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  • Articles et rapports : 11F0027M2011073
    Géographie : Canada
    Description :

    L'analyse porte sur l'évolution de la nature du travail autonome en comparant les taux de transition du marché du travail chez les hommes (entre le non-emploi, l'emploi rémunéré, le travail autonome pour compte propre et le travail autonome avec aide rémunérée) dans deux échantillons de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) : l'échantillon de 1993-1998 et celui de 2002-2007. Un modèle économétrique est ensuite estimé pour déterminer plus précisément l'ampleur des changements.

    Date de diffusion : 2011-10-20

  • Articles et rapports : 75-001-X201010113242
    Géographie : Canada
    Description :

    Le taux de prêts étudiants chez les diplômés de niveau postsecondaire a augmenté entre 1995 et 2005, les emprunteurs différant peu des non emprunteurs au chapitre du taux d'emploi et du revenu personnel total. Toutefois, les emprunteurs étaient moins susceptibles d'avoir des économies ou des placements, ou d'être propriétaires de leur logement. Parmi les diplômés âgés de 20 à 29 ans, la dette totale était similaire pour les emprunteurs et les non emprunteurs, tandis que les avoirs et la valeur nette étaient moindres chez les emprunteurs.

    Date de diffusion : 2010-03-23

  • Articles et rapports : 75-001-X200910713232
    Géographie : Canada
    Description :

    Le Supplément de revenu garanti (SRG) a été établi afin de fournir un revenu supplémentaire aux personnes âgées à faible revenu. La simplification du processus de demande du SRG et les efforts de sensibilisation ont permis d'augmenter les taux de participation, mais certaines personnes âgées n'en profitent toujours pas. Cette mise à jour porte sur les caractéristiques des non-bénéficiaires admissibles.

    Date de diffusion : 2009-09-18

  • Articles et rapports : 75-001-X200910513229
    Géographie : Canada
    Description :

    Les données longitudinales montrent que l'incapacité peut être temporaire ou épisodique. De 1999 à 2004, seulement 13 % des personnes ayant déclaré une incapacité ont été touchées durant ces six années. À mesure que s'allonge la période d'incapacité, les personnes sont plus susceptibles d'avoir une scolarité moindre, d'être des femmes, d'être plus âgées, de vivre seules et de travailler un nombre inférieur d'heures par année. En outre, les effets de l'incapacité se font souvent sentir au-delà de la période d'incapacité.

    Date de diffusion : 2009-06-19

  • Articles et rapports : 75-001-X200811113219
    Géographie : Canada
    Description :

    La retraite est un processus plutôt qu'un événement discret. De nombreux travailleurs âgés qui commencent à toucher une pension demeurent sur le marché du travail d'une manière ou d'une autre pendant environ deux ou trois ans avant de cesser complètement de travailler. Et bien des gens qui cessent de travailler contre rémunération à un moment donné réintègrent par la suite le marché du travail, le plus souvent la première année après avoir quitté leur emploi de carrière. Pour une grande proportion des travailleurs âgés, l « emploi de transition » semble un choix plutôt qu'une nécessité.

    Date de diffusion : 2008-12-18

  • Articles et rapports : 75-001-X200810113202
    Géographie : Canada
    Description :

    Le logement étant la plus importante dépense pour la plupart des ménages, son abordabilité peut avoir un impact considérable sur le bien-être. La mesure de l'abordabilité consiste à comparer les coûts du logement à la capacité des ménages d'y faire face. Jusqu'à présent, l'abordabilité a été mesurée de façon ponctuelle. De nouveaux renseignements permettent de produire le premier examen longitudinal de l'abordabilité des logements. Cet article examine la probabilité de dépenser 30 % ou plus du revenu du ménage sur le logement, la récurrence d'une telle situation et si elle se produit occasionnellement ou de façon persistante.

    Date de diffusion : 2008-03-18

  • Articles et rapports : 75F0002M2008001
    Description :

    Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.

    Date de diffusion : 2008-01-25

  • Articles et rapports : 75F0002M2007006
    Description :

    Cette étude se fonde sur les données fiscales administratives et l'Enquête sur la sécurité financière pour examiner les tendances du nombre et des caractéristiques des Canadiens à revenu élevé, ainsi que de leur patrimoine et de leurs taux d'imposition réels, de 1982 à 2004. Une foule de seuils sert à délimiter le revenu élevé et on y souligne les statistiques sur les paliers supérieurs de 5 %, 1 %, 0,1 % et 0,01 % des déclarants.

    Selon l'étude, il faut qu'une personne ait eu un revenu individuel de 89 000 $ pour entrer dans le palier supérieur de 5 % en 2004. Grâce à un revenu familial de 154 000 $, une famille se situerait dans le palier supérieur de 5 %. La croissance du revenu au palier supérieur a été assez rapide, tandis que le revenu de la majorité de la population est demeuré stable. Le Canada avait beaucoup moins de bénéficiaires de revenu supérieur en 2004 et leur revenu était considérablement moins élevé qu'aux États-Unis. Les personnes à revenu élevé ont tendance à être des hommes mariés, d'âge moyen et vivant dans un grand centre urbain. Même si les femmes représentent une plus grande proportion du palier supérieur de 5 % des déclarants depuis 1982, elles ne gagnent pas assez pour se retrouver dans les groupes à revenu très élevé. Les Canadiens à revenu élevé représentent à peu près la même part du patrimoine total que du revenu total.

    Conformément à leur part de plus en plus grande du revenu total, les Canadiens à revenu élevé paient une part de plus en plus importante de l'impôt sur le revenu des particuliers total. Leur part du revenu total est passée de 21 % à 25 % entre 1992 et 2004, tandis que leur part de l'impôt sur le revenu payé est passée de 30 % à 36 %. En même temps, leur taux d'imposition réel a été ramené de 29 % à 27 %. Ainsi, malgré des taux d'imposition inférieurs, l'augmentation du revenu a été suffisamment importante, lorsqu'on la combine au système d'impôt progressif, pour donner une part accrue de l'impôt total payé par les Canadiens à revenu élevé. Il y a une grande hétérogénéité dans les taux d'imposition réels au niveau individuel, certains particuliers à revenu élevé ayant un taux d'imposition réel de plus de 45 %, tandis que d'autres ne paient que 10 %. Dans la répartition du revenu, la proportion de déclarants qui ne paient pas d'impôt a diminué entre 1992 et 2004.

    Date de diffusion : 2007-09-24

  • Articles et rapports : 81-595-M2005036
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article s'appuie sur des recherches antérieures traitant de l'incidence du revenu familial sur la poursuite d'études postsecondaires. Le rapport cherche à traiter trois grandes questions à l'aide des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR). Premièrement, la structure de la participation aux études postsecondaires s'est-elle transformée au cours des dernières années, qu'il s'agisse des études collégiales ou des études universitaires, ou encore pour les jeunes de divers milieux? Deuxièmement, comment les facteurs socioéconomiques sont-ils liés à la participation aux études postsecondaires? L'incidence de ces facteurs socioéconomiques diffère-t-elle selon qu'il s'agit d'études collégiales ou d'études universitaires? Troisièmement, dans le cas des jeunes qui entreprennent des études postsecondaires, quels sont les facteurs les plus importants quant au choix de l'établissement - soit l'université ou le collège?

    Date de diffusion : 2005-10-17
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Articles et rapports (9)

Articles et rapports (9) ((9 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0027M2011073
    Géographie : Canada
    Description :

    L'analyse porte sur l'évolution de la nature du travail autonome en comparant les taux de transition du marché du travail chez les hommes (entre le non-emploi, l'emploi rémunéré, le travail autonome pour compte propre et le travail autonome avec aide rémunérée) dans deux échantillons de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) : l'échantillon de 1993-1998 et celui de 2002-2007. Un modèle économétrique est ensuite estimé pour déterminer plus précisément l'ampleur des changements.

    Date de diffusion : 2011-10-20

  • Articles et rapports : 75-001-X201010113242
    Géographie : Canada
    Description :

    Le taux de prêts étudiants chez les diplômés de niveau postsecondaire a augmenté entre 1995 et 2005, les emprunteurs différant peu des non emprunteurs au chapitre du taux d'emploi et du revenu personnel total. Toutefois, les emprunteurs étaient moins susceptibles d'avoir des économies ou des placements, ou d'être propriétaires de leur logement. Parmi les diplômés âgés de 20 à 29 ans, la dette totale était similaire pour les emprunteurs et les non emprunteurs, tandis que les avoirs et la valeur nette étaient moindres chez les emprunteurs.

    Date de diffusion : 2010-03-23

  • Articles et rapports : 75-001-X200910713232
    Géographie : Canada
    Description :

    Le Supplément de revenu garanti (SRG) a été établi afin de fournir un revenu supplémentaire aux personnes âgées à faible revenu. La simplification du processus de demande du SRG et les efforts de sensibilisation ont permis d'augmenter les taux de participation, mais certaines personnes âgées n'en profitent toujours pas. Cette mise à jour porte sur les caractéristiques des non-bénéficiaires admissibles.

    Date de diffusion : 2009-09-18

  • Articles et rapports : 75-001-X200910513229
    Géographie : Canada
    Description :

    Les données longitudinales montrent que l'incapacité peut être temporaire ou épisodique. De 1999 à 2004, seulement 13 % des personnes ayant déclaré une incapacité ont été touchées durant ces six années. À mesure que s'allonge la période d'incapacité, les personnes sont plus susceptibles d'avoir une scolarité moindre, d'être des femmes, d'être plus âgées, de vivre seules et de travailler un nombre inférieur d'heures par année. En outre, les effets de l'incapacité se font souvent sentir au-delà de la période d'incapacité.

    Date de diffusion : 2009-06-19

  • Articles et rapports : 75-001-X200811113219
    Géographie : Canada
    Description :

    La retraite est un processus plutôt qu'un événement discret. De nombreux travailleurs âgés qui commencent à toucher une pension demeurent sur le marché du travail d'une manière ou d'une autre pendant environ deux ou trois ans avant de cesser complètement de travailler. Et bien des gens qui cessent de travailler contre rémunération à un moment donné réintègrent par la suite le marché du travail, le plus souvent la première année après avoir quitté leur emploi de carrière. Pour une grande proportion des travailleurs âgés, l « emploi de transition » semble un choix plutôt qu'une nécessité.

    Date de diffusion : 2008-12-18

  • Articles et rapports : 75-001-X200810113202
    Géographie : Canada
    Description :

    Le logement étant la plus importante dépense pour la plupart des ménages, son abordabilité peut avoir un impact considérable sur le bien-être. La mesure de l'abordabilité consiste à comparer les coûts du logement à la capacité des ménages d'y faire face. Jusqu'à présent, l'abordabilité a été mesurée de façon ponctuelle. De nouveaux renseignements permettent de produire le premier examen longitudinal de l'abordabilité des logements. Cet article examine la probabilité de dépenser 30 % ou plus du revenu du ménage sur le logement, la récurrence d'une telle situation et si elle se produit occasionnellement ou de façon persistante.

    Date de diffusion : 2008-03-18

  • Articles et rapports : 75F0002M2008001
    Description :

    Le logement représente la principale dépense pour la plupart des ménages, et son abordabilité peut influer sur le bien-être des membres du ménage. C'est pourquoi l'abordabilité du logement est étroitement surveillée par une variété d'intervenants - des défenseurs du logement aux analystes des politiques - qui s'intéressent au bien-être des Canadiens. La mesure de l'abordabilité comprend la comparaison des coûts du logement à la capacité des ménages de couvrir ces coûts. Le rapport des frais de logement au revenu (RFLR) est l'une des mesures souvent utilisée. La valeur de référence de 30 % est généralement reconnue comme la limite supérieure pour qu'un logement soit considéré abordable. L'abordabilité du logement est également un intrant essentiel de l'indicateur des besoins impérieux de logement de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), qui est utilisé par les gouvernements pour les aider à la conception, à la prestation, au financement et à l'évaluation des programmes de logement social. Le rapport, rédigé conjointement par Statistique Canada et la SCHL, est seulement axé sur la dynamique de l'abordabilité du logement et ne concerne pas les besoins impérieux de logement. Il examine la probabilité qu'un ménage consacre 30 % ou plus de son revenu au logement, la récurrence d'une telle situation et si elle est occasionnelle ou permanente, et met en opposition les ménages qui consacrent 30 % ou plus de leur revenu au logement aux ménages qui y consacrent une part moins importante. Les estimations transversales montrent qu'en 2002, environ 19 % des Canadiens faisaient partie de ménages qui consacraient davantage au logement que la valeur de référence en matière d'abordabilité. D'une perspective longitudinale toutefois, moins de 9 % des Canadiens vivaient dans des ménages qui consacraient davantage au logement que cette valeur de référence pour chacune des années entre 2002 et 2004, tandis qu'un autre 19 % vivaient dans des ménages dont les dépenses ont dépassé cette valeur de référence pendant seulement une ou deux années. Les caractéristiques associées à des probabilités plus élevées de vivre dans un ménage qui consacre davantage au logement que la valeur de référence maximale d'abordabilité sont : vivre seul, être une mère seule, être locataire, être immigrant ou habiter à Vancouver ou à Toronto. En outre, les personnes qui faisaient partie de ménages en situation de transition entre 2002 et 2004 avaient une probabilité plus élevée d'avoir dépassé la limite au moins une fois durant cette période. De telles transitions comprenaient les locataires qui changeaient de statut quant aux logements subventionnés, les propriétaires qui sont devenus locataires et vice versa, les personnes qui ont changé de type de famille (par exemple par un mariage ou un divorce) et les personnes qui ont déménagé d'une ville à une autre. Il est intéressant de noter que les personnes qui ont vécu ce type de transitions n'ont pas dépassé la valeur de référence de façon continue.

    Date de diffusion : 2008-01-25

  • Articles et rapports : 75F0002M2007006
    Description :

    Cette étude se fonde sur les données fiscales administratives et l'Enquête sur la sécurité financière pour examiner les tendances du nombre et des caractéristiques des Canadiens à revenu élevé, ainsi que de leur patrimoine et de leurs taux d'imposition réels, de 1982 à 2004. Une foule de seuils sert à délimiter le revenu élevé et on y souligne les statistiques sur les paliers supérieurs de 5 %, 1 %, 0,1 % et 0,01 % des déclarants.

    Selon l'étude, il faut qu'une personne ait eu un revenu individuel de 89 000 $ pour entrer dans le palier supérieur de 5 % en 2004. Grâce à un revenu familial de 154 000 $, une famille se situerait dans le palier supérieur de 5 %. La croissance du revenu au palier supérieur a été assez rapide, tandis que le revenu de la majorité de la population est demeuré stable. Le Canada avait beaucoup moins de bénéficiaires de revenu supérieur en 2004 et leur revenu était considérablement moins élevé qu'aux États-Unis. Les personnes à revenu élevé ont tendance à être des hommes mariés, d'âge moyen et vivant dans un grand centre urbain. Même si les femmes représentent une plus grande proportion du palier supérieur de 5 % des déclarants depuis 1982, elles ne gagnent pas assez pour se retrouver dans les groupes à revenu très élevé. Les Canadiens à revenu élevé représentent à peu près la même part du patrimoine total que du revenu total.

    Conformément à leur part de plus en plus grande du revenu total, les Canadiens à revenu élevé paient une part de plus en plus importante de l'impôt sur le revenu des particuliers total. Leur part du revenu total est passée de 21 % à 25 % entre 1992 et 2004, tandis que leur part de l'impôt sur le revenu payé est passée de 30 % à 36 %. En même temps, leur taux d'imposition réel a été ramené de 29 % à 27 %. Ainsi, malgré des taux d'imposition inférieurs, l'augmentation du revenu a été suffisamment importante, lorsqu'on la combine au système d'impôt progressif, pour donner une part accrue de l'impôt total payé par les Canadiens à revenu élevé. Il y a une grande hétérogénéité dans les taux d'imposition réels au niveau individuel, certains particuliers à revenu élevé ayant un taux d'imposition réel de plus de 45 %, tandis que d'autres ne paient que 10 %. Dans la répartition du revenu, la proportion de déclarants qui ne paient pas d'impôt a diminué entre 1992 et 2004.

    Date de diffusion : 2007-09-24

  • Articles et rapports : 81-595-M2005036
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent article s'appuie sur des recherches antérieures traitant de l'incidence du revenu familial sur la poursuite d'études postsecondaires. Le rapport cherche à traiter trois grandes questions à l'aide des données de l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR). Premièrement, la structure de la participation aux études postsecondaires s'est-elle transformée au cours des dernières années, qu'il s'agisse des études collégiales ou des études universitaires, ou encore pour les jeunes de divers milieux? Deuxièmement, comment les facteurs socioéconomiques sont-ils liés à la participation aux études postsecondaires? L'incidence de ces facteurs socioéconomiques diffère-t-elle selon qu'il s'agit d'études collégiales ou d'études universitaires? Troisièmement, dans le cas des jeunes qui entreprennent des études postsecondaires, quels sont les facteurs les plus importants quant au choix de l'établissement - soit l'université ou le collège?

    Date de diffusion : 2005-10-17
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