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Voici le 13^e rapport annuel La violence familiale au Canada : un profil statistique produit par le Centre canadien de la statistique juridique dans le cadre de l'Initiative de lutte contre la violence familiale du gouvernement fédéral. En tant qu'élément de l'initiative permanente visant à informer les décideurs et le public des problèmes liés à la violence familiale, ce rapport fournit les données les plus actuelles sur la nature et l'étendue de la violence familiale au Canada, ainsi que sur l'évolution des tendances au fil du temps. Chaque année, le rapport traite d'un thème différent. Celui-ci porte sur les incidents de violence conjugale autodéclarés dans le cadre de l'Enquête sociale générale de 2009 sur la victimisation. Le rapport comprend également de l'information sur la violence familiale contre les enfants et les jeunes et contre les personnes âgées, de même que des renseignements sur les homicides dans la famille; toutes ces données ont été déclarées par la police. Le rapport La violence familiale au Canada : un profil statistique sera désormais présenté sous la forme d'un article du Juristat, produit no 85-002-X au catalogue de Statistique Canada. Ainsi, l'ancien numéro de produit (85-224-X) lié à ce rapport a été aboli.

Une bonne partie des incidents de victimisation qui se produisent sont vécus par un petit nombre de personnes victimes de plusieurs incidents. Selon les données de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2004 sur la victimisation, un peu plus de 10 % de la population âgée de 15 ans ou plus avait été victime de plus d'un crime au cours des 12 mois précédant l'enquête, mais elles avaient subi environ 60 % de tous les incidents criminels. Si l'on ne tient compte que des crimes violents, 60 % de ces incidents ont été subis par moins de 2 % de la population.

Comme une faible proportion de personnes et de ménages font face à une part importante des crimes, le fait de connaître les caractéristiques augmentant le risque d'être victime d'un crime pourrait permettre une meilleure efficacité des mesures de prévention du crime, voire prévenir des incidents de victimisation subséquents.

Le risque de devenir victime d'un crime violent ou d'un crime contre les biens du ménage peut varier en fonction de l'ensemble des facteurs sociaux, économiques et démographiques qui caractérisent la situation d'une personne. Le revenu est l'un de ces facteurs. Le présent rapport, qui est principalement fondé sur les données de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2004, dresse le profil de la victimisation avec violence et de la victimisation des ménages chez les Canadiens vivant dans des ménages à faible revenu (moins de 15 000 $). Il fournit également de l'information sur les ressources auxquelles s'adressent les victimes pour obtenir de l'aide, sur les perceptions de la sécurité du quartier et sur la crainte de la criminalité chez les Canadiens issus de ménages à faible revenu.

L'Enquête internationale sur les victimes de la criminalité (EIVC) vise à fournir des renseignements internationaux comparables sur la nature et l'étendue de la criminalité. Les répondants fournissent des renseignements détaillés sur 11 genres de crimes, y compris le moment et le lieu où les infractions se sont produites ainsi que leur fréquence au cours des cinq années antérieures. Ils doivent également indiquer s'ils ont signalé l'infraction à la police et s'ils considèrent comme grave leur expérience de victimisation. On leur demande aussi leur opinion sur la sécurité publique, les services de police et les peines imposées.

Ce Juristat présente un aperçu des conclusions de l'EIVC de 2000 ainsi que des comparaisons avec les données des cycles de 1989, 1992 et 1996 de l'enquête. L'analyse porte essentiellement sur 13 des 17 pays industrialisés qui y ont participé, c.-à-d. le Canada, l'Angleterre et le pays de Galles, l'Australie, la Belgique, l'Écosse, les États-Unis, la Finlande, la France, l'Irlande du Nord, le Japon, les Pays-Bas, la Pologne et la Suède.

Le Canada était l'un des 17 pays industrialisés qui ont participé à l'enquête en 2000 et est l'un des 5 pays industrialisés qui ont pris part aux quatre cycles de l'enquête.

Ce rapport décrit la structure et l'administration des services de l'aide juridique. Il présente notamment un survol historique et des renseignements sur la législation en matière d'aide juridique, l'organisation de l'aide juridique au Canada, le champ d'application, l'admissibilité, les avocats nommés d'office, les tarifs et les diverses contributions des avocats.

Depuis les années 80, les mauvais traitements infligés aux Canadiens plus âgés retiennent l'attention des fournisseurs de services, des chercheurs, des lobbyistes ainsi que des décideurs. Ces mauvais traitements peuvent comprendre les agressions, la violence psychologique et l'exploitation financière à l'endroit des adultes de plus de 65 ans. À ce jour, le manque de données a rendu difficiles la quantification et la compréhension de la véritable nature de la violence envers les adultes plus âgés.

Le document réunit des données d'un certain nombre de sondages de Statistique Canada, et il fournit un aperçu visuel des sujets suivants: la criminalité, l'administration de la police, les activités relatives aux tribunaux de la jeunesse et aux tribunaux pour adultes, la population correctionnelle, le coût du système de justice pénale, la violence envers les femmes, les expériences qu'ont les Canadiens de la criminalité ainsi que leurs perceptions et leur crainte de la criminalité.

La présente section examine la nature et l'étendue des cas de violence conjugale signalés à la police. Une attention particulière est accordée à la façon dont la violence conjugale diffère pour les femmes et les hommes.

Le document réunit des données d'un certain nombre de sondages de Statistique Canada, et il fournit un aperçu visuel des sujets suivants: la criminalité, l'administration de la police, les activités relatives aux tribunaux de la jeunesse et aux tribunaux pour adultes, la population correctionnelle, le coût du système de justice pénale, la violence envers les femmes, les expériences qu'ont les Canadiens de la criminalité ainsi que leurs perceptions et leur crainte de la criminalité.

Voici le 13^e rapport annuel La violence familiale au Canada : un profil statistique produit par le Centre canadien de la statistique juridique dans le cadre de l'Initiative de lutte contre la violence familiale du gouvernement fédéral. En tant qu'élément de l'initiative permanente visant à informer les décideurs et le public des problèmes liés à la violence familiale, ce rapport fournit les données les plus actuelles sur la nature et l'étendue de la violence familiale au Canada, ainsi que sur l'évolution des tendances au fil du temps. Chaque année, le rapport traite d'un thème différent. Celui-ci porte sur les incidents de violence conjugale autodéclarés dans le cadre de l'Enquête sociale générale de 2009 sur la victimisation. Le rapport comprend également de l'information sur la violence familiale contre les enfants et les jeunes et contre les personnes âgées, de même que des renseignements sur les homicides dans la famille; toutes ces données ont été déclarées par la police. Le rapport La violence familiale au Canada : un profil statistique sera désormais présenté sous la forme d'un article du Juristat, produit no 85-002-X au catalogue de Statistique Canada. Ainsi, l'ancien numéro de produit (85-224-X) lié à ce rapport a été aboli.

Une bonne partie des incidents de victimisation qui se produisent sont vécus par un petit nombre de personnes victimes de plusieurs incidents. Selon les données de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2004 sur la victimisation, un peu plus de 10 % de la population âgée de 15 ans ou plus avait été victime de plus d'un crime au cours des 12 mois précédant l'enquête, mais elles avaient subi environ 60 % de tous les incidents criminels. Si l'on ne tient compte que des crimes violents, 60 % de ces incidents ont été subis par moins de 2 % de la population.

Comme une faible proportion de personnes et de ménages font face à une part importante des crimes, le fait de connaître les caractéristiques augmentant le risque d'être victime d'un crime pourrait permettre une meilleure efficacité des mesures de prévention du crime, voire prévenir des incidents de victimisation subséquents.

Le risque de devenir victime d'un crime violent ou d'un crime contre les biens du ménage peut varier en fonction de l'ensemble des facteurs sociaux, économiques et démographiques qui caractérisent la situation d'une personne. Le revenu est l'un de ces facteurs. Le présent rapport, qui est principalement fondé sur les données de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2004, dresse le profil de la victimisation avec violence et de la victimisation des ménages chez les Canadiens vivant dans des ménages à faible revenu (moins de 15 000 $). Il fournit également de l'information sur les ressources auxquelles s'adressent les victimes pour obtenir de l'aide, sur les perceptions de la sécurité du quartier et sur la crainte de la criminalité chez les Canadiens issus de ménages à faible revenu.

L'Enquête internationale sur les victimes de la criminalité (EIVC) vise à fournir des renseignements internationaux comparables sur la nature et l'étendue de la criminalité. Les répondants fournissent des renseignements détaillés sur 11 genres de crimes, y compris le moment et le lieu où les infractions se sont produites ainsi que leur fréquence au cours des cinq années antérieures. Ils doivent également indiquer s'ils ont signalé l'infraction à la police et s'ils considèrent comme grave leur expérience de victimisation. On leur demande aussi leur opinion sur la sécurité publique, les services de police et les peines imposées.

Ce Juristat présente un aperçu des conclusions de l'EIVC de 2000 ainsi que des comparaisons avec les données des cycles de 1989, 1992 et 1996 de l'enquête. L'analyse porte essentiellement sur 13 des 17 pays industrialisés qui y ont participé, c.-à-d. le Canada, l'Angleterre et le pays de Galles, l'Australie, la Belgique, l'Écosse, les États-Unis, la Finlande, la France, l'Irlande du Nord, le Japon, les Pays-Bas, la Pologne et la Suède.

Le Canada était l'un des 17 pays industrialisés qui ont participé à l'enquête en 2000 et est l'un des 5 pays industrialisés qui ont pris part aux quatre cycles de l'enquête.

Depuis les années 80, les mauvais traitements infligés aux Canadiens plus âgés retiennent l'attention des fournisseurs de services, des chercheurs, des lobbyistes ainsi que des décideurs. Ces mauvais traitements peuvent comprendre les agressions, la violence psychologique et l'exploitation financière à l'endroit des adultes de plus de 65 ans. À ce jour, le manque de données a rendu difficiles la quantification et la compréhension de la véritable nature de la violence envers les adultes plus âgés.

La présente section examine la nature et l'étendue des cas de violence conjugale signalés à la police. Une attention particulière est accordée à la façon dont la violence conjugale diffère pour les femmes et les hommes.

Ce rapport décrit la structure et l'administration des services de l'aide juridique. Il présente notamment un survol historique et des renseignements sur la législation en matière d'aide juridique, l'organisation de l'aide juridique au Canada, le champ d'application, l'admissibilité, les avocats nommés d'office, les tarifs et les diverses contributions des avocats.