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- 1. La demande de services de télécommunications ArchivéArticles et rapports : 63F0002X1995005Description :
On assiste à une nouvelle réalité dans le secteur des télécommunications, celle de la concurrence parmi les fournisseurs de services pour accroître leur part du marché. Cette étude fait état de renseignements qui découlent d'une enquête sur la demande et la diffusion de services de télécommunications par les entreprises du secteur des services aux entreprises.
Les entreprises sont très conscientes des coûts liés à ces services, au même titre qu'elles le sont pour la gamme et la qualité des services offerts. Elles soutiennent que de tels services sont indispensables pour traiter avec leur clientèle et augmenter leur productivité. Le télécopieur est le service le plus utilisé actuellement. Les grandes entreprises utilisent les services de télécommunications de façon plus étendue que les autres et elles tirent grandement avantage de la compétition dans ce domaine. Ainsi, 61% des grandes entreprises visées par l'enquête utilisent au moins un fournisseur de remplacement. Les tendances d'utilisation des entreprises de l'industrie des services informatiques diffèrent des autres qui font partie du groupe des industries de services aux entreprises. Il existe un potentiel de croissance pour l'utilisation de tous les services.
Date de diffusion : 1998-11-20 - Articles et rapports : 63F0002X1995006Description :
L'article trace le cheminement de la télévision au Canada, depuis ses débuts en 1952 jusqu'à nos jours, en examine l'économie, analyse les aspects de son contenu et lève le voile sur son avenir.
Les stations de télévision sont plus que jamais en concurrence pour la publicité. C'est le reflet de l'augmentation du nombre de stations, ainsi que de l'émergence de canaux spécialisés. En même temps, les progrès de la technologie ont étendu l'utilisation de la télévision de la télévision à autre chose que l'écoute des émissions, alors que le temps moyen d'écoute est en baisse. Il y a asymétrie entre la production de recettes et les dépenses consacrées aux émissions. Plus particulièrement, les recettes publicitaires que rapportent les nouvelles et l'information ne couvrent pas le coût de production, alors que les dramatiques rapportent plus de recettes publicitaires que ne coûte leur production ou leur achat.
L'univers des canaux multiples que promet la diffusion directe par satellite non seulement menace encore davantage les recettes publicitaires des stations de télévision, mais soumet aussi les câble distributeurs à de nouvelles pressions.
Date de diffusion : 1998-11-20 - 3. Accès à l'autoroute de l'information ArchivéArticles et rapports : 63F0002X1996009Description :
Les progrès technologiques et les modifications ayant touché le contexte de réglementation ont entraîné une convergence des secteurs des télécommunications, de la radiodiffusion et des services informatiques. L'autoroute de l'information offre diverses options à partir du domicile, entre autres, chercher un emploi, régler des factures, faire des réservations de voyage, acheter des biens et services, consulter des conseillers de la fonction publique et utiliser en interactif des services éducatifs et récréatifs. Le rapport du Conseil consultatif sur l'autoroute de l'information recommande que l'accès universel à l'autoroute, à un coût abordable, figure parmi les objectifs en matière de politique afin d'en faire bénéficier tous les Canadiens, et non pas quelques privilégiés.
Les réseaux de téléphone et de câblodistribution sont certes appelés à devenir le noyau infrastructurel de l'autoroute de l'information. Toutefois, les ménages doivent être dotés de terminaux, par exemple des ordinateurs et des modems, qui seront reliés aux réseaux. Le document analyse les caractéristiques des ménages canadiens qui ont déjà pris la décision d'acheter et d'utiliser ces terminaux. Les taux de pénétration du téléphone, du câble, des ordinateurs et des modems sont examinés en fonction de plusieurs variables économiques et sociodémographiques, comme le revenu, le niveau de scolarité, la situation d'activité, l'âge, la composition de la famille, la province et le lieu de résidence. Cela permet de cerner les déterminants principaux de ces choix, lesquels, en retour, peuvent contribuer à la conception de politiques en vue d'un accès universel. La pénétration du téléphone est à peu près complète et celle du câble est relativement élevée. Même si les taux de pénétration des ordinateurs et des modems se situent loin derrière, ils augmentent rapidement. Il existe un rapport très étroit entre le revenu du ménage et le taux de pénétration des ordinateurs et des modems, le niveau de scolarité jouant un rôle indépendant du revenu. L'âge a des répercussions importantes, qui sont indépendantes du revenu, et son influence continuera de se faire sentir à mesure que se modifiera la répartition des âges dans la population. La composition des ménages joue aussi un rôle, les ménages des régions urbaines étant mieux équipés que ceux des régions rurales.
Date de diffusion : 1998-11-20 - Articles et rapports : 63F0002X1997013Description :
Ce document fait suite au document Accès à l'autoroute de l'information (63F0002 no.9) publié l'an dernier. Il constitue une mise à jour pour 1996 des taux de pénétration du téléphone, du câble, de l'ordinateur et du modem, et comprend en outre des données pour 1996 sur l'utilisation du téléphone cellulaire et d'Internet. Les taux de pénétration de ces biens sont analysés par rapport à plusieurs variables socioéconomiques et démographiques.
À peu près tous les ménages ont le téléphone, tandis que trois sur quatre ont le câble, un sur sept, leur propre téléphone cellulaire, et près d'un sur trois, un ordinateur. Même si la moitié des ménages dotés d'un ordinateur ont aussi un modem, moins de la moitié d'entre eux l'utilisent pour accéder à Internet.
Le revenu du ménage a des répercussions importantes sur les taux de pénétration du téléphone cellulaire, de l'ordinateur et d'Internet. Toutefois, parmi ceux qui sont dotés d'un ordinateur, le niveau de scolarité est un meilleur indicateur de l'utilisation d'Internet que le revenu. Par contre, en ce qui a trait au taux de pénétration du téléphone cellulaire, le revenu constitue un meilleur indicateur que la scolarité.
Date de diffusion : 1998-11-20 - 5. Les ordinateurs, les télécopieurs et les salaires au Canada : qu'est-ce qui compte vraiment? ArchivéArticles et rapports : 11F0019M1998126Géographie : CanadaDescription :
Dans la présente étude, nous documentons les liens existant entre les salaires et l'utilisation d'ordinateurs. Après avoir pris en compte les caractéristiques observables des travailleurs, nous constatons que l'utilisation des ordinateurs est associée à un avantage salarial qui peut atteindre, au plus, 14 %. À la suite de Dinardo et Pischke (1997), nous analysons l'avantage salarial associé à d'autres outils utilisés sur les lieux de travail. Bien que nous ayons constaté l'existence d'un avantage salarial significatif lié à l'utilisation de stylos au travail, ou au fait de travailler assis, nous avons relevé un avantage encore plus important associé à l'utilisation d'un télécopieur. À l'aide de diverses spécifications raisonnables d'équations salariales comprenant aussi bien un indicateur d'utilisation d'ordinateur qu'un indicateur d'utilisation de télécopieurs, nous observons de manière constante un effet plus important dans le cas des télécopieur que dans celui des ordinateurs. Partageant l'avis de Dinardo et Pischke (1997), nous avançons que les travailleurs qui utilisent des ordinateurs gagnent plus que d'autres employés non pas en raison de leurs compétences en informatique, mais plutôt parce qu'ils possèdent un plus grand nombre d'autres habiletés, innées ou acquises à l'école, que d'autres employés.
Date de diffusion : 1998-10-27 - Articles et rapports : 61F0057M1998002Description :
L'an 2000 approche rapidement et, avec lui, la possibilité de perturbations majeures des activités des entreprises si les systèmes informatiques ne sont pas capables de gérer convenablement le changement de date entre le 31 décembre 1999 et le premier janvier 2000. Le Groupe de travail de l'an 2000 a parrainé une première enquête en octobre 1997, dans le but d'évaluer la préparation des entreprises canadiennes en prévision du problème informatique du millénaire. Cette enquête a révélé que 91 % des entreprises connaissaient le problème, mais que seules 45 % avaient pris des mesures pour y faire face, 9 % seulement s'étant dotées d'un plan d'action officiel pour essayer de le régler.
En se fondant sur ces résultats, le groupe de travail a mis en oeuvre une stratégie nationale de communication dans le but d'améliorer la sensibilisation au bogue de l'an 2000 et fait ensuite une enquête de suivi en mai 1998. D'après les résultats de cette étude, pratiquement toutes les entreprises sont au courant du changement de date et 70 % d'entre elles ont pris des mesures en conséquence. Le pourcentage de celles qui se sont dotées d'un plan officiel a augmenté à 18 %.
Ce rapport présente une analyse descriptive des résultats de l'enquête de suivi et nous réévaluonsles coûts, tant du point de vue financier que de celui des ressources humaines, pour déterminer quels sont les systèmes non compatibles et faire les corrections nécessaires. Le rapport présente également les résultats quant à l'échéancier des entreprises en prévision de l'an 2000. Enfin, il contient des graphiques et des tableaux détaillés montrant les résultats de l'enquête dans différents secteurs industriels et selon la taille des entreprises.
Date de diffusion : 1998-10-02 - Articles et rapports : 61F0057M1998001Description :
L'Enquête sur la préparation des entreprises canadiennes à l'an 2000 a été réalisée par Statistique Canada au nom du Groupe de travail de l'an 2000 dans le but d'évaluer la préparation du milieu des affaires au problème d'ordinateurs de l'an 2000. Selon l'enquête, plus de la moitié des entreprises canadiennes ayant plus de 5 employés n'ont pris aucune mesure jusqu'à présent pour faire face à ce problème. De plus, moins de 1 entreprise sur 10 a mis en place un plan formel d'évaluation, de conversion et de mise à l'essai des systèmes en vue du changement de la date à l'arrivée de l'an 2000. Quelque 2 % des entreprises ont déjà mis en oeuvre et terminé toutes les étapes de leur plan et encore 16 % ont pris des mesures moins formelles et déclarent que leurs systèmes seront effectivement prêts pour l'an 2000.Le présent rapport étudie de plus près les résultats de l'enquête dans le but d'établir comment les entreprises dans les divers secteurs d'activités et les diverses catégories de taille se préparent aux difficultés possibles; il évalue aussi le coût global et l'ampleur des mesures requises pour régler le problème.
Date de diffusion : 1998-02-03 - Articles et rapports : 61-532-X19970013507Description :
L'autoroute de l'information (AI) transforme en ce moment les pratiques commerciales, les comportements individuels et les politiques gouvernementales. Son potentiel suscite de vives émotions allant d'un optimisme à l'égard d'un nouveau monde dont les technologies convergeantes en constituent le présage, jusqu'à une crainte totale au sujet de l'emploi et d'une ingérence dans la vie privée. Les infrastructures de l'AI permettent des transactions qui pavent la voie à une société de l'information.
Date de diffusion : 1998-02-02 - Articles et rapports : 61-532-X19970013508Description :
La technologie de l'information est un des secteurs de l'économie canadienne qui se distingue par son dynamisme et ses multiples facettes. Elle se situe à la fine pointe de la technologie, affichant une évolution rapide et brusque par moments. Le secteur comprend un grand nombre de petites sociétés en expansion rapide ainsi qu'une poignée de très grandes établies depuis longtemps.
Date de diffusion : 1998-02-02
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Articles et rapports (9)
Articles et rapports (9) ((9 résultats))
- 1. La demande de services de télécommunications ArchivéArticles et rapports : 63F0002X1995005Description :
On assiste à une nouvelle réalité dans le secteur des télécommunications, celle de la concurrence parmi les fournisseurs de services pour accroître leur part du marché. Cette étude fait état de renseignements qui découlent d'une enquête sur la demande et la diffusion de services de télécommunications par les entreprises du secteur des services aux entreprises.
Les entreprises sont très conscientes des coûts liés à ces services, au même titre qu'elles le sont pour la gamme et la qualité des services offerts. Elles soutiennent que de tels services sont indispensables pour traiter avec leur clientèle et augmenter leur productivité. Le télécopieur est le service le plus utilisé actuellement. Les grandes entreprises utilisent les services de télécommunications de façon plus étendue que les autres et elles tirent grandement avantage de la compétition dans ce domaine. Ainsi, 61% des grandes entreprises visées par l'enquête utilisent au moins un fournisseur de remplacement. Les tendances d'utilisation des entreprises de l'industrie des services informatiques diffèrent des autres qui font partie du groupe des industries de services aux entreprises. Il existe un potentiel de croissance pour l'utilisation de tous les services.
Date de diffusion : 1998-11-20 - Articles et rapports : 63F0002X1995006Description :
L'article trace le cheminement de la télévision au Canada, depuis ses débuts en 1952 jusqu'à nos jours, en examine l'économie, analyse les aspects de son contenu et lève le voile sur son avenir.
Les stations de télévision sont plus que jamais en concurrence pour la publicité. C'est le reflet de l'augmentation du nombre de stations, ainsi que de l'émergence de canaux spécialisés. En même temps, les progrès de la technologie ont étendu l'utilisation de la télévision de la télévision à autre chose que l'écoute des émissions, alors que le temps moyen d'écoute est en baisse. Il y a asymétrie entre la production de recettes et les dépenses consacrées aux émissions. Plus particulièrement, les recettes publicitaires que rapportent les nouvelles et l'information ne couvrent pas le coût de production, alors que les dramatiques rapportent plus de recettes publicitaires que ne coûte leur production ou leur achat.
L'univers des canaux multiples que promet la diffusion directe par satellite non seulement menace encore davantage les recettes publicitaires des stations de télévision, mais soumet aussi les câble distributeurs à de nouvelles pressions.
Date de diffusion : 1998-11-20 - 3. Accès à l'autoroute de l'information ArchivéArticles et rapports : 63F0002X1996009Description :
Les progrès technologiques et les modifications ayant touché le contexte de réglementation ont entraîné une convergence des secteurs des télécommunications, de la radiodiffusion et des services informatiques. L'autoroute de l'information offre diverses options à partir du domicile, entre autres, chercher un emploi, régler des factures, faire des réservations de voyage, acheter des biens et services, consulter des conseillers de la fonction publique et utiliser en interactif des services éducatifs et récréatifs. Le rapport du Conseil consultatif sur l'autoroute de l'information recommande que l'accès universel à l'autoroute, à un coût abordable, figure parmi les objectifs en matière de politique afin d'en faire bénéficier tous les Canadiens, et non pas quelques privilégiés.
Les réseaux de téléphone et de câblodistribution sont certes appelés à devenir le noyau infrastructurel de l'autoroute de l'information. Toutefois, les ménages doivent être dotés de terminaux, par exemple des ordinateurs et des modems, qui seront reliés aux réseaux. Le document analyse les caractéristiques des ménages canadiens qui ont déjà pris la décision d'acheter et d'utiliser ces terminaux. Les taux de pénétration du téléphone, du câble, des ordinateurs et des modems sont examinés en fonction de plusieurs variables économiques et sociodémographiques, comme le revenu, le niveau de scolarité, la situation d'activité, l'âge, la composition de la famille, la province et le lieu de résidence. Cela permet de cerner les déterminants principaux de ces choix, lesquels, en retour, peuvent contribuer à la conception de politiques en vue d'un accès universel. La pénétration du téléphone est à peu près complète et celle du câble est relativement élevée. Même si les taux de pénétration des ordinateurs et des modems se situent loin derrière, ils augmentent rapidement. Il existe un rapport très étroit entre le revenu du ménage et le taux de pénétration des ordinateurs et des modems, le niveau de scolarité jouant un rôle indépendant du revenu. L'âge a des répercussions importantes, qui sont indépendantes du revenu, et son influence continuera de se faire sentir à mesure que se modifiera la répartition des âges dans la population. La composition des ménages joue aussi un rôle, les ménages des régions urbaines étant mieux équipés que ceux des régions rurales.
Date de diffusion : 1998-11-20 - Articles et rapports : 63F0002X1997013Description :
Ce document fait suite au document Accès à l'autoroute de l'information (63F0002 no.9) publié l'an dernier. Il constitue une mise à jour pour 1996 des taux de pénétration du téléphone, du câble, de l'ordinateur et du modem, et comprend en outre des données pour 1996 sur l'utilisation du téléphone cellulaire et d'Internet. Les taux de pénétration de ces biens sont analysés par rapport à plusieurs variables socioéconomiques et démographiques.
À peu près tous les ménages ont le téléphone, tandis que trois sur quatre ont le câble, un sur sept, leur propre téléphone cellulaire, et près d'un sur trois, un ordinateur. Même si la moitié des ménages dotés d'un ordinateur ont aussi un modem, moins de la moitié d'entre eux l'utilisent pour accéder à Internet.
Le revenu du ménage a des répercussions importantes sur les taux de pénétration du téléphone cellulaire, de l'ordinateur et d'Internet. Toutefois, parmi ceux qui sont dotés d'un ordinateur, le niveau de scolarité est un meilleur indicateur de l'utilisation d'Internet que le revenu. Par contre, en ce qui a trait au taux de pénétration du téléphone cellulaire, le revenu constitue un meilleur indicateur que la scolarité.
Date de diffusion : 1998-11-20 - 5. Les ordinateurs, les télécopieurs et les salaires au Canada : qu'est-ce qui compte vraiment? ArchivéArticles et rapports : 11F0019M1998126Géographie : CanadaDescription :
Dans la présente étude, nous documentons les liens existant entre les salaires et l'utilisation d'ordinateurs. Après avoir pris en compte les caractéristiques observables des travailleurs, nous constatons que l'utilisation des ordinateurs est associée à un avantage salarial qui peut atteindre, au plus, 14 %. À la suite de Dinardo et Pischke (1997), nous analysons l'avantage salarial associé à d'autres outils utilisés sur les lieux de travail. Bien que nous ayons constaté l'existence d'un avantage salarial significatif lié à l'utilisation de stylos au travail, ou au fait de travailler assis, nous avons relevé un avantage encore plus important associé à l'utilisation d'un télécopieur. À l'aide de diverses spécifications raisonnables d'équations salariales comprenant aussi bien un indicateur d'utilisation d'ordinateur qu'un indicateur d'utilisation de télécopieurs, nous observons de manière constante un effet plus important dans le cas des télécopieur que dans celui des ordinateurs. Partageant l'avis de Dinardo et Pischke (1997), nous avançons que les travailleurs qui utilisent des ordinateurs gagnent plus que d'autres employés non pas en raison de leurs compétences en informatique, mais plutôt parce qu'ils possèdent un plus grand nombre d'autres habiletés, innées ou acquises à l'école, que d'autres employés.
Date de diffusion : 1998-10-27 - Articles et rapports : 61F0057M1998002Description :
L'an 2000 approche rapidement et, avec lui, la possibilité de perturbations majeures des activités des entreprises si les systèmes informatiques ne sont pas capables de gérer convenablement le changement de date entre le 31 décembre 1999 et le premier janvier 2000. Le Groupe de travail de l'an 2000 a parrainé une première enquête en octobre 1997, dans le but d'évaluer la préparation des entreprises canadiennes en prévision du problème informatique du millénaire. Cette enquête a révélé que 91 % des entreprises connaissaient le problème, mais que seules 45 % avaient pris des mesures pour y faire face, 9 % seulement s'étant dotées d'un plan d'action officiel pour essayer de le régler.
En se fondant sur ces résultats, le groupe de travail a mis en oeuvre une stratégie nationale de communication dans le but d'améliorer la sensibilisation au bogue de l'an 2000 et fait ensuite une enquête de suivi en mai 1998. D'après les résultats de cette étude, pratiquement toutes les entreprises sont au courant du changement de date et 70 % d'entre elles ont pris des mesures en conséquence. Le pourcentage de celles qui se sont dotées d'un plan officiel a augmenté à 18 %.
Ce rapport présente une analyse descriptive des résultats de l'enquête de suivi et nous réévaluonsles coûts, tant du point de vue financier que de celui des ressources humaines, pour déterminer quels sont les systèmes non compatibles et faire les corrections nécessaires. Le rapport présente également les résultats quant à l'échéancier des entreprises en prévision de l'an 2000. Enfin, il contient des graphiques et des tableaux détaillés montrant les résultats de l'enquête dans différents secteurs industriels et selon la taille des entreprises.
Date de diffusion : 1998-10-02 - Articles et rapports : 61F0057M1998001Description :
L'Enquête sur la préparation des entreprises canadiennes à l'an 2000 a été réalisée par Statistique Canada au nom du Groupe de travail de l'an 2000 dans le but d'évaluer la préparation du milieu des affaires au problème d'ordinateurs de l'an 2000. Selon l'enquête, plus de la moitié des entreprises canadiennes ayant plus de 5 employés n'ont pris aucune mesure jusqu'à présent pour faire face à ce problème. De plus, moins de 1 entreprise sur 10 a mis en place un plan formel d'évaluation, de conversion et de mise à l'essai des systèmes en vue du changement de la date à l'arrivée de l'an 2000. Quelque 2 % des entreprises ont déjà mis en oeuvre et terminé toutes les étapes de leur plan et encore 16 % ont pris des mesures moins formelles et déclarent que leurs systèmes seront effectivement prêts pour l'an 2000.Le présent rapport étudie de plus près les résultats de l'enquête dans le but d'établir comment les entreprises dans les divers secteurs d'activités et les diverses catégories de taille se préparent aux difficultés possibles; il évalue aussi le coût global et l'ampleur des mesures requises pour régler le problème.
Date de diffusion : 1998-02-03 - Articles et rapports : 61-532-X19970013507Description :
L'autoroute de l'information (AI) transforme en ce moment les pratiques commerciales, les comportements individuels et les politiques gouvernementales. Son potentiel suscite de vives émotions allant d'un optimisme à l'égard d'un nouveau monde dont les technologies convergeantes en constituent le présage, jusqu'à une crainte totale au sujet de l'emploi et d'une ingérence dans la vie privée. Les infrastructures de l'AI permettent des transactions qui pavent la voie à une société de l'information.
Date de diffusion : 1998-02-02 - Articles et rapports : 61-532-X19970013508Description :
La technologie de l'information est un des secteurs de l'économie canadienne qui se distingue par son dynamisme et ses multiples facettes. Elle se situe à la fine pointe de la technologie, affichant une évolution rapide et brusque par moments. Le secteur comprend un grand nombre de petites sociétés en expansion rapide ainsi qu'une poignée de très grandes établies depuis longtemps.
Date de diffusion : 1998-02-02
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