Recherche par mot-clé

Filtrer les résultats par

Aide à la recherche
Currently selected filters that can be removed

Mot(s)-clé(s)

Type

2 facets displayed. 0 facets selected.

Année de publication

6 facets displayed. 0 facets selected.

Géographie

1 facets displayed. 0 facets selected.

Enquête ou programme statistique

1 facets displayed. 0 facets selected.

Contenu

1 facets displayed. 0 facets selected.
Aide à l'ordre
entrées

Résultats

Tout (10)

Tout (10) ((10 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2020001
    Description :

    La productivité multifactorielle (PMF) a diminué au Canada pendant la période allant de 2000 à 2009, puis elle a enregistré une reprise. Les variations de la productivité depuis 2000 ont beaucoup attiré l’attention des chercheurs et des responsables des politiques, puisque la productivité est importante à la fois pour la croissance économique et pour l’amélioration du niveau de vie. Dans la présente étude, le cadre de frontière stochastique est appliqué afin de décomposer la PMF de chaque entreprise en deux composantes : sa frontière technologique et son efficacité technique. La variation de la frontière technologique agrégée fait référence aux améliorations du potentiel de productivité d’une économie, c’est-à-dire la productivité maximale d’une économie si toutes les entreprises étaient pleinement efficaces. L’efficacité technique agrégée rend compte de la capacité de l’économie à atteindre ce potentiel. Les résultats de cette décomposition peuvent montrer si les variations de la productivité au Canada après l’an 2000 ont surtout été attribuables aux variations de la frontière technologique et du potentiel de productivité ou aux variations de l’efficacité technique.

    Date de diffusion : 2020-01-17

  • Articles et rapports : 11-622-M2006010
    Géographie : Canada
    Description :

    À l'aide de données sur les établissements manufacturiers en exploitation au Canada de 1981 à 1997, nous estimons l'effet des variations du niveau d'investissement direct étranger (IDE) sur la productivité du travail dans les établissements sous contrôle canadien. Nous faisons la distinction entre l'IDE dans l'industrie propre des établissements sous contrôle canadien et dans les industries liées à ces établissements à titre de fournisseurs ou d'utilisateurs d'intrants intermédiaires. Nous constatons que l'IDE intensifie la croissance de la productivité des établissements sous contrôle canadien d'une façon allant de pair avec le transfert de technologie des fournisseurs étrangers vers les établissements sous contrôle canadien. Les effets positifs de l'IDE sur la productivité sont plus prononcés dans les établissements qui externalisent la production d'une grande quantité d'intrants intermédiaires et ceux qui achètent des intrants intermédiaires à vocation scientifique (c'est à dire produits électroniques, machines et équipement, produits chimiques) que dans les autres. Nous concluons aussi que la concurrence étrangère a un effet négatif sur la productivité des producteurs canadiens

    Date de diffusion : 2006-04-13

  • Articles et rapports : 11F0027M2004027
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document, on examine les mesures prises par les usines canadiennes de fabrication face aux réductions des barrières tarifaires entre le Canada et le reste du monde au cours des deux dernières décennies.

    Date de diffusion : 2004-12-14

  • Articles et rapports : 11F0019M2000151
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document vise à établir si la nouvelle tendance perçue de décentralisation des activités de R-D à l'étranger pour exploiter les compétences locales cadre avec les activités des multinationales au Canada. Le régime d'innovation des multinationales au Canada est examiné de manière à faire ressortir les différences entre les sociétés étrangères et canadiennes. On examine la mesure dans laquelle on a recours à la R-D, le genre d'activités de R-D, l'importance de la R-D par rapport aux autres sources d'innovation, la question à savoir si l'utilisation d'autres sources signifie que les multinationales font partie de réseaux d'innovation locaux, l'intensité du processus d'innovation et l'utilisation de droits de propriété intellectuelle pour protéger les innovations contre la reproduction.

    Nous constatons que, loin de dépendre passivement des résultats de la R-D effectuée par la société mère, les entreprises étrangères au Canada sont plus actives dans ce secteur que l'ensemble des sociétés canadiennes. Elles participent aussi plus souvent à des projets de collaboration en R-D à l'étranger et au Canada. Comme prévu, les filiales étrangères tirent parti de l'accès aux technologies des sociétés mère et soeurs. Même si les multinationales sont plus susceptibles que les entreprises canadiennes de tirer leurs idées innovatrices du réseau dont elles font partie, leur unité locale de R-D constitue leur source d'information la plus probable en matière d'innovation. Fait assez surprenant, les filiales étrangères disent aussi utiliser plus souvent les technologies d'entreprises d'autres secteurs. De plus, la multinationale est tout aussi susceptible que l'entreprise canadienne de créer des liens avec une université locale et d'autres groupes d'innovation locaux. Cette constatation signifie que les multinationales au Canada ne sont pas, de façon générale, des filiales actives dont les capacités de développement scientifique sont démembrées - du moins pas en comparaison avec les entreprises canadiennes.

    Lorsqu'on compare la portée et l'incidence de l'activité d'innovation des entreprises canadiennes et étrangères, on observe que le deuxième groupe innove plus fréquemment dans tous les secteurs, et ce pour presque toutes les tranches de taille. Les sociétés étrangères sont aussi plus susceptibles d'introduire une première mondiale que de copier une innovation. Leur supériorité est surtout manifeste dans le secteur des biens de consommation. Enfin, les sociétés étrangères sont plus enclines à protéger leurs innovations au moyen de brevets.

    Le document compare également les filiales étrangères avec les sociétés canadiennes à orientation internationale. Ces comparaisons additionnelles montrent que les deux groupes de multinationales sont assez semblables quant à la probabilité qu'elles fassent de la R-D et qu'elles introduisent des innovations. Les résultats montrent que le degré de mondialisation influe autant sur la capacité d'innovation que la nationalité de la société.

    Dans l'ensemble, les résultats de l'enquête révèlent que les sociétés sous contrôle étranger contribuent largement à l'innovation et à l'avancement technologique dans l'industrie canadienne.

    Date de diffusion : 2000-06-27

  • 5. Le point sur ... Archivé
    Revues et périodiques : 61F0019X
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce produit en direct Le point sur... est un bulletin d'information de Statistique Canada qui donne un aperçu des tendances et des statistiques touchant les échanges commerciaux. À partir des données des plus récentes enquêtes de Statistique Canada, Le point sur... fournit une analyse factuelle des nouvelles tendances qui touchent l'industrie au Canada, explique l'évolution des entreprises canadiennes et montre comment celles-ci réagissent aux défis et aux possibilités qu'offrent les nouvelles pratiques commerciales, comme la mondialisation, les nouvelles technologies, l'augmentation de la compétitivité des marches, les normes strictes quant à la qualité des produits, etc.

    Chaque numéro du bulletin portera sur un ou deux sujets. Une analyse générale et des graphiques faciles à consulter permettront une interprétation complète et équilibrée des faits, de façon rapide, claire et concise.

    Date de diffusion : 2000-06-15

  • Articles et rapports : 88-003-X19990025344
    Géographie : Canada
    Description :

    Une étude de Statistique Canada utilise la démographie des entreprises pour en apprendre davantage au sujet de l'innovation et des changements technologiques et pour déterminer les modèles intéressants. Contrairement aux attentes, l'auteur a mis au jour une somme considérable de volatilité (créatioins et fermetures d'entreprises) dans le secteur des services. Le taux de votalité pour ce secteur était de 31 %, compartivement à 23 % pour le secteur de la fabrication. Les entreprises qui n'innovent pas fréquemment sont remplacées par des nouvelles, qui offrent des produits nouveaux ou améliorés, ou qui emploient des méthodes plus efficaces de production et d'exécution.

    Date de diffusion : 2000-01-17

  • Revues et périodiques : 61-525-X
    Géographie : Canada
    Description :

    Les taux de faillite sont en hausse au Canada. Près de la moitié des faillites au Canada sont principalement attribuables à des lacunes de l'entreprise plutôt qu'à des problèmes qui échappent à son contrôle. Ces entreprises n'ont pas acquis les compétences de base essentielles à leur survie. Les lacunes en matière de gestion ainsi que le manque de débouchés pour leur produit ont causé leur perte.

    La présente étude laisse entendre que, à tout le moins dans une large mesure, les problèmes de financement de l'entreprise sont tributaires des lacunes des gestionnaires plutôt que des facteurs externes associés à l'imperfection des marchés financiers. De nombreux faillis ont du mal à obtenir du financement dans les marchés financiers; cependant, il convient de souligner que bon nombre d'entre eux éprouvent également des problèmes internes (par exemple, les gestionnaires méconnaissent les différentes options de financement).

    Date de diffusion : 1998-04-01

  • Articles et rapports : 11F0019M1997102
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document traite ici des stratégies et des compétences des petites et moyennes entreprises à partir des réponses à l'Enquête sur la croissance des petites et moyennes entreprises, menée par Statistique Canada. Dans le document, nous classons les petites et moyennes entreprises selon le type d'innovateur et nous explorons les stratégies complémentaires adoptées par chaque type d'innovateur dans les domaines de la gestion, de la commercialisation, des ressources humaines et du financement, de même que le succès de chaque type d'innovateur.

    Une taxonomie des types d'innovation est élaborée en fonction de l'orientation de l'entreprise quant au développement de produits ou de procédés. Nous examinons les différentes compétences que possèdent les entreprises de chaque groupe dans le domaine des ressources humaines, de la gestion, de la commercialisation et du financement. Les entreprises sont classées en quatre groupes-innovateurs en produits, innovateurs complets (produits et procédés), innovateurs en procédés ou non-innovateurs-selon leurs réponses aux 22 questions de l'enquête liées à l'innovation. Ces groupes correspondent à différents stades du cycle de vie des produits. Au premier stade, les innovateurs en produits s'occupent de mettre au point de nouveaux produits. Les innovateurs complets représentent le deuxième stade quand la demande d'un produit continue d'augmenter et que les entreprises en plus de produire de nouveaux produits ont commencé à relever considérablement l'efficience de leurs productions, en se concentrant à la fois sur les innovations en procédés et sur les innovations en produits. Les innovateurs en procédés dominent au troisième stade du cycle de vie des produits quand les caractéristiques des produits sont fixées et que les entreprises cherchent à améliorer leur part du marché principalement en relevant l'efficience de leurs productions. Enfin, au dernier stade, c'est l'étape de la maturité sur le plan de la technologie de la production où l'on trouve une gamme de produits relativement stable.

    Les compétences des entreprises diffèrent selon les types d'innovation. Les innovateurs complets ont tendance à acquérir des compétences supérieures à celles des autres innovateurs dans une vaste gamme de domaines. Par ailleurs, les innovateurs complets l'emportent généralement sur les autres entrepreneurs pour ce qui est de leurs chiffres d'affaires, de leur part de marché et de leur main-d'oeuvre.

    En outre, les innovateurs adaptent leur stratégie financière à leur type d'innovation. Les innovateurs en produits se concentrent sur une stratégie de faible rapport emprunts-actifs et de sources novatrices du financement comme le capital de risque. Dans les derniers stades du cycle de vie de l'innovation, les innovateurs complets et les innovateurs en procédés se concentrent sur un rapport emprunts-actif élevé et recourent abondamment aux dettes à long terme et aux capitaux propres.

    Date de diffusion : 1998-01-22

  • Articles et rapports : 11F0019M1995074
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude se penche sur les caractéristiques des petites et moyennes entreprises qui proposent de la formation à leur personnel. Elle est fondée sur des données tirées d'une enquête récente de Statistique Canada qui permet d'analyser les décisions prises par les entreprises en matière de formation à la lumière de leurs nombreuses autres activités et stratégies.

    L'étude dégage des preuves convaincantes à l'appui de l'hypothèse voulant que le développement du capital humain, facilité par la formation, soit complémentaire à l'innovation et à l'évolution technologique. En outre, la fréquence de la formation se trouve en corrélation étroite avec l'importance accordée par l'entreprise à la recherche-développement, avec l'utilisation de nouvelles technologies et avec de nombreuses autres stratégies reliées à l'innovation. La formation occupe aussi une place importante lorsque l'entreprise met l'accent sur la qualité et sur une stratégie intégrale en matière de ressources humaines. Les résultats font ressortir la complémentarité inhérente de la technologie et de la politique de main-d'oeuvre.

    Date de diffusion : 1995-03-30

  • Articles et rapports : 11F0019M1995076
    Géographie : Canada
    Description :

    L'étude examine les différences entre les politiques et les activités mises en oeuvre par les petites et les moyennes entreprises qui sont les plus prospères et celles qui sont les moins prospères. L'activité innovatrice est le facteur le plus déterminant du succès global. Presque toutes les questions portant sur les stratégies d'innovation reçoivent des scores plus élevés de la part du groupe d'entreprises plus prospères et moins élevés de la part du groupe moins prospères. Les résultats sont également plus élevés en ce qui concerne les activités innovatrices (si une entreprise possède une unité de R&D, ses dépenses en R&D par rapport à son investissement total et le ratio de la R&D aux ventes sont liés à la réussite.

    Date de diffusion : 1995-02-28
Données (0)

Données (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Analyses (10)

Analyses (10) ((10 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0019M2020001
    Description :

    La productivité multifactorielle (PMF) a diminué au Canada pendant la période allant de 2000 à 2009, puis elle a enregistré une reprise. Les variations de la productivité depuis 2000 ont beaucoup attiré l’attention des chercheurs et des responsables des politiques, puisque la productivité est importante à la fois pour la croissance économique et pour l’amélioration du niveau de vie. Dans la présente étude, le cadre de frontière stochastique est appliqué afin de décomposer la PMF de chaque entreprise en deux composantes : sa frontière technologique et son efficacité technique. La variation de la frontière technologique agrégée fait référence aux améliorations du potentiel de productivité d’une économie, c’est-à-dire la productivité maximale d’une économie si toutes les entreprises étaient pleinement efficaces. L’efficacité technique agrégée rend compte de la capacité de l’économie à atteindre ce potentiel. Les résultats de cette décomposition peuvent montrer si les variations de la productivité au Canada après l’an 2000 ont surtout été attribuables aux variations de la frontière technologique et du potentiel de productivité ou aux variations de l’efficacité technique.

    Date de diffusion : 2020-01-17

  • Articles et rapports : 11-622-M2006010
    Géographie : Canada
    Description :

    À l'aide de données sur les établissements manufacturiers en exploitation au Canada de 1981 à 1997, nous estimons l'effet des variations du niveau d'investissement direct étranger (IDE) sur la productivité du travail dans les établissements sous contrôle canadien. Nous faisons la distinction entre l'IDE dans l'industrie propre des établissements sous contrôle canadien et dans les industries liées à ces établissements à titre de fournisseurs ou d'utilisateurs d'intrants intermédiaires. Nous constatons que l'IDE intensifie la croissance de la productivité des établissements sous contrôle canadien d'une façon allant de pair avec le transfert de technologie des fournisseurs étrangers vers les établissements sous contrôle canadien. Les effets positifs de l'IDE sur la productivité sont plus prononcés dans les établissements qui externalisent la production d'une grande quantité d'intrants intermédiaires et ceux qui achètent des intrants intermédiaires à vocation scientifique (c'est à dire produits électroniques, machines et équipement, produits chimiques) que dans les autres. Nous concluons aussi que la concurrence étrangère a un effet négatif sur la productivité des producteurs canadiens

    Date de diffusion : 2006-04-13

  • Articles et rapports : 11F0027M2004027
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans ce document, on examine les mesures prises par les usines canadiennes de fabrication face aux réductions des barrières tarifaires entre le Canada et le reste du monde au cours des deux dernières décennies.

    Date de diffusion : 2004-12-14

  • Articles et rapports : 11F0019M2000151
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document vise à établir si la nouvelle tendance perçue de décentralisation des activités de R-D à l'étranger pour exploiter les compétences locales cadre avec les activités des multinationales au Canada. Le régime d'innovation des multinationales au Canada est examiné de manière à faire ressortir les différences entre les sociétés étrangères et canadiennes. On examine la mesure dans laquelle on a recours à la R-D, le genre d'activités de R-D, l'importance de la R-D par rapport aux autres sources d'innovation, la question à savoir si l'utilisation d'autres sources signifie que les multinationales font partie de réseaux d'innovation locaux, l'intensité du processus d'innovation et l'utilisation de droits de propriété intellectuelle pour protéger les innovations contre la reproduction.

    Nous constatons que, loin de dépendre passivement des résultats de la R-D effectuée par la société mère, les entreprises étrangères au Canada sont plus actives dans ce secteur que l'ensemble des sociétés canadiennes. Elles participent aussi plus souvent à des projets de collaboration en R-D à l'étranger et au Canada. Comme prévu, les filiales étrangères tirent parti de l'accès aux technologies des sociétés mère et soeurs. Même si les multinationales sont plus susceptibles que les entreprises canadiennes de tirer leurs idées innovatrices du réseau dont elles font partie, leur unité locale de R-D constitue leur source d'information la plus probable en matière d'innovation. Fait assez surprenant, les filiales étrangères disent aussi utiliser plus souvent les technologies d'entreprises d'autres secteurs. De plus, la multinationale est tout aussi susceptible que l'entreprise canadienne de créer des liens avec une université locale et d'autres groupes d'innovation locaux. Cette constatation signifie que les multinationales au Canada ne sont pas, de façon générale, des filiales actives dont les capacités de développement scientifique sont démembrées - du moins pas en comparaison avec les entreprises canadiennes.

    Lorsqu'on compare la portée et l'incidence de l'activité d'innovation des entreprises canadiennes et étrangères, on observe que le deuxième groupe innove plus fréquemment dans tous les secteurs, et ce pour presque toutes les tranches de taille. Les sociétés étrangères sont aussi plus susceptibles d'introduire une première mondiale que de copier une innovation. Leur supériorité est surtout manifeste dans le secteur des biens de consommation. Enfin, les sociétés étrangères sont plus enclines à protéger leurs innovations au moyen de brevets.

    Le document compare également les filiales étrangères avec les sociétés canadiennes à orientation internationale. Ces comparaisons additionnelles montrent que les deux groupes de multinationales sont assez semblables quant à la probabilité qu'elles fassent de la R-D et qu'elles introduisent des innovations. Les résultats montrent que le degré de mondialisation influe autant sur la capacité d'innovation que la nationalité de la société.

    Dans l'ensemble, les résultats de l'enquête révèlent que les sociétés sous contrôle étranger contribuent largement à l'innovation et à l'avancement technologique dans l'industrie canadienne.

    Date de diffusion : 2000-06-27

  • 5. Le point sur ... Archivé
    Revues et périodiques : 61F0019X
    Géographie : Canada
    Description :

    Ce produit en direct Le point sur... est un bulletin d'information de Statistique Canada qui donne un aperçu des tendances et des statistiques touchant les échanges commerciaux. À partir des données des plus récentes enquêtes de Statistique Canada, Le point sur... fournit une analyse factuelle des nouvelles tendances qui touchent l'industrie au Canada, explique l'évolution des entreprises canadiennes et montre comment celles-ci réagissent aux défis et aux possibilités qu'offrent les nouvelles pratiques commerciales, comme la mondialisation, les nouvelles technologies, l'augmentation de la compétitivité des marches, les normes strictes quant à la qualité des produits, etc.

    Chaque numéro du bulletin portera sur un ou deux sujets. Une analyse générale et des graphiques faciles à consulter permettront une interprétation complète et équilibrée des faits, de façon rapide, claire et concise.

    Date de diffusion : 2000-06-15

  • Articles et rapports : 88-003-X19990025344
    Géographie : Canada
    Description :

    Une étude de Statistique Canada utilise la démographie des entreprises pour en apprendre davantage au sujet de l'innovation et des changements technologiques et pour déterminer les modèles intéressants. Contrairement aux attentes, l'auteur a mis au jour une somme considérable de volatilité (créatioins et fermetures d'entreprises) dans le secteur des services. Le taux de votalité pour ce secteur était de 31 %, compartivement à 23 % pour le secteur de la fabrication. Les entreprises qui n'innovent pas fréquemment sont remplacées par des nouvelles, qui offrent des produits nouveaux ou améliorés, ou qui emploient des méthodes plus efficaces de production et d'exécution.

    Date de diffusion : 2000-01-17

  • Revues et périodiques : 61-525-X
    Géographie : Canada
    Description :

    Les taux de faillite sont en hausse au Canada. Près de la moitié des faillites au Canada sont principalement attribuables à des lacunes de l'entreprise plutôt qu'à des problèmes qui échappent à son contrôle. Ces entreprises n'ont pas acquis les compétences de base essentielles à leur survie. Les lacunes en matière de gestion ainsi que le manque de débouchés pour leur produit ont causé leur perte.

    La présente étude laisse entendre que, à tout le moins dans une large mesure, les problèmes de financement de l'entreprise sont tributaires des lacunes des gestionnaires plutôt que des facteurs externes associés à l'imperfection des marchés financiers. De nombreux faillis ont du mal à obtenir du financement dans les marchés financiers; cependant, il convient de souligner que bon nombre d'entre eux éprouvent également des problèmes internes (par exemple, les gestionnaires méconnaissent les différentes options de financement).

    Date de diffusion : 1998-04-01

  • Articles et rapports : 11F0019M1997102
    Géographie : Canada
    Description :

    Le présent document traite ici des stratégies et des compétences des petites et moyennes entreprises à partir des réponses à l'Enquête sur la croissance des petites et moyennes entreprises, menée par Statistique Canada. Dans le document, nous classons les petites et moyennes entreprises selon le type d'innovateur et nous explorons les stratégies complémentaires adoptées par chaque type d'innovateur dans les domaines de la gestion, de la commercialisation, des ressources humaines et du financement, de même que le succès de chaque type d'innovateur.

    Une taxonomie des types d'innovation est élaborée en fonction de l'orientation de l'entreprise quant au développement de produits ou de procédés. Nous examinons les différentes compétences que possèdent les entreprises de chaque groupe dans le domaine des ressources humaines, de la gestion, de la commercialisation et du financement. Les entreprises sont classées en quatre groupes-innovateurs en produits, innovateurs complets (produits et procédés), innovateurs en procédés ou non-innovateurs-selon leurs réponses aux 22 questions de l'enquête liées à l'innovation. Ces groupes correspondent à différents stades du cycle de vie des produits. Au premier stade, les innovateurs en produits s'occupent de mettre au point de nouveaux produits. Les innovateurs complets représentent le deuxième stade quand la demande d'un produit continue d'augmenter et que les entreprises en plus de produire de nouveaux produits ont commencé à relever considérablement l'efficience de leurs productions, en se concentrant à la fois sur les innovations en procédés et sur les innovations en produits. Les innovateurs en procédés dominent au troisième stade du cycle de vie des produits quand les caractéristiques des produits sont fixées et que les entreprises cherchent à améliorer leur part du marché principalement en relevant l'efficience de leurs productions. Enfin, au dernier stade, c'est l'étape de la maturité sur le plan de la technologie de la production où l'on trouve une gamme de produits relativement stable.

    Les compétences des entreprises diffèrent selon les types d'innovation. Les innovateurs complets ont tendance à acquérir des compétences supérieures à celles des autres innovateurs dans une vaste gamme de domaines. Par ailleurs, les innovateurs complets l'emportent généralement sur les autres entrepreneurs pour ce qui est de leurs chiffres d'affaires, de leur part de marché et de leur main-d'oeuvre.

    En outre, les innovateurs adaptent leur stratégie financière à leur type d'innovation. Les innovateurs en produits se concentrent sur une stratégie de faible rapport emprunts-actifs et de sources novatrices du financement comme le capital de risque. Dans les derniers stades du cycle de vie de l'innovation, les innovateurs complets et les innovateurs en procédés se concentrent sur un rapport emprunts-actif élevé et recourent abondamment aux dettes à long terme et aux capitaux propres.

    Date de diffusion : 1998-01-22

  • Articles et rapports : 11F0019M1995074
    Géographie : Canada
    Description :

    La présente étude se penche sur les caractéristiques des petites et moyennes entreprises qui proposent de la formation à leur personnel. Elle est fondée sur des données tirées d'une enquête récente de Statistique Canada qui permet d'analyser les décisions prises par les entreprises en matière de formation à la lumière de leurs nombreuses autres activités et stratégies.

    L'étude dégage des preuves convaincantes à l'appui de l'hypothèse voulant que le développement du capital humain, facilité par la formation, soit complémentaire à l'innovation et à l'évolution technologique. En outre, la fréquence de la formation se trouve en corrélation étroite avec l'importance accordée par l'entreprise à la recherche-développement, avec l'utilisation de nouvelles technologies et avec de nombreuses autres stratégies reliées à l'innovation. La formation occupe aussi une place importante lorsque l'entreprise met l'accent sur la qualité et sur une stratégie intégrale en matière de ressources humaines. Les résultats font ressortir la complémentarité inhérente de la technologie et de la politique de main-d'oeuvre.

    Date de diffusion : 1995-03-30

  • Articles et rapports : 11F0019M1995076
    Géographie : Canada
    Description :

    L'étude examine les différences entre les politiques et les activités mises en oeuvre par les petites et les moyennes entreprises qui sont les plus prospères et celles qui sont les moins prospères. L'activité innovatrice est le facteur le plus déterminant du succès global. Presque toutes les questions portant sur les stratégies d'innovation reçoivent des scores plus élevés de la part du groupe d'entreprises plus prospères et moins élevés de la part du groupe moins prospères. Les résultats sont également plus élevés en ce qui concerne les activités innovatrices (si une entreprise possède une unité de R&D, ses dépenses en R&D par rapport à son investissement total et le ratio de la R&D aux ventes sont liés à la réussite.

    Date de diffusion : 1995-02-28
Références (0)

Références (0) (0 résultat)

Aucun contenu disponible actuellement

Date de modification :