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- Enquête annuelle sur la recherche et le développement dans l'industrie canadienne (2)
- Recherche et développement des organismes privés sans but lucratif au Canada (2)
- Activités scientifiques d'organismes provinciaux de recherche, activités en sciences naturelles et en génie (2)
- Dépenses et main d'oeuvre scientifiques fédérales, activités dans les sciences sociales et les sciences naturelles (2)
- Activités du gouvernement provincial dans les sciences naturelles (1)
- Activités scientifiques et technologiques des administrations provinciales (1)
- Enquête sur l'innovation (1)
- Enquête sur les technologies de pointe (1)
- Enquête sur l'utilisation et le développement de la biotechnologie (1)
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- Articles et rapports : 11-626-X2016063Description :
Le présent article des Aperçus économiques porte sur les changements notables survenus sur le plan du rythme et de la composition des dépenses en recherche et développement (R-D) industriels au Canada au cours de la période de 2000 à 2013. L’analyse repose sur des données de séries chronologiques, qui se concluent par la diffusion des estimations pour l’année de référence 2013. De nouvelles données sur la R-D industrielle seront diffusées au cours des prochains mois. Ces nouveaux résultats d’enquête commencent par l’année de référence 2014 et reflètent des changements conceptuels et méthodologiques apportés afin d’accroître la portée et la pertinence du programme. Après la diffusion de ces données, une étude sur la discontinuité dans la série chronologique sera effectuée, plus tard en 2017. Cet article fait ressortir les tendances des dépenses au titre de la R-D industrielle, avant la diffusion prochaine des nouvelles données. L’analyse montre la mesure dans laquelle les entreprises de l’industrie des ressources ont contribué à la croissance des dépenses en R-D au cours des dernières années.
Date de diffusion : 2017-02-15 - Articles et rapports : 15-206-X2009026Géographie : CanadaDescription :
Le présent document fournit des estimations de l'investissement en actifs incorporels au Canada dans les domaines de l'innovation, de la publicité et de l'extraction de ressources naturelles. Il prolonge avant tout les travaux de Beckstead et Gellatly (2003), Baldwin et Hanel (2003), Beckstead et Gellatly (2003), Beckstead et Vinodrai (2003), ainsi que Baldwin et Beckstead (2003) qui soutiennent que la portée des activités d'innovation s'étend au delà de la recherche et développement telle qu'elle est définie dans le Manuel de Frascati. Ces auteurs élargissent la définition des activités d'innovation afin d'y inclure toutes les dépenses scientifiques et en génie, que les services soient obtenus sur le marché ou produits par l'entreprise. Ils examinent aussi les dépenses en éléments d'actif incorporels, tels que les marques ou l'exploration des ressources naturelles.
Le document contribue à la littérature existante grâce à la présentation d'estimations de l'investissement en actifs incorporels (connaissances en science et en génie, publicité, prospection minière et pétrolière par industrie) en s'appuyant sur des bases de données de Statistique Canada dont la haute qualité et la cohérence interne sont établies. Les estimations produites concordent avec les résultats d'autres études sur les investissements incorporels (Corrado, Hulten et Sichel, 2005, 2006; Jalava, Ahmavarra et Alanen, 2007) et montrent que l'investissement de type R D classique représente environ le quart des investissements incorporels dans le domaine des sciences et du génie.
Date de diffusion : 2009-12-02 - 3. Estimations du personnel affecté à la recherche et au développement au Canada, 1979 à 2002 ArchivéArticles et rapports : 88F0006X2005008Description :
La compétitivité économique canadienne repose en partie sur le développement scientifique et technologique, et aussi sur les personnes responsables de ce développement, plus particulièrement celles affectées à la recherche et au développement (R-D). L'importance du personnel affectés à la R-D est aussi considérée comme une mesure complémentaire aux dépenses intra-muros en R-D. Dans le présent rapport, nous présentons certaines estimations statistiques et définitions concernant le personnel de R-D. Les données sur le personnel affectés à la R-D sont tirées d'enquêtes ainsi que d'estimations établies d'après diverses sources de données.
Date de diffusion : 2005-05-03 - Articles et rapports : 11F0027M2005032Géographie : CanadaDescription :
Les estimations du PIB sont sensibles au traitement d'une dépense d'affaires comme investissement ou comme facteur intermédiaire. Faire passer une catégorie de dépenses de dépenses intermédiaires à dépenses d'investissement a pour effet d'accroître le PIB. Même si le guide de mesure international (le SCN (93)) reconnaît qu'en raison de certaines caractéristiques la R D s'apparente davantage à un investissement qu'à une dépense intermédiaire, il ne recommande pas de traiter la R D comme investissement étant donné les difficultés que présente l'élaboration d'un critère clair permettant de distinguer la [R D] d'autres activités.
Dans le présent document, les auteurs cherchent à déterminer si la définition du Manuel de Frascati de l'OCDE est adéquate à cette fin. Ils soutiennent qu'elle est trop étroite et que son adoption ne faciliterait pas la prise de mesures à l'avenir pour modifier le Système de comptabilité nationale. Plus particulièrement, ils soutiennent que le concept de la R D requis aux fins du SCN devrait inclure une vaste gamme de coûts d'innovation dans le domaine des sciences et que ce concept plus large de la R D est mesurable.
Enfin, les auteurs soutiennent que le non élargissement de la définition du capital de connaissances entraînera des conséquences sur le plan de la comparaison du PIB du Canada à celui d'autres pays, particulièrement notre partenaire commercial le plus important, les États Unis. Il en découlera une estimation biaisée du PIB du Canada par rapport à celui des États Unis. Si toutes les dépenses au titre de l'innovation dans le domaine des sciences sont capitalisées, le PIB augmentera. Cependant, il semble que le système d'innovation au Canada est axé davantage sur les dépenses autres qu'en R D dans le domaine des sciences que les systèmes d'innovation de nombreux autres pays. Si le Canada ne capitalisait que les dépenses de R D selon la définition étroite de Frascati et non les dépenses au titre de l'innovation dans le domaine des sciences, les estimations du PIB du Canada seraient biaisées de façon significative par rapport à celles d'autres pays, comme les États Unis, dont les systèmes d'innovation sont axés sur des dépenses de R D plus traditionnelles.
Date de diffusion : 2005-04-12 - Stats en bref : 88-001-X20010017921Description :
Ce bulletin de service présente la répartition géographique des dépenses du gouvernement fédéral en matière de sciences et de technologie. Les données sur les dépenses de l'administration fédérale pour les sciences et la technologie peuvent être trouvées au volume 24, no 5 de la présente publication, publiée en novembre 2000. Dans la présente publication, de même que pour la précédente, les dépenses en sciences et en technologie (S-T) sont la somme des dépenses de recherche et de dévelopement (R-D) et des activités scientifiques connexes (ASC).
Date de diffusion : 2001-01-31 - Stats en bref : 88-001-X19990107930Description :
Ce bulletin de service présente la répartition géographique des dépenses du gouvernement fédéral en matière de sciences et de technologie. Les données sur les dépenses de l'administration fédérale pourles sciences et la technologie peuvent être trouvées au volume 23, no 5 de la présente publication, publiée en octobre 1999. Dans la présente publication, de même que pourla précédente, les dépenses en sciences et en technologie (S-T) sont la somme des dépenses de recherche et de développement (R-D) et des activités scientifiques connexes (ASC).
Date de diffusion : 1999-12-23 - Articles et rapports : 88F0017M1999006Géographie : CanadaDescription :
Ce rapport décrit les caractéristiques de base des entreprises qui utilisent des biotechnologies, l'utilisation particulière de certaines biotechnologies, leur stade d'utilisation et leur utilisation future, sur les obstacles à l'acquisition et à la mise en oeuvre des biotechnologies, sur les avantages obtenus et, sur les sources internes et externes d'information conduisant à l'utilisation des biotechnologies.
Date de diffusion : 1999-11-19 - Articles et rapports : 88F0006X1999005Description :
L'étude de l'adoption et de la diffusion des technologies est un des éléments clés de l'innovation et du progrès technologique. C'est par l'adoption de nouvelles technologies plus avancées que les entreprises peuvent augmenter leur capacité de production, améliorer leur productivité et accroître leur capacité à produire de nouveaux produits et services. Les enquêtes sur l'adoption de nouvelles technologies sont complémentaires aux autres informations que nous recueillons sur la R-D et l'innovation en ce qu'elles permettent de mesurer de quelle façon et avec quelle rapidité les entreprises s'adaptent au changement technologique.
Cette Enquête sur les technologies de pointe dans l'industrie canadienne de la fabrication est la cinquième du genre. Parce que les technologies évoluent constamment, ce qui était une technologie avancée à un moment donné peut aujourd'hui être devenu la norme. En conséquence, cette enquête utilise une nouvelle liste de technologies avancées, élaborée à l'aide d'experts du domaine de la fabrication. Parmi les nouveautés, on retrouve les technologies de modélisation ou de simulation, les systèmes de fabrication flexible et les systèmes de vision artificielle pour l'inspection ou la mise à l'essai des pièces.
De plus en plus, les entreprises de fabrication ont recours aux technologies de l'information et des télécommunications pour informatiser et mettre en relation toutes les fonctions du processus de production. C'est ainsi qu'une place importante est dévolue dans cette Enquête aux questions sur l'utilisation des réseaux de communication internes (comme les réseaux locaux) ou externes (comme le réseau Internet).
Date de diffusion : 1999-08-23 - Revues et périodiques : 88-517-XGéographie : CanadaDescription :
Les nouvelles entreprises jouent un rôle primordial en matière d'innovation, en particulier dans certains secteurs clés de l'économie. Dans cette étude, on examine donc les profils différents des nouvelles entreprises prospères du secteur fondé sur le savoir et des entreprises des autres secteurs. Les entreprises étudiées sont les jeunes entreprises montantes qui ont survécu au-delà d'une décennie. L'étude traite de nombreux facteurs qui influencent le succès des nouvelles entreprises, soit l'environnement concurrentiel, les stratégies et la structure financière des entreprises.
On constate que les nouvelles entreprises prospères du secteur fondé sur le savoir diffèrent à beaucoup de points de vue des nouvelles entreprises des autres secteurs. Elles sont plus susceptibles de faire de l'exportation. Elles se heurtent à des changements technologiques plus grands et à une forte concurrence quant à la rapidité de lancement des nouveaux produits. Elles ont tendance à insister davantage sur la qualité, l'introduction fréquente de nouveaux produits et la fabrication sur mesure de produits. Les nouvelles entreprises du secteur fondé sur le savoir font un plus grand usage de la technologie de l'information. Elle insistent davantage sur le développement de nouvelles technologies, les services de recherche et de développement et l'utilisation des droits de propriété intellectuelle. Elles sont beaucoup plus susceptibles d'innover et accordent plus d'importance à l'embauche d'employés qualifiés et à la formation. Enfin, comparativement aux nouvelles entreprises des autres secteurs, elles ont davantage tendance à recourir à des mesures financières non traditionnelles pour évaluer le rendement et sont moins susceptibles de dépendre du crédit garanti pour financer leurs activités de recherche et de développement ainsi que leur machinerie et leur équipement.
Date de diffusion : 1999-03-31 - Articles et rapports : 11F0019M1998120Géographie : CanadaDescription :
Les changements structurels qui se traduisent par une demande accrue de travailleurs spécialisés suscitent un intérêt considérable et on s'efforce de bien les comprendre. Ces changements sont perçus comme étant le résultat de développements associés à l'émergence ce qui est aujourd'hui mieux connu sous le nom d'économie du savoir, dont le potentiel est souvent lié à la croissance des nouvelles entreprises axées sur la technologie. Mais où se retrouvent ces entreprises? Des études connexes sur l'évolution technologique et l'innovation ont mené à l'élaboration de systèmes visant à classer les secteurs d'activité selon qu'ils relèvent de la haute technologie ou du savoir, en se fondant principalement sur les caractéristiques des grandes entreprises. La tentation est forte d'utiliser ces classifications pour faire de la haute technologie le privilège exclusif de certains secteurs. Nous utilisons les données recueillies dans le cadre d'une enquête spéciale auprès des nouvelles entreprises pour démontrer qu'il serait imprudent d'adopter une telle pratique.
Nous examinons dans un premier temps les limitations des systèmes de classification actuels qui pourraient être utilisés pour classer les industries en fonction de leur niveau technologique faible ou élevé, de leur évolution technologique ou de toute autre caractéristique. Pour la plupart unidimensionnelles au plan des caractéristiques étudiées, bon nombre de ces classifications (par exemple la classification de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) qui est utilisée pour attribuer une valeur de rendement) utilisent des mesures conceptuelles et opérationnelles qui sont à la fois limitées et incomplètes. Par conséquent, les systèmes classiques qui, à partir de ces mesures, classent les secteurs selon qu'ils sont à forte ou à faible composante technologique ne tiennent pas compte du degré d'innovation, ni des compétences du capital humain que l'on retrouve dans certains secteurs d'activité. Or dans un contexte politique où de telles classifications du type tableau de score chargées de connotations ont un effet direct sur l'affectation des ressources, les coûts sociaux d'une erreur de classification risquent d'être considérables.
Au moyen d'une analyse comparative, nous examinons le rôle de la conceptualisation dans l'élaboration de classifications qui répartissent les secteurs d'activité selon qu'ils sont à forte ou à faible composante technologique. Loin de produire des classifications définitives, les mesures de rechange actuelles du progrès technologique s'avèrent déficientes lorsqu'on en examine de plus près les fondements intellectuels. Qui plus est, comme bon nombre de ces classifications sont établies à partir des valeurs globales du secteur d'activité visé-elles-mêmes basées principalement sur les caractéristiques des grandes entreprises-elles peuvent masquer les caractéristiques réelles des petites entreprises nouvelles dans certains secteurs-celles-là même qui nous intéressent, c'est-à-dire les nouvelles entreprises axées sur la technologie. Le but de la présente analyse est d'examiner les limites des systèmes de classification types particulièrement lorsqu'ils sont appliqués aux petites entreprises nouvelles et de proposer un autre cadre de classification basé sur les compétences de l'entreprise.
Date de diffusion : 1998-12-08
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- Articles et rapports : 11-626-X2016063Description :
Le présent article des Aperçus économiques porte sur les changements notables survenus sur le plan du rythme et de la composition des dépenses en recherche et développement (R-D) industriels au Canada au cours de la période de 2000 à 2013. L’analyse repose sur des données de séries chronologiques, qui se concluent par la diffusion des estimations pour l’année de référence 2013. De nouvelles données sur la R-D industrielle seront diffusées au cours des prochains mois. Ces nouveaux résultats d’enquête commencent par l’année de référence 2014 et reflètent des changements conceptuels et méthodologiques apportés afin d’accroître la portée et la pertinence du programme. Après la diffusion de ces données, une étude sur la discontinuité dans la série chronologique sera effectuée, plus tard en 2017. Cet article fait ressortir les tendances des dépenses au titre de la R-D industrielle, avant la diffusion prochaine des nouvelles données. L’analyse montre la mesure dans laquelle les entreprises de l’industrie des ressources ont contribué à la croissance des dépenses en R-D au cours des dernières années.
Date de diffusion : 2017-02-15 - Articles et rapports : 15-206-X2009026Géographie : CanadaDescription :
Le présent document fournit des estimations de l'investissement en actifs incorporels au Canada dans les domaines de l'innovation, de la publicité et de l'extraction de ressources naturelles. Il prolonge avant tout les travaux de Beckstead et Gellatly (2003), Baldwin et Hanel (2003), Beckstead et Gellatly (2003), Beckstead et Vinodrai (2003), ainsi que Baldwin et Beckstead (2003) qui soutiennent que la portée des activités d'innovation s'étend au delà de la recherche et développement telle qu'elle est définie dans le Manuel de Frascati. Ces auteurs élargissent la définition des activités d'innovation afin d'y inclure toutes les dépenses scientifiques et en génie, que les services soient obtenus sur le marché ou produits par l'entreprise. Ils examinent aussi les dépenses en éléments d'actif incorporels, tels que les marques ou l'exploration des ressources naturelles.
Le document contribue à la littérature existante grâce à la présentation d'estimations de l'investissement en actifs incorporels (connaissances en science et en génie, publicité, prospection minière et pétrolière par industrie) en s'appuyant sur des bases de données de Statistique Canada dont la haute qualité et la cohérence interne sont établies. Les estimations produites concordent avec les résultats d'autres études sur les investissements incorporels (Corrado, Hulten et Sichel, 2005, 2006; Jalava, Ahmavarra et Alanen, 2007) et montrent que l'investissement de type R D classique représente environ le quart des investissements incorporels dans le domaine des sciences et du génie.
Date de diffusion : 2009-12-02 - 3. Estimations du personnel affecté à la recherche et au développement au Canada, 1979 à 2002 ArchivéArticles et rapports : 88F0006X2005008Description :
La compétitivité économique canadienne repose en partie sur le développement scientifique et technologique, et aussi sur les personnes responsables de ce développement, plus particulièrement celles affectées à la recherche et au développement (R-D). L'importance du personnel affectés à la R-D est aussi considérée comme une mesure complémentaire aux dépenses intra-muros en R-D. Dans le présent rapport, nous présentons certaines estimations statistiques et définitions concernant le personnel de R-D. Les données sur le personnel affectés à la R-D sont tirées d'enquêtes ainsi que d'estimations établies d'après diverses sources de données.
Date de diffusion : 2005-05-03 - Articles et rapports : 11F0027M2005032Géographie : CanadaDescription :
Les estimations du PIB sont sensibles au traitement d'une dépense d'affaires comme investissement ou comme facteur intermédiaire. Faire passer une catégorie de dépenses de dépenses intermédiaires à dépenses d'investissement a pour effet d'accroître le PIB. Même si le guide de mesure international (le SCN (93)) reconnaît qu'en raison de certaines caractéristiques la R D s'apparente davantage à un investissement qu'à une dépense intermédiaire, il ne recommande pas de traiter la R D comme investissement étant donné les difficultés que présente l'élaboration d'un critère clair permettant de distinguer la [R D] d'autres activités.
Dans le présent document, les auteurs cherchent à déterminer si la définition du Manuel de Frascati de l'OCDE est adéquate à cette fin. Ils soutiennent qu'elle est trop étroite et que son adoption ne faciliterait pas la prise de mesures à l'avenir pour modifier le Système de comptabilité nationale. Plus particulièrement, ils soutiennent que le concept de la R D requis aux fins du SCN devrait inclure une vaste gamme de coûts d'innovation dans le domaine des sciences et que ce concept plus large de la R D est mesurable.
Enfin, les auteurs soutiennent que le non élargissement de la définition du capital de connaissances entraînera des conséquences sur le plan de la comparaison du PIB du Canada à celui d'autres pays, particulièrement notre partenaire commercial le plus important, les États Unis. Il en découlera une estimation biaisée du PIB du Canada par rapport à celui des États Unis. Si toutes les dépenses au titre de l'innovation dans le domaine des sciences sont capitalisées, le PIB augmentera. Cependant, il semble que le système d'innovation au Canada est axé davantage sur les dépenses autres qu'en R D dans le domaine des sciences que les systèmes d'innovation de nombreux autres pays. Si le Canada ne capitalisait que les dépenses de R D selon la définition étroite de Frascati et non les dépenses au titre de l'innovation dans le domaine des sciences, les estimations du PIB du Canada seraient biaisées de façon significative par rapport à celles d'autres pays, comme les États Unis, dont les systèmes d'innovation sont axés sur des dépenses de R D plus traditionnelles.
Date de diffusion : 2005-04-12 - Stats en bref : 88-001-X20010017921Description :
Ce bulletin de service présente la répartition géographique des dépenses du gouvernement fédéral en matière de sciences et de technologie. Les données sur les dépenses de l'administration fédérale pour les sciences et la technologie peuvent être trouvées au volume 24, no 5 de la présente publication, publiée en novembre 2000. Dans la présente publication, de même que pour la précédente, les dépenses en sciences et en technologie (S-T) sont la somme des dépenses de recherche et de dévelopement (R-D) et des activités scientifiques connexes (ASC).
Date de diffusion : 2001-01-31 - Stats en bref : 88-001-X19990107930Description :
Ce bulletin de service présente la répartition géographique des dépenses du gouvernement fédéral en matière de sciences et de technologie. Les données sur les dépenses de l'administration fédérale pourles sciences et la technologie peuvent être trouvées au volume 23, no 5 de la présente publication, publiée en octobre 1999. Dans la présente publication, de même que pourla précédente, les dépenses en sciences et en technologie (S-T) sont la somme des dépenses de recherche et de développement (R-D) et des activités scientifiques connexes (ASC).
Date de diffusion : 1999-12-23 - Articles et rapports : 88F0017M1999006Géographie : CanadaDescription :
Ce rapport décrit les caractéristiques de base des entreprises qui utilisent des biotechnologies, l'utilisation particulière de certaines biotechnologies, leur stade d'utilisation et leur utilisation future, sur les obstacles à l'acquisition et à la mise en oeuvre des biotechnologies, sur les avantages obtenus et, sur les sources internes et externes d'information conduisant à l'utilisation des biotechnologies.
Date de diffusion : 1999-11-19 - Articles et rapports : 88F0006X1999005Description :
L'étude de l'adoption et de la diffusion des technologies est un des éléments clés de l'innovation et du progrès technologique. C'est par l'adoption de nouvelles technologies plus avancées que les entreprises peuvent augmenter leur capacité de production, améliorer leur productivité et accroître leur capacité à produire de nouveaux produits et services. Les enquêtes sur l'adoption de nouvelles technologies sont complémentaires aux autres informations que nous recueillons sur la R-D et l'innovation en ce qu'elles permettent de mesurer de quelle façon et avec quelle rapidité les entreprises s'adaptent au changement technologique.
Cette Enquête sur les technologies de pointe dans l'industrie canadienne de la fabrication est la cinquième du genre. Parce que les technologies évoluent constamment, ce qui était une technologie avancée à un moment donné peut aujourd'hui être devenu la norme. En conséquence, cette enquête utilise une nouvelle liste de technologies avancées, élaborée à l'aide d'experts du domaine de la fabrication. Parmi les nouveautés, on retrouve les technologies de modélisation ou de simulation, les systèmes de fabrication flexible et les systèmes de vision artificielle pour l'inspection ou la mise à l'essai des pièces.
De plus en plus, les entreprises de fabrication ont recours aux technologies de l'information et des télécommunications pour informatiser et mettre en relation toutes les fonctions du processus de production. C'est ainsi qu'une place importante est dévolue dans cette Enquête aux questions sur l'utilisation des réseaux de communication internes (comme les réseaux locaux) ou externes (comme le réseau Internet).
Date de diffusion : 1999-08-23 - Revues et périodiques : 88-517-XGéographie : CanadaDescription :
Les nouvelles entreprises jouent un rôle primordial en matière d'innovation, en particulier dans certains secteurs clés de l'économie. Dans cette étude, on examine donc les profils différents des nouvelles entreprises prospères du secteur fondé sur le savoir et des entreprises des autres secteurs. Les entreprises étudiées sont les jeunes entreprises montantes qui ont survécu au-delà d'une décennie. L'étude traite de nombreux facteurs qui influencent le succès des nouvelles entreprises, soit l'environnement concurrentiel, les stratégies et la structure financière des entreprises.
On constate que les nouvelles entreprises prospères du secteur fondé sur le savoir diffèrent à beaucoup de points de vue des nouvelles entreprises des autres secteurs. Elles sont plus susceptibles de faire de l'exportation. Elles se heurtent à des changements technologiques plus grands et à une forte concurrence quant à la rapidité de lancement des nouveaux produits. Elles ont tendance à insister davantage sur la qualité, l'introduction fréquente de nouveaux produits et la fabrication sur mesure de produits. Les nouvelles entreprises du secteur fondé sur le savoir font un plus grand usage de la technologie de l'information. Elle insistent davantage sur le développement de nouvelles technologies, les services de recherche et de développement et l'utilisation des droits de propriété intellectuelle. Elles sont beaucoup plus susceptibles d'innover et accordent plus d'importance à l'embauche d'employés qualifiés et à la formation. Enfin, comparativement aux nouvelles entreprises des autres secteurs, elles ont davantage tendance à recourir à des mesures financières non traditionnelles pour évaluer le rendement et sont moins susceptibles de dépendre du crédit garanti pour financer leurs activités de recherche et de développement ainsi que leur machinerie et leur équipement.
Date de diffusion : 1999-03-31 - Articles et rapports : 11F0019M1998120Géographie : CanadaDescription :
Les changements structurels qui se traduisent par une demande accrue de travailleurs spécialisés suscitent un intérêt considérable et on s'efforce de bien les comprendre. Ces changements sont perçus comme étant le résultat de développements associés à l'émergence ce qui est aujourd'hui mieux connu sous le nom d'économie du savoir, dont le potentiel est souvent lié à la croissance des nouvelles entreprises axées sur la technologie. Mais où se retrouvent ces entreprises? Des études connexes sur l'évolution technologique et l'innovation ont mené à l'élaboration de systèmes visant à classer les secteurs d'activité selon qu'ils relèvent de la haute technologie ou du savoir, en se fondant principalement sur les caractéristiques des grandes entreprises. La tentation est forte d'utiliser ces classifications pour faire de la haute technologie le privilège exclusif de certains secteurs. Nous utilisons les données recueillies dans le cadre d'une enquête spéciale auprès des nouvelles entreprises pour démontrer qu'il serait imprudent d'adopter une telle pratique.
Nous examinons dans un premier temps les limitations des systèmes de classification actuels qui pourraient être utilisés pour classer les industries en fonction de leur niveau technologique faible ou élevé, de leur évolution technologique ou de toute autre caractéristique. Pour la plupart unidimensionnelles au plan des caractéristiques étudiées, bon nombre de ces classifications (par exemple la classification de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) qui est utilisée pour attribuer une valeur de rendement) utilisent des mesures conceptuelles et opérationnelles qui sont à la fois limitées et incomplètes. Par conséquent, les systèmes classiques qui, à partir de ces mesures, classent les secteurs selon qu'ils sont à forte ou à faible composante technologique ne tiennent pas compte du degré d'innovation, ni des compétences du capital humain que l'on retrouve dans certains secteurs d'activité. Or dans un contexte politique où de telles classifications du type tableau de score chargées de connotations ont un effet direct sur l'affectation des ressources, les coûts sociaux d'une erreur de classification risquent d'être considérables.
Au moyen d'une analyse comparative, nous examinons le rôle de la conceptualisation dans l'élaboration de classifications qui répartissent les secteurs d'activité selon qu'ils sont à forte ou à faible composante technologique. Loin de produire des classifications définitives, les mesures de rechange actuelles du progrès technologique s'avèrent déficientes lorsqu'on en examine de plus près les fondements intellectuels. Qui plus est, comme bon nombre de ces classifications sont établies à partir des valeurs globales du secteur d'activité visé-elles-mêmes basées principalement sur les caractéristiques des grandes entreprises-elles peuvent masquer les caractéristiques réelles des petites entreprises nouvelles dans certains secteurs-celles-là même qui nous intéressent, c'est-à-dire les nouvelles entreprises axées sur la technologie. Le but de la présente analyse est d'examiner les limites des systèmes de classification types particulièrement lorsqu'ils sont appliqués aux petites entreprises nouvelles et de proposer un autre cadre de classification basé sur les compétences de l'entreprise.
Date de diffusion : 1998-12-08
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