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John Chant, Université Carleton
Masse monétaire (séries J1-54)Les données de la présente section sont classées dans les six groupes suivants: masse monétaire, séries J1-54; banque centrale, séries J55-74; banques à charte, séries J75-272; autres institutions financières, séries J273-470; émissions d'actions et d'obligations, rendement et cours du change, séries J471-567; et actif et passif financiers selon les comptes des flux financiers, séries J568-875.
Outre les sources mentionnées dans la première édition de Statistiques historiques, les principales sources de données sont les suivantes: Revue de la Banque du Canada, mensuelle, décembre 1971 à septembre 1978. (Tous les numéros de tableaux cités ci-après sont ceux qui figurent dans l'édition de septembre 1978 de la Revue de la Banque du Canada.) Banque du Canada, Bulletin statistique (dernière édition: novembre 1971) et son Supplément annuel; Statistique Canada, Institutions financières (61-006 au catalogue); Statistique Canada, Comptes des flux financiers, Volume II, Flux annuels et encours de l'actif et du passif financiers à la fin de l'année, 1961-1976 (13-563 au catalogue); Bourse de Toronto, Review, décembre 1977 et éditions antérieures; directeur de la Monnaie, Rapports annuels de la Monnaie royale canadienne.
D'autres sources sont mentionnées dans les remarques se rapportant à chaque tableau présenté ci-après. Les plus importantes de ces sources consistent en un grand nombre de totalisations spéciales fournies par le Département des études monétaires et financières et le Département des opérations bancaires de la Banque du Canada, ainsi que par la Division des finances des entreprises et la Division des flux financiers et des entreprises multinationales de Statistique Canada.
Comme son prédécesseur, le présent volume vise principalement à fournir de longues séries annuelles pour permettre d'effectuer une analyse chronologique et des tendances à long terme plutôt qu'une analyse de conjoncture. C'est pourquoi il utilise en général les moyennes annuelles des séries en fin de mois plutôt que les séries hebdomadaires (moyenne des mercredis) présentées par la Banque du Canada. Toutefois, il donne à la fois les séries hebdomadaires et mensuelles dans certains cas, comme la masse monétaire et l'actif et le passif des banques à charte, parce que les classifications disponibles diffèrent entre les données hebdomadaires et mensuelles et que l'on juge utile de présenter les deux.
Ce volume contient un certain nombre de nouvelles séries qui sont disponibles depuis 1960, dernière année sur laquelle portent les données de la première édition. Dans le secteur bancaire, la révision de la Loi sur les banques effectuée en 1967 a permis d'améliorer sensiblement l'accès aux données. Toutefois, certaines des classifications plus récentes sont trop détaillées et, faute d'espace, ne peuvent être présentées dans ce volume. C'est pourquoi les données sur les prêts généraux des banques à charte selon la catégorie d'emprunteur, l'importance du prêt et le secteur d'activité, et autres données plus récentes relatives aux prêts fondées sur une base provinciale, sont exclues. En ce qui a trait à la rubrique du passif, les données sur les dépôts selon l'importance et d'autres classifications plus récentes ont également été omises. D'importance primordiale, il faut accepter qu'un ensemble de données annuelles, tel que celui-ci, ne peut décrire exactement les données relatives aux divers coefficients des réserves. La plupart des travaux de la banque centrale sont effectués sur une base quotidienne et hebdomadaire et se reflètent dans les statistiques hebdomadaires. La présentation de moyennes annuelles relatives à ces données ne servirait pas à grand chose et a donc été omise ci-après. De toute façon, les publications hebdomadaires et mensuelles de la Banque du Canada répondent davantage aux besoins des utilisateurs de telles données.
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La première édition comprenait un certain nombre de séries visant à recueillir des renseignements sur la masse monétaire et le monnayage au Canada. Depuis lors, on s'est intéressé bien davantage aux divers concepts relatifs à la masse monétaire aux fins d'analyse. Toute définition de la monnaie implique nécessairement une certaine subjectivité. Pour assurer la continuité, on a décidé de présenter, comme dans la première édition, une série où la monnaie définie comme l'ensemble des dépôts des banques à charte et des billets et pièces de monnaie détenus hors de ces banques. En outre, plutôt que de ne présenter qu'un seul concept de la masse monétaire, il a paru utile de fournir un éventail des diverses séries disponibles sur la masse monétaire portant sur les dernières années. Voir les séries J21-26 présentées ci-après.
Source : ce tableau constitue une mise à jour des séries H1-10 présentées dans la première édition. Les données fournies à partir de 1960 sont tirées de la Revue de la Banque du Canada, tableaux 3, 8 et 14.
Le renvoi 2 relatif aux séries J4-7 se rapporte aux changements de définition des dépôts dans les banques à charte effectués entre 1935 et 1945 et en 1957. Le texte initial à la page 233, explique que les séries comprenaient les dépôts en monnaies étrangères pour certaines années et que les «autres dépôts» ont été obtenus indirectement, en soustrayant l'épargne personnelle et les dépôts du gouvernement canadien du total des dépôts moins les effets en cours de compensation. Le texte initial déclare que «d'autres améliorations statistiques ont été apportées en 1954 au traitement des effets en cours de compensation et à la déclaration des dépôts en monnaies étrangères. Les séries H4-7 et H10 relatives aux années 1945 à 1960 reflètent ces changements et, en autant que le permettent les estimations, sont compatibles pour toutes ces années, à l'exception de la série H4, qui a été révisée en 1957 pour exclure certains dépôts des entreprises et des institutions, d'une valeur de $140 millions, lesquels ont alors été transférés dans la série H6».
Tableau J11-20
Billets et pièces détenus par les banques et le public et passif-dépôts en dollars canadiens des banques à charte, 1913 à 1977
Source : voir la première édition à la page 223. Les mises à jour des séries décrites dans la première édition ont été fournies par le Département des études monétaires et financières le Département des opérations bancaires de la Banque du Canada.
La première édition déclarait que ces séries étaient de qualité inférieure, mais qu'elles étaient présentées parce qu'elles remontaient à 1867. La présente édition les interrompt en 1913 pour économiser de la place. La seule différence existant entre la série J20 et la série J7 est que la première comprend les effets en cours de compensation.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 14. Le tableau comprend l'ensemble des définitions fournies à l'heure actuelle par la Banque du Canada. Certaines définitions que certains jugeraient incontestablement utiles ont été omises. En outre, les opinions prédominantes concernant les définitions les plus utiles de la masse monétaire peuvent changer avec le temps. L'éventail de définitions présentées par la banque donne toutefois une bonne idée des diverses méthodes qui peuvent être utilisées.
En décrivant ces séries, la Banque du Canada déclare qu'on a groupé la monnaie et les dépôts dans les banques à charte afin de montrer différentes définitions des agrégats monétaires. Dans chacune de ces séries, le montant des effets en cours de compensation et celui des dépôts du gouvernement canadien dans les banques à charte ont été déduits des données. Les données se rapportent aux moyennes des mercredis ou aux chiffres du mercredi, sauf que pour la monnaie métallique hors des banques, où les chiffres retenus sont ceux de la fin du mois précédent. Les données hebdomadaires des agrégats «M1» et de la monnaie plus l'ensemble des dépôts bancaires du public en dollars canadiens remontent à janvier 1953, celles de «M1B» à janvier 1967, celles de «M2» à janvier 1968 et celles de «M3» à janvier 1970.
La «monnaie hors des banques» comprend les billets de la Banque du Canada et la monnaie métallique en circulation. Pour obtenir le montant des billets, on soustrait de leur encours le montant détenu par les banques à charte. Le montant de la monnaie métallique hors des banques s'obtient en soustrayant le montant détenu par les banques à charte et par la Banque du Canada de l'encours global des pièces, chiffre que l'on trouve dans les relevés de la Monnaie royale canadienne.
Les «dépôts à vue». Cette expression désigne, tant lorsqu'elle est employée séparément que lorsqu'elle représente une composante d'une série donnée, les dépôts en dollars canadiens dans les banques à charte moins l'estimation des effets du secteur privé en cours de compensation.
«M1» comprend la monnaie hors des banques et les dépôts à vue.
«M1B» comprend la monnaie hors des banques, les dépôts à vue, les dépôts bancaires en dollars canadiens avec droit de tirage par chèque, qu'ils appartiennent ou non à des particuliers.
«M2» comprend, en plus des composantes de «M1B», les dépôts à terme et les dépôts en dollars canadiens sans droit de tirage par chèque des particuliers ainsi que les dépôts bancaires à préavis sans droit de tirage par chèque au nom de clients autres que des particuliers.
«M3» comprend, outre les composantes de «M2», les dépôts à terme en dollars canadiens autres que ceux des particuliers, les billets à terme au porteur ainsi que l'ensemble des dépôts en monnaies étrangères tenus au Canada au nom des résidents.
«Monnaie, plus ensemble des dépôts bancaires en dollars canadiens du public.» Cette série correspond à celle qui était présentée jusqu'ici sous la rubrique «Monnaie et dépôts détenus par le public». Elle comprend les mêmes éléments que «M3», sauf que les dépôts bancaires en monnaies étrangères tenus au Canada au nom des résidents en sont exclus.
Source : Rapports annuels de la Monnaie royale canadienne.
La première édition (séries H21-26) comprend les mêmes séries jusqu'en 1870. Ces séries ont simplement été mises à jour dans le présent volume.
Source : identique à celle des séries J27-32.
Voir dans la première édition les remarques se rapportant aux séries H27-35, qui étaient alors présentées jusqu'en 1901. Les séries initiales ont simplement été mises à jour dans le présent volume.
Tableau J42-54
Pièces de monnaie canadienne en circulation, retrait de pièces et augmentation nette du nombre de pièces en circulation, 1960 à 1976
Source : identique à celle des séries J27-32.
Il s'agit d'un nouveau tableau destiné à montrer la monnaie en circulation, le retrait de pièces et l'augmentation nette du nombre de pièces en circulation. En plus des pièces qui sont officiellement retirées de la circulation, un grand nombre de pièces disparaissent parce qu'elles sont détruites, perdues ou pour d'autres raisons.
Les données relatives à la Banque du Canada sont disponibles sur une base portant sur la fin du mois depuis que la Banque est entrée en activité en mars 1935, et sur une base hebdomadaire depuis 1954. Pour respecter l'objectif défini dans l'introduction, seules les données de la fin du mois sont présentées ici. Ces dernières offrent en outre l'avantage de fournir une ventilation plus utile des échéances des titres du gouvernement détenus par la Banque. Les bénéfices de la Banque du Canada sont publiés dans le Rapport annuel du Gouverneur au Ministère des Finances..
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 3. Il s'agit des séries de la fin du mois, à la fin de décembre de chaque année, depuis 1935, première année d'activité de la Banque, jusqu'en 1977. Les définitions de chaque série sont données dans les notes relatives au tableau 3, à la page S-139 de la Revue (septembre 1978).
Les lecteurs désirant utiliser les séries hebdomadaires (moyenne des mercredis), qui ont commencé à être publiées en 1954, trouveront ces données au tableau 4 de la Revue.
Le premier volume de Statistiques historiques du Canada présente les banques à charte de la manière suivante:
Le dossier statistique des banques à charte du Canada a été matériellement constitué par la révision décennale de la Loi sur les banques. Cette révision périodique a permis aux autorités de demander aux banques des renseignements statistiques sur des domaines particuliers d'intérêt à divers moments de l'histoire des banques; elle a laissé la tendance visant à recueillir des statistiques bancaires plus détaillées se manifester de façon assez régulière, et elle a favorisé l'adoption d'un mode de classement des statistiques bancaires qui accroît leur utilité pour l'analyse économique. Par ailleurs, ces changements fréquents rendent difficile l'établissement de séries compatibles de statistiques bancaires portant sur une longue période. Cet inconvénient apparaît surtout dans le cas des données relatives à l'actif des banques et se manifeste un peu moins dans celui des statistiques se rapportant au passif. On a donc décidé de présenter l'actif des banques dans un certain nombre de tableaux, chacun de ceux-ci reflétant les changements intervenus dans certains éléments de l'actif par rapport au tableau précédent.
La plupart des statistiques portant sur la période antérieure à 1929 ont été rassemblées par C.A. Curtis dans le volume Statistical Contribution to Canadian Economic History, vol. 1, "Statistics of Banking", qui reste la source la plus complète et la plus pratique des statistiques bancaires détaillées relatives à cette période. Les lecteurs sont également invités à consulter ce volume pour obtenir une analyse détaillée des statistiques chronologiques portant sur les banques en général ainsi que des séries particulières, dont on ne peut donner une description complète ici. En outre, le rapport mensuel envoyé par les banques au ministère des Finances, qui figure dans la Gazette du Canada, a été fréquemment utilisé, et constitue la principale source des statistiques présentées dans le volume de M. Curtis. Depuis 1935, le Bulletin statistique et les Suppléments de la Banque du Canada se sont avérés très utiles pour cette étude et fournissent, en outre, des statistiques hebdomadaires et mensuelles de l'actif et du passif des banques à charte.
Les données fournies dans le Bulletin statistique ainsi que de nombreuses nouvelles séries sont présentées dans la Revue de la Banque du Canada.
Le présent volume donne à la fois (a) les séries mensuelles jusqu'en 1913 et (b) les séries hebdomadaires jusqu'en 1953, surtout pour montrer les différences existant dans les catégories présentées.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 7 et première édition de cet ouvrage p. 225.
On présente les données en fin de mois pour le mois de décembre de chaque année. Les définitions de chaque série sont données dans les notes relatives aux tableaux 5 à 8 de la Revue (p. S-139). Ces notes se rapportent à la fois aux classifications hebdomadaires et aux classifications mensuelles des données qui figurent dans le groupe de tableaux relatifs à l'actif et au passif des banques à charte, présentés ci-après.
Depuis la révision de la Loi sur les banques en 1967, les banques à charte portent à un compte spécial, au passif de leur bilan, le montant des provisions pour pertes, alors qu'auparavant elles défalquaient ces provisions de l'encours des prêts et d'autres actifs. Ce changement a eu une influence sur les séries à partir du 31 octobre 1967. En janvier 1970, la ventilation du papier à court terme détenu par les banques à charte a été modifiée. Auparavant, le papier à court terme que détenaient les banques était assimilé aux prêts lorsque l'émetteur bénéficiait d'un crédit ouvert à la banque intéressée. Depuis janvier 1970, ce papier ne figure avec les prêts dans les bilans bancaires que s'il a été cédé directement à la banque par l'émetteur au moment de l'émission, tandis que tout le papier cédé aux banques par des tiers est incorporé au portefeuille-titres. En décembre 1970, les avoirs en monnaies étrangères ont été redéfinis pour comprendre les titres payables en monnaies étrangères détenus par les banques à charte, émis par des emprunteurs canadiens, qui figuraient auparavant comme valeurs canadiennes au bilan. En outre, les investissements des banques dans des sociétés étrangères sous leur contrôle ont été inclus dans les avoirs en monnaies étrangères. Les séries statistiques touchées par cette modification ont été révisées à partir d'août 1967, date à laquelle il se produit une interruption dans les séries.
J107-132, J133-156 and J157-180. Actif des banques à charte, 1913 à 1944
Il a été nécessaire de diviser la période de 1913 à 1944 en trois parties parce que la classification de l'actif a changé d'une période à l'autre. Par contre, la classification du passif, qui est présentée ensuite, est continue de 1913 à 1977.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 8, et première édition du présent ouvrage, p. 226.
Comme on l'a mentionné plus haut, il s'agit des séries mensuelles des banques à charte. Les séries hebdomadaires sont données ci-après.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 5.
Ces données sont les moyennes des mercredis de décembre de chaque année. Les classifications sont identiques à celles présentées dans la Revue.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 6.
Voir les remarques précédentes.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 15.
Ces séries de la fin du mois pour le mois de décembre de chaque année doivent compléter les tableaux présentés précédemment qui comprenaient les séries mensuelles sur la masse monétaire et le bilan des banques à charte.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau A4, publié annuellement dans l'édition de février de la Revue.
Source : Statistique Canada Institutions financières, (61-006 au catalogue), trimestriel, et totalisations spéciales fournies par la Division des finances des entreprises de Statistique Canada.
La publication précitée fournit, dans son introduction, des renseignements complets sur les définitions, sources et méthodes. Les données constituent de nouvelles séries remontant à 1961. Les statistiques plus anciennes de 1914 à 1959 sont présentées dans les séries H503-648 de la première édition de cet ouvrage. Les classifications utilisées dans ces dernières séries sont très différentes de celles dont on se sert maintenant.
Source : identique à celle des séries J273-309.
Source : identique à celle des séries J273-309.
Source : identique à celle des séries J273-309.
Source : identique à celle des séries J273-309.
Source : identique à celle des séries J273-309.
Source : Totalisations spéciales préparées par la Division des finances des entreprises de Statistique Canada.
Ces séries ont été tirées des rapports annuels du Département fédéral des assurances, qui portent sur toutes les compagnies et sociétés enregistrées au niveau fédéral, et des rapports annuels du Surintendant des assurances de l'Ontario, qui fournissent des données pour toutes les grandes compagnies et sociétés provinciales. L'utilisation de cette méthode a entraîné l'omission de certaines compagnies et sociétés provinciales n'exerçant pas leur activité en Ontario, mais cette omission ne devrait pas avoir un effet sensible sur les chiffres. Dans les cas des sociétés fédérales, on a utilisé la publication Comptes de flux financiers, Volume II. Bien que ce volume présente une rubrique distincte pour les données relatives à l'actif hors du Canada, il ne fournit aucune statistique sur le passif hors du Canada; toutefois, l'enquête trimestrielle de 1976 et 1977 indique que le passif hors du Canada représente juste un peu moins de 90% de l'actif hors du Canada. L'activité des sociétés provinciales hors du Canada est peu importante et, comme on ne pouvait pas facilement se procurer les données appropriées, on a omis de les présenter.
En ce qui concerne les données relatives au capital-actions et au surplus d'apport, seules les premières étaient disponibles auprès des sociétés fédérales, mais le surplus d'apport n'était pas indiqué. En outre, les rapports sommaires sur les sociétés provinciales ne contenaient aucune donnée sur le capital-actions et le surplus d'apport. Par conséquent, le capital-actions, le surplus d'apport, les bénéfices non répartis et les comptes du siège social (des compagnies et sociétés britanniques et étrangères) ont été regroupés sous la rubrique «Avoir propre».
La première édition de cet ouvrage présentait un certain nombre de séries sur les sociétés d'assurance-vie canadiennes, britanniques et étrangères de 1888 à 1959 (séries H373-408).
Source : identique à celle des séries J273-309.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 20 (pour le rendement des obligations), tableau 37 (pour le rendement des dividendes).
Voir également les renvois se rapportant aux séries J471-480.
Source : Bourse de Toronto, Monthly Reports, décembre 1935 à 1977 et Bourse de Toronto 300 Index of Stock Prices and Supplements.
Comme la classification de 1956 à 1977 contient plus de groupes que celle de 1914 à 1956, le tableau est présenté en deux parties. Les données se rapportant à la partie plus ancienne sont simplement tirées de la première édition de cet ouvrage. Voir également les renvois se rapportant aux séries J481-494.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableaux 29 et 30, de 1970 à 1978. Les données antérieures sont tirées du Bulletin statistique de la Banque du Canada et de son ancien Supplément annuel.
Source : Banque du Canada, Département des études monétaires et financières et Département des opérations bancaires.
Source : identique à celle des séries J519-534.
Source : identique à celle des séries J519-534.
Source : Revue de la Banque du Canada, tableau 65.
Les données représentent les moyennes annuelles des cours quotidiens de midi au comptant sur le marché interbancaire. Le cours du change de la monnaie britannique est fondé sur les cotes nominales en dollars É.-U. convertis en dollars canadiens.
Les tableaux qui suivent sont tirés de la publication de Statistique Canada Comptes de flux financiers, Volume II, 1961-1976 (13-563 au catalogue). Deux tableaux sont présentés pour chaque secteur, les encours à la fin de l'année et les flux financiers pendant l'année. Les flux ne représentent pas la différence exacte entre deux encours pour des années consécutives en raison des réévaluations de l'actif, des ajustements du passif, de changements de la structure juridique et d'autres motifs. Toutefois, les deux ensembles de données proviennent des mêmes questionnaires de base de la Division des flux financiers. On peut trouver des notes explicatives dans l'introduction de la publication précitée ainsi que dans un article publié dans la Revue statistique du Canada de juillet 1976.
Tant les secteurs que les catégories ont été regroupés dans le présent volume afin de ne présenter que les principaux titres. Les secteurs sont les suivants: I et II: particuliers et entreprises non constituées en sociétés; III: sociétés privées non financières; IV: entreprises publiques non financières; V: autorités monétaires; VI: banques et quasi-banques; VII: sociétés d'assurance et régimes de pensions; VIII: autres institutions financières privées; IX: institutions financières publiques; X: administration publique fédérale; XI: administrations publiques provinciales et locales et hôpitaux; XII: caisses de sécurité sociale; et XIII: reste du monde.
Les titres des colonnes des tableaux indiquent les principales catégories d'actif et de passif, qui sont en général semblables pour les différents secteurs.
Les quatre premières colonnes de chaque tableau de flux montrent la relation entre les chiffres des comptes nationaux sur l'épargne et les investissements non financiers et les données des opérations financières sur la variation de l'actif et du passif financiers. La «divergence statistique» entre les deux ensembles de données est présentée dans la cinquième colonne de chaque tableau de flux.
Secteurs I et II: particuliers et entreprises non constituées en sociétés;
Secteur III: sociétés privées non financières;
Secteur IV: entreprises publiques non financières;
Secteur V: autorités monétaires;
Secteur VI: banques et quasi-banques;
Secteur VII: sociétés d'assurance et régimes de pensions;
Secteur VIII: autres institutions financières privées;
Secteur IX: institutions financières publiques;
Secteur X: administration publique fédérale;
Secteur XI: administrations publiques provinciales et locales et hôpitaux;
Secteur XII: caisses de sécurité sociale;
Secteur XIII: reste du monde
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