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Tout (2) ((2 résultats))

  • Articles et rapports : 89-613-M2005007
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport porte sur l'emplacement des emplois dans 27 régions métropolitaines de recensement, une attention plus particulière étant accordée à l'évolution de la situation à Québec, Montréal, Ottawa-Hull, Toronto, Winnipeg, Calgary, Edmonton et Vancouver. En outre, on y analyse les modes de transport utilisés par les navetteurs pour se rendre au travail, en mettant l'accent sur l'utilisation du transport en commun et de la voiture (comme conducteur ou comme passager).

    Alors que les régions métropolitaines de recensement du Canada ont continué d'être caractérisées par une forte concentration des emplois au centre ville, entre 1996 et 2001 l'emploi a crû plus rapidement dans les banlieues des régions métropolitaines de recensement les plus grandes que dans les centres villes. L'une des caractéristiques de la croissance de l'emploi en banlieue est le déplacement des activités manufacturières du centre ville vers les banlieues. Le commerce de détail s'est également déplacé du centre ville vers les banlieues.

    Relativement peu de travailleurs employés à l'extérieur du centre ville ont utilisé le transport en commun pour se rendre au travail. La plupart des navetteurs ont conduit leur voiture ou se sont rendus au travail en tant que passagers à bord d'une voiture. Plus le lieu de travail était éloigné du centre ville, plus cette tendance au navettage en voiture s'est accentuée. En outre, les tendances de navettage sont devenues plus complexes, le navettage entre banlieues prenant plus d'importance par rapport aux modèles traditionnels de navettage dans le centre ville et entre le centre ville et la banlieue. De plus, les navetteurs qui se rendaient d'une banlieue à l'autre étaient beaucoup plus susceptibles de conduire que d'utiliser le transport en commun.

    Malgré la décentralisation des emplois dans les régions métropolitaines, les réseaux de transport en commun n'ont pas perdu leur part des navetteurs entre 1996 et 2001. Même si le navettage en voiture vers les emplois situés en banlieue a augmenté, une proportion plus importante des navetteurs se rendant au centre ville ont utilisé le transport en commun. La proportion totale des navetteurs utilisant les réseaux de transport en commun est donc demeurée stable entre 1996 et 2001.

    En outre, selon le rapport, les emplois au centre ville étaient plus spécialisés et mieux rémunérés, et les gains des travailleurs du centre ville ont augmenté plus rapidement entre 1996 et 2001.

    Le rapport est fondé sur les données des recensements du Canada de 1996 et de 2001.

    Date de diffusion : 2005-06-01

  • Articles et rapports : 11-622-M2005006
    Géographie : Canada
    Description :

    La croissance des microtechnologies et leur diffusion répandue dans l'ensemble des secteurs économiques a donné lieu à ce qu'on appelle souvent la nouvelle économie, soit une économie dans laquelle les perspectives de soutien de la concurrence sont étroitement liées aux pratiques en matière d'innovation et de technologie de l'entreprise ainsi qu'à son utilisation de travailleurs qualifiés. La formation est l'une des stratégies adoptées par de nombreuses entreprises pour améliorer la qualité de la main-d'oeuvre.

    La présente étude vient s'ajouter utilement au nombre croissant de travaux de recherche dans le domaine des technologies de l'information et des communications (TIC). Au moyen des données sur les établissements du secteur des entreprises tirées de l'Enquête sur le milieu de travail et les employés de 1999 (EMTE), nous examinons les facteurs liés à la prévalence et à l'intensité de la formation. Nous cherchons plus particulièrement à déterminer si la prévalence et l'intensité de la formation sont plus étroitement associées aux compétences technologiques des divers établissements qu'à leur appartenance à un secteur axé sur les sciences et les TIC. Nous en arrivons à la conclusion que la prévalence de la formation dépend davantage des compétences technologiques des différents établissements. Dans le cas des établissements qui décident d'assurer une formation, ces compétences technologiques sont également des déterminants importants de l'intensité de la formation.

    Les établissements qui obtiennent une cote élevée à notre indice de compétence technologique sont plus de trois fois plus susceptibles d'assurer une formation que ceux qui se classent au rang 0 à l'indice. La taille de l'entreprise entre également en ligne de compte. Les établissements de taille grande et moyenne sont, respectivement, de 3,0 et 2,3 fois plus susceptibles d'assurer une formation que les établissements de taille petite. En outre, les établissements dotés d'une main-d'oeuvre plus qualifiée sont plus susceptibles d'assurer une formation que ceux dotés d'une main-d'oeuvre peu qualifiée.

    Dans le cas des établissements qui décident d'offrir une formation, leur compétence technologique est le principal facteur déterminant de l'intensité de la formation assurée. La taille de l'établissement, le coût moyen de la formation et le niveau de compétence de la main-d'oeuvre sont également des facteurs importants, mais dans une moindre mesure. D'autres facteurs, tels que le secteur, les sources de financement externes et la syndicalisation, n'influent pas sensiblement sur l'intensité de la formation. Les établissements où le coût de la formation est supérieur à la moyenne assurent une formation à un plus petit nombre d'employés en proportion de leur main-d'oeuvre. Toutefois, le niveau de compétence de leurs employés vient mitiger cet effet puisque, à mesure que la paie par employé augmente (approximation des compétences des travailleurs), l'établissement assure davantage de formation.

    Date de diffusion : 2005-01-25
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Analyses (2)

Analyses (2) ((2 résultats))

  • Articles et rapports : 89-613-M2005007
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent rapport porte sur l'emplacement des emplois dans 27 régions métropolitaines de recensement, une attention plus particulière étant accordée à l'évolution de la situation à Québec, Montréal, Ottawa-Hull, Toronto, Winnipeg, Calgary, Edmonton et Vancouver. En outre, on y analyse les modes de transport utilisés par les navetteurs pour se rendre au travail, en mettant l'accent sur l'utilisation du transport en commun et de la voiture (comme conducteur ou comme passager).

    Alors que les régions métropolitaines de recensement du Canada ont continué d'être caractérisées par une forte concentration des emplois au centre ville, entre 1996 et 2001 l'emploi a crû plus rapidement dans les banlieues des régions métropolitaines de recensement les plus grandes que dans les centres villes. L'une des caractéristiques de la croissance de l'emploi en banlieue est le déplacement des activités manufacturières du centre ville vers les banlieues. Le commerce de détail s'est également déplacé du centre ville vers les banlieues.

    Relativement peu de travailleurs employés à l'extérieur du centre ville ont utilisé le transport en commun pour se rendre au travail. La plupart des navetteurs ont conduit leur voiture ou se sont rendus au travail en tant que passagers à bord d'une voiture. Plus le lieu de travail était éloigné du centre ville, plus cette tendance au navettage en voiture s'est accentuée. En outre, les tendances de navettage sont devenues plus complexes, le navettage entre banlieues prenant plus d'importance par rapport aux modèles traditionnels de navettage dans le centre ville et entre le centre ville et la banlieue. De plus, les navetteurs qui se rendaient d'une banlieue à l'autre étaient beaucoup plus susceptibles de conduire que d'utiliser le transport en commun.

    Malgré la décentralisation des emplois dans les régions métropolitaines, les réseaux de transport en commun n'ont pas perdu leur part des navetteurs entre 1996 et 2001. Même si le navettage en voiture vers les emplois situés en banlieue a augmenté, une proportion plus importante des navetteurs se rendant au centre ville ont utilisé le transport en commun. La proportion totale des navetteurs utilisant les réseaux de transport en commun est donc demeurée stable entre 1996 et 2001.

    En outre, selon le rapport, les emplois au centre ville étaient plus spécialisés et mieux rémunérés, et les gains des travailleurs du centre ville ont augmenté plus rapidement entre 1996 et 2001.

    Le rapport est fondé sur les données des recensements du Canada de 1996 et de 2001.

    Date de diffusion : 2005-06-01

  • Articles et rapports : 11-622-M2005006
    Géographie : Canada
    Description :

    La croissance des microtechnologies et leur diffusion répandue dans l'ensemble des secteurs économiques a donné lieu à ce qu'on appelle souvent la nouvelle économie, soit une économie dans laquelle les perspectives de soutien de la concurrence sont étroitement liées aux pratiques en matière d'innovation et de technologie de l'entreprise ainsi qu'à son utilisation de travailleurs qualifiés. La formation est l'une des stratégies adoptées par de nombreuses entreprises pour améliorer la qualité de la main-d'oeuvre.

    La présente étude vient s'ajouter utilement au nombre croissant de travaux de recherche dans le domaine des technologies de l'information et des communications (TIC). Au moyen des données sur les établissements du secteur des entreprises tirées de l'Enquête sur le milieu de travail et les employés de 1999 (EMTE), nous examinons les facteurs liés à la prévalence et à l'intensité de la formation. Nous cherchons plus particulièrement à déterminer si la prévalence et l'intensité de la formation sont plus étroitement associées aux compétences technologiques des divers établissements qu'à leur appartenance à un secteur axé sur les sciences et les TIC. Nous en arrivons à la conclusion que la prévalence de la formation dépend davantage des compétences technologiques des différents établissements. Dans le cas des établissements qui décident d'assurer une formation, ces compétences technologiques sont également des déterminants importants de l'intensité de la formation.

    Les établissements qui obtiennent une cote élevée à notre indice de compétence technologique sont plus de trois fois plus susceptibles d'assurer une formation que ceux qui se classent au rang 0 à l'indice. La taille de l'entreprise entre également en ligne de compte. Les établissements de taille grande et moyenne sont, respectivement, de 3,0 et 2,3 fois plus susceptibles d'assurer une formation que les établissements de taille petite. En outre, les établissements dotés d'une main-d'oeuvre plus qualifiée sont plus susceptibles d'assurer une formation que ceux dotés d'une main-d'oeuvre peu qualifiée.

    Dans le cas des établissements qui décident d'offrir une formation, leur compétence technologique est le principal facteur déterminant de l'intensité de la formation assurée. La taille de l'établissement, le coût moyen de la formation et le niveau de compétence de la main-d'oeuvre sont également des facteurs importants, mais dans une moindre mesure. D'autres facteurs, tels que le secteur, les sources de financement externes et la syndicalisation, n'influent pas sensiblement sur l'intensité de la formation. Les établissements où le coût de la formation est supérieur à la moyenne assurent une formation à un plus petit nombre d'employés en proportion de leur main-d'oeuvre. Toutefois, le niveau de compétence de leurs employés vient mitiger cet effet puisque, à mesure que la paie par employé augmente (approximation des compétences des travailleurs), l'établissement assure davantage de formation.

    Date de diffusion : 2005-01-25
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