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- Articles et rapports : 75F0002M2005010Description :
Depuis un certain temps, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) utilise les données du Recensement de la population sur les caractéristiques du logement et les dépenses liées au logement. Bien que la source de données que constitue le recensement réponde dans une large mesure aux besoins de la SCHL, cet organisme du gouvernement fédéral a exploité les enquêtes-ménages annuelles de Statistique Canada pour obtenir des renseignements plus fréquents. Cela devait lui permettre d'avoir une image plus fidèle des tendances annuelles, et peut-être d'avoir un plus grand choix d'autres caractéristiques pour le recoupement des données sur le logement des ménages canadiens. En 2001, la SCHL a commencé à commanditer des questions supplémentaires à la fois dans l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) et dans l'Enquête sur les dépenses des ménages (EDM), à compter de l'année de référence 2002.
Date de diffusion : 2005-07-22 - 2. L'impôt foncier et le revenu ArchivéArticles et rapports : 75-001-X200510313137Géographie : CanadaDescription :
On considère de plus en plus que les recettes dont disposent les municipalités ne suffisent pas à financer les programmes qui relèvent de leurs responsabilités. Les impôts fonciers (résidentiels et non résidentiels) sont de loin la plus importante source des recettes municipales (35 % en 2003, contre 30 % en 1988). Mais les impôts fonciers résidentiels sont communément jugés régressifs par rapport au revenu. À partir du Recensement de la population de 2001, cette étude tente de quantifier la régressivité des impôts fonciers résidentiels dans les municipalités canadiennes et d'examiner si les impôts régressifs sont généralement attribuables aux personnes âgées à faible revenu qui vivent dans des maisons chères.
Date de diffusion : 2005-06-20 - 3. Le coût de l'habitation des personnes âgées ArchivéArticles et rapports : 75-001-X200410713124Géographie : CanadaDescription :
Cet article traite des coûts d'habitation en fonction du revenu et des biens, en mettant l'accent sur les personnes âgées propriétaires, mais les familles et locataires plus jeunes sont inclus à des fins de comparaison. L'article explore aussi la dimension « faible revenu ».
Date de diffusion : 2004-09-21 - Articles et rapports : 62F0014M2001015Géographie : CanadaDescription :
L'indice des prix à la consommation (IPC) canadien utilise une version de l'approche du coût d'utilisation afin de mesurer le coût de la propriété d'un logement. Parce que cette approche comporte une estimation spécifique des coûts d'utilisation du logement en propriété et pas de celui qu'assument les locataires, la mesure comprend une composante « coût de remplacement » (ou « dépréciation »). La dépréciation est la seule composante de l'IPC qui ne représente pas un débours. Par conséquent, la mesure de la dépréciation présente aux économistes un ensemble bien particulier de défis méthodologiques.
Entre 1949 et 1997, le taux annuel de dépréciation des logements utilisé dans l'IPC était de 2 %. Statistique Canada a retenu le taux d'une étude renfermant une analyse des données d'évaluation de 1939 de la Federal Housing Administration des États-Unis. La présente étude avance qu'il peut être démontré que le taux de dépréciation de 2 % est trop élevé pour être encore utilisé à l'avenir, parce que : 1) d'autres études canadiennes révèlent une limite supérieure de 1,7 %, avec une médiane de 1,5 %; 2) d'autres organismes statistiques utilisent des taux moindres; 3) toutes les études théoriques des quarante dernières années ont conclu à un taux moindre. Par suite de la présente étude et des justifications à l'appui, le taux de dépréciation dans l'IPC canadien a été ramené à 1,5 % à compter de janvier 1998.
Date de diffusion : 2001-11-28
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Analyses (4)
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- Articles et rapports : 75F0002M2005010Description :
Depuis un certain temps, la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) utilise les données du Recensement de la population sur les caractéristiques du logement et les dépenses liées au logement. Bien que la source de données que constitue le recensement réponde dans une large mesure aux besoins de la SCHL, cet organisme du gouvernement fédéral a exploité les enquêtes-ménages annuelles de Statistique Canada pour obtenir des renseignements plus fréquents. Cela devait lui permettre d'avoir une image plus fidèle des tendances annuelles, et peut-être d'avoir un plus grand choix d'autres caractéristiques pour le recoupement des données sur le logement des ménages canadiens. En 2001, la SCHL a commencé à commanditer des questions supplémentaires à la fois dans l'Enquête sur la dynamique du travail et du revenu (EDTR) et dans l'Enquête sur les dépenses des ménages (EDM), à compter de l'année de référence 2002.
Date de diffusion : 2005-07-22 - 2. L'impôt foncier et le revenu ArchivéArticles et rapports : 75-001-X200510313137Géographie : CanadaDescription :
On considère de plus en plus que les recettes dont disposent les municipalités ne suffisent pas à financer les programmes qui relèvent de leurs responsabilités. Les impôts fonciers (résidentiels et non résidentiels) sont de loin la plus importante source des recettes municipales (35 % en 2003, contre 30 % en 1988). Mais les impôts fonciers résidentiels sont communément jugés régressifs par rapport au revenu. À partir du Recensement de la population de 2001, cette étude tente de quantifier la régressivité des impôts fonciers résidentiels dans les municipalités canadiennes et d'examiner si les impôts régressifs sont généralement attribuables aux personnes âgées à faible revenu qui vivent dans des maisons chères.
Date de diffusion : 2005-06-20 - 3. Le coût de l'habitation des personnes âgées ArchivéArticles et rapports : 75-001-X200410713124Géographie : CanadaDescription :
Cet article traite des coûts d'habitation en fonction du revenu et des biens, en mettant l'accent sur les personnes âgées propriétaires, mais les familles et locataires plus jeunes sont inclus à des fins de comparaison. L'article explore aussi la dimension « faible revenu ».
Date de diffusion : 2004-09-21 - Articles et rapports : 62F0014M2001015Géographie : CanadaDescription :
L'indice des prix à la consommation (IPC) canadien utilise une version de l'approche du coût d'utilisation afin de mesurer le coût de la propriété d'un logement. Parce que cette approche comporte une estimation spécifique des coûts d'utilisation du logement en propriété et pas de celui qu'assument les locataires, la mesure comprend une composante « coût de remplacement » (ou « dépréciation »). La dépréciation est la seule composante de l'IPC qui ne représente pas un débours. Par conséquent, la mesure de la dépréciation présente aux économistes un ensemble bien particulier de défis méthodologiques.
Entre 1949 et 1997, le taux annuel de dépréciation des logements utilisé dans l'IPC était de 2 %. Statistique Canada a retenu le taux d'une étude renfermant une analyse des données d'évaluation de 1939 de la Federal Housing Administration des États-Unis. La présente étude avance qu'il peut être démontré que le taux de dépréciation de 2 % est trop élevé pour être encore utilisé à l'avenir, parce que : 1) d'autres études canadiennes révèlent une limite supérieure de 1,7 %, avec une médiane de 1,5 %; 2) d'autres organismes statistiques utilisent des taux moindres; 3) toutes les études théoriques des quarante dernières années ont conclu à un taux moindre. Par suite de la présente étude et des justifications à l'appui, le taux de dépréciation dans l'IPC canadien a été ramené à 1,5 % à compter de janvier 1998.
Date de diffusion : 2001-11-28
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