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Tout (4)

Tout (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0027M2012080
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le présent document, on construit deux mesures expérimentales de la production économique du secteur de l'éducation au Canada : une mesure fondée sur le revenu et une autre fondée sur les coûts. Les mesures diffèrent de la mesure utilisée actuellement dans les comptes nationaux, qui est basée sur le volume total des entrées, et peuvent être utilisées pour examiner le rendement en matière de productivité du secteur de l'éducation. Les deux approches reposent sur la notion que la production du secteur de l'éducation représente un investissement en capital humain. L'approche fondée sur le revenu mesure l'investissement dans l'éducation comme les échelons d'augmentation dans le flux à venir de revenus découlant du niveau de scolarité. L'approche fondée sur les coûts mesure l'investissement comme les dépenses totales liées à l'éducation.

    Date de diffusion : 2012-10-18

  • Articles et rapports : 81-004-X200800310682
    Description :

    Des milliers d'élèves et d'étudiants, de la maternelle au collège ou à l'université, viennent de reprendre le chemin de l'école. En l'honneur de ce rituel annuel, ce numéro de Questions d'éducation rassemble quelques faits et chiffres concernant l'éducation, de la tendance des inscriptions et les dépenses des ménages pour l'éducation aux niveaux de scolarité atteints par la population autochtone et des immigrants récents, et plus.

    Date de diffusion : 2008-09-04

  • Articles et rapports : 89-552-M2008020
    Géographie : Canada
    Description :

    On mène d'importants travaux de recherche pour comprendre les écarts salariaux entre les travailleurs immigrants et les travailleurs nés au Canada. Des études antérieures ont montré que les gains des immigrants sont généralement inférieurs à ceux des travailleurs nés au pays et possédant le même niveau de scolarité et la même expérience de travail. Les faibles gains des immigrants sont souvent attribués à la spécificité du capital humain acquis dans le pays d'origine. En d'autres termes, l'éducation ou l'expérience de travail acquises dans le pays d'origine ne sont pas directement transférables dans le pays d'accueil, ce qui fait que des immigrants qualifiés occupent des emplois faiblement rémunérés. Il se peut aussi que les employeurs du pays d'accueil fassent preuve de discrimination à l'endroit des travailleurs immigrants. Pour examiner ces questions, les auteurs de la présente étude se fondent sur le volet canadien de l'Enquête internationale sur l'alphabétisation et les compétences des adultes (EIACA), qui comprend des données démographiques standard et des données sur le marché du travail concernant les personnes nées au Canada et les immigrants, ainsi que les résultats de tests de compétences en littératie, en numératie et en résolution de problèmes. En assimilant les notes obtenues à ces tests à des mesures directes des capacités cognitives, ils peuvent désormais examiner de plus près les explications des faibles gains des immigrants. En outre, les auteurs disposent de renseignements plus précis que ceux de la plupart des études antérieures sur l'endroit où les immigrants ont étudié et sur l'âge de ces derniers au moment de l'immigration, ce qui leur permet d'examiner de plus près encore les écarts salariaux entre les immigrants et les personnes nées au Canada.

    Date de diffusion : 2008-07-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2007303
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans la présente étude, nous nous servons de nouvelles données canadiennes détaillées sur les notes aux tests normalisés, les notes scolaires, l'influence des parents et des pairs, ainsi que d'autres caractéristiques socioéconomiques de base des garçons et des filles pour essayer d'expliquer l'écart important entre ceux-ci en matière d'inscription à l'université. Parmi les jeunes âgés de 19 ans en 2003, 38,8 % des filles étaient inscrites à l'université, comparativement à 25,7 % seulement des garçons. Cependant, les jeunes hommes et les jeunes femmes étaient aussi susceptibles les uns que les autres d'aller au collège. Nous constatons que des différences entre les garçons et les filles en ce qui a trait aux caractéristiques observables expliquent plus des trois quarts (76,8 %) de l'écart relatif à l'inscription à l'université. Par ordre d'importance, les principaux facteurs sont les différences entre les notes scolaires obtenues à l'âge de 15 ans, les notes aux tests normalisés de lecture obtenues à l'âge de 15 ans, les méthodes de travail, les attentes des parents et la prime salariale associée à un diplôme universitaire comparativement à celle associée à un diplôme d'études secondaires. Ensemble, les quatre mesures des aptitudes aux études que nous utilisons "notes globales, notes aux tests normalisés de lecture, méthodes de travail et redoublement d'une année" rendent compte de 58,9 % de l'écart entre les sexes pour ce qui est de l'inscription à l'université. Par conséquent, pour comprendre l'avantage des femmes en ce qui concerne la poursuite d'études universitaires, il pourrait être essentiel de comprendre pourquoi les filles obtiennent de meilleurs résultats que les garçons au primaire et au secondaire.

    Date de diffusion : 2007-09-20
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Analyses (4)

Analyses (4) ((4 résultats))

  • Articles et rapports : 11F0027M2012080
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans le présent document, on construit deux mesures expérimentales de la production économique du secteur de l'éducation au Canada : une mesure fondée sur le revenu et une autre fondée sur les coûts. Les mesures diffèrent de la mesure utilisée actuellement dans les comptes nationaux, qui est basée sur le volume total des entrées, et peuvent être utilisées pour examiner le rendement en matière de productivité du secteur de l'éducation. Les deux approches reposent sur la notion que la production du secteur de l'éducation représente un investissement en capital humain. L'approche fondée sur le revenu mesure l'investissement dans l'éducation comme les échelons d'augmentation dans le flux à venir de revenus découlant du niveau de scolarité. L'approche fondée sur les coûts mesure l'investissement comme les dépenses totales liées à l'éducation.

    Date de diffusion : 2012-10-18

  • Articles et rapports : 81-004-X200800310682
    Description :

    Des milliers d'élèves et d'étudiants, de la maternelle au collège ou à l'université, viennent de reprendre le chemin de l'école. En l'honneur de ce rituel annuel, ce numéro de Questions d'éducation rassemble quelques faits et chiffres concernant l'éducation, de la tendance des inscriptions et les dépenses des ménages pour l'éducation aux niveaux de scolarité atteints par la population autochtone et des immigrants récents, et plus.

    Date de diffusion : 2008-09-04

  • Articles et rapports : 89-552-M2008020
    Géographie : Canada
    Description :

    On mène d'importants travaux de recherche pour comprendre les écarts salariaux entre les travailleurs immigrants et les travailleurs nés au Canada. Des études antérieures ont montré que les gains des immigrants sont généralement inférieurs à ceux des travailleurs nés au pays et possédant le même niveau de scolarité et la même expérience de travail. Les faibles gains des immigrants sont souvent attribués à la spécificité du capital humain acquis dans le pays d'origine. En d'autres termes, l'éducation ou l'expérience de travail acquises dans le pays d'origine ne sont pas directement transférables dans le pays d'accueil, ce qui fait que des immigrants qualifiés occupent des emplois faiblement rémunérés. Il se peut aussi que les employeurs du pays d'accueil fassent preuve de discrimination à l'endroit des travailleurs immigrants. Pour examiner ces questions, les auteurs de la présente étude se fondent sur le volet canadien de l'Enquête internationale sur l'alphabétisation et les compétences des adultes (EIACA), qui comprend des données démographiques standard et des données sur le marché du travail concernant les personnes nées au Canada et les immigrants, ainsi que les résultats de tests de compétences en littératie, en numératie et en résolution de problèmes. En assimilant les notes obtenues à ces tests à des mesures directes des capacités cognitives, ils peuvent désormais examiner de plus près les explications des faibles gains des immigrants. En outre, les auteurs disposent de renseignements plus précis que ceux de la plupart des études antérieures sur l'endroit où les immigrants ont étudié et sur l'âge de ces derniers au moment de l'immigration, ce qui leur permet d'examiner de plus près encore les écarts salariaux entre les immigrants et les personnes nées au Canada.

    Date de diffusion : 2008-07-21

  • Articles et rapports : 11F0019M2007303
    Géographie : Canada
    Description :

    Dans la présente étude, nous nous servons de nouvelles données canadiennes détaillées sur les notes aux tests normalisés, les notes scolaires, l'influence des parents et des pairs, ainsi que d'autres caractéristiques socioéconomiques de base des garçons et des filles pour essayer d'expliquer l'écart important entre ceux-ci en matière d'inscription à l'université. Parmi les jeunes âgés de 19 ans en 2003, 38,8 % des filles étaient inscrites à l'université, comparativement à 25,7 % seulement des garçons. Cependant, les jeunes hommes et les jeunes femmes étaient aussi susceptibles les uns que les autres d'aller au collège. Nous constatons que des différences entre les garçons et les filles en ce qui a trait aux caractéristiques observables expliquent plus des trois quarts (76,8 %) de l'écart relatif à l'inscription à l'université. Par ordre d'importance, les principaux facteurs sont les différences entre les notes scolaires obtenues à l'âge de 15 ans, les notes aux tests normalisés de lecture obtenues à l'âge de 15 ans, les méthodes de travail, les attentes des parents et la prime salariale associée à un diplôme universitaire comparativement à celle associée à un diplôme d'études secondaires. Ensemble, les quatre mesures des aptitudes aux études que nous utilisons "notes globales, notes aux tests normalisés de lecture, méthodes de travail et redoublement d'une année" rendent compte de 58,9 % de l'écart entre les sexes pour ce qui est de l'inscription à l'université. Par conséquent, pour comprendre l'avantage des femmes en ce qui concerne la poursuite d'études universitaires, il pourrait être essentiel de comprendre pourquoi les filles obtiennent de meilleurs résultats que les garçons au primaire et au secondaire.

    Date de diffusion : 2007-09-20
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