Filtrer les résultats par

Aide à la recherche
Currently selected filters that can be removed

Mot(s)-clé(s)

Année de publication

5 facets displayed. 0 facets selected.
Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (8)

Tout (8) ((8 résultats))

  • Articles et rapports : 12-001-X200900211045
    Description :

    Dans l'analyse de données d'enquête, on se sert souvent du nombre de degrés de liberté pour évaluer la stabilité des estimateurs de variance fondé sur le plan de sondage. Par exemple, ce nombre de degrés de liberté est utilisé pour construire les intervalles de confiances fondés sur des approximations de la loi t, ainsi que des tests t connexes. En outre, un petit nombre de degrés de liberté donne une idée qualitative des limites possibles d'un estimateur de variance particulier dans une application. Parfois, le calcul du nombre de degrés de liberté s'appuie sur des formes de l'approximation de Satterthwaite. Ces calculs fondés sur l'approche de Satterthwaite dépendent principalement des grandeurs relatives des variances au niveau de la strate. Cependant, pour des plans de sondage comportant la sélection d'un petit nombre d'unités primaires par strate, les estimateurs de variance au niveau de la strate classiques ne fournissent que des renseignements limités sur les variances réelles de strate. Le cas échéant, les calculs habituels fondés sur l'approche de Satterthwaite peuvent poser des problèmes, surtout dans les analyses portant sur des sous-populations concentrées dans un nombre relativement faible de strates. Pour résoudre ce problème, nous utilisons dans le présent article les estimations des variances à l'intérieur des unités primaires d'échantillonnage (variances intra-UPE) pour fournir de l'information auxiliaire sur les grandeurs relatives des variances globales au niveau de la strate. Les résultats des analyses indiquent que l'estimateur du nombre de degrés de liberté résultant est meilleur que les estimateurs de type Satterthwaite modifiés, à condition que : a) les variances globales au niveau de la strate soient approximativement proportionnelles aux variances intra-strate correspondantes et b) les variances des estimateurs de variance intra-UPE soient relativement faibles. En outre, nous élaborons des méthodes à erreurs sur les variables qui permettent de vérifier empiriquement les conditions a) et b). Pour ces vérifications de modèle, nous établissons des distributions de référence fondées sur des simulations qui diffèrent considérablement des distributions de référence fondées sur les approximations normales en grand échantillon habituelles. Nous appliquons les méthodes proposées à quatre variables de la troisième National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES III) réalisée aux États-Unis.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010991
    Description :

    Dans le processus d'évaluation des plans d'enquête prospectifs, les organismes statistiques doivent généralement tenir compte d'un grand nombre de facteurs pouvant avoir une incidence considérable sur le coût de l'enquête et la qualité des données. Or, les compromis entre le coût et la qualité sont souvent compliqués par les limites relatives à la quantité d'information disponible au regard des coûts fixes et des coûts marginaux liés au remaniement des instruments et à leur mise à l'essai sur le terrain, au nombre d'unités d'échantillonnage du premier degré et d'éléments compris dans l'échantillon, à l'affectation de sections d'instrument et aux modes de collecte appropriés pour des éléments d'échantillon précis ainsi qu'au nombre d'interviews et à leur périodicité (dans le cas des enquêtes longitudinales). D'autre part, les concepteurs disposent souvent de renseignements limités sur l'incidence de ces facteurs sur la qualité des données.

    Les auteurs appliquent des méthodes normalisées d'optimisation de la conception pour neutraliser l'incertitude entourant les composantes susmentionnées liées au coût et à la qualité. Une attention particulière est portée au niveau de précision requis des renseignements sur le coût et la qualité pour que ceux-ci soient d'une quelconque utilité dans le processus de conception, à la nature délicate des compromis coût-qualité relativement aux changements dans les hypothèses concernant les formes fonctionnelles ainsi qu'aux répercussions des travaux préliminaires au regard de la collecte de renseignements sur le coût et la qualité. De plus, la communication examine les différences entre le coût et la qualité dans la mise à l'essai sur le terrain et le travail de production, l'intégration des renseignements sur le coût et la qualité sur le plan de la production à l'adaptation de la conception de même que les coûts et les risques opérationnels découlant de la collecte de données détaillées sur le coût et la qualité pendant la phase de production. Les méthodes proposées sont motivées par le travail avec le remaniement cloisonné de l'interview et les composantes liées au journal de la Consumer Expenditure Survey des États-Unis.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200600110410
    Description :

    Survey of Occupational Illnesses and Injuries (SOII) des États Unis est une enquête à grande échelle effectuée auprès des établissements et réalisée par le Bureau of Labor Statistics. Elle a pour but de mesurer les taux d'incidence et les conséquences des maladies et des blessures professionnelles dans certaines industries à l'échelle du pays et de l'État. À l'heure actuelle, cette enquête s'appuie sur des méthodes relativement simples pour la détection et le traitement des valeurs aberrantes. Les méthodes de détection des valeurs aberrantes reposent sur la comparaison des taux d'incidence déclarés en ce qui concerne l'établissement à la distribution correspondante des déclarations dans des cellules particulières définies par le croisement des classifications selon l'État et selon l'industrie. Les méthodes de traitement comportent le remplacement des poids probabilistes type par un poids dont la valeur est fixée à un, suivi par un étalonnage.

    Des méthodes plus complexes pourraient être utilisées pour la détection et le traitement des valeurs aberrantes dans la SOII, par exemple des méthodes de détection qui s'appuient sur des fonctions d'influence, des poids probabilistes et des observations multivariées, ou des méthodes de traitement fondées sur la winsorisation ou l'estimation M. L'évaluation des avantages pratiques de ces méthodes plus complexes nécessite la prise en considération de trois facteurs importants. Premièrement, les valeurs très extrêmes sont relativement rares, mais lorsqu'elles se produisent, elles peuvent avoir un effet important sur les estimateurs de la SOII dans les cellules définies par le croisement des États et des industries. Par conséquent, l'évaluation pratique de l'effet des méthodes de détection des valeurs aberrantes se concentre principalement sur les queues des distributions des estimateurs, plutôt que sur les mesures de performance agrégées normalisées, comme la variance ou l'erreur quadratique moyenne. Deuxièmement, les évaluations analytiques et fondées sur des données sont axées sur l'amélioration progressive obtenue grâce à l'utilisation de méthodes plus complexes, comparativement aux résultats produits par les méthodes simples suivies à l'heure actuelle. Troisièmement, l'élaboration des outils susmentionnés nécessite le recours à une théorie asymptotique qui n'est pas tout à fait standard pour refléter les compromis en ce qui a trait aux effets associés à, respectivement, l'accroissement de la taille des échantillons, l'accroissement du nombre de cellules pour la publication et l'évolution des queues des distributions sous jacentes des observations.

    Date de diffusion : 2008-03-17

  • Articles et rapports : 11-522-X20040018755
    Description :

    Ce document examine la robustesse des méthodes traitant les erreurs de réponses pour des populations rares. Il examine aussi les problèmes de pondération pour ces populations. Il élabore un cadre de travail asymptotique pour traiter ces problèmes.

    Date de diffusion : 2005-10-27

  • Articles et rapports : 11-522-X20030017700
    Description :

    Ce document propose un cadre utile pour examiner l'incidence des écarts modérés à partir de conditions idéalisées. On présente également des critères d'évaluation pour les estimateurs ponctuels et les estimateurs d'intervalles.

    Date de diffusion : 2005-01-26

  • Articles et rapports : 11-522-X20020016750
    Description :

    Les analyses de données provenant d'enquêtes sociales et économiques s'appuient parfois sur des modèles à fonction généralisée de la variance pour adoucir la variance due au plan de sondage des estimateurs ponctuels des moyennes et des proportions de population. Les analystes peuvent utiliser les estimations résultantes de l'erreur type pour calculer les intervalles de confiance ou les variables à tester pour les moyennes et les proportions étudiées. Comparativement aux estimateurs de la variance basés sur le plan de sondage calculés directement à partir des microdonnées d'enquête, les modèles à fonction généralisée de la variance peuvent offrir plusieurs avantages. Comme le révèle cette étude, ces avantages sont la simplicité des opérations, une plus grande stabilité des erreurs types et, dans le cas où l'on utilise des ensembles de données à grande diffusion, la réduction des problèmes de limitation de la divulgation des renseignements personnels que pose la grande diffusion d'indicateurs de strates et de grappes.

    Cependant, plusieurs problèmes d'inférence peuvent annuler en partie ces avantages éventuels. Premièrement, les propriétés des statistiques inférentielles fondées sur des fonctions généralisées de la variance (par exemple, le taux de couverture et de largeur des intervalles de confiance) dépendent fortement de l'importance empirique relative des composantes de la variabilité associée, respectivement, à :

    a) la sélection aléatoire d'un sous-ensemble d'items utilisés pour estimer le modèle à fonction généralisée de la variance; b) la sélection d'unités d'échantillonnage conformément à un plan d'échantillonnage complexe; (c) le mauvais ajustement du modèle à fonction généralisée de la variance; d) la génération d'une population finie sous les conditions d'un modèle de superpopulation.

    Deuxièmement, sous certaines conditions, on peut lier chacune des composantes (a) à (d) à diverses mesures empiriques de l'adéquation prédictive d'un modèle à fonction généralisée de la variance. Par conséquent, ces mesures d'adéquation prédictive peuvent fournir certains éclaircissements sur la mesure à laquelle un modèle à fonction généralisée de la variance donné convient à l'inférence dans des applications particulières.

    Enfin, certains tests et diagnostics proposés sont appliqués aux données de la U.S. Survey of Doctoral Recipients et de la U.S. Current Employment Survey. La Survey of Doctoral Recipients s'occupe principalement des composantes (a), (c) et (d), alors que la Current Employment Survey accorde plutôt de l'importance aux composantes (b), (c) et (d). La disponibilité de microdonnées de population permet le développement de modèles particulièrement détaillés pour les composantes (b) et (c).

    Date de diffusion : 2004-09-13

  • Articles et rapports : 12-001-X19970013103
    Description :

    Les auteurs décrivent certaines méthodes diagnostiques simples utilisées pour guider la construction de cellules de correction pour la non-réponse. S'inspirant des travaux de Little (1986), ils étudient la construction de cellules de correction par regroupement d'unités d'échantillonnage selon la probabilité estimée de réponse ou selon la réponse estimée aux questions de l'enquête. Ils examinent plus particulièrement l'évaluation de la sensibilité des estimations corrigées de la moyenne à la variation de k, c'est-à-dire le nombre de cellules utilisées, le dépistage de cellules particulières qui nécessitent une mise au point supplémentaire, la comparaison des estimations corrigées et non corrigées de la moyenne et la comparaison des estimations obtenues au moyen des cellules fondées sur la probabilité estimée de réponse, d'une part, et sur la réponse estimée aux questions, d'autre part. Les auteurs justifient les méthodes proposées et les illustrent par une application à l'estimation du revenu moyen des unités de la U.S. Consumer Expenditure Survey.

    Date de diffusion : 1997-08-18

  • Articles et rapports : 12-001-X19960022982
    Description :

    Les travaux sur les enquêtes par échantillonnage exigent souvent qu'on recoure aux estimateurs des composantes de la variance associés à l'échantillonnage, à l'intérieur des unités primaires d'échantillonnage et entre celles-ci. Dans ce genre de travail, il peut s'avérer important d'avoir une idée de la stabilité des estimateurs des composantes de la variance, bref de savoir si ces estimateurs présentent une variance relativement faible. Nous examinerons ici plusieurs façons de mesurer la stabilité des estimateurs des composantes de la variance reposant sur le plan d'échantillonnage et des quantités connexes, d'après les données. Dans le développement, on mettra en relief les méthodes applicables aux enquêtes caractérisées par un nombre moyen ou important de strates et un petit nombre d'unités primaires d'échantillonnage par strate. Nous attirons principalement l'attention sur la variance intrinséque d'un estimateur de la variance intra-UPÉ et sur deux termes connexes se rapportant aux degés de liberté. Une méthode de simulation permet d'établir si la stabilité observée est cohérente avec les hypothèses types sur la stabilité de l'estimateur de la variance. Nous présentons aussi deux séries de mesures de stabilité pour les estimateurs des composantes de la variance inter-UPÉ reposant sur le plan d'échantillonnage et le ratio de la variance globale avec la variance intra-UPÉ. Les méthodes proposées sont appliquées aux données venant des interviews et des examens de la U.S. Third National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES III). Les résultats montrent que les propriétés de la stabilité véritable peuvent changer sensiblement d'une variable à l'autre. Par ailleurs, pour certaines variables, les estimateurs de la variance intra-UPÉ semblent considérablement moins stables qu'on aurait pu s'y attendre consécutivement à un simple dénombrement des unités secondaires de chaque strate.

    Date de diffusion : 1997-01-30
Stats en bref (0)

Stats en bref (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Articles et rapports (8)

Articles et rapports (8) ((8 résultats))

  • Articles et rapports : 12-001-X200900211045
    Description :

    Dans l'analyse de données d'enquête, on se sert souvent du nombre de degrés de liberté pour évaluer la stabilité des estimateurs de variance fondé sur le plan de sondage. Par exemple, ce nombre de degrés de liberté est utilisé pour construire les intervalles de confiances fondés sur des approximations de la loi t, ainsi que des tests t connexes. En outre, un petit nombre de degrés de liberté donne une idée qualitative des limites possibles d'un estimateur de variance particulier dans une application. Parfois, le calcul du nombre de degrés de liberté s'appuie sur des formes de l'approximation de Satterthwaite. Ces calculs fondés sur l'approche de Satterthwaite dépendent principalement des grandeurs relatives des variances au niveau de la strate. Cependant, pour des plans de sondage comportant la sélection d'un petit nombre d'unités primaires par strate, les estimateurs de variance au niveau de la strate classiques ne fournissent que des renseignements limités sur les variances réelles de strate. Le cas échéant, les calculs habituels fondés sur l'approche de Satterthwaite peuvent poser des problèmes, surtout dans les analyses portant sur des sous-populations concentrées dans un nombre relativement faible de strates. Pour résoudre ce problème, nous utilisons dans le présent article les estimations des variances à l'intérieur des unités primaires d'échantillonnage (variances intra-UPE) pour fournir de l'information auxiliaire sur les grandeurs relatives des variances globales au niveau de la strate. Les résultats des analyses indiquent que l'estimateur du nombre de degrés de liberté résultant est meilleur que les estimateurs de type Satterthwaite modifiés, à condition que : a) les variances globales au niveau de la strate soient approximativement proportionnelles aux variances intra-strate correspondantes et b) les variances des estimateurs de variance intra-UPE soient relativement faibles. En outre, nous élaborons des méthodes à erreurs sur les variables qui permettent de vérifier empiriquement les conditions a) et b). Pour ces vérifications de modèle, nous établissons des distributions de référence fondées sur des simulations qui diffèrent considérablement des distributions de référence fondées sur les approximations normales en grand échantillon habituelles. Nous appliquons les méthodes proposées à quatre variables de la troisième National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES III) réalisée aux États-Unis.

    Date de diffusion : 2009-12-23

  • Articles et rapports : 11-522-X200800010991
    Description :

    Dans le processus d'évaluation des plans d'enquête prospectifs, les organismes statistiques doivent généralement tenir compte d'un grand nombre de facteurs pouvant avoir une incidence considérable sur le coût de l'enquête et la qualité des données. Or, les compromis entre le coût et la qualité sont souvent compliqués par les limites relatives à la quantité d'information disponible au regard des coûts fixes et des coûts marginaux liés au remaniement des instruments et à leur mise à l'essai sur le terrain, au nombre d'unités d'échantillonnage du premier degré et d'éléments compris dans l'échantillon, à l'affectation de sections d'instrument et aux modes de collecte appropriés pour des éléments d'échantillon précis ainsi qu'au nombre d'interviews et à leur périodicité (dans le cas des enquêtes longitudinales). D'autre part, les concepteurs disposent souvent de renseignements limités sur l'incidence de ces facteurs sur la qualité des données.

    Les auteurs appliquent des méthodes normalisées d'optimisation de la conception pour neutraliser l'incertitude entourant les composantes susmentionnées liées au coût et à la qualité. Une attention particulière est portée au niveau de précision requis des renseignements sur le coût et la qualité pour que ceux-ci soient d'une quelconque utilité dans le processus de conception, à la nature délicate des compromis coût-qualité relativement aux changements dans les hypothèses concernant les formes fonctionnelles ainsi qu'aux répercussions des travaux préliminaires au regard de la collecte de renseignements sur le coût et la qualité. De plus, la communication examine les différences entre le coût et la qualité dans la mise à l'essai sur le terrain et le travail de production, l'intégration des renseignements sur le coût et la qualité sur le plan de la production à l'adaptation de la conception de même que les coûts et les risques opérationnels découlant de la collecte de données détaillées sur le coût et la qualité pendant la phase de production. Les méthodes proposées sont motivées par le travail avec le remaniement cloisonné de l'interview et les composantes liées au journal de la Consumer Expenditure Survey des États-Unis.

    Date de diffusion : 2009-12-03

  • Articles et rapports : 11-522-X200600110410
    Description :

    Survey of Occupational Illnesses and Injuries (SOII) des États Unis est une enquête à grande échelle effectuée auprès des établissements et réalisée par le Bureau of Labor Statistics. Elle a pour but de mesurer les taux d'incidence et les conséquences des maladies et des blessures professionnelles dans certaines industries à l'échelle du pays et de l'État. À l'heure actuelle, cette enquête s'appuie sur des méthodes relativement simples pour la détection et le traitement des valeurs aberrantes. Les méthodes de détection des valeurs aberrantes reposent sur la comparaison des taux d'incidence déclarés en ce qui concerne l'établissement à la distribution correspondante des déclarations dans des cellules particulières définies par le croisement des classifications selon l'État et selon l'industrie. Les méthodes de traitement comportent le remplacement des poids probabilistes type par un poids dont la valeur est fixée à un, suivi par un étalonnage.

    Des méthodes plus complexes pourraient être utilisées pour la détection et le traitement des valeurs aberrantes dans la SOII, par exemple des méthodes de détection qui s'appuient sur des fonctions d'influence, des poids probabilistes et des observations multivariées, ou des méthodes de traitement fondées sur la winsorisation ou l'estimation M. L'évaluation des avantages pratiques de ces méthodes plus complexes nécessite la prise en considération de trois facteurs importants. Premièrement, les valeurs très extrêmes sont relativement rares, mais lorsqu'elles se produisent, elles peuvent avoir un effet important sur les estimateurs de la SOII dans les cellules définies par le croisement des États et des industries. Par conséquent, l'évaluation pratique de l'effet des méthodes de détection des valeurs aberrantes se concentre principalement sur les queues des distributions des estimateurs, plutôt que sur les mesures de performance agrégées normalisées, comme la variance ou l'erreur quadratique moyenne. Deuxièmement, les évaluations analytiques et fondées sur des données sont axées sur l'amélioration progressive obtenue grâce à l'utilisation de méthodes plus complexes, comparativement aux résultats produits par les méthodes simples suivies à l'heure actuelle. Troisièmement, l'élaboration des outils susmentionnés nécessite le recours à une théorie asymptotique qui n'est pas tout à fait standard pour refléter les compromis en ce qui a trait aux effets associés à, respectivement, l'accroissement de la taille des échantillons, l'accroissement du nombre de cellules pour la publication et l'évolution des queues des distributions sous jacentes des observations.

    Date de diffusion : 2008-03-17

  • Articles et rapports : 11-522-X20040018755
    Description :

    Ce document examine la robustesse des méthodes traitant les erreurs de réponses pour des populations rares. Il examine aussi les problèmes de pondération pour ces populations. Il élabore un cadre de travail asymptotique pour traiter ces problèmes.

    Date de diffusion : 2005-10-27

  • Articles et rapports : 11-522-X20030017700
    Description :

    Ce document propose un cadre utile pour examiner l'incidence des écarts modérés à partir de conditions idéalisées. On présente également des critères d'évaluation pour les estimateurs ponctuels et les estimateurs d'intervalles.

    Date de diffusion : 2005-01-26

  • Articles et rapports : 11-522-X20020016750
    Description :

    Les analyses de données provenant d'enquêtes sociales et économiques s'appuient parfois sur des modèles à fonction généralisée de la variance pour adoucir la variance due au plan de sondage des estimateurs ponctuels des moyennes et des proportions de population. Les analystes peuvent utiliser les estimations résultantes de l'erreur type pour calculer les intervalles de confiance ou les variables à tester pour les moyennes et les proportions étudiées. Comparativement aux estimateurs de la variance basés sur le plan de sondage calculés directement à partir des microdonnées d'enquête, les modèles à fonction généralisée de la variance peuvent offrir plusieurs avantages. Comme le révèle cette étude, ces avantages sont la simplicité des opérations, une plus grande stabilité des erreurs types et, dans le cas où l'on utilise des ensembles de données à grande diffusion, la réduction des problèmes de limitation de la divulgation des renseignements personnels que pose la grande diffusion d'indicateurs de strates et de grappes.

    Cependant, plusieurs problèmes d'inférence peuvent annuler en partie ces avantages éventuels. Premièrement, les propriétés des statistiques inférentielles fondées sur des fonctions généralisées de la variance (par exemple, le taux de couverture et de largeur des intervalles de confiance) dépendent fortement de l'importance empirique relative des composantes de la variabilité associée, respectivement, à :

    a) la sélection aléatoire d'un sous-ensemble d'items utilisés pour estimer le modèle à fonction généralisée de la variance; b) la sélection d'unités d'échantillonnage conformément à un plan d'échantillonnage complexe; (c) le mauvais ajustement du modèle à fonction généralisée de la variance; d) la génération d'une population finie sous les conditions d'un modèle de superpopulation.

    Deuxièmement, sous certaines conditions, on peut lier chacune des composantes (a) à (d) à diverses mesures empiriques de l'adéquation prédictive d'un modèle à fonction généralisée de la variance. Par conséquent, ces mesures d'adéquation prédictive peuvent fournir certains éclaircissements sur la mesure à laquelle un modèle à fonction généralisée de la variance donné convient à l'inférence dans des applications particulières.

    Enfin, certains tests et diagnostics proposés sont appliqués aux données de la U.S. Survey of Doctoral Recipients et de la U.S. Current Employment Survey. La Survey of Doctoral Recipients s'occupe principalement des composantes (a), (c) et (d), alors que la Current Employment Survey accorde plutôt de l'importance aux composantes (b), (c) et (d). La disponibilité de microdonnées de population permet le développement de modèles particulièrement détaillés pour les composantes (b) et (c).

    Date de diffusion : 2004-09-13

  • Articles et rapports : 12-001-X19970013103
    Description :

    Les auteurs décrivent certaines méthodes diagnostiques simples utilisées pour guider la construction de cellules de correction pour la non-réponse. S'inspirant des travaux de Little (1986), ils étudient la construction de cellules de correction par regroupement d'unités d'échantillonnage selon la probabilité estimée de réponse ou selon la réponse estimée aux questions de l'enquête. Ils examinent plus particulièrement l'évaluation de la sensibilité des estimations corrigées de la moyenne à la variation de k, c'est-à-dire le nombre de cellules utilisées, le dépistage de cellules particulières qui nécessitent une mise au point supplémentaire, la comparaison des estimations corrigées et non corrigées de la moyenne et la comparaison des estimations obtenues au moyen des cellules fondées sur la probabilité estimée de réponse, d'une part, et sur la réponse estimée aux questions, d'autre part. Les auteurs justifient les méthodes proposées et les illustrent par une application à l'estimation du revenu moyen des unités de la U.S. Consumer Expenditure Survey.

    Date de diffusion : 1997-08-18

  • Articles et rapports : 12-001-X19960022982
    Description :

    Les travaux sur les enquêtes par échantillonnage exigent souvent qu'on recoure aux estimateurs des composantes de la variance associés à l'échantillonnage, à l'intérieur des unités primaires d'échantillonnage et entre celles-ci. Dans ce genre de travail, il peut s'avérer important d'avoir une idée de la stabilité des estimateurs des composantes de la variance, bref de savoir si ces estimateurs présentent une variance relativement faible. Nous examinerons ici plusieurs façons de mesurer la stabilité des estimateurs des composantes de la variance reposant sur le plan d'échantillonnage et des quantités connexes, d'après les données. Dans le développement, on mettra en relief les méthodes applicables aux enquêtes caractérisées par un nombre moyen ou important de strates et un petit nombre d'unités primaires d'échantillonnage par strate. Nous attirons principalement l'attention sur la variance intrinséque d'un estimateur de la variance intra-UPÉ et sur deux termes connexes se rapportant aux degés de liberté. Une méthode de simulation permet d'établir si la stabilité observée est cohérente avec les hypothèses types sur la stabilité de l'estimateur de la variance. Nous présentons aussi deux séries de mesures de stabilité pour les estimateurs des composantes de la variance inter-UPÉ reposant sur le plan d'échantillonnage et le ratio de la variance globale avec la variance intra-UPÉ. Les méthodes proposées sont appliquées aux données venant des interviews et des examens de la U.S. Third National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES III). Les résultats montrent que les propriétés de la stabilité véritable peuvent changer sensiblement d'une variable à l'autre. Par ailleurs, pour certaines variables, les estimateurs de la variance intra-UPÉ semblent considérablement moins stables qu'on aurait pu s'y attendre consécutivement à un simple dénombrement des unités secondaires de chaque strate.

    Date de diffusion : 1997-01-30
Revues et périodiques (0)

Revues et périodiques (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Date de modification :