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Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Tableau : 61-219-X
    Description :

    Cette publication contient des données annuelles agrégées sur les entreprises canadiennes classées selon 67 groupes d'industries. La classification des industries est déterminée d'après le Système de classification des industries de l'Amérique du Nord (SCIAN Canada 2012). Les données comprennent : les postes de l'actif, du passif et de l'avoir que l'on retrouve sur le bilan, les postes du revenu et des dépenses que l'on retrouve sur l'état des résultats, un rapprochement du bénéfice net au revenu imposable et aux impôts à payer, ainsi que plusieurs ratios de performance financière courants.

    Date de diffusion : 2016-03-17

  • Articles et rapports : 11F0027M2010065
    Géographie : Canada
    Description :

    Le but du présent article est double. En premier lieu, les auteurs fournissent une matrice de comptabilité sociale (MCS) détaillée pour l'économie canadienne en 2004. Cette matrice permet d'intégrer les flux financiers et les flux de revenus dans la matrice d'entrées-sorties usuelle. Deuxièmement, ils utilisent cette MCS pour évaluer la force des liens entre l'économie réelle et le secteur financier, en calculant les multiplicateurs réels de la MCS et les multiplicateurs financiers de la MCS et en les comparant. Pour les multiplicateurs financiers de la MCS, les flux financiers sont endogènes, tandis que pour les multiplicateurs réels de la MCS, ils ne le sont pas. Les résultats montrent que si l'on tient compte des flux financiers, l'effet d'un choc de la demande finale sur la production du Canada augmente. Les flux financiers jouent aussi un rôle important dans l'effet cumulatif d'un choc du revenu ou de la disponibilité de capitaux pour l'investissement. Entre 2008 et la première moitié de 2009, les institutions financières ont plutôt investi dans des actifs financiers (obligations d'État, effets à court terme et investissements étrangers). Ce changement, conjugué au fait que les institutions non-financières n'étaient pas disposées à accroître leur passif financier ou n'étaient pas capables de le faire, s'est traduit par une diminution estimée de tous les multiplicateurs du produit intérieur brut (PIB) entre 2008 et la première moitié de 2009 (2009M1). L'avantage principal d'effectuer une analyse à l'aide d'un modèle d'entrées-sorties élargi est que celui-ci fournit un cadre de travail simple, qui comprend peu d'hypothèses et permet l'évaluation de la force des liens entre l'économie réelle et le secteur financier au moyen de multiplicateurs. Toutefois, la méthode est exposée à la critique de Lucas selon laquelle, quand les chocs font varier les prix, les agents ne peuvent pas s'adapter. Néanmoins, ce genre de cadre convient à l'examen d'un effet à court terme comme dans le cas présent.

    Date de diffusion : 2011-05-20

  • Articles et rapports : 11-010-X200900610893
    Géographie : Canada
    Description :

    À l'aide des données des comptes nationaux sur les flux financiers, les bilans et les investissements internationaux du Canada, cette étude révèle comment la crise des marchés financiers a influé sur les conduites financières au Canada.

    Date de diffusion : 2009-06-11

  • Articles et rapports : 13-604-M2006050
    Description :

    Les sociétés ont enregistré des profits records au cours durant presque toute la dernière décennie. De plus, leur investissement en capital fixe a été relativement léthargique au cours des dernières années. Cette situation a conduit à un remaniement appréciable de leur position de prêt net/emprunt net, les sociétés étant passées d'une position de déficit chronique à une position d'excédent soutenu. Au terme de près de 30 années de déficit, les sociétés dégagent d'importants excédents depuis 10 ans. Cela a conféré un nouveau rôle au secteur des sociétés, à savoir celui qui consiste à alimenter en capitaux les autres secteurs économiques et ce, de façon croissante.

    La présente note examine ces faits nouveaux sous plusieurs angles, en se concentrant sur les sociétés non financières. Elle cerne les causes sous jacentes d'une position excédentaire croissante des sociétés et en examine les principaux effets. En bref, les sociétés non financières ont misé sur des bénéfices records, des taux d'intérêt historiquement bas et des marchés boursiers relativement vigoureux pour remanier en grande partie leur bilan. À telle enseigne que les finances des sociétés sont à leur meilleur par rapport aux 30 dernières années.

    Date de diffusion : 2006-03-17
Données (1)

Données (1) ((1 résultat))

  • Tableau : 61-219-X
    Description :

    Cette publication contient des données annuelles agrégées sur les entreprises canadiennes classées selon 67 groupes d'industries. La classification des industries est déterminée d'après le Système de classification des industries de l'Amérique du Nord (SCIAN Canada 2012). Les données comprennent : les postes de l'actif, du passif et de l'avoir que l'on retrouve sur le bilan, les postes du revenu et des dépenses que l'on retrouve sur l'état des résultats, un rapprochement du bénéfice net au revenu imposable et aux impôts à payer, ainsi que plusieurs ratios de performance financière courants.

    Date de diffusion : 2016-03-17
Analyses (3)

Analyses (3) ((3 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0027M2010065
    Géographie : Canada
    Description :

    Le but du présent article est double. En premier lieu, les auteurs fournissent une matrice de comptabilité sociale (MCS) détaillée pour l'économie canadienne en 2004. Cette matrice permet d'intégrer les flux financiers et les flux de revenus dans la matrice d'entrées-sorties usuelle. Deuxièmement, ils utilisent cette MCS pour évaluer la force des liens entre l'économie réelle et le secteur financier, en calculant les multiplicateurs réels de la MCS et les multiplicateurs financiers de la MCS et en les comparant. Pour les multiplicateurs financiers de la MCS, les flux financiers sont endogènes, tandis que pour les multiplicateurs réels de la MCS, ils ne le sont pas. Les résultats montrent que si l'on tient compte des flux financiers, l'effet d'un choc de la demande finale sur la production du Canada augmente. Les flux financiers jouent aussi un rôle important dans l'effet cumulatif d'un choc du revenu ou de la disponibilité de capitaux pour l'investissement. Entre 2008 et la première moitié de 2009, les institutions financières ont plutôt investi dans des actifs financiers (obligations d'État, effets à court terme et investissements étrangers). Ce changement, conjugué au fait que les institutions non-financières n'étaient pas disposées à accroître leur passif financier ou n'étaient pas capables de le faire, s'est traduit par une diminution estimée de tous les multiplicateurs du produit intérieur brut (PIB) entre 2008 et la première moitié de 2009 (2009M1). L'avantage principal d'effectuer une analyse à l'aide d'un modèle d'entrées-sorties élargi est que celui-ci fournit un cadre de travail simple, qui comprend peu d'hypothèses et permet l'évaluation de la force des liens entre l'économie réelle et le secteur financier au moyen de multiplicateurs. Toutefois, la méthode est exposée à la critique de Lucas selon laquelle, quand les chocs font varier les prix, les agents ne peuvent pas s'adapter. Néanmoins, ce genre de cadre convient à l'examen d'un effet à court terme comme dans le cas présent.

    Date de diffusion : 2011-05-20

  • Articles et rapports : 11-010-X200900610893
    Géographie : Canada
    Description :

    À l'aide des données des comptes nationaux sur les flux financiers, les bilans et les investissements internationaux du Canada, cette étude révèle comment la crise des marchés financiers a influé sur les conduites financières au Canada.

    Date de diffusion : 2009-06-11

  • Articles et rapports : 13-604-M2006050
    Description :

    Les sociétés ont enregistré des profits records au cours durant presque toute la dernière décennie. De plus, leur investissement en capital fixe a été relativement léthargique au cours des dernières années. Cette situation a conduit à un remaniement appréciable de leur position de prêt net/emprunt net, les sociétés étant passées d'une position de déficit chronique à une position d'excédent soutenu. Au terme de près de 30 années de déficit, les sociétés dégagent d'importants excédents depuis 10 ans. Cela a conféré un nouveau rôle au secteur des sociétés, à savoir celui qui consiste à alimenter en capitaux les autres secteurs économiques et ce, de façon croissante.

    La présente note examine ces faits nouveaux sous plusieurs angles, en se concentrant sur les sociétés non financières. Elle cerne les causes sous jacentes d'une position excédentaire croissante des sociétés et en examine les principaux effets. En bref, les sociétés non financières ont misé sur des bénéfices records, des taux d'intérêt historiquement bas et des marchés boursiers relativement vigoureux pour remanier en grande partie leur bilan. À telle enseigne que les finances des sociétés sont à leur meilleur par rapport aux 30 dernières années.

    Date de diffusion : 2006-03-17
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