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- 1. La dynamique de l'abordabilité du logement ArchivéArticles et rapports : 75-001-X200810113202Géographie : CanadaDescription :
Le logement étant la plus importante dépense pour la plupart des ménages, son abordabilité peut avoir un impact considérable sur le bien-être. La mesure de l'abordabilité consiste à comparer les coûts du logement à la capacité des ménages d'y faire face. Jusqu'à présent, l'abordabilité a été mesurée de façon ponctuelle. De nouveaux renseignements permettent de produire le premier examen longitudinal de l'abordabilité des logements. Cet article examine la probabilité de dépenser 30 % ou plus du revenu du ménage sur le logement, la récurrence d'une telle situation et si elle se produit occasionnellement ou de façon persistante.
Date de diffusion : 2008-03-18 - 2. Dynamique du logement abordable ArchivéArticles et rapports : 75F0002M2008001Description :
Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.
Date de diffusion : 2008-01-25 - Articles et rapports : 75F0002M2006007Description :
Le présent document résume les données sur les caractéristiques du logement et les dépenses liées au logement qui sont disponibles dans l'EDTR, une attention particulière étant portée aux méthodes d'imputation utilisées pour ces données. De 1994 à 2001, l'enquête ne portait que sur quelques caractéristiques, surtout le mode d'occupation et le type de logement. En 2002, avec le début de la commandite de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), plusieurs autres caractéristiques ainsi que des dépenses détaillées liées au logement ont été ajoutées à l'enquête. Diverses méthodes d'imputation ont aussi été adoptées à ce moment là, pour remplacer les valeurs manquantes attribuables à la non réponse à l'enquête, et pour fournir les coûts des services publics qui contribuent au coût total du logement. Ces méthodes tirent parti du plan de sondage longitudinal de l'EDTR, et elles utilisent également des données d'autres sources comme l'Enquête sur la population active et le Recensement. En juin 2006, d'autres améliorations aux méthodes d'imputation ont été adoptées pour 2004 et appliquées à des années antérieures dans le cadre d'une révision historique. Le présent rapport documente également cette révision.
Date de diffusion : 2006-07-26 - Articles et rapports : 75F0002M2005010Description :
Depuis un certain temps, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) utilise les données du Recensement de la population sur les caractéristiques du logement et les dépenses liées au logement. Bien que la source de données que constitue le recensement réponde dans une large mesure aux besoins de la SCHL, cet organisme du gouvernement fédéral a exploité les enquêtes-ménages annuelles de Statistique Canada pour obtenir des renseignements plus fréquents. Cela devait lui permettre d'avoir une image plus fidèle des tendances annuelles, et peut-être d'avoir un plus grand choix d'autres caractéristiques pour le recoupement des données sur le logement des ménages canadiens. En 2001, la SCHL a commencé à commanditer des questions supplémentaires à la fois dans l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) et dans l'Enquête sur les dépenses des ménages (EDM), à compter de l'année de référence 2002.
Date de diffusion : 2005-07-22
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Articles et rapports (4)
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- 1. La dynamique de l'abordabilité du logement ArchivéArticles et rapports : 75-001-X200810113202Géographie : CanadaDescription :
Le logement étant la plus importante dépense pour la plupart des ménages, son abordabilité peut avoir un impact considérable sur le bien-être. La mesure de l'abordabilité consiste à comparer les coûts du logement à la capacité des ménages d'y faire face. Jusqu'à présent, l'abordabilité a été mesurée de façon ponctuelle. De nouveaux renseignements permettent de produire le premier examen longitudinal de l'abordabilité des logements. Cet article examine la probabilité de dépenser 30 % ou plus du revenu du ménage sur le logement, la récurrence d'une telle situation et si elle se produit occasionnellement ou de façon persistante.
Date de diffusion : 2008-03-18 - 2. Dynamique du logement abordable ArchivéArticles et rapports : 75F0002M2008001Description :
Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.
Date de diffusion : 2008-01-25 - Articles et rapports : 75F0002M2006007Description :
Le présent document résume les données sur les caractéristiques du logement et les dépenses liées au logement qui sont disponibles dans l'EDTR, une attention particulière étant portée aux méthodes d'imputation utilisées pour ces données. De 1994 à 2001, l'enquête ne portait que sur quelques caractéristiques, surtout le mode d'occupation et le type de logement. En 2002, avec le début de la commandite de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), plusieurs autres caractéristiques ainsi que des dépenses détaillées liées au logement ont été ajoutées à l'enquête. Diverses méthodes d'imputation ont aussi été adoptées à ce moment là, pour remplacer les valeurs manquantes attribuables à la non réponse à l'enquête, et pour fournir les coûts des services publics qui contribuent au coût total du logement. Ces méthodes tirent parti du plan de sondage longitudinal de l'EDTR, et elles utilisent également des données d'autres sources comme l'Enquête sur la population active et le Recensement. En juin 2006, d'autres améliorations aux méthodes d'imputation ont été adoptées pour 2004 et appliquées à des années antérieures dans le cadre d'une révision historique. Le présent rapport documente également cette révision.
Date de diffusion : 2006-07-26 - Articles et rapports : 75F0002M2005010Description :
Depuis un certain temps, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) utilise les données du Recensement de la population sur les caractéristiques du logement et les dépenses liées au logement. Bien que la source de données que constitue le recensement réponde dans une large mesure aux besoins de la SCHL, cet organisme du gouvernement fédéral a exploité les enquêtes-ménages annuelles de Statistique Canada pour obtenir des renseignements plus fréquents. Cela devait lui permettre d'avoir une image plus fidèle des tendances annuelles, et peut-être d'avoir un plus grand choix d'autres caractéristiques pour le recoupement des données sur le logement des ménages canadiens. En 2001, la SCHL a commencé à commanditer des questions supplémentaires à la fois dans l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) et dans l'Enquête sur les dépenses des ménages (EDM), à compter de l'année de référence 2002.
Date de diffusion : 2005-07-22
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