Filtrer les résultats par

Aide à la recherche
Currently selected filters that can be removed

Mot(s)-clé(s)

Année de publication

3 facets displayed. 0 facets selected.

Contenu

1 facets displayed. 0 facets selected.
Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (3)

Tout (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 12-001-X202200100005
    Description :

    Les études méthodologiques des effets des intervieweurs humains sur la qualité des données d’enquête ont longtemps été limitées par une hypothèse critique selon laquelle les intervieweurs d’une enquête donnée sont attribués à des sous-ensembles aléatoires de l’échantillon global plus important (également connu sous le nom d’attribution imbriquée). En l’absence de ce type de conception d’étude, les estimations des effets de l’intervieweur sur les mesures d’intérêt de l’enquête, plutôt que les effets de recrutement ou de mesure spécifiquement introduits par les intervieweurs, peuvent refléter des différences entre les intervieweurs dans les caractéristiques des membres de l’échantillon qui leur sont assignés. Les tentatives précédentes d’approximation de l’attribution imbriquée se sont généralement appuyées sur des modèles de régression pour conditionner les facteurs qui pourraient être liés à l’attribution des intervieweurs. Nous proposons une nouvelle approche pour surmonter ce manque d’attribution imbriquée lors de l’estimation des effets de l’intervieweur. Cette approche, que nous appelons la « méthode d’ancrage », tire avantage des corrélations entre les variables observées qui sont peu susceptibles d’être influencées par les intervieweurs (« ancres ») et les variables qui peuvent être sujettes aux effets de l’intervieweur, et ce, afin d’éliminer les composantes des corrélations induites par l’intervieweur que l’absence d’attribution imbriquée peut engendrer. Nous tenons compte à la fois des approches fréquentistes et bayésiennes, ces dernières pouvant utiliser des renseignements sur les variances de l’effet de l’intervieweur dans les précédents ensembles de données d’une étude, s’ils sont disponibles. Nous évaluons cette nouvelle méthodologie de manière empirique à l’aide d’une étude par simulation, puis nous illustrons son application au moyen de données d’enquête réelles provenant du Behavioral Risk Factor Surveillance System (BRFSS), où les identifiants des intervieweurs sont fournis dans les fichiers de données à grande diffusion. Bien que la méthode que nous proposons partage certaines des limites de l’approche traditionnelle, à savoir le besoin de variables associées au résultat d’intérêt qui sont également exemptes d’erreur de mesure, elle permet d’éviter le besoin d’inférence conditionnelle et présente donc de meilleures qualités inférentielles lorsque l’accent est mis sur les estimations marginales. Elle montre également des signes de réduction supplémentaire de la surestimation des effets plus importants de l’intervieweur par rapport à l’approche traditionnelle.

    Date de diffusion : 2022-06-21

  • Articles et rapports : 11-522-X201700014744
    Description :

    La présentation débutera avec un résumé de la recherche réalisée sur la qualité et l’utilité des paradonnées recueillies dans le cadre de la National Survey of Family Growth (NSFG) aux États Unis. La NSFG est une grande enquête nationale sur la fécondité aux États Unis qui est, pour les décideurs, une source importante de données sur l’activité sexuelle, le comportement sexuel et la santé génésique. Depuis de nombreuses années, la NSFG a permis de recueillir diverses formes de paradonnées, y compris les données issues de frappes au clavier (p. ex., Couper et Kreuter 2013), les renseignements du registre des appels, les renseignements détaillés sur les décisions concernant les cas, et les observations des intervieweurs associées aux principales mesures de la NSFG (p. ex., West 2013). Ensuite, certains défis que pose l’utilisation de ces données seront discutés, ainsi que des preuves de leur utilité pour la correction de la non réponse, l’évaluation des intervieweurs et/ou l’utilisation de plans de collecte adaptatifs. Troisièmement, des travaux de recherche seront présentés portant sur l’utilisation des paradonnées recueillies dans le cadre de deux enquêtes par panel, à savoir la Medical Expenditure Panel Survey (MEPS) réalisée aux États Unis et la Panel Labour Market and Social Security (PASS) réalisée en Allemagne. Dans les deux enquêtes, l’information émanant des prises de contact lors de vagues antérieures a été utilisée expérimentalement en vue d’améliorer les taux de prise de contact et de réponse lors des vagues subséquentes. On présentera aussi des travaux de recherche portant sur la PASS dans le cadre desquels des données d’observation des intervieweurs concernant d’importantes variables de résultats ont été recueillies en vue de prendre des décisions quant à la correction de la non réponse ou l’utilisation d’un plan de collecte adaptatif. Cette présentation ne couvrira pas seulement des résultats de la recherche, mais aussi des défis pratiques liés à la mise en œuvre de la collecte et à l’utilisation des deux ensembles de paradonnées.

    Date de diffusion : 2016-03-24

  • Articles et rapports : 12-001-X201400214092
    Description :

    Les méthodologistes d’enquête étudient depuis longtemps les effets des intervieweurs sur la variance des estimations d’enquête. Les modèles statistiques tenant compte des effets aléatoires des intervieweurs sont souvent intégrés à ce genre d’études, et l’intérêt de la recherche repose sur l’ampleur de la composante de la variance de l’intervieweur. Une question peut se poser au cours d’une étude méthodologique : différents groupes d’intervieweurs (p. ex. ceux ayant de l’expérience relative à une enquête donnée par rapport aux nouvelles recrues, ou les intervieweurs IPAO par rapport aux intervieweurs ITAO) ont-ils des composantes de variance considérablement différentes dans ces modèles? Des écarts importants peuvent indiquer un besoin de formation supplémentaire pour certains sous-groupes, les propriétés moins optimales de différents modes ou styles d’interview pour certaines questions d’enquête (en ce qui concerne l’erreur quadratique moyenne globale des estimations d’enquête). Les chercheurs d’enquête désirant des réponses à ces types de questions disposent de différents outils statistiques. Le présent article cherche à fournir un aperçu des approches fréquentiste et bayésienne de rechange de la comparaison des composantes de la variance dans différents groupes d’intervieweurs d’enquête, au moyen d’un cadre de modélisation linéaire généralisée hiérarchique qui tient compte de différents types de variables d’enquête. Nous considérons d’abord les avantages et les limites de chaque approche, en comparant les méthodes utilisées pour l’estimation et l’inférence. Nous présentons ensuite une étude de simulation, en évaluant de façon empirique la capacité de chaque approche d’estimer efficacement les différences entre les composantes de la variance. Nous appliquons alors les deux approches à une analyse des données d’enquête réelles recueillies dans le cadre de la National Survey of Family Growth (NSFG) aux États-Unis. Nous concluons que les deux approches ont tendance à donner des inférences très semblables et nous présentons des suggestions à mettre en pratique, compte tenu des différences subtiles observées.

    Date de diffusion : 2014-12-19
Stats en bref (0)

Stats en bref (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Articles et rapports (3)

Articles et rapports (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 12-001-X202200100005
    Description :

    Les études méthodologiques des effets des intervieweurs humains sur la qualité des données d’enquête ont longtemps été limitées par une hypothèse critique selon laquelle les intervieweurs d’une enquête donnée sont attribués à des sous-ensembles aléatoires de l’échantillon global plus important (également connu sous le nom d’attribution imbriquée). En l’absence de ce type de conception d’étude, les estimations des effets de l’intervieweur sur les mesures d’intérêt de l’enquête, plutôt que les effets de recrutement ou de mesure spécifiquement introduits par les intervieweurs, peuvent refléter des différences entre les intervieweurs dans les caractéristiques des membres de l’échantillon qui leur sont assignés. Les tentatives précédentes d’approximation de l’attribution imbriquée se sont généralement appuyées sur des modèles de régression pour conditionner les facteurs qui pourraient être liés à l’attribution des intervieweurs. Nous proposons une nouvelle approche pour surmonter ce manque d’attribution imbriquée lors de l’estimation des effets de l’intervieweur. Cette approche, que nous appelons la « méthode d’ancrage », tire avantage des corrélations entre les variables observées qui sont peu susceptibles d’être influencées par les intervieweurs (« ancres ») et les variables qui peuvent être sujettes aux effets de l’intervieweur, et ce, afin d’éliminer les composantes des corrélations induites par l’intervieweur que l’absence d’attribution imbriquée peut engendrer. Nous tenons compte à la fois des approches fréquentistes et bayésiennes, ces dernières pouvant utiliser des renseignements sur les variances de l’effet de l’intervieweur dans les précédents ensembles de données d’une étude, s’ils sont disponibles. Nous évaluons cette nouvelle méthodologie de manière empirique à l’aide d’une étude par simulation, puis nous illustrons son application au moyen de données d’enquête réelles provenant du Behavioral Risk Factor Surveillance System (BRFSS), où les identifiants des intervieweurs sont fournis dans les fichiers de données à grande diffusion. Bien que la méthode que nous proposons partage certaines des limites de l’approche traditionnelle, à savoir le besoin de variables associées au résultat d’intérêt qui sont également exemptes d’erreur de mesure, elle permet d’éviter le besoin d’inférence conditionnelle et présente donc de meilleures qualités inférentielles lorsque l’accent est mis sur les estimations marginales. Elle montre également des signes de réduction supplémentaire de la surestimation des effets plus importants de l’intervieweur par rapport à l’approche traditionnelle.

    Date de diffusion : 2022-06-21

  • Articles et rapports : 11-522-X201700014744
    Description :

    La présentation débutera avec un résumé de la recherche réalisée sur la qualité et l’utilité des paradonnées recueillies dans le cadre de la National Survey of Family Growth (NSFG) aux États Unis. La NSFG est une grande enquête nationale sur la fécondité aux États Unis qui est, pour les décideurs, une source importante de données sur l’activité sexuelle, le comportement sexuel et la santé génésique. Depuis de nombreuses années, la NSFG a permis de recueillir diverses formes de paradonnées, y compris les données issues de frappes au clavier (p. ex., Couper et Kreuter 2013), les renseignements du registre des appels, les renseignements détaillés sur les décisions concernant les cas, et les observations des intervieweurs associées aux principales mesures de la NSFG (p. ex., West 2013). Ensuite, certains défis que pose l’utilisation de ces données seront discutés, ainsi que des preuves de leur utilité pour la correction de la non réponse, l’évaluation des intervieweurs et/ou l’utilisation de plans de collecte adaptatifs. Troisièmement, des travaux de recherche seront présentés portant sur l’utilisation des paradonnées recueillies dans le cadre de deux enquêtes par panel, à savoir la Medical Expenditure Panel Survey (MEPS) réalisée aux États Unis et la Panel Labour Market and Social Security (PASS) réalisée en Allemagne. Dans les deux enquêtes, l’information émanant des prises de contact lors de vagues antérieures a été utilisée expérimentalement en vue d’améliorer les taux de prise de contact et de réponse lors des vagues subséquentes. On présentera aussi des travaux de recherche portant sur la PASS dans le cadre desquels des données d’observation des intervieweurs concernant d’importantes variables de résultats ont été recueillies en vue de prendre des décisions quant à la correction de la non réponse ou l’utilisation d’un plan de collecte adaptatif. Cette présentation ne couvrira pas seulement des résultats de la recherche, mais aussi des défis pratiques liés à la mise en œuvre de la collecte et à l’utilisation des deux ensembles de paradonnées.

    Date de diffusion : 2016-03-24

  • Articles et rapports : 12-001-X201400214092
    Description :

    Les méthodologistes d’enquête étudient depuis longtemps les effets des intervieweurs sur la variance des estimations d’enquête. Les modèles statistiques tenant compte des effets aléatoires des intervieweurs sont souvent intégrés à ce genre d’études, et l’intérêt de la recherche repose sur l’ampleur de la composante de la variance de l’intervieweur. Une question peut se poser au cours d’une étude méthodologique : différents groupes d’intervieweurs (p. ex. ceux ayant de l’expérience relative à une enquête donnée par rapport aux nouvelles recrues, ou les intervieweurs IPAO par rapport aux intervieweurs ITAO) ont-ils des composantes de variance considérablement différentes dans ces modèles? Des écarts importants peuvent indiquer un besoin de formation supplémentaire pour certains sous-groupes, les propriétés moins optimales de différents modes ou styles d’interview pour certaines questions d’enquête (en ce qui concerne l’erreur quadratique moyenne globale des estimations d’enquête). Les chercheurs d’enquête désirant des réponses à ces types de questions disposent de différents outils statistiques. Le présent article cherche à fournir un aperçu des approches fréquentiste et bayésienne de rechange de la comparaison des composantes de la variance dans différents groupes d’intervieweurs d’enquête, au moyen d’un cadre de modélisation linéaire généralisée hiérarchique qui tient compte de différents types de variables d’enquête. Nous considérons d’abord les avantages et les limites de chaque approche, en comparant les méthodes utilisées pour l’estimation et l’inférence. Nous présentons ensuite une étude de simulation, en évaluant de façon empirique la capacité de chaque approche d’estimer efficacement les différences entre les composantes de la variance. Nous appliquons alors les deux approches à une analyse des données d’enquête réelles recueillies dans le cadre de la National Survey of Family Growth (NSFG) aux États-Unis. Nous concluons que les deux approches ont tendance à donner des inférences très semblables et nous présentons des suggestions à mettre en pratique, compte tenu des différences subtiles observées.

    Date de diffusion : 2014-12-19
Revues et périodiques (0)

Revues et périodiques (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Date de modification :