 au catalogue); Operating Results of Drug Wholesalers, éditions de 1953, 1955 et 1957, tableau 1, (63-417 au catalogue); Operating Results of Miscellaneous Wholesalers, édition de 1947, tableau 1, p. 9, édition de 1949, p. E-7 et édition de 1951, p. 7, (63-D-42 au catalogue). La dernière publication mentionnée contenait des données pour les grossistes en pièces et accessoires d'automobiles, en quincaillerie et en plomberie et matériel de chauffage et en pharmacie, qui ont commencé à être publiées dans des bulletins distincts en 1953.

Voir la remarque générale relative à la Section V qui se rapporte à la collecte des données sur les résultats d'exploitation des entreprises de détail et de gros et la remarque relative aux séries V100-129 qui donne une définition des marges bénéficiaires brutes.

Les enquêtes ont été effectuées auprès de tous les grossistes proprement dits dans dix genres de commerce qui, en 1941, intervenaient pour 35% des ventes de tous les grossistes proprement dits. Les dix genres de commerce visés ont été choisis d'après leur importance dans la distribution de biens de consommation aux détaillants, et, dans la plupart des cas, une très forte proportion des ventes était destinée aux détaillants. Le commerce des marchandises à la pièce a constitué une exception notable à cette règle car la majeure partie de ses ventes était destinée à d'autres grossistes et consommateurs importants, et le matériel de plomberie et de chauffage a été vendu surtout aux entrepreneurs. Chaque groupe commercial ne comprenait que les sociétés exerçant principalement leur activité dans le genre de commerce donné.

Les rapports d'exploitation présentés dans ce tableau portent sur tous les grossistes pour lesquels on a établi des totalisations. En outre, chaque rapport donne les marges bénéficiaires pour les mêmes entreprises, pour l'année visée par l'enquête et l'enquête précédente qui a eu lieu deux ans plus tôt. Comme le nombre d'entreprises identiques a varié entre chaque paire d'années pour lesquelles on présente des comparaisons, on n'indique pas ici leurs marges bénéficiaires.

Les sources ne donnent pas de descriptions du contenu détaillé des divers commerces. Les descriptions des commerces pris en compte dans les séries V351-360 données dans les remarques se rapportant à ces séries indiquent probablement la nature des commerces visés.

Les publications de référence fournissent de nombreux renseignements complémentaires, qui sont en général semblables à ceux qui sont présentés dans les bulletins analogues se rapportant aux commerces de détail (voir la remarque relative aux séries V100-129). Certaines données distinctes sont fournies pour les sociétés constituées seulement.

En 1953, 1955 et 1957, on a ajouté un autre groupe commercial, celui des Appareils ménagers et du matériel électrique, (63-422 au catalogue), dont les marges bénéficiaires brutes étaient de 19.67% en 1953, 18.67% en 1955 et 18.93% en 1957.

Tableau V398-409 Statistiques sommaires, recensement du commerce de gros, par province, certaines années, 1930 à 1966. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V398-409
Statistiques sommaires, recensement du commerce de gros, par province, certaines années, 1930 à 1966

Source: pour 1966, Recensement du Canada, 1966, Commerce de gros: Établissements, (97-627 au catalogue); pour 1961, Recensement du Canada, 1961, vol. VI, Partie 2, (97-511 au catalogue); pour 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VIII, Distribution: Commerce de gros et services; pour 1941, Recensement du Canada, 1941, vol. XI, Commerce et services, Partie 2.

Établissements de services (séries V410-448)

Tableau V410-413 Buanderies mécaniques, établissements de nettoyage et de teinture, certaines statistiques d'exploitation, 1917 à 1974. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V410-413
Buanderies mécaniques, établissements de nettoyage et de teinture, certaines statistiques d'exploitation, 1917 à 1974

Source: pour 1973 et 1974, Buanderies mécaniques, établissements de nettoyage à sec et de teinture, 1974, annuel, (63-205 au catalogue); de 1961 à 1972, Buanderies mécaniques, établissements de nettoyage à sec et de teinture, 1972, annuel, (63-205 au catalogue); de 1930 à 1960, Launderies, Cleaners and Dyers, 1960, tableaux 5 et 13, (63-205 au catalogue); de 1917 à 1929, Power Laundries and Cleaning and Dyeing Establishments in Canada, 1939, tableau 7, p. 12 et tableau 20, p. 32, (63-205 au catalogue); de 1917 à 1926, Report on the Dyeing, Cleaning and Laundry Industry in Canada, 1928, p. 3, (63-205 au catalogue).

Le présent tableau concerne l'activité commerciale des buanderies mécaniques et des établissements de nettoyage à sec et de teinture. Sont classés comme buanderies mécaniques les établissements dont la majeure partie des recettes provient du blanchissage ou des services de location lorsqu'il est prouvé que l'établissement utilise du matériel loué ou le blanchissage. Sont classés comme établissements de nettoyage à sec et de teinture les établissements dont la majeure partie des recettes provient du nettoyage à sec et de la teinture. Ce tableau ne comprend pas les teintureries commerciales ou industrielles qui effectuent des travaux pour le compte d'usines de textiles, etc. La méthode de classement entraîne des variations irrégulières d'une année à l'autre pour les buanderies mécaniques et les établissements de nettoyage à sec et de teinture; les données combinées pour les deux classements indiquent pourtant des variations annuelles uniformes.

De 1917 à 1936, ces données ont été recueillies dans le cadre du recensement annuel des manufactures; ensuite, elles ont été rassemblées chaque année par la Direction du commerce intérieur de la Division de l'industrie et du commerce, qui est devenue plus tard la Division du commerce et des services de Statistique Canada.

Les données de 1917 à 1926 ne sont pas exactement comparables à celles des années ultérieures. Elles ne sont pas présentées séparément pour les buanderies et les établissements de nettoyage et de teinture. La teinture et le finissage des textiles sont inclus pour ces années mais non compris dans les données de 1927 à 1960: la valeur des travaux de teinture et de finissage des textiles se chiffrait à $2,871,000 en 1927 et à $3,074,000 en 1928. Enfin, de 1921 à 1924, l'inclusion d'un nombre considérable de buanderies manuelles a influé sur les données, principalement sur le nombre d'établissements.

Chronologiquement, le rapport annuel portant sur cette activité économique repose sur un dénombrement complet de tous les établissements. En 1969, on a toutefois décidé d'essayer d'effectuer une enquête par sondage et, par conséquent, les données relatives au nombre d'établissements n'ont pas été publiées. Pour l'enquête de 1970, on a rétabli l'enquête complète, et toutes les données de cette année sont tout à fait comparables à celles des années antérieures. La publication de référence fournit d'autres données qui ne sont pas présentées ici.

Tableau V414-416 Certaines statistiques des hôtels, 1930, 1941 et 1949 à 1973. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V414-416
Certaines statistiques des hôtels, 1930, 1941 et 1949 à 1973

Source: de 1969 à 1973, Statistique de l'hébergement de voyageurs, annuel, 1969 à 1973, (63-204 au catalogue); de 1961 a 1968, Hotels, annuel, éditions de 1961 à 1968, (63-204 au catalogue); de 1949 à 1960, séries V200 et V201 tirées de la publication Hotels, 1960, p. 7, pour la série V202, données tirées de chaque édition de Hotels pour l'année visée, divers tableaux, (63-204 au catalogue); pour 1941, toutes les données sont tirées de Hotel Statistics, 1941, tableau 1, p. 4, (63-D-63 au catalogue); pour 1930, toutes les données proviennent du Recensement du Canada, 1931, vol. XI, pp. 1237-9.

Les statistiques présentées dans ce tableau se rapportent à tous les hôtels exploités au Canada: 1) autorisés ouverts toute l'année, 2) non autorisés ouverts toute l'année, 3) autorisés saisonniers, et 4) non autorisés saisonniers.

Une chambre genre hôtel, est une chambre située dans un pavillon central ou hôtel accessible du hall d'entrée, mais sans accès direct de l'extérieur. Une chambre, genre hôtel-motel est une chambre située dans un pavillon central ou hôtel, accessible du hall d'entrée ainsi que directement de l'extérieur. Ce genre de chambre correspond à une chambre d'hôtel aux fins de notre classification des établissements.

Les hôtels «autorisés ouverts toute l'année» comprennent des établissements: 1) offrant au moins six chambres du genre hôtel ou hôtel-motel; 2) exploités au moins 10 mois par année; 3) autorisés à vendre des boissons alcooliques à condition que les recettes provenant de la location des chambres soient égales ou supérieures à 1% des recettes qui proviennent de la vente des boissons alcooliques; 4) déclarant que les recettes provenant de la location des chambres, des repas servis et de la vente des boissons alcooliques sont égales ou supérieures à 2/3 des recettes qui proviennent des ventes de marchandises; 5) déclarant que les recettes proviennent principalement de la location des chambres à des clients de passage.

«Hôtels non autorisés ouverts toute l'année» mêmes critères que les établissements «autorisés, ouverts toute l'année», sauf pour le troisième qui devient: 3) non autorisés à vendre des boissons alcooliques.

«Hôtels autorisés saisonniers» mêmes critères que les établissements «autorisés, ouverts toute l'année», sauf pour le deuxième qui devient: 2) exploités moins de 10 mois par année.

«Hôtels non autorisés saisonniers» mêmes critères que pour les établissements ouverts toute l'année autorisés, sauf pour les deuxième et troisième critères qui deviennent: 2) exploités moins de 10 mois par année et 3) non autorisés à vendre des boissons alcooliques.

Les définitions qui précèdent se rapportent à l'année 1973; le lecteur est invité à consulter les publications de référence qui indiquent les éventuels changements apportés aux concepts ou aux définitions.

Les données relatives aux hôtels ont été recueillies lors des recensements décennaux de 1931 et 1941, et ont commencé à être rassemblées chaque année depuis 1949. Tous les hôtels sont pris en compte chaque année. On peut se reporter à la remarque générale relative à la Section V pour obtenir des détails sur la manière dont les listes de ces établissements ont été obtenues lors des recensements décennaux. Les listes établies lors de ces recensements sont complétées par les listes d'hôtels autorisés fournies par les administrations provinciales.

La publication de référence fournit d'autres données non présentées ici.

Tableau V417-419 Certaines statistiques des agences de publicité en activité au Canada, 1941 et 1946 à 1974. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V417-419
Certaines statistiques des agences de publicité en activité au Canada, 1941 et 1946 à 1974

Source: de 1965 à 1974, Agences de publicité, 1974, annuel, (63-201 au catalogue); de 1961 à 1964, Agences de publicité, 1967, annuel, (63-201 au catalogue); pour 1941 et de 1946 à 1963, Agences de publicité, 1960, tableau 1, p. 2, (63-201 au catalogue).

L'enquête sur les agences de publicité menée dans le cadre du recensement décennal de 1941 et les enquêtes annuelles effectuées depuis 1944 portent sur toutes les entreprises faisant partie de ce secteur d'activité.

Les données sont fondées sur les unités commerciales et non sur les établissements.

Ces données se rapportent aux entreprises dont l'activité principale consiste à passer de la publicité auprès des divers genres de supports publicitaires, surtout dans des publications, à la télévision et à la radio, en retour d'une commission ou d'une rémunération. Ces entreprises peuvent effectuer certaines études de marché et certains travaux de production. Les entreprises dont l'activité se limite à préparer les textes publicitaires, le dessin publicitaire, l'impression ou d'autres travaux de production ne sont pas comprises.

En raison d'une modification de la présentation du questionnaire, adoptée lors de l'enquête de 1968, les données relatives aux recettes brutes pour les années 1968 à 1974 ne sont pas comparables à celles fournies pour les années antérieures à 1968.

La publication de référence fournit d'autres données qui ne sont pas présentées ici.

On trouvera des renseignements complémentaires sur les agences de publicité dans Advertising Expenditures in Canada, 1954, Document de référence n° 67, 1956, qui présente des données recueillies en grande partie auprès de divers supports publicitaires. Cette publication renferme de nombreux détails sur les recettes des divers supports publicitaires, les frais internes des annonceurs publicitaires, les frais de publicité dans divers secteurs d'activité, etc.

Tableau V420-423 Certaines statistiques des cinémas et ciné-parcs, 1930 à 1974. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V420-423
Certaines statistiques des cinémas et ciné-parcs, 1930 à 1974

Source: de 1965 à 1974, Cinémas et distributeurs de films, 1974, annuel, (63-207 au catalogue); de 1961 à 1964, Cinémas et distributeurs de films, 1966, annuel, (63-207 au catalogue); de 1940 à 1960, Cinémas et distributeurs de films, 1960, tableau 1, p. 7 et tableau 9, p. 12 (63-207 au catalogue); de 1930 à 1939, Motion Picture Theatres, Exhibitors and Distributors, 1955, tableau 1, p. R-7, (63-207 au catalogue).

V420 et V421. Ces séries ne visent que les cinémas réguliers et comprennent les cinémas qui utilisent du matériel 16 mm et 35 mm. Aux fins de ce tableau, les établissements comptant plus d'un auditorium au même endroit sont considérés comme un seul établissement.

V422 et V423. Ces séries se rapportent uniquement aux ciné-parcs. Un recensement de tous les cinémas portant sur l'année 1930 a eu lieu pour la première fois lors du recensement décennal de 1931. Depuis 1933, on a effectué régulièrement un recensement annuel de tous les cinémas. La liste initiale des cinémas a été dressée par les agents du recensement de la population en 1931 (voir la remarque générale se rapportant à la Section V). Depuis lors, on obtient chaque année des listes des exploitants autorisés auprès des divers organismes provinciaux accordant des permis.

Les données de 1948 à 1960 portent sur les cinémas réguliers et les ciné-parcs. Elles ne comprennent pas les exploitants itinérants sans but lucratif qui présentent des films dans des salles ou des centres communautaires, tels les églises, chalets, chambres de commerce, etc. Avant 1948, les données relatives aux centres communautaires sont comprises. Les données se rapportant aux exploitants itinérants et aux centres communautaires n'ont pas été recueillies depuis 1957.

Les données sont fondées sur le concept de l'établissement.

V421 et V423. Les recettes provenant des entrées repésentent les recettes des cinémas, et ne comprennent pas les taxes d'amusement. Les recettes provenant de la vente de bonbons, boissons, cigarettes, etc., de la location de distributeurs automatiques, de la présentation de films publicitaires et d'autres sources produisent des recettes supplémentaires, qui se sont chiffrées à $29,355,000 en 1974.

Les publications de référence fournissent d'autres données qui ne sont pas présentées ici.

On peut trouver dans d'autres sections de ce volume des données complémentaires se rapportant au commerce et aux services, notamment dans la partie de la Section D sur la population active concernant la distribution et les services, dans la Section E sur la rémunération totale par branche d'activité, dans la Section F sur la répartition du produit national par activité économique, dans la Section G sur le commerce extérieur, dans la Section K sur les prix, dans la Section M sur la disparition intérieure de certaines denrées alimentaires agricoles, dans la Section Q sur les ventes d'électricité et dans la Section T sur les dépenses au titre des transports.

Tableau V424-436 Recettes de certains genres d'établissements de services, 1961 à 1975. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V424-436
Recettes de certains genres d'établissements de services, 1961 à 1975

Source: recettes des restaurants: de 1970 à 1975, Statistique des restaurants, (63-011 au catalogue), éditions de décembre 1970 à 1975, respectivement; de 1961 à 1969, Statistique des restaurants, février 1970, (63-011 au catalogue). Motels: pour 1969, 1970, 1972, 1973 et 1974, Statistique de l'hébergement de voyageurs, annuel, (63-204 au catalogue), éditions de 1969, 1970, 1972, 1973 et 1974, respectivement. Buanderies mécaniques, établissements de nettoyage à sec et de teinture: de 1961 à 1974, Buanderies mécaniques, établissements de nettoyage à sec et de teinture, annuel, (63-205 au catalogue). Directeurs de funérailles: pour 1972, Directeurs de funérailles, 1972, (63-523 au catalogue); pour 1968, Directeurs de funérailles, 1968, (63-520 au catalogue); pour 1964, Directeurs de funérailles, 1964, (65-511 au catalogue); pour 1966, Recensement du Canada, 1966, vol. VIII, Services: Établissements, (97-647 au catalogue). Hôtels: de 1969 à 1974, Statistique de l'hébergement de voyageurs, annuel, (63-204 au catalogue), éditions de 1969 à 1974, respectivement; de 1961 à 1969 Hotels, annuel, (63-204 au catalogue), éditions de 1961 à 1968. Voir également les sources se rapportant aux séries V414-416. Cinémas: de 1968 à 1974, Cinémas et distributeurs de films, 1974, annuel, (63-207 au catalogue); de 1961 à 1967, Cinémas et distributeurs de films, 1967, annuel, (63-207 au catalogue). Services informatiques: pour 1974, Industrie des services informatiques, 1974, annuel, (63-222 au catalogue).

Les données sur les restaurants comprennent les recettes provenant: 1) des restaurants ordinaires, 2) des restaurants vendant des marchandises et 3) des restaurants vendant des boissons alcooliques. Elles comprennent les recettes des restaurants indépendants et à succursales ainsi que celles des restaurants exploités en vertu d'une concession.

Les statistiques relatives aux motels se rapportent à tous les motels, ouverts toute l'année et saisonniers, exploités au Canada. Les définitions de 1973 sont les suivantes: «Chambre, genre motel chambre faisant partie d'un groupe de chambres sous un même toit, directement accessible de l'extérieur, mais sans accès à partir d'un hall d'entrée, et avec stationnement adjacent».

«Ouverts toute l'année» comprennent des établissements: 1) offrant au moins trois chambres genre motel et moins de six chambres genre hôtel ou hôtel-motel; 2) exploités au moins 10 mois par année; 3) autorisés ou non à vendre des boissons alcooliques; toutefois, les recettes provenant de la location des chambres pour les motels autorisés doivent être égales ou supérieures à un pour cent des recettes provenant de la vente de boissons alcooliques; 4) déclarant que les recettes provenant de la location des chambres, des repas servis et de la vente des boissons alcooliques sont égales ou supérieures à 2/3 des recettes qui proviennent des ventes de marchandises; 5) déclarent que les recettes principalement de la location des chambres à des clients de passage.

Tableau V437-448 Statistiques sommaires, recensement des services, par province, certaines années, 1930 à 1971. Une nouvelle fenêtre s'ouvrira

Tableau V437-448
Statistiques sommaires, recensement des services, par province, certaines années, 1930 à 1971

Source: pour 1971, Recensement du Canada, 1971, Services, documents de travail non publiés, sujets à révision; pour 1966, Recensement du Canada, 1966, vol. VIII, Services: Répartition géographique, (97-643 au catalogue); pour 1961, Recensement du Canada, 1961, vol. VI, Partie 2, (97-517 au catalogue); pour 1951, Recensement du Canada, 1951, vol. VIII, Distribution: Commerce de gros et services; pour 1941, Recensement du Canada, 1941, vol. XI, Commerce et services, Partie 2; pour 1930, Recensement du Canada, 1931, vol. XI, Commerce et services, Partie 2.

La définition de «saisonnier» est identique à celle de «ouvert toute l'année» donnée plus haut, à l'exception du second critère 2), qui devient: exploité moins de 10 mois par année. Les recettes des directeurs de funérailles comprennent les paiements pour les services funéraires, la vente de caveaux et des frais supplémentaires (comme les frais de cimetière et d'expédition, les voitures supplémentaires, les avis dans les journaux, les vêtements, etc.).

Les services informatiques se rapportent aux établissements situés au Canada dont l'activité principale consiste à fournir des services informatiques. La définition des services informatiques comprend le traitement, la préparation des entrées, les services concernant le logiciel et les systèmes, les services de création et d'entretien des systèmes, les autres services concernant le logiciel et les systèmes, les services d'entretien du matériel ainsi que les autres services informatiques (y compris les services d'éducation par ordinateur, la gestion des ordinateurs, les études de faisabilité, etc.).


Pour visualiser les documents PDF, vous devez utiliser le lecteur Adobe gratuit. Pour visualiser (ouvrir) ces documents, cliquez simplement sur le lien. Pour les télécharger (sauvegarder), mettez le curseur sur le lien et cliquez le bouton droit de votre souris. Notez que si vous employez Internet Explorer ou AOL, les documents PDF ne s'ouvrent pas toujours correctement. Veuillez consulter Dépannage pour documents PDF. Il se peut que les documents PDF ne soient pas accessibles au moyen de certains appareils. Pour de plus amples renseignements, visitez le site Adobe ou contactez-nous pour obtenir de l'aide.